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    L'Invasion Des Cocons
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    1,9
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    chrischambers86
    chrischambers86

    11 958 abonnés 12 157 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 octobre 2015
    Attention ô mes frères, une sèrie de meurtres atroces vous attend! Ça commence d'abord par un vaisseau spatial qui s'ècrase sur la Terre avec, à son bord, un ètrange extraterrestre avide de chair humaine, une sorte d' «Alien » avec des tentacules et une dentition à faire peur! Puis on fait la connaissance de Charles Napier (le Murdock de "Rambo: First Blood Part II"), un officier de police chargè d'enquêter sur une sèrie de meurtres atroces commis par une crèature! Ce dernier dècouvre dans la carcasse du vaisseau des oeufs ètranges! L'un d'eux èclate soudain, laissant apparaître un monstre! Brrr [...] Prenant conscience du danger, le père Napier et une certaine Ann Turkel se lancent à la recherche de la mère pour la dètruire avant qu'elle ne ponde d'autres oeufs! L'histoire de cette invasion part dans tous les sens mais l'ensemble n'est pas aussi catastrophique qu'on a bien voulu le dire! Nous sommes en fait en pleine sèrie Z dans la grande tradition du gore pimpant et nanardesque selon le vètèran Fred Olen Ray! Pour les inconditionnels de steaks brûlès, de bestioles venues de l'espace et de tronçonneuse...
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    6 173 abonnés 7 231 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 15 décembre 2020
    L'Invasion des cocons (1988) est une Série Z où il est question d’une arme bactériologique représentée sous la forme d’une créature visqueuse et aux dents acérées. L’armée américaine (à qui elle appartient) en perd le contrôle et la bestiole, après s’être échappée, va zigouiller tout ce qui se trouvera sur son chemin.

    Fred Olen Ray, déjà responsable du nanar Alienator (1990) où Jan-Michael Vincent se retrouvait face à un chasseur de prime travelo, tente ce qu’il peut (avec un budget dérisoire) pour accoucher d’une œuvre Sci-Fi qui tienne la route. Et pour cela, il ne s’emm*rde pas et décide de plagier (entre-autres) des films tels que Breeders (1986) de Tim Kincaid ou encore Alien (1979) de Ridley Scott. Sauf qu’il n’a ni le talent et encore moins le budget qui était alloué au film culte de Scott. Résultat, ses cocons ressemblent plus à un gros é.t.ron verdâtre qu’autre chose, son héros, campé par Charles Napier (Rambo II - 1985), a de faux airs de Gordon Ramsay (le célèbre cuistot dans la version britannique de "Cauchemar en cuisine") quand il se met à faire cuire (ou cramer) ses steaks au… four ! Son siddekick (interprété par Ron Glass) affublé d’un pull vert déguǝulasse ressemble à Pascal Légitimus et le type du services secrets s’apparente à un Dirty Harry de seconde zone.

    Bien évidemment, on fera abstraction de l’intrigue, on n’était pas venu pour ça mais plutôt pour les innombrables créatures visqueuses dont regorge le film, ainsi que pour la présence d’un Charles Napier très en forme et dont certains passages resteront dans les mémoires, comme ce rendez-vous galant où il enfile un kilt et joue de la cornemuse ou encore la séquence où, armé d’une batte de baseball, il tente de nous faire un home run en tabassant un alien en manquant de justesse sa dulcinée).

    Sans oublier le grand final où, pour parvenir à éradiquer la créature, Charles Napier spoiler: utilisera une sorte de flacon d’urine et c’est armé d’une tronçonneuse qu’il nous rejouera l’une des scènes cultes d'Evil Dead (1981).


    Si vous vous attendiez à une invasion (comme le suggère le titre français), vous pouvez repasser. Idem pour ce qui est de l’espace, contrairement à ce qu’indique le titre d’origine "Deep Space" (le film se passe en pleine ville). Monstres visqueux, acteurs en roues libres et musiques insupportables (ou synthé bloqué sur une note et en mode repeat) sont au programme de ce nanar qui, contre toute attente, se laisse regarder jusqu’au bout et vaut le détour ne serait-ce que pour son grand final à grands renforts de geysers d’hémoglobine.

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