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    Easy Rider
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    3,8
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    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 185 abonnés 4 003 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 mai 2019
    Sorti en 1969, « Easy Rider » est un film culte, véritable emblème de la génération hippie et qui montre la diversité culturelle des Etats-Unis. Wyatt et Billy sont deux motards qui traversent le pays de Los Angeles à La Nouvelle-Orléans avec l’argent reçu d’une vente de drogue. D’Est en Ouest, Denis Hopper et Peter Fonda nous font découvrir des paysages désertiques sur leur chopper. Les musiques des Byrds accentuent le sentiment de liberté. Bien que l’histoire ne soit pas développée et qu’on peut y trouver quelques longueurs, « Easy Rider » est un chef d’œuvre du road movie et un symbole du Nouvel Hollywood.
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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 3 mai 2019
    Genialissime !! Vieux c'est clair, mais re-visionné plus de 20 ans après il me fait toujours vibrer. Et puis un film dont le trip commence par jeter sa montre ne peut pas être mauvais ;-D
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    590 abonnés 2 769 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 décembre 2018
    Avec Easy Rider nous assistons à la mise à mort d’un mythe américain, le mythe de la liberté qui change les armes à feu en paroles virulentes, la sédentarité en moto arpentant la somptuosité naturelle du vide environnant, la vie en voyage sans fin. Seules griseries à l’œuvre pour s’échapper un temps de l’inertie sociétale, les substances en tout genre, le vrombissement du moteur, la camaraderie ; tout ce qui, en somme, est taxé de déviant, de dépravé, de dangereux par une société obsédée par l’idée de liberté mais incapable de l’adopter. Par un long et raisonné dérèglement de tous les sens on parvient à la trouver, à l’éprouver ; cela ne va pas sans son lot de conséquences, la première étant la mort sociale, puis la mort tout court. Œuvre de révolte tournée avec très peu de moyens, Easy Rider se dresse tel un monument instable et insaisissable élevé à la gloire de la liberté vécue d’une part – Billy et son hédonisme prononcé –, réfléchie d’autre part – Wyatt. Corrosif sans jamais agresser, lucide dans les excès de ses protagonistes, le film donne envie de prendre la route pour se raccorder, ne serait-ce qu’un temps, au hasard d’une rencontre, au destin qu’écrivent les pneus sur le bitume, à l’humain dans ce qu’il a de plus sauvage et certainement de plus sincère.
    Charlotte28
    Charlotte28

    94 abonnés 1 755 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 14 décembre 2018
    Une bande-originale explosive et des paysages sauvages magnifiés ne sauraient faire le poids face à une mise en scène psychédélique maladroite, des dialogues verbeux pseudo-philosophiques et une absence totale d'intrigue sinon le cheminement errant d'hommes désœuvrés qui ne pensent qu'à des ivresses désenchantantes. Incarner une époque ou l'encenser ne produisent définitivement pas nécessairement un film de qualité...
    Shawn777
    Shawn777

    474 abonnés 3 341 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 octobre 2018
    Ce premier film réalisé par Dennis Hopper et sorti en 1969, culte pour certains et oublié pour d'autres, est assez moyen, enfin de mon point de vue bien-sûr. Sachant qu'il a été répertorié au National Film Registry, j'attendais beaucoup plus de ce film. C'est tout simplement l'histoire de deux motards qui parcourent l'Amérique en se racontant des discours pseudo-philosophiques. C'est donc déjà assez spécial mais je pense surtout que, n'ayant pas du tout connu les années 60 et 70, je ne suis pas forcément réceptif à ce genre de film qui a marqué toute une génération et je peux comprendre pourquoi. On est ici à fond dans le mouvement hippie, le film prône la liberté et la drogue (d'ailleurs étonnant pour un réalisateur conservateur) et cela fonctionne très bien pour les années 70. Mais seulement voilà, si on n'est pas spécialement fan de cette décennie ou si elle ne nous revoie rien pour nous, spectateurs, le film n'a aucune signification et il peut alors être plutôt long. Je n'ai rien contre les films dans lesquels l'action n'est pas omniprésente ou même les retournements de situation etc. c'est même très plaisant de se retrouver devant quelque chose qui n'appartient pas au blockbuster classique, chose que nous voyons aujourd'hui sans cesse sur nos écrans mais malgré tout, ce film peut être très long pour certains et j'en fais malheureusement parti. Les dialogues, sans être mauvais, ne sont pas non plus géniaux, la plupart sont le simple résultat d'une soirée dans laquelle les personnages se droguent et on a donc le droit à ces fameux discours pseudo-philosophiques qui correspondent plus à quelque chose de psychédélique. Je veux dire que si on ne rentre pas dans le délire, on n'adhère pas au film, notamment avec une scène qui est parlante, celle du cimetière qui est très particulière. Néanmoins, j'aime beaucoup la réalisation qui est simple mais qui nous offre par moments de très beaux plans et de très beaux paysages américains. Le montage est par contre particulier, il faut aussi s'y habituer. Du côté des acteurs, nous avons principalement Dennis Hopper, Peter Fonda et Jack Nicholson qui sont très bons. "Easy Rider" est donc un film particulier auquel je n'adhère pas spécialement.
    Enzo Gagliardi-Kubrick-Scorsese-Flora Nolan
    Enzo Gagliardi-Kubrick-Scorsese-Flora Nolan

