Avis : Avatar : la voie de l'eau - Page 2

Magnifique film qui nous plonge dans de splendides vues malgré la violence qui est aussi présente, c'est tellement beau que l'on sort comme anesthésié par ce rêve d'un autre monde ....

Pour moi le meilleur film qui mélange magie beauté suspense tristesse joie un pur chef d'œuvre incroyable

Tout ça pour ça.

Au cinéma je déteste m’ennuyer et qu’on me prenne pour un con. Avatar the way of water fait les 2.

Déjà le titre, Avatar. Aucun avatar dans le film.

J’ai pas beaucoup aimé le premier mais il avait le mérite de faire découvrir l’univers. Je repense à la vidéo du producteur qui dit : « You think you have seen Pandora. You have seen nothing of Pandora. » Ben si, on avait déjà vu Pandora. Avatar 2 n’apporte strictement rien.

Le scénario est en carton avec la même structure, les mêmes personnages, les mêmes thématiques.

La 3D relief n’est juste pas mise en scène. Un film pareil ne peut pas être monté comme n’importe quel film. C’est sur découpé et indigeste. Et donc on voit strictement rien. Le comble.

On a 10 plans jolis à tout casser sur les 3 heures et quelques. Le reste est frontal, sans profondeur, sans composition.

Les sous-titres sont très mal intégrés à la 3D, souvent flous ou illisibles.

James Cameron qui explique qu’il a du attendre 13 ans pour le faire, tout ça pour ça. La même histoire, les mêmes personnages, la même mise en scène, les mêmes décors, et les mêmes technologies utilisées. Ça ressemble à une mauvaise blague.

Exactement comme le premier, je n’aime pas l’univers, le scénario, les personnages, les décors, la photographie, l’esthétique militaire, les na´vis. D’ailleurs qu’est-ce que ça raconte, qu’est-ce que ça apporte qu’ils soient grands, bleus, avec une queue plutôt que des humains ?

Il faudra pour adorer cet opéra virtuel du Motion Capture créé avec de vrais acteurs, apprécier retrouver à nouveau les héros de Pandora imaginés il y a 13 ans par ce sorcier du Blockbuster, du jamais vu et des records.... James Cameron... Nul doute que son film bat déjà des records dans les effets spéciaux extraordinaires avec les derniers logiciels CJI ou VFX derniers cris misent en oeuvre, qu'il va battre à nouveau des records aux box offices mondiaux et que rien ne va arrêter ce mastodonte cinématographique en 3D (James Cameron redoute qu'en même la fin de l'époque des succès en salle, malheureusement causées par les plates formes VOD et de streaming qui sont redoutables). C'est sublime si vous supporté cette univers à la fois proche (familial) et très lointain (extraterrestre) sinon vous allez souffrir un long moment face à l'overdose d'images virtuelles. Pareil pour l'histoire très émouvante si vous êtes sensible à tout ce qui a fait le succès des oeuvres de JC (de Terminator, Abysse et Titanic) avec les émotions qu'elles nous procurent...de l'émerveillement et des larmes sont alors possibles, alors cette mégalomanie qui est unique, est pardonnable et mérite toute les étoiles du succès Personnellement à ce jour je n'ai jamais vu quelque chose d'aussi beau en salle, et ne pas le voir au cinéma en 3D n'a absolument aucun intérêt (pour 3 H de voyage il vous faudra opter pour une salle 3D digne de ce nom). Au deuxième visionnage encore mieux, pour moi le plus grand spectacle dépaysant au cinéma de l'année.

Tout le monde le sait : Cameron est un immense cinéaste du spectacle, parmi les plus vibrants, inventifs et sauvages. Il faut être pisse-froid pour ne pas être intellectuellement et musculairement stimulé à la vue du génial « True Lies » dont la cocasserie n’a d’égale que son vertigineux jeu de rôles et de genres. Cameron, c’est le cinéma total : la force du mélodrame (« Titanic », grand film romanesque sur le déclassement), du politique (« Aliens » et sa fureur féminine), de l’écologie contre une humanité en déroute (l’extraordinaire « Abyss ») ou encore le fantasme de l’ultime action movie (« Terminator 2 »).

Au-delà de sa manière d’embrasser des mondes et des affects à travers une écriture claire comme de l’eau de roche, et au service d’une mise en scène sans cesse inspirée, Cameron a su être plus de trente ans durant au sommet d’Hollywood, avec un génie de l’anticipation à la fois humain et technologique. Il suffit de revoir tous ses films aujourd’hui pour constater à quel point l’inventivité, la rythmique, la clarté demeurent aussi cristallines qu’à ses premiers jours - et certaines séquences de demeurer parmi les plus belles réalisations du cinéma américain contemporain. Mettre du feu dans l’oeil, faire palpiter les tempes aux portes de l’expérience moderne du temps de l’action : programme cinégénique absolu, renversant, dont seul John Woo a pu être le rival crédible.

