Derniers Avis : Le Majordome - Page 29

Quel beau film, quel bon acteur. Un vrai bijou. Un film a voir absolument.

Tout n'est pas excellent mais dans l'ensemble on a un très bon film, limite un peu trop académique, mais tellement puissant niveau historique qu'on pardonne facilement les quelques longueurs. Un pan énorme de la (jeune) histoire américaine nous est racontée à travers l'histoire d'un seul homme ...énorme. F. Whitaker est excellent ... il trouve là un de ses meilleurs rôles.

Un film qui mérite d'être vu au cinéma contrairement à certains, que je ne citerai pas. Il dégage beaucoup d'émotions et un casting parfait qui ne peut que l'être avec la présence de Forest Whittaker, qui est mon coup de coeur depuis Le dernier roi d'écosse.

Voici ce que l'on appelle communément un bon film. "Le majordome" est un film très réussi sur un homme noir ayant servi 7 présidents des États-Unis. La principale qualité du film est son fond anti-raciste. Il aborde très bien cette atroce discrimination perpétué dans le sud des USA ainsi que les révolte des noirs. Mais le film assume mal certains de ses côtés. En effet les paraboles historiques sur les présidents que ce majordome a servi sont trop courtes, pas assez bien étudié et mal retranscrite. Autre point faible du film; c'est que le réalisateur passe trop de temps à nous montrer le combat du fils. On passe quand même un bon moment et ce film nous rend plus intelligent qu'on ne l'étais à l'entrée de la salle. À voir.

Ce film était GÉNiALISSIME ! Du haut des mes 15 ans, je pensais un petit peu m'ennuyer mais en fait non. Surtout grace à la performance de l'excellent Forrest Whitwaker et le super Lenny Kravitz. J'ai également verser quelques larmes spoiler: notamment au moment ou Kennedy se fait assassiner
. A aller voir et revoir en famille (a partir de 16 ans) ou avec des amis.
Je met 5

Excusez moi mes fidèles soldat mais je ne savais vraiment pas quel note mettre, j'ai hésité entre un 3,8 ou 3,9 ou 4,0 mais allociné ne ma pas laissé le choix...
Je ne sais pas trop quoi dire sur ce film...il est parfaitement interprété et il s'agit d'une biographie alors on ne peut reprocher l'histoire d'être trop répétitive...je ne peut le critiquer mais le film ne mérite tout de même pas la note du chef d'oeuvre, même si il est réussit en tout point...

Magnifique! Un film que j'avais peut de trouver long mais tellement bien rythmé à l'arrivée... Un jeu d'acteur

