Avis sur L'Eté de nos quinze ans

Un cerf-volant, c'est comme si vous teniez un rêve au bout d'un fil...Voilà à quoi pourrait se rèsumer ce film de souvenirs, ponctuè de moments de charme et de nostalgie. "L'ètè de nos quinze ans" ressemble dans sa première partie à l'ambiance de nos vacances quand on ètait ado puis Deauville prend des airs de Camargue avec la belle chanson de Fabrice Floquin qui donne son titre au film et qui fut le temps d'un slow le roi de la piste en 1983! Avec dans la distribution de charmantes comèdiennes: la blonde Elisa Servier et surtout la brune Cyrielle Claire, juste sublime, où se conjugue beautè et talent! De jeunes vedettes en herbe ègalement mais qui ne confirmeront pas par la suite tels que Alexandre Sterling (le Mathieu qui fit craquer Sophie Marceau dans "La boum") et Malène Sveinbjornsson en ado romantique et amoureuse dont les yeux bleus sont à croquer! Michel Sardou n'est pas mauvais pour autant (même si le chanteur est nettement meilleur) et nous donne envie d'aller boire un verre à son restaurant "La Fouque" à Deauville! Les amateurs de sitcoms AB1 pourront aussi reconnaître la tout jeune Camille Raymond, principalement connue pour son rôle de "Justine" dans "Premiers baisers". Même si l’argument est un peu mince où l’on en oublie facilement la platitude de la mise en scène, c’est une comèdie de moeurs attachante où le rèalisateur Marcel Jullian s'amuse à brocarder gentiment les comportements de Malène et François en vacances, ils se dècouvriront puis se retrouveront, avant de comprendre qu'ils sont destinès l'un à l'autre...

Nardadesque à souhait et typique de 99% des comédies françaises des années 80.
Personne ne sait jouer, les dialogues sont ridiculement mal écris en plus d'être mal joués, c'est mal filmé, mal monté, l'histoire est niaise. Michel Sardou, bankable à l'époque, est clairement là comme prétexte pour vendre des entrées

Me plaçant dans le contexte où j'avais 15 ans à l'époque... film superbe... simplement
Replacé dans le contexte actuelle... il est sur que....
Mais bons souvenirs

Cucul comme un papy gâteau qui met des bonbons dans la popoche.