Après quelques expérimentations aquatiques plus ou moins heureuses au début des années 2000, notamment sous la forme du documentaire, Cameron était revenu en 2009 avec « Avatar », projet pharaonique et new age, étonnamment binaire pour un cinéaste comme lui, empreint d’une naïveté sectariste et une dimension faussement ethnologique qui soulevait quelques questions d’ordre morale. Le tout noyé dans une sorte de manifeste du cinéma de demain, cinéma où plus rien ne serait réel, croisement du jeu vidéo et de l’animation. Y demeuraient tout de même une histoire d’amour sirupeuse et régressive à laquelle on pouvait facilement s’abandonner (sorte de Pocahantas baba cool), et une vague dimension réflexive sur l’amélioriation du Moi au tournant des manoeuvres impérialistiques de l’Amérique et de l’Homme. Mais Cameron disait déjà « Aimez-vous les uns les autres » dans un geste christique d’assez mauvais augure pour la suite - d’autant qu’elle allait durer quatre films.
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2022 : crise après crise, virus après guerre, inflation après réchauffement, déferle le second opus d’ « Avatar », qui cette fois abandonne la forêt pour la mer, dans une sorte de Pokemon Evolution croisé avec des Schtroumpfs hippies sous LSD. Peu de le dire : « Avatar 2 » est l’un des films les plus idiots et laids qui puisse se voir depuis longtemps - très, très longtemps. Que les Etats-Unis soient devenus gâteux dans la fabrique du Blockbuster n’est pas une nouvelle, certes, mais quand elle est vendue comme un évènement philosophique de la sorte, bon sang de bonsoir, c’est que le vaisseau du monde s’est pris les pieds dans le tapis… de lianes.

Ce sucre d’orge de 3h10 n’a plus rien de ce qui faisait encore se tenir debout le début du projet : à savoir le sur-moi et l’amour. Ici, que tchi, les vilains sont très vilains et les gentils très gentils : plus que jamais, bienvenue en 2022. Le monde est beau et plein de couleurs mais malheureusement, de méchants soldats prisent du jus de baleine pour pouvoir cesser le vieillissement humain! Hou! Les vilains! C’est comme chez nous mais avec des personnages tout bleus !
Alors dans le monde de Cameron, on va revenir aux sources : on va se reconnecter aux arbres et au chants des oiseaux, on va pêcher le poisson à la lance, on va être un chef de guerre (oeil pour oeil, dent pour dent), on va éduquer ses fils à papa à être de bons soldats, et les femmes vont rester au poste de cuisine, enceintes ou, au mieux, oracles (l’intuition maternelle, natürlich). La gamine du film, sorte de petite vierge diaphane qui fait de la méditation aquatique et psalmodie en voix off « l’eau connecte tout : la vie et la mort, l’ombre et la lumière », a les yeux en amande et un pouvoir de séduction immédiat. Mais les méchants arrivent avec de la mitraille lourde, et c’est l’éternel recommencement : on nageait si bien avec les dauphins!

Allégorie de l’exil et des migrations, cette supercherie d’une hypocrisie inouïe nous fait la morale au long cours : que c’est beau l’évolution, le métavers et les croissants de lune quand on arrête de faire la guerre ! Que c’est beau le chant des divinités! Que c’est beau d’avoir abandonné le monde réel pour le pouvoir de l’avatar et de la matrice !
Est-il possible d’adhérer à pareille bêtise, à un film aussi futuriste et vieux-jeu en même temps, aussi Thunbergien que patriarcal dans son sens le plus abrutissant? Est-il possible d’avoir abandonné la beauté d’un visage réel (la source du cinéma, de la photographie, du portrait, de la peinture!) pour une douteuse analogie ethnique mi-jamaïcaine mi-océanienne faite de capteurs windows? Qu’est-ce que cette tambouille digne d’un mauvais jeu vidéo des années 90? Où sont les licornes?

250 000 000 de dollars pour cette croûte… Insurgez-vous, public du monde entier !
« Avatar 2 » ressemble à un film de missionnaire raciste qui jouerait le jeu du bon côté de l’Histoire pour finir de récupérer jusqu’au dernier centime de son investissement doctrinaire, refourguant au spectateur sa tétine (les lunettes 3D!) pour qu’il se mette à loucher et avoir l’impression « d’y être ». Mais d’y être, où? Hors du monde? Voilà une vraie question de cinéma.
Si James Cameron ne croit plus en la force du réel et de l’ambigu, fusse-t-il un simple prétexte pour son imaginaire débridé, alors il n’est déjà plus un cinéaste, mais un animateur de programmes.