    5 abonnés 59 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 octobre 2018
    Easy rider est l’exemple même du film cultissime qui marqua une génération et influença nombres de films par la suite mais qui malgré tout n’est artistiquement pas à la hauteur de son statut ! En effet le film s’avère tout à fait inégal, avec certaines scènes savoureuses (celles avec le jeune Nicholson) et d’autres sans grand intérêt. Pourtant le film possède une qualité indéniable : celle de témoigner d’une époque ! En effet, ce film est celui de la contre culture américaine; les hippies, les cheveux longs. Ceux ci, en quête de liberté, chevauchant leurs motos à travers de longues scènes musicales, sur les routes sillonnants les magnifiques paysages américains et sur de belles musiques. Alors si le film fait passer un message important, sur les persécutions subits par ces hippies et donne un bol d’air frais en faisant partie du nouvel Hollywood, il n’en reste pas moins que le film n’ai pas entièrement maîtrisé et souffre de quelques longueurs.
    Un film à voir absolument pour son importance dans le cinéma américain et sur l’évolution des mentalités
    Nicolas S.
    Nicolas S.

    79 abonnés 1 523 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 septembre 2018
    Ode à la liberté, "Easy Rider" a suffisamment marqué son époque, et plus largement l'inconscience collective, pour avoir l'honneur d'être sélectionné par le National Film Registry pour figurer sur la très prestigieuse liste des films conservés à la Bibliothèque du Congrès aux Etats-Unis.

    Il faut dire que l'influence de ce film a été grand sur les modes de pensée et de vie de l'époque mais aussi sur la mode : le blouson noir avec le drapeau américain dans le dos de Wyatt, alias Captain America, ou la veste à franges de Billy ont connu un certain succès durant ces années là.

    La culture américaine a donc été durablement marquée par le film de Dennis Hopper. Ce dernier est pleinement investi dans son film : il est au scénario, à la réalisation et endosse même l'un des deux rôles principaux.
    L'autre acteur principal, Peter Fonda, n'est pas moins investi dans le projet puisqu'il endosse aussi la casquette de scénariste et de producteur.
    C'est donc un film que les acteurs principaux portent à bout de bras, dans lequel ils ont investi beaucoup de leur temps, de leur talent et de leur argent et qui véhicule un message de liberté auquel ils semblent croire profondément.

    Et cette démarche sincère se ressent à l'écran. Ils arrivent mieux que quiconque à retranscrire ce sentiment de liberté au travers des longs plans de vastes paysages sublimes traversés par des routes. Ces plans sont accompagnés de musiques qui achèvent d'imprimer le message : freedom is everywhere. Rien que pour ces moments où le réalisateur parvient à capter des purs instants de liberté, le film vaut le coup.

    L'immersion sera d'autant plus totale que l'équipe a recruté de bons acteurs. Mais le meilleur reste Jack Nicholson, alors âgé de 32 ans, qui incarne un jeune avocat accro à la boisson et en quête de liberté. Son personnage est génial, ses répliques sont pleines de philosophie (mon dieu, cette discussion autour d'un feu de camp la nuit sur la liberté et la peur du péquin moyen d'être libre) et son interprétation par Nicholson est talentueuse.

