Derniers Avis sur A Hard Day’s night (Quatre garçons dans le vent)

Un film d'exploitation qui se laisse voir d'un œil amusé la vie des Beatles de manières romancé et aseptisé son côté divertissant est agréable, la mise en scène met en valeur ses 4 personnages qui sont coincés dans leurs succès sans que ce soit non plus un supplice ou un drame pour eux, ils s'en amusent. Vers la fin du film cette idée est exploité avec l'un des personnages spoiler: qui se désolidarise pendant 30 minutes une heures pour goûter a la simplicité de la vie dans laquelle il n'a pas sa place
. Le meilleur personnage est de loin le vieille homme qui manipule son entourage pour qu'il puisse faire ce qu'il veut sans être rappeler à l'ordre, sa personnalité est a l'opposé des Beatles mais il n'en reste pas loin amusant et drôle. Pour résumer un film pour toute la famille qui se laisse voir, un divertissement que je dirai innocent par son côté à rendre les Beatles désespérément sympathique.

C'est dynamique (on ne s'ennuie pas), c'est rythmé (au son des tubes des Beatles), c'est classe (ces quatre garçons étaient tellement les rois du cool), c'est gentillet (pas de trop grosses blagues, juste des petits gags bon enfant). Paul, John, Ringo et George au coeur de la beatlemania et du Swinging London de l'époque ; pas une oeuvre incontournable mais ça vaut bien un petit coup d'œil surtout pour les curieux et les fans du groupe !

L'idée de ce film, quoique simple, est une trouvaille : faire jouer aux Beatles leurs propres rôles, un peu caricaturés. Les musiciens étaient sufisamment je-m’en-foutistes dans la réalité pour jouer aux acteurs proprement. Car ils s'amusent. Ils donnent – très logiquement – toute sa personnalité à la compilation signée Richard Lester de moments typiques vécus par les quatre légendes. En parlant de légende, celle du groupe est assez secouée par les conflits simplistes mais éclairants qui sont mis en scène pour donner un peu de vie aux personnages.

Peut-être doit-on reprocher au script d'être découpé comme le découperait un monteur ; avec le cynisme de la technique, et l'absence de poésie qui tient aux non-considérations pour le « liant » nécessaire entre les scènes. On veut bien croire que c'est une journée typique des Beatles, mais on dirait plutôt une journée stéréotypique que les multiples couches d'humour anglais hilarants faillissent à modeler correctement. De toute façon, l'humour est souvent réduit à des intermèdes, même quand il est transmis par le brazilien Wilfrid Brambell.

Au final, c'est une comédie plaisante et une création qui ne décevra pas les fans, qu'ils soient des inconditionnels ou des sympathisants, mais il ne faudra pas y chercher la valeur documentaire ou musicale ; des douze chansons qu'on y trouve, trois sont prégnantes, et basta. Mention spéciale pour le jeu d'acteurs toutefois.

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L'humour est bas de gamme, souvent ringard. C'est certainement dû à l'époque et aux nombreuses questions idiotes que posaient les fans aux Beatles. Les Beatles formaient un excellent groupe de musique. Mais pour le jeu d'acteurs, il faut repasser le casting ! Le film n'a qu'un but commercial et rend les 4 jeunes hommes sympathiques tout en présentant quelques uns de leurs nombreux tubes. Il n'est bon que pour les grands fans de Beatles qui voient leurs héros dans leur vie de tous les jours entre deux concerts. Ce n'est pas terrible, autrement. Une succession de clips avec une fausse histoire et de mauvais personnages secondaires.

Tout à la fois témoignage saisissant de la Beatlemania, monument de non-sense anglais et appropriation anglo-saxonne de quelques préceptes de la Nouvelle Vague, "A Hard Day's Night" est un classique intrépide et insolent dont on peine à croire qu'il a déjà cinquante ans !

C'est vrai que le scénario tient sur un ticket de métro, mais si on aime les Beatles, on adhère directement à ce film. Cette comédie est vraiment bien filmé et les gags sont originaux. C'est une excellente idée d'attribuer un caractère à chaque Beatles (John Lennon en Beatle agaçant mais drôle en particulier). Un film culte à voir au moins une fois.

A Hard Day's Night vous propose de partager pour 1h30, la vie des Beatles, en pleine Beatlesmania, à travers une comédie ni réellement bonne ni réellement mauvaise.
Que ce soit clair, on regarde pas ce film pour son scénario, pour le jeu des acteurs ou pour une qualité cinématographique particulière. Seulement pour le plaisir de voir les gars évoluer au quotidien.
Le film est rythmé de ressorts comiques à travers le personnage du grand-père de Paul McCartney.
Ni bon ni mauvais, le film est plutôt plaisant mais n'aurait clairement aucun intérêt si les Beatles n'avaient pas été là, on regarde ce film pour la bande-son, en quelque sorte...

Le film est donc une sorte de road-movie puisque nos quatre chanteurs de pop passent d'un endroit à un autre (train, rue, hôtel, studio d'enregistrement ou salle de concert), soit pour se relaxer ou/et faire les pitres, soit pour enregistrer leurs morceaux de musique.

