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    Une vraie jeune fille
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    18 critiques spectateurs

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    Uther Zendrest
    Uther Zendrest

    2 abonnés 296 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 janvier 2024
    Une jeune fille de 17 ans s'éveille au désir et à la sexualité dans la France rurale des années 70. Catherine Breillat filme une jeune femme se promenant en petite tenue toute la journée, à la recherche de l'amour. Des scènes érotiques à priori plutôt osée pour l'époque, et qu'on ne verrait pas comme ça aujourd'hui.
    Julien h.
    Julien h.

    9 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 septembre 2022
    Film d’un certain réalisme.
    Le scénario n’a rien d’exceptionnel et le style et l’audace d’une époque malheureusement révolue !
    Les Landes en fond sont un bon terreau pour l’ambiance.
    Quelques scènes qui pourront apparaître osées voir inutiles mais elles ont leur sens , celui de montrer une certaine réalité dans la découverte du désir et de ceux déviants de qui l’aura découvert depuis bien longtemps...
    Sinon, Les acteurs n’ont rien d’exceptionnel.
    A voir tout de même
    Vinz1
    Vinz1

    123 abonnés 2 291 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 juillet 2022
    Dans ce premier film de Catherine Breillat, on assiste aux premiers désirs sexuels d’une jeune fille, qu’ils soient réels ou fantasmés, dans un village des Landes repoussant au possible où les adultes sont grossiers et où l’on égorge les poulets comme si de rien n’était. Là, Alice Bonnard, s’abandonne à ses envies sadomasochistes en pensant au jeune éphèbe travaillant à la scierie pour son père. Si à l’époque ce métrage a pu choquer en montrant que l’esprit des jeunes adolescentes n’était pas si sage que cela, le métrage donne l’impression aujourd’hui d’être très lent tout comme il est avare en dialogues ce qui peut le rendre peu accessible au public. Mais cette sorte de langueur a au moins le mérite de nous faire ressentir, comme son héroïne, un ennui profond. A voir donc pour l'objet cinématographique irrévérencieux qu'il représente, mais pas au point d'en faire un film culte. Pour public averti !
    ronny1
    ronny1

    29 abonnés 912 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 9 mai 2020
    Dès son premier film Catherine Breillat annonçait la couleur : les hommes traitent les femmes comme de la viande au mépris de leur désir car seul compte d'assouvir le leur, obligatoirement sale et bestial. Difficile à partir de là, pour toute femme d'exprimer son désir intérieur. Et déjà un rapport au vagin dont l'apothéose sera atteint dans « Anatomie de l’enfer ». Très film amateur par la faute d’une budget à deux balles et une post synchro qui fausse la véracité de dialogues plutôt plats, n’aident pas une réalisation inutilement grossière (l’urine, la vomissure). Mais la réalisatrice tient à choquer avant tout. Long, malgré un métrage raisonnable et l’exposition mélangée de tout un tas de symboles : les parents (évidemment le père adultère qui tripote sa fille) , la TV, les pulsions et fantasmes sexuels (la cuillère et le ver de terre sont plutôt réussis), etc… Hiram Keller en homme-objet et surtout Charlotte Alexandra sont les seuls points forts de ce film peu agréable, et peu intéressant, passé la mise en place où tout est dit en trente minutes à peine.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    579 abonnés 2 749 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 juin 2019
    Le premier film de Catherine Breillat cristallise toutes les thématiques qu’elle développera ensuite et concentre ainsi les éventuels problèmes que le spectateur peut rencontrer face à son cinéma : agressivité, sadisme, hypersexualité. Car derrière la théorie plutôt convaincante qui voudrait que « le personnage breillatien cherche avec difficulté à imposer ce qu’il est au fond de lui par opposition à ce qu’il doit être à l’extérieur de lui » (David Vasse, Catherine Breillat. Un Cinéma du rite et de la transgression, Paris, Éditions Complexe, 2004, p. 48) s’exhibent des coutures outrancières qui, peut-être en raison de leur grossièreté, étouffent la subtilité d’une telle vision artistique. Plus le film avance et plus la tension entre l’homme et la femme, ainsi qu’entre les femmes elles-mêmes, perd de sa puissance et tombe dans un voyeurisme complaisant. Si le cinéma est un art de l’image, nul besoin néanmoins de l’appréhender armé d’un burin. Pourtant, dans ses égarements initiaux qui ponctuent son initiation, la jeune Alice Bonnard incarne cette violence sourde à l’égard d’un milieu qu’elle exècre et auquel elle oppose son sexe, violence qui oscille entre cynisme, provocation ironique et angoisse. C’est dans cette incertitude que Breillat capte un trouble, un je-ne-sais-quoi de sensible qui légitime le visionnage d’Une Vraie jeune fille, ne serait-ce que les trente premières minutes.
    pietro bucca
    pietro bucca

    53 abonnés 1 208 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 octobre 2018
    Les émois d'une jeune adolescente, narrée entre dialogues ennuyeux et pointe d'érotisme, font qu'il est dur d'accrocher réellement. plutot fade.
    Alasky
    Alasky

    284 abonnés 3 081 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 4 novembre 2017
    Du porno glauque et sale, dans un décor morne et une atmosphère ultra sombre et froide. En 1976 j'imagine que cela se voulait dérangeant, aujourd'hui on voit bien sûr que le film a mal vieilli, malgré la présence de la jeune et belle Charlotte Alexandra qui est pas mal dans le rôle principal.
    ferdinand75
    ferdinand75