    On aura donc du plaisir à traverser le Sud des Etats-Unis, de Los Angeles jusqu'à la Nouvelle-Orléans, avec ces bikers. On aura aussi du plaisir à voir leur rencontre avec d'autres personnes dont une communauté hippie, typique de ces années.

    Seul bémol, et qui m'a pas mal dérangé, c'est le montage et, plus particulièrement, la façon de passer d'une scène à une autre. L'équipe a choisi de faire un montage un peu épileptique pour passer à une autre scène (et elle l'a fait à 3-4 reprises ça) : on aperçoit la prochaine scène l'instant d'une seconde, on revient au plan où on était l'instant d'une autre seconde, on revoit le plan prochain une seconde, puis on revient au plan une seconde, et on passe enfin au plan suivant.
    Outre que ce ne soit pas très esthétique, c'est agaçant et cela nous sort de l'immersion dans laquelle nous étions. C'est le seul défaut que je lui trouve mais il est assez important. C'est dommage car je n'aurai pas hésité à lui mettre la note maximale autrement.
    gregbox51
    gregbox51

    29 abonnés 1 033 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 août 2018
    Easy Rider ou les pérégrinations de 2 acteurs amateurs (P. Fonda est vraiment mauvais) sillonnant l'Amérique profonde sur 2 motos inroulables (P. Fonda ne pouvait même plus plier les bras dixit) et passant leur temps à tirer sur des joints. Il paraît que ce film à changé la vie de certains spectateurs, il fallait pas grande chose à l'époque...
    Kev T
    Kev T

    38 abonnés 658 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 août 2018
    Ce film road trip nous propose un voyage dans l'ouest américain avec deux compagnons de route : des drogués hippies qui découvrent plus que du pays. Leurs différentes rencontre les font grandir ou plutôt évolue pour le meilleure comme pour le pire. C'est un film avec quelques similitudes avec "Las Vegas parano", seulement ici, la rencontre qu'il fond avec eux même est avant tout dû aux personnes et lieux qu'il rencontre. Il y'a quelques longueurs qui en fond une oeuvre seulement passable. Très bonne interprétation de Peter Fonda.
    Rodrigue B
    Rodrigue B

    19 abonnés 220 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 août 2018
    Ce film est la raison pour laquelle je rêve de faire la traversée des Etats-Unis (pas à moto mais en voiture, c'est déjà pas mal...). Dès le début, on a envie de les suivre, le générique sur « Born to be wild » vous met un punch d'enfer. Réussir son générique de départ ou sa scène d'introduction est d'une importance capitale pour le spectateur. Là, il est servi ! Il sait directement à quoi s'attendre : il sait qu'il aura un choix musical généreux et des décors grandioses.
    Le film se présente donc comme un Road Movie « classique ». Seule différence : C'est que c'est l'un des premiers, en tout cas celui qui inspirera tous les autres.
    C'est aussi le symbole d'une époque, le film arrive fin des années 60 et transpire le charme des sixties. On y retrouve toutes les aspirations de la décennie : look, drogue, alcool, sexe, goût pour la liberté, ambitions démesurées, lutte de la jeunesse contre l'autorité (mai 68 n'est pas loin), etc...
    Dennis Hopper, alors réalisateur débutant, remporte plusieurs prix totalement mérités. En effet, son oeuvre traverse le temps (presque un demi-siècle) et elle est toujours aussi efficace, elle vous bouscule, bouleverse vos idéaux.
    Le film trouve son apogée à l'apparition de Jack Nicholson en avocat désorienté, personnage que nos deux héros rencontrent en prison.
    Nicholson est éblouissant. Il s'agit incontestablement de son premier Grand rôle ! Je garde un souvenir impérissable des deux scènes au coin du feu où Nicholson développe sa philosophie à ses amis. Ces débats « monologues » s'adressent à nous et ils visent juste.
    Le final est tragique et révoltant comme il devait l'être. Un grand moment de cinéma à (re)découvrir !
    Black Hole
    Black Hole

