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gooneur
42 abonnés
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2,0
Publiée le 30 juillet 2019
Un film pop-corn de plus. Trois acteurs connus dont une (très) jolie femme, de grosses ficelles, un décor en carton pate et malgré tout un résultat globalement divertissant. Pas le plus mauvais des programmes diffusés sur chaîne hertzienne (faut dire que le niveau est passable moins) mais pas plus non plus.
Zorro veut un fils "spirituel" car il vieillit. L'idée est bonne, mais elle est trop mal amené. On est dans une ambiance trop manichéenne avec méchant très méchant et gentil(s) trop gentil(s). Il manque singulièrement d'intérêt. Dommage, car le personnage héroique de Zorro méritait mieux.
Un chouette film de cape et d'épée servi sur un plateau par Martin Campbell qui vient nous titiller les souvenirs concernant un héros un peu has been mais avec qui on a passé quelques heures souvent en compagnie de nos aïeux. Cette version est parfaitement modernisée avec notamment un passage de flambeau entre zorros mais surtout un casting des plus charmant composé entre autre de Sean Connery, Antonio Banderas et de la sublime Catherine Zeta Jones. On a de l'humour, de beaux affrontements, un peu d'émotion, une superbe bande originale et de sympathiques cascades pour ce divertissement maîtrisé et bien agréable à voir. Je ne suis guère friand du genre mais j'ai passé un bon moment et c'est bien là le principal.
Après Tyrone Power, Guy Williams et Alain Delon, on dépoussière le mythe "Zorro" en lui donnant une seconde jeunesse avec inspiration produit par le studio Amblin et réalisé par Martin Campbell en 1999 !! Don Diego De La Véga, alias "Zorro" l'original, se fait emprisonner et se fait voler la fille par le méchant procureur de Californie. 20 ans plus tard, il jure vengeance et veut récupérer l'enfant qui a grandit avec son ennemi mais les choses ne se présentent pas facilement. Alejandro, hors la loi qui voit son frère décapiter par un lieutenant de la cavalerie Américaine, aidera et sera former par Don Diego a devenir un jeune "Zorro" au service du peuple Mexicain a déjouer les complots gouvernementaux . Découvert à sa sortie et pas une ride, "Le masque de Zorro" est un très bon divertissement qui ravira petits et grands avec des batailles à l'épée ou par explosions spectaculaires. Le scénario et les dialogues sont remarquables d'inventivités. Antonio Banderas trouve là un des meilleurs roles de sa carrière aux cotés du charismatique et pas tout jeune Anthony Hopkins et de la belle Catherine Zeta-Jones. Du pur bonheur.
Encore un tres bon film des annees 90 exploitant une histoire connu avec des acteurs hors normes. Les scenes d'actions sont tres bien filmees et l'univer bien respecte. Bon film.
Bine triste film qui n'arrive pas à la cheville de la série TV..De gros moyens pour un résultat inintéressant..le charme désuet, l'humour, le pittoresque de la série Disney avec Guy Williams ne sont pas au rendez vous..
Comment faire du vieux avec du neuf tout en abusant pas d’effets spéciaux pour ne pas dénaturer l’esprit de Zorro ? En s’appuyant tout d’abord sur un scénario solide et malin faisant la part belle à l’action mais laissant le champ libre à la romance et à la comédie. L’introduction pleine d’émotion lance magistralement le film et permet d’intégrer le trio qui fera aussi la réussite du film avec un Anthony Hopkins en Zorro retraité, Antonio Banderas en Zorro mode rookie de l’année et la sublime Catherine Zeta Jones pour le charme, les scènes romantiques… mais pas que !!! Faire de Zorro un personnage intemporel, et ce jusqu’à la scène finale, est une astuce formidable ; le monde change mais il faudra toujours des défenseurs des veuves et des orphelins, et c’est formidable, ils se passent le flambeau de générations en générations. Pour faire un bon film d’action et de divertissement, il faut aussi un méchant ; et bien là, il y en a deux et fort bien écrits et interprétés. Et pour l’action pure, un traitement à l’ancienne judicieux et super léché : des combats à l’épée magnifiquement chorégraphiés, inventifs et parfois drôles ; des chevauchées équestres spectaculaires. Campbell, metteur en scène de deux « Bond », grâce à un montage frénétique et des gags parsemés tout au long du film tient le spectateur en haleine durant deux heures sans baisse de rythme et d’intérêt ; chapeau. Belle réussite pour un film de divertissement ; on peut regretter l’absence de Bernardo, du Sergent Garcia et peut être aussi que le Zorro de Banderas n’ait pas la classe de Guy Williams… tout-un-cinema.blogspot.com
On peut ne pas aimer Zorro des séries mais difficile d’être indifférent face au film ! Antonio Banderas, Anthony Hopkins et Catherine Zera-Jones en sont pour quelque chose, et la BO également
Martin Campbell réalise un pari osé en s'attaquant au mythe de Zorro, 40 ans après les aventures du mythique Guy Williams, et suivant des adaptations grand écran peu réussies, notamment européennes. Force est de constater que le défi est relevé de fort belle manière ! En effet, Campbell focalise son regard sur l'idée de la transmission, dépeignant un Zorro vieillissant et touchant sous les traits du très grand Anthony Hopkins, qui redevient presque humain en étant battu pour la première fois ! Esprit de survie, vengeance et recherche des émotions perdues rythment la passation entre le grand Zorro et son élève, incarné avec vigueur et charme par Antonio Banderas. La présence de Catherine Zeta Jones apporte plus que la traditionnelle touche de sensualité féminine et rend les confrontations avec Stuart Wilson et Matt Letscher un peu plus aigres-douces. Le souffle épique n'est jamais loin d'une intrigue soignée qui dépoussière et remet au goût du jour un mythe transgénérationnel, sur fond de musique mexicaine enjaillée. Les émotions sont maniées avec dextérité et simplicité, au service d'un divertissement familial qui ravira petits et grands dans un même esprit manichéen de lutte face aux injustices et de culte des héros.
Martin Campbell, auréolé du succès de "GoldenEye", le premier James Bond avec Pierce Brosnan, remettait les aventures de Zorro au goût du jour avec ce film qui a le mérite de ne pas moderniser le personnage et de l'inscrire dans un contexte fort, celui de l'état de Californie alors encore annexé au Mexique. Co-écrit par les deux scénaristes qui donneront naissance à "Pirates des Caraïbes", on sent bien dans le film l'amour des films de cape et d'épée d'antan et tout les ingrédients sont là pour nous faire passer un bon moment : il y a de l'action, de l'humour, de la romance et une vieille histoire de vengeance. Sans renouveler le genre, "Le Masque de Zorro" s'inscrit sans problèmes dans la lignée des grands divertissements qui veulent simplement plaire au public sans d'autres prétentions. La maîtrise de la caméra de Martin Campbell orchestre le tout d'une main de maître et le trio de tête d'affiche réuni fait des étincelles : Antonio Banderas est parfait en Zorro bondissant et impétueux, Anthony Hopkins compose un très bon Zorro vieillissant et Catherine Zeta-Jones apporte son charme à l'ensemble, rendant le divertissement complet.
Film d'aventure sympathique et même si en soit il ne révolutionne pas le genre, il se laisse agréablement regarder. Banderas est plein de charme et Hopkins n'en fait (pour une fois) pas trop des caisses...
Loin de se contenter d'honorer la série des années 1950, Martin Campbell s'engage ici dans une épopée flamboyante et sensuelle. La présence au générique d'Anthony Hopkins, Catherine Zeta-Jones et Antonio Banderas achève de convaincre. Un plaisir sans cesse renouvelé.