    452 abonnés 3 639 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 janvier 2016
    Un film intéressant et très original de Catherine Breillat qui se situe dans une certaine lignée d’un cinéma surréaliste et fantasmagorique. Le scénario assez basique sert de prétexte à l’évocation de fantasmes, et de rêveries sexuelles. Une jeune fille rentre chez elle pour les vacances dans les Landes,elle est habituellement en pensionnat, c’est l’été et la jeune fille va vivre des émois successifs, sa sexualité est en train d’exploser et elle est assez libre sur le sujet. Elle essaye de séduire quelques hommes et tout particulièrement un jeune ouvrier très beau qui travaille à la scierie locale. Elle confie ses secrets et ses rêves à un journal intime écrit à l’encre rouge. Elle joue beaucoup avec son sexe et cela donne lieu à des scènes parfois un peu fortes qui expliquent l’interdiction à l’époque de sa première sortie en 1976 . de manière explicite sur une plage de sable, une autre scène ou le jeune homme lui découpe un ver de terre sur le mont de venus , quelques scènes de sexes masculins, dont celui de son père en train de se masturber devant sa télévision ( le formidable acteur de second rôle Bruno Baly, à la bonne tête débonnaire, complètement à contre emploi.). Mais ce n’est pas du tout un film porno, ni même un film érotique, il n’y a aucune scène de rapports sexuels. Le film est aussi déjà très féministe, la JF veut des rapports protégés et ne veut pas tomber enceinte ( elle demande à son fiancé de lui ramener des pilules de Suisse),la mère a des revendications d’ indépendance, les femmes sont fortes , affirment leur sexualité et dominent les hommes . Certaines scènes peuvent rappeler « le Chien andalou » de Bunuel ou certains textes de Pieyre de Mandiargues, comme celle de la tête de poulet tranchée dont le sang s’égoutte dans un verre, ou la tentative de séduction dans une mini voiture rose, ou la scène où la JF s’offre cuisses grandes ouvertes à la vague de la marée montante, en bord de mer. C’est un film au ton très libre, très « révolutionnaire », dans la lignée d’un certain cinéma post soixanthuitard, mais avec une élégance toute particulière dans le style, qui montre déjà ce que sera par la suite le cinéma de Breillat.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 18 avril 2015
    Film au rythme lent et avec des dialogues souvent navrants, avec des scènes de sexe (c'est-à-dire ou l'on voit uniquement un sexe masculin ou féminin) qui portent plus à vomir qu'à rêver et avec des personnages à la limite du ridicule. Comment fantasmer quand on est une jeune fille avec des parents idiots, et comment enlever sa petite culotte en toute circonstance, tel est en fait le sujet de ce film... Les atouts physiques et le jeu de Charlotte Alexandra, plutôt convaincante, ne parviennent pas à sauver le récit.
    Vincent P
    Vincent P

    17 abonnés 40 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 août 2013
    Bouleversant d'érotisme et de sensualité. La scène du ver, avec son visage blanc ébloui, est sublime.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 22 septembre 2011
    sado maso bobo! Qu'est ce qu'on transgresse quand il n'y a plus de censure? C'est laid, mal joué, d'un ennui mortel...c'est du cinéma contemporain comme on dit art contemporain. Cela se veut dérangeant mais ça ne dérange plus personne. De l'anticonformisme majoritaire!
    stebbins
    stebbins

    458 abonnés 1 747 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 10 novembre 2009
    Catherine Breillat ne filme pas le sexe : elle filme l'entrejambe. Cette nuance faite, on pourrait presque dire que son cinéma se rapproche plus du voyeurisme que de la pornographie de base... et dans Une Vraie Jeune Fille, tout le cinéma de Breillat est déjà là : des scènes déviantes destinées à titiller les censeurs, des personnages inconsistants qui récitent leur texte avec la conviction d'une courgette, une prose bien pâlichonne prétendue poésie... Si vous voulez vous soulager, inutile de visionner ce film : les films de Breillat montrent la sexualité dans sa forme la plus pathétique, la plus sale et la plus dérangeante. Et ce premier long métrage ne déroge pas à la règle : on s'enfonce des plumes et des asticots dans les parties interdites, on s'attarde sur une mare de pisse et on s'extasie devant un gland rabougri. La belle affaire ! Breillat a visiblement beaucoup aimé Salo de Pasolini : son film en emprunte la crasse mais pas l'humanité. Peut-être que sa filmographie réserve de jolies surprises... Je reste sceptique.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 2 mai 2009
    Dommage, avec un scénario plus conséquent cela pouvait faire un film très intéressant. Le casting était bon la forêt landaise, Charlotte Alexandra, Bruno Baly excellents tout les deux, Hiram Keller en gravure de mode (homme objet) et j'aurai bien vu Stéphane Audran dans le rôle de la mère.
    chrischambers86
    chrischambers86

    11 968 abonnés 12 157 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 décembre 2007
    "Une vraie jeune fille" est une vraie surprise! Premier long-mètrage de Catherine Breillat rèalisè dans la vague des films porno, cette vision dèrangeante et obsessionnelle à l'ètiquette underground joue admirablement de l'insatisfaction et de l'exacerbation des sens de l'hèroïne jouèe par la talentueuse et très belle Charlotte Alexandra! Le film montre plusieurs images de fantasmes sexuels assez bizzares en introduisant des sèquences hard à la limite de l'extrême (le ver de terre sur le vagin), à des moments ou l'on ne s'y attend pas! Malgrè quelques passages difficiles, le film de Breillat existe et en devient une oeuvre forte et poètique! A noter dans les seconds rôles la prèsence du regrettè Hiram Keller, le fantasme français de toutes les midinettes de 1976 ! Une première rèussite avec la magnifique musique de Mort Shuman...
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 22 octobre 2007
    Un peu trop space comme film...
    Il y a certainement des choses à prendre au 7è degré ? Ou alors pas du tout ?
    je ne le reverrai pas, même si j'aime assez l'univers de Breillat.
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