En sortant de la salle, j’ai croisé le directeur de l’établissement, estomaqué, et je lui ai demandé :
- Mais… c’est un film pour les bébés, non? Ou c’est moi?
Et lui de me répondre :
- Oh vous savez, moi j’ai tenu 50 minutes, je ne saurai vous dire.
Prophète, anticipateur, visionnaire, Cameron l’est toujours : il signe avec « Avatar 2 » ce qui pourrait bien être le premier grand film sur la mort cérébrale du cinéma.

Magnifique ! Sublime ! Encore une claque magistrale ! La salle comble a applaudi à la fin.

Merci James Cameron pour avoir transcendé le 1er film, et nous faire découvrir des paysages extraordinaires, On s'y croit vraiment. Le scénario est toujours assez simple mais efficace, le début un poil expédié mais la grosse partie centrale et le final sont justes WAHOU. Les scènes sous marines c'est impressionnant il faut le dire et redire.

Quelques défauts minimes mais la générosité et certaines scènes tellement belles...C'est tellement travaillé, détaillé. Les 3 heures ne sont pas trop longues, on en voudrait davantage.

Vite le 3 !

Nous pensions cinématographiquement avoir vu tout ce que nous pouvions voir dans nos salles obscures, mais c'était sans avoir vu "Avatar, la voie de l'eau" qui n'est pas un film mais une prouesse visuelle, auditive et sensorielle qui dépasse tout ce que l'on a pu connaitre auparavant, Quelle claque !!!!! cette version 3D tellement bien faite nous embarque sur Pandora, ce monde incroyablement splendide et hors du temps, James Cameroun nous fait clairement rêver par ces couleurs, ses effets spéciaux tellement réaliste, sans compter ces moments drôle, palpitant, émouvant et même triste qui nous montre cet amour familial, ce lien indéfectible.

Avatar : La Voie de L'eau c'est une première heure un peu maladroite, une deuxième féerique mais très classique, et une troisième explosive, poignante et totalement hallucinante. En terme de ressorts émotionnels, c'est beaucoup plus maitrisé que le premier.

https://www.justfocus.fr/cinema/avatar-la-voie-de-leau-james-cameron-a-mis-les-bouchees-doubles.html

Une première heure de mise en place plutôt classique, une deuxième heure de découverte et d'émerveillement aquatique et une troisième heure spectaculaire et émotionnelle.

13 ans après le phénomène de 2009, James Cameron fait son grand retour dans les salles obscures et nous prouve encore une fois qu'il est un cinéaste rare, mais à l'impact incontestable.

Un second volet dans la continuité de son prédécesseur, qui se focalise cette fois-ci sur les enfants de Jake et Neytiri.

Histoire de familles, de choix et de responsabilités, cette suite est une nouvelle claque visuelle, tellement qu'on finit par oublier que tout ce que l'on voit à l'écran est quasiment en images de synthèse.

Celle-ci est accompagnée d'un scénario un peu plus développé et un peu moins manichéen que son prédécesseur, même si on en retrouve encore certains tics narratifs (une construction, en partie, assez similaire au 1er film, des humains qui sont encore à la recherche d'une nouvelle source d'énergie, des militaires toujours en mode militaires).

Cameron y manie toujours avec talent spectaculaire et intime, en particulier dans sa dernière heure, où le film et son récit prennent tout leur essor.

Une nouvelle preuve que l'univers d'«Avatar» relève plus des sensations que de la réflexion, des images que des mots, de la mise en scène que de son histoire, assez classique dans son ensemble.

À chacun.e d'accepter, ou non (ce que je peux tout à fait comprendre), de se laisser emporter et de plonger dans ce spectacle visuel et total.

Cet avis à chaud est bien sûr à laisser décanter un peu, mais perso je n'ai pas vu passer ces 3h12 d'évasion dont j'avais bien besoin en cette fin d'année.

Avec ce retour sur Pandora, j'ai eu droit à ce que je suis venu chercher (et même un peu plus), et c'est bien l'essentiel.

P.S.: vu en IMAX 3D, je ne peux que vous recommander ce format de projection pour vous immerger totalement dans le film.

