Avis : The Mortal Instruments : La Cité des ténèbres - Page 10

Pas bon, pas nul, mais quand même pas terrible... Les relations entre vampires, loups garous, démons, chasseurs d'ombres ne sont pas bien définies et on s'y perd un peu. De plus, certains acteurs jouent très mal leur rôle. Bref, à voir seulement si on est fan du livre...

Au risque d'en surprendre plus d'un. J'ai trouvé "The Mortal instrument : La Cité des ténèbres" franchement sympathique pour ne par dire bien. Moi qui avais peur de voir encore un film pour ados du genre Twilight, Percy Jackson etc.) je dois dire que j'ai été surpris par la maturité de celui-ci. Dès le début entre le chien qui se transforme en monstre ou le passage à tabac d'un des protagonistes. On sent que le film va avoir un ton bien plus mature qu'a l'accoutumé. Le scénario sans pour autant être d'une originalité folle arrive à nous captiver du début à la fin. Même si je trouve que 2h10 c'est un poil long surtout pour le peu que l'on raconte. En 1h45 on aurait pu largement faire aussi bien et cela nous aurais évité quelques longueurs ici ou là. Les acteurs sont justes et je trouve même plutôt Sexy Lily Collins ce qui est un plus non négligeable. Surprenant aussi (et j'ai mis un temps fou à la reconnaitre) c'est de voir Lena Headey dans ce film ( vous savez c'est Cersei Lannister dans Game of Throne). Les scènes d'action sont bien rythmé et certains combats très bien chorégraphiés. La petite touche d'humour dissimulé ici ou là donne un certain charme à l'ensemble et permet de donner un petit air frai fort appréciable. Les effets visuels sont classes (surtout les démons) et certains décors sont impressionnants (même si sur certains on a l'impression de voir un recyclage d'Harry Porter (comme la chambre ou l'ont mais les malades). Vous l'aurez compris et même si cela peu en choqué certains. J'ai vraiment apprécié ce film. J'espère sincèrement qu'il y aura une suite car ce serait fort dommage que pour une fois qu'un film du genre arrive à me plaire on n'est pas le droit à une suite alors que d'autre (pour ne pas la cité) ou je me suis presque endormis devant et eut droit 5 épisodes.

Film pour ados et histoire stupide, deja vu, heureusement quelques traits d'humour sauve le film du desastre.

The Mortal Instrument est un film qui m’a été un peu obligé de voir pour faire plaisir à ma copine. Je n’ai pas lu le livre donc je jugerai que le film. Ceci dit, comme je le craignais, c’est un film purement pour adolescentes, se montrant ennuyeux et maladroit.

L’histoire aurait pu sortir un peu du lot en matière de Teen Movie Americain mais le scénario se concentre que sur cette coupe mortelle. Sérieusement, il n’y a pas d’autres intrigues. Le film joue tellement la facilité en matière scénaristique qu’il pourrait passer, avec un peu plus dans la médiocrité, sur Gulli.
En y repensant bien, il n’y a pas grand-chose qui aura retenu mon attention : les scènes d’actions ne sont pas vraiment extraordinaires et sur 2h de film, elles ne sont pas nombreuses ; et les dialogues sont enfantins.
Seule la jolie Clary attire l’œil de cette production parce qu’outre le fait qu’elle soit jolie, son personnage est plaisant et assez motivant.

Sincèrement, il faut vraiment que les Américains changent un peu la sauce de leurs Teen Movie parce que leurs productions manquent d’inspiration. The Mortal Instruments sortait un peu des loups garous et des vampires mais le film est ennuyeux et joue trop la simplicité.

Il est beau , elle est mignonne et l'on s'ennuie ferme en attendant la suite ... toujours vampires et loups garous , rien de neuf sous la lune .

Bon ben nous revoilà partis pour une trilogie (au moins) à la twilight: vampires, loups-garous tout y est ; les chasseurs d'ombres en plus.

J'ai vraiment été déçu que la saga se soit arrêtée après le premier film.Avec un peu d'efforts ils pouvaient approcher le niveau de Harry Potter.

