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Play it again, Sam
7 abonnés
278 critiques
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2,5
Publiée le 16 février 2021
Après l’enthousiasmant et très réussi « À la poursuite du diamant vert », on descend de deux étages avec cette suite. Si la première demi-heure est intrigante et laisse espérer une aventure digne du premier opus, l’intrigue se révèle ensuite un mince prétexte pour surfer sur le succès rencontré (les ressorts de l’histoire ne tiennent d’ailleurs pas debout). Au lieu d’une quête un peu mystérieuse enrichie de rebondissements mouvementés, on doit se contenter d’une molle course-poursuite improbable entre les « méchants » et notre sympathique couple d’aventuriers. Si c’est parfois amusant (Danny de Vito est également de la partie), l’enjeu manque singulièrement d’intérêt (même si l’idée du joyau est plutôt bonne), les péripéties sont souvent pauvres (l’interminable scène de l’avion, la rencontre inutile avec la tribu, etc.) et liées maladroitement les unes aux autres, et les paysages sont globalement mal exploités par une photographie plutôt sommaire. Le dépaysement paraît, du coup, bien plus artificiel. Par ailleurs, certains effets-spéciaux, très mal faits et facilement évitables, ternissent la qualité de la production. L’omniprésente musique, très marquée eighties, finit par ringardiser l’ensemble. Si le duo conserve toute notre sympathie, force est de constater que cette suite a été réalisée trop vite. Il lui manque un scénario mieux ficelé pour en faire un film d’aventure plus trépidant. Ici, comme dans le premier opus, on ne se prend pas au sérieux, mais il est évident qu’on cherche davantage à capitaliser qu’à faire preuve d’ambition. Ce n’est pas par hasard qu’on peut d’ailleurs parfois penser au premier Allan Quatermain sorti la même année, ce qui n’est évidemment pas un compliment.
On est à des années lumières du tres sympathique et réussi "A la poursuite du diamant vert", avec le même mythique duo sous la houlette du talentueux Robert Zemeckis, qui laisse place à un autre metteur en scène qui signe içi l'une des pire suites de film que j'ai put voir. Plus rien ne fonctionne, plus aucune originalité, le long métrage n'est autre qu'un pur produit commerçiale, qui ne propose aboslument rien de nouveaux, rien d'interessant et c'est deux fois moins trépident que se soit au niveau du scenario (aussi fin et risible qu'un bout de parchemin) que dans les scénes d'actions (bas de gammes). Pas drôle, poussif, prévisible, le duo ne fonctionne vraiment plus, je trouve que sa a vraiment vielli (contrairement au precedent), seul la chanson du générique de fin et quelques beaux decors sont à souligner mais c'est vraiment tres tres mince pour tenter de relever la note. Je me suis ennuyé du début à la fin, retournez voir l'excellent film de Zemeckis et non ce consternant "Diamant du Nil". Passez votre chemin !
J'ai pas vu "A la poursuite du diamant vert" mais ça n'a pas posé de problèmes au niveau de la compréhension de l'histoire parce qu'elle n'était pas compliqué (du tout), dés le début les héros sont plongés dans une quête d'un diamant en Afrique. Il y a de l'action, des tirs, des boums, des poursuites (à pied, en avion, en escalade), des rencontres avec les "aborigènes", mais le film n'est pas passionant, il m'a pas chopé donc je me suis un peu ennuyé.
Voilà une suite dans la droite ligne de l’original sans pour autant resservir les mêmes idées et les mêmes séquences. Le tandem Kathleen Turner-Michael Douglas montre à l’occasion des signes de complicité certaine et contribue très largement à la tonicité de l’ensemble. Bref, entre une action sans faiblesse et un humour omniprésent, on ne s’ennuie pas une seconde ; l’objectif qui était de divertir est largement atteint.
Très bon film. Le seul truc qui m'ait dérangé, c'est une absence d'objet mythique et légendaire. Mais sinon, je le redis, c'est un très bon film, à voir pour passer une bonne soirée.
2ème volet des aventures de Joan Wilder et Jack Colton moins réussi qu'A la poursuite du diamant vert. Kathleen Turner, Michael Douglas et Danny de Vito assurent toujours autant dans leurs rôles malgré un scénario moins bien construit que le précédent.
L'équipe Douglas-Turner-DeVito aussi à l'aise en Afrique qu'en Amérique du Sud. Une suite pleine de charme et de fantaisie. Un souvenir de cinéma épatant que j'ai adoré revoir.
Mais qu'est ce que c'est que ce nanar bien décevant qui avait l'ambition d'être une suite à "À la poursuite du diamant vert" qui lui avait été un succès. Ici, pas vraiment d'histoire mais une suite de scènes d'action exotiques qui n'on ni queue ni tête et qui arrivent comme un cheveux sur la soupe sans vraiment de cohérence. Le seul à tirer son épingle du jeu est Danny de Vito qui par moment fait sourire. Kathleen Turner est quant à elle ailleurs, parfaitement coiffée et apprêtée dans les scènes les plus folles notamment lorsqu'elle s'agrippe a la bordure d'un train roulant à pleine vitesse pour sauver sa vie. Enfin Michael Douglas, est lui aussi bien décevant en héros aventurier qui pour le coup manque souvent de panache et d'imagination. En fait en creusant un peu j'ai compris que ce loupé est dû à plusieurs tuiles expliquées après le tournage par Michael Douglas producteur du film. 1. Un procès avec Kathleen Turner actrice très demandée à l'époque qui ne souhaitait pas faire le film tout de suite, car elle estimait que le script n'était pas abouti et devait être retravaille. 2eme problème un accident d'avion au début du tournage où 6 personne de l'équipe technique du film ont perdu la vie et qu'il a fallu remplacer au pied levé. Enfin 3eme tuile une catastrophe sanitaire qui a bloqué l'équipe au Maroc durant 6 semaines de quarantaine, ce qui a engendre un surcout non négligeable dans le budget du film. Comme quoi il y a le film mais aussi tout ce qui se passe autour dont l'impact n'est pas toujours anodin...