Le film enchaîne les gags et les situations burlesques, ce qui en fait une véritable comédie. On n'est pas si loin du muet (pas dans l'époque mais dans la forme, même si le son et la musique sont quasiment omniprésents). Nos quatre Beatles, très à l'aise pour jouer la comédie, sont aussi impertinents que dragueurs (ou dragués d'ailleurs).

Pour conclure, je dirais que Les Beatles ont non seulement marqué la musique pop contemporaine mais ils ont su aussi s'insérer habilement dans le paysage cinématographique, de manière légère et ludique.

Digne d'un documentaire sur un boys band diffusé sur M6 dans les années 90 ou une série AB Productions, ce navet arrive à peine à briller par ses chansons dont peu sont devenues cultes. Même l'humour (grâce au personnage du grand-père) ne peut sauver cette pathétique rigolade.

Le film nous plonge dans le quotidien des Beatles alors qu’ils sont au sommet de leur gloire. Nous les suivons pendant 36 heures dans leurs efforts pour assurer leurs engagements télévisuels alors que le grand-père de Paul McCartney s’avère un obstacle au bon déroulement de leur périple. Les premières minutes reflètent parfaitement la légèreté et l’intelligence du film puisqu’il s’agit d’une course poursuite entre une horde hurlante de jeunes filles hystériques et trois des musiciens (John Lennon, George Harrison et Ringo Starr) qui s’efforcent d’y échapper par tous les moyens afin de monter dans leur train. Les dialogues sont d’une drôlerie constante, traversés par le flegme britannique des protagonistes tout autant que par leur goût prononcé pour la facétie.

Quelques passages marrants, de bonnes scènes musicales mais pour le reste.... c'est le vide absolu. Au film de cette intrigue bien mince, on regarde les Beatles enchaîner des bêtises gentillettes (histoire de pas trop écorner leur image de bons garçons) mais inintéressantes pour la plupart. A par surfer sur le succés du groupe, je ne vois pas trop l'intérêt de ce long métrage.

Le premier film sur Les Beatles c’est 1964 que Richard Lester le tourne ! Une réalisation peut être parfois maladroite mais dans ce film qu’importe la fougue de John, Paul, George et Ringo « les quatre garçons dans le vent » rattrape tout, sa caméra qui passe partout, qui joue avec les effets de style et qui surtout alterne des plans magnifiques puis s’en suit une camera qui bouge, une caméra qui vit, qui vit dans ce film, justement avec Les Beatles. On découvre leurs quotidiens au cœur des années soixante à l’apogée de leurs succès. On découvre sincèrement bien sur avec humour : leurs quotidiens, leurs conneries, leurs vies en communauté, leurs ordres qui leurs sont donné et leurs obligations en tant qu’artistes et stars. Le gros de l’histoire est humoristique mais on peut aussi y voir un réel appel à l’aide. Leurs privations de libertés et leurs responsabilités sont difficiles à avaler, le fait également de ne plus pouvoir sortir nulle part. On en vient à se poser des questions sur le statut de star, peut-on réellement être heureux ? Je pense notamment à la très belle scène ou Ringo Starr part déguisé (re) faire les 400 coups comme au temps de sa vraie jeunesse ou il avait encore une liberté, sa liberté. Un beau portrait de la folie des années 60 mais également une brillante déclaration d’amour à la joie de vivre, la musique et bien sur à leurs fans. Une intelligente prise de conscience sur la célébrité est également la, sans être moralisatrice elle fait réfléchir et comprendre. A Hard Day’s Night : simplement du pain béni, et du bon, pour les fans des quatre garçons dans le vent. Martin, Le Frisson de la Pellicule.

Une véritable merveille! Authentique témoignage de la Beatlemania, on est transporté dès les premières secondes dans les Swinging Sixties!
Ce film a tout pour lui: les Beatles (les vrais!), une BO qui donne la pêche et qui n'a pas pris une ride, un humour très british et des répliques cultes à la pelle! Que demander de plus?!
La trame, bien que peu étoffée, tient la route en comparaison avec certaines navets de nos jours.
Bref, un film à voir absolument si vous êtes fans des Beatles ou nostalgique des années 60, et si vous n'êtes pas fan, à regarder quand même, au chaud, un après midi pluvieux!

J'ai adoré ce film mais surement parce que je suis un fan des Beatles avant tout ! On a ici un film avec des Beatles drôles et délirants à souhait via leurs jeux d'acteurs, tout cela accompagné des musiques immortelles de l'album culte.
Rien que le fait de voir les Bealtes dans un film c'est drôle.. ils sont si... dingues !
On et plongés dans la joie de l'éclate des années 60, on sent qu'ils étaient heureux de faire ce film, qu'ils étaient heureux tout courts !
Pourquoi je n'ai pas vécu cette période ? Pourquoi ?

A Hard Day's Night est donc incontournable pour tous fans des Beatles, mais pour les autres, seul le coté humour pourra les attirer.

Les Beatles ont beaucoup moins apporté au cinéma qu'à la musique et malgré la présence de Richard Lester derrière la caméra, "4 garçons dans le vent" est un film vraiment poussif. Drôle par moment, il fatigue très vite, un scénario, aussi faiblard soit-il, c'est tout ce qu'on demande. Et bien ,ici, c'est trop demandé, pas l'ombre d'un scénario et des séquences sans queue ni tête de nos 4 sympathiques lascars. Pour fans assidus seulement!