P.S.2: après une semaine de recul, mon ressenti vis-à-vis du film reste sensiblement le même.
Certes, le scénario n'est pas la qualité première de ce nouvel Avatar (comme pour le 1er volet), pas forcément à la hauteur de l'univers proposé, et certains persos manquent de caractérisation pour qu'on s'attache véritablement à eux.
Un second film que je perçois plus comme le 1er acte d'un nouveau chapitre qu'une véritable suite dans sa globalité.
Mais Cameron réussit, ici encore plus, à insuffler de la vie dans de la synthèse tout au long de son métrage (chose devenue très rare ces dernières années) et nous offre une œuvre contemplative et généreuse, qui prend son temps et nous transporte loin de notre quotidien hivernal et morose, et ça fait du bien.
Un film à voir dans les meilleures conditions possibles pour apprécier l'expérience au mieux. 7,5-8/10.

Les paysages et effets spéciaux sont réussis comme d'habitude chez Cameron, mais le scénario tient sur un post-it ! Comment expliquer l'engouement qui entoure ce film ? C'est tir de mitraillette sur tir de mitraillette, on a maintenant les enfants du couple vedette à sauver, mais c'est vraiment faiblard... Je ne sais pas pourquoi Sigourney Weaver est créditée au générique, on la voit environ deux secondes ! Fuyez !

Le film débute assez simplement, juste ce qu'il faut pour présenter une famille qui s'est agrandie durant quelques années mais c'est aussi et surtout quelques minutes où il faut s'adapter à un film tourné en 48 images/sec, avant de rester scotcher au siège devant la beauté inouïe de Pandora, les images sont bluffantes, démentes de créativité et de fluidité avec un bestiaire aussi riche que cohérent qui va semer le récit du début à la fin. Les effets visuels sont à un niveau jamais atteint au service d'un scénario certe classique comme l'était le premier film mais empreint de messages écolos et pacifiques encore plus marqués et toujours dans un soucis d'universalité. Par contre le cinéaste saute à pied joint dans les clichés adolescents avec le panel "idéal" avec en prime les relations parents-enfants qui semblent donc être la base de toutes familles (?!). Les enfants ne sont pas laissés pour compte et qui ont toute leur part au sein de l'aventure, il ne sont pas des "seconds rôles". Néanmoins, on aurait aimé une cause plus logique pour quitter leur forêt et leur peuple pour une migration vers l'inconnu et les mers. En effet, la raison invoquée ne tient pas franchement la route, ils savent très bien que ceux qui viennent du ciel ne vont jamais en rester là. Cette décision et ce voyage qui en découle sont assez peu cohérente et même assez vite expédiées, c'est le grand et réel défaut du film.
Site : Selenie

Attendue depuis treize ans, cette suite d'Avatar est au delà de mes espérances ! Nous retrouvons les Na'vis, et plus particulièrement Jake et Neytiri qui ont agrandi leur famille.
Suite à une menace, ils vont devoir s'exiler auprès d'un autre peuple, celui de la mer.
La voie de l'eau explore donc toute cette immensité de la faune marine et des paysages qui l'entourent.
Le visuel est grandiose, sublime et impressionnant. Vu en Imax 3D, j'ai été scotchée à mon siège devant ce magnifique spectacle, on en prend littéralement plein les yeux.
Concernant l'histoire, les valeurs de la famille sont au centre de ce récit, chaque enfant ayant sa propre personnalité avec ses qualités et ses défauts, son courage et ses doutes.
Les scènes de combats sont grandioses, tout comme la découverte de toutes ces nouvelles créatures, on rit, on pleure, on est émerveillé. Il y a également beaucoup plus d'émotions dans ce second volet que dans le premier. N'ayez pas peur de sa durée (3h12), vous ne verrez pas le temps passer. Bon voyage sur Pandora !

http://cinephile-critique.over-blog.com

Apres 10 ans d attente. La suite du film avec le meilleur box office de tt les temps est enfin sorti. Et que dire ! Meme si le scenario reste assez simple, le reste est parfait. Je trouve les personnage attachant que ca soit les nouveau ou anciens. Artistiquement c est la meilleure chose qui a ete fait dans le cinema avec une tres bonne bo qui accompagne cet univers epoustouflant. Bref c est exeptionnel !

Superbe suite avec un excellent rendu 3D. Seul défaut, le film est peut-être un petit peu long mais cela reste du très grand spectacle avec un visuel époustouflant. Vivement la suite.

On dirait 3 heures de cinématique de jeu vidéo !
Et que reste-t-il d'Avatar sans la performance technique ? pas grand chose: les personnages sont peu attachants, l'histoire est basique. Le premier Avatar n'était pas un chef d'œuvre scénaristique non plus.
Tout ce déluge de moyens pourrait être mieux utilisé.
Les avancées techniques depuis 2009 ne sont pas disruptives, la fumée en CGI fait toujours aussi fake.