Par chance, cette nouvelle saga fantastique a été un échec au Box Office Américain et le second opus est suspendu. Heureusement, car cette adaptation des six romans de Cassandra Clare n’a rien d’original. Aux apparences sombres et violentes, The Mortal Instruments est en fait très juvénile. Le tout est très prévisible et ce même si quelques actions sont attrayantes. Les acteurs ont été choisis pour leur belle gueule c’est certain, car ce n’est pas leur talent qui prime. Si un bouche à oreille est à faire, c’est de ne pas perdre son temps et son argent pour ce navet.
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Les studios hollywoodiens s’épuisent à exploiter le filon des teen movies en sortant d’énièmes variations à la "Twilight-like" qui, pour la plupart, s’avèrent toutes des flops avérés au box-office. "The Mortal Instruments" risque comme tous ses comparses ("Sublimes Créatures", "Les Âmes vagabondes"...) de finir au placard. En effet, avec "seulement" 30 millions de dollars empochés au box-office américain (pour un budget de 60 millions), les producteurs s’interrogent actuellement à notre grand dam quant à la possibilité de sortir la suite de la saga. Pourtant, beaucoup d’éléments présageaient cette déroute. Principalement la présence d’Harald Zwart aux commandes, qui faisait frémir de peur dès l’annonce du projet. En effet la mise en scène est dénuée de toute âme et de tout style. En usant d’une composition trop sobre, le film se trouve non seulement aseptisé et fade, mais vidé du peu de substance que les fans estimaient trouver dans le roman de gare de Cassandra Clare. Il manque un auteur aux commandes ! Sinon le scénario est extrêmement cliché : spoiler: passant la soirée dans une boîte de nuit à la mode, Clary, 15 ans, ne s'attendait certainement pas à être témoin d'un meurtre, et encore moins à ce que le corps de la victime disparaisse instantanément… Ainsi commence sa plongée dans un monde parallèle que les humains ordinaires ne peuvent pas voir, et dont ils ne soupçonnent pas l'existence : un monde où les démons sont une menace réelle. Les seuls combattants susceptibles de leur tenir tête, les Chasseurs d'Ombres, sont la dernière barrière préservant l'humanité du fléau. Le mystérieux Jace, qui guidera Clary d'une révélation à l'autre, en fait partie
. L’univers fantastique de "The Mortal Instruments" qui nous introduit à la vie commune des hommes, des démons et des Chasseurs d’Ombres, s’auto-détruit en devenant une caricature de lui-même. La trame scénaristique suinte d’un académisme hollywoodien gras, entraînant fatalement tous les déboires d’un scénario standardisé : une intrigue plate, des personnages archétypaux, l’habituel triangle amoureux, des twists attendus et une trame cousue non plus de fil blanc mais de câble d’amarrage. Toutes les créatures présentées dans le film, qu’elles soient de maléfiques êtres ou simplement humaines, ne sont que des caricatures d’elles-mêmes. On notera l’absence totale de lignes de dialogue pour les vampires, leurs costumes étant assez éloquents : les dents longues et leurs mines blafardes effectuant tout le travail d’acteur à la place des comédiens. Les loups-garous, Chasseurs d’Ombres et autres démons se passeront quant à eux de développements psychologiques, ce film se bornant à une vision manichéenne crasse et assumée : les gentils contre les méchants. De plus, le parti pris de ce film en tant que teen movie n’est pas mené à terme, multipliant les scènes d’action anesthésiées bien que létales. On pourra de la même manière souligner le fait qu’ spoiler: un couteau s’enfonçant dans une boîte crânienne ne cause aucune souffrance, ni aucune cicatrice à un loup-garou digne de ce nom
. La violence est aussi aseptisée que l’écrin qui l’accueille. Le casting a lui aussi été passé au crible des impératifs de production. Lily Collins (Clary Fray), une des figures montantes actuelles, est enfermée dans le nouvel archétype des héroïnes de teen movie (Alice Englert dans "Sublimes créatures" ou encore Saoirse Ronan dans "Les Âmes vagabondes") et peine à insuffler de la consistance à son personnage. A ses côtés, Jamie Campbell Bower (Jace Wayland) devient quant à lui l’aimant à collégiennes et il fait fi de tous les potentiels présents comme Lena Headey, Kevin Durand ou encore Robert Sheehan, tous métamorphosés en coquilles vides et autres clichés poisseux. Rien ne parvient donc à sauver "The Mortal Instruments" du néant qui le compose. Un très mauvais film d'heroic fantasy ainsi qu'une très mauvaise adaptation de roman jeunesse fantastique

Adaptant une saga littéraire, "The Mortal Instruments : La Cité des ténèbres" vise à conquérir un public adolescent mais aussi plus large pour être un succès. L'histoire est donc intéressante avec tout de même beaucoup de déjà vu. De plus, la réalisation est juste et plutôt réussi. Pour ce qui est des acteurs, ils sont assez convainquants dans l'ensemble mais sans plus. Ainsi, le film captive plus ou moins le spectateur mais il ne reste qu'un bon divertissement.

Une énième adaptation de roman à succès, calibrée pour satisfaire un public adolescent. Bien sûr les effets spéciaux sont à la hauteur et l'image suffisamment développée pour nous divertir, mais le problème de ce film réside dans un manque considérable de détails d'intrigue, de rebondissements efficaces, et d'attachement aux personnages, que l'on oublie une fois qu'on a passé la porte de la salle de cinéma.

Franchement c'est pas mal. Le récit est correct, même si au contraire, cela ne ma pas du tout emballé. Car, on peut dire que l'histoire n'est pas tout le temps convaincante. Il y a beaucoup d'incohérences qui sont vite oubliés par la beauté visuelle des effets-spéciaux et des scènes de combats. Les acteurs sont bons et la mise en scène tiens le film en haleine jusqu'à la fin. Cette Odyssée fantastique, et un récit d'aventure peu emballant, mais qui s'est faire preuve de bon sens et d’honnêteté. Distrayant et rien de plus.

Un très bon petit film fantastique. The mortal instruments n'a rien d'incroyable, c'est un film plutôt classique mais j'ai passé un très bon moment. Le rythme est très bien géré. Les effets spéciaux sont pas extraordinaire mais ils sont pas mauvais non plus. L'histoire est classique mais agréable a suivre et les acteurs ce débrouillent bien. Un très bon divertissement.

Film très décevant par rapport au livre ...
En revanche le film reste bien réalisé

Impossible de ne pas penser à Twilight, lorsque l’on lit le pitch ou voit les images. Et bien même s’il existe un semblant de triangle amoureux, ce long métrage du réalisateur de la version de Karate Kid de 2010, prend plus de risques notamment dans les actions et massacres de/par son bestiaire. Cette adaptation du roman éponyme, en 6 tomes, de Cassandra Clare n’est en même temps pas une pure réussite et cela vient en partie de son casting composé majoritairement de jeunes acteurs qui peinent un peu à convaincre. Et c’est ce qui les rend moins attachants…

suite : voir lien