    2 abonnés 55 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 juin 2018
    Easy rider dégage un parfum d'authenticité assez rare dans le cinéma. Ici, il n'y a pas de cascades ou de violence inutiles. La liberté incarnée par la route et leurs bécanes, leur offre autant d'opportunités que de dangers. Le film offre d'ailleurs sur ce thème une réflexion intéressante, sans même parler des paysages, qu'on ne se lasse pas de contempler au grés de leur périple, ou de la bande son légendaire.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 30 avril 2018
    Un film mythique dont la double lecture qu'on peut en faire me fascine toujours, à tel point que je n'ai jamais réussi à savoir si ça tenait du génie de Dennis Hopper ou du destin "tragi-comique" (on sort les grands mots !) du film et de la vie. Et en effet, pour avoir vu ce film des dizaines de fois à des niveaux de maturité différents (de mes 14 à mes actuels 29 ans) je trouve que le rapport qu'on peut entretenir à ce film est comparable à celui qu'on peut entretenir à la vie. Si on l'aborde comme un divertissement on est subjugué par l'énergie des musiques, la beauté des paysages, le mythe Peace and Love, vivre d'amour et d'eau fraîche etc... et si on s'attarde à ce qui se dit et se passe vraiment, on obtient une réflexion sur les mentalités humaines beaucoup plus profonde et empreinte de désillusion, mais on peut donc y voir un moyen de relativiser la valeur des symboles et des "communautés" et en sortir grandit, libéré de certaines croyances idéalistes qui peuvent parfois nous égarer en fait de ce qui se passe à portée de main. Bref, je n'en dit pas plus, que chacun se fasse son idée. Dans les deux cas, on a un film de grande qualité, avec des acteurs superbes et comme déjà dit, des images et musiques grandioses
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    935 abonnés 4 855 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 26 avril 2018
    Film iconique de l’Amérique profonde. La découverte de la liberté certes mais d’un ennui mortel. Préférez mettre directement la BO sur la platine.... un catalogue de paysages pour préparer ses vacances.
    Audrey L
    Audrey L

    560 abonnés 2 426 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 avril 2018
    Un film qui vous donne une envie folle d'enfourcher n'importe quelle bécane pour partir tracer la route, cheveux au vent, moteur pétaradant, bons copains avec soi et surtout la musique endiablée qui va bien ! L'ouverture d'Easy Rider restera pour ma part l'une des meilleures : Born to be Wild, des paysages à couper le souffle, cette envie d'escapade, deux acteurs calibrés au poil pour le film... Jouissif. L'aventure en elle-même nous souligne tous les décors, idéologies et surtout défauts de l'Amérique qui se veut parfaite, mais cache au fin fond de sa campagne quelques spécimens bien demeurés, comme vous pourrez le voir... La fin à ce propos est d'une tristesse, on ne le voyait pas venir... L'apparition de Jack Nicholson (très jeune !) en soiffard loufoque nous réjouit à de nombreux passages, il n'y a qu'à voir ses mimiques hilarantes. Peut-être le passage avec les hippies est un peu trop long, je m'y suis un peu dispersée mentalement... Mais même avec ces petites longueurs, on ne regrette pas ce court (1h30 à peine !) film sur l'aventure pétaradante de deux trafiquants de drogue au sein d'une Amérique pas aussi parfaite qu'elle voudrait le faire croire... A voir surtout pour les paysages, le panel d'idéologies balayé, les acteurs très à l'aise, et surtout pour cette BO décoiffante !
    Simplicissimus
    Simplicissimus

    3 abonnés 166 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 novembre 2017
    Film culte et témoin d'une époque de la fin des années 60,marquée par la contre culture et le rêve hippie...
    J'ai vu le film il y a très longtemps,à une époque où il existait encore des cinémas de quartier à Paris ,attiré par sa réputation de film-mythe.
    En dehors de la bande originale,le moins que je puisse écrire est que je n'en ai pas gardé un souvenir impérissable.
    J'ai eu l'impression que les co-metteurs en scène s'étaient légèrement payé la tête du spectateur : Les deux acteurs s'ébattent en toute liberté entre deux joints et une expérience psychédélique.
    Le film n'offre pas vraiment de scénario, plutôt un patchwork de collages.
    Easy Rider reste,toutefois,une ode à la liberté et au grand air,mi-fiction,mi-documentaire,avec des séquences qui semblent avoir été tournées sous acide...
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