Comment diable un tel film peut-il prétendre à quelconque récompense? Et pas n'importe laquelle! Ca? Pressenti aux Oscars? Ce serait faire injure à l'institution et à tous les primés passés. Le Majordome, c'est non seulement un nouvel exemplaire tout fraîchement sorti de l'usine à films tire-larmes et conformiste de l'académisme américain (ce qui serait tout sauf surprenant pour un film oscarisable), mais c'est de surcroît un manque de subtilité gros comme la lune dans le montage et la réalisation. Lee Daniels est fidèle à lui-même ici. Si le sujet ne manque pas de garder le spectateur dans un intérêt continu pendant 2 heures, on ne peut pas dire que la réalisation a su exploiter le gigantesque potentiel d'un tel biopic. Cecil Gaines fut un homme hautement respectable, à la stature intimidante du haut de ses 30 années au service de 5 présidents des Etats-Unis. Des années à seconder ceux qui faisaient face à un pan de l'histoire américaine le concernant au plus haut point: l'émancipation des Noirs. D'ailleurs, la seule idée intéressante du film a été de mettre en parallèle deux efforts émancipateurs: le combat sourd et subtil de Cecil Gaines à la Maison-Blanche face à l'engagement politique frontal de son fils Louis Gaines, aux côtés de Martin Luther King. Les deux hommes, malgré leur lien filial, ne se comprennent pas et finissent par se haïr. Mais évidemment, il a fallu arranger ce dérapage. Comment un père et un fils pourraient-ils ne pas s'entendre? Sacrilège! A la fin, Cecil Gaines plonge dans les repentirs et rejoint son fils, qui lui aussi regrette de s'être montré si ingrat. Tout est bien qui finit bien. Et ils eurent de nombreux...On en est presqu'à là, tant ce film pue la morale bien-pensante des contes Disney pour enfants. Mais les contes Disney, eux,l'assument pleinement, et ne prétendent pas rafler la mise aux oscars.
Mis à part une ou deux scènes touchantes et bien montées (notamment celle du sitting, entrecoupée de scènes où on voit Cecil le majordome s'affairant au service de celui qui est censé être à la tête de la répression), l'ensemble ressemble plus à un catalogue historique qu'à autre chose. A trop vouloir tout couvrir, Lee Daniels s'est perdu dans son fil narratif qui flirte avec l'explicatif à plusieurs reprises. D'ailleurs, la voix-off rajoute au manque de subtilité, et même de travail, de Lee Daniels. Un recours à la facilité bien trop récurrent à mon goût.
Toujours est-il qu'on ne peut enlever au film sa forte verve historique. Elle rend Le Majordome intéressant de bout en bout. Amis le problème, c'est que rien n'a été pensé dans l'optique de la magnifier. On en est à se demander si c'est bien du cinéma, ou pas plutôt un bon téléfilm historique. Comparer ce film à Forrest Gump est tout bonnement un blasphème cinématographique.

L'idée du film me plaisait mais au final je suis plutôt déçu, j'ai l'impression qu'on survole la vie de ce majordome sans vraiment y entrer. Il est sans doute difficile de faire entrer la vie d'un homme dans la durée réduite d'un film mais au final j'ai l'impression qu'il ne s'est pas passé grand chose pendant cette période.

C'est sûr : Lee Daniels ne révolutionnera pas l'Histoire du cinéma, à l'image de ce « Majordome » ne prenant pas beaucoup de risques. Est-ce pour autant une raison de bouder son plaisir ? Je ne crois pas. Il y a bien quelques moments appuyés, notamment au début, sans parler d'une fin lourdaude entièrement à la gloire de Barack Obama et de cette grande, que dis-je, immense nation qu'est les Etats-Unis. Reste qu'entre les deux, sans apprendre des millions de choses, il y a un réel intérêt à voir ce personnage « invisible » côtoyer sept Présidents très différents les uns des autres, même si les portraits restent évidemment un peu sommaires. Il y a quelque chose de fort dans cette manière de montrer notre héros suivre différents événements historiques au plus près sans rien pouvoir faire, constamment réduit au silence et à une neutralité évidemment quasi-impossible. Après, le discours « le racisme, c'est mal » n'est pas très audacieux, mais quand on voit à quel point les droits civiques se sont écrits dans la violence et le sang, on se dit qu'une piqûre de rappel de temps à autre ne peut pas faire de mal. On a même droit à une ahurissante scène de « contrôle de soi » afin de supporter une agression raciste (légale) d'une brutalité inouïe, de loin le moment le plus fort du film. Enfin, on note une nette préférence de Daniels envers les Présidents démocrates, ce qui n'est pas pour me déplaire, d'autant que le réalisateur évite un minimum la caricature, notamment concernant Ronald Reagan. Résultat : un « all-star cast » plus ou moins convaincant (John Cusack en Richard Nixon) et une page de l'Histoire américaine manquant parfois de nuance, mais il n'est donc pas interdit de prendre un certain plaisir à ce « Majordome » de très honnête facture.

Magnifique!
Une vision de l'Amérique, des acteurs brillants et forrest whitaker épatant!
Des films comme on aimerait voir plus souvent.

Très bon film, à voir absolument avec de très bon acteurs.

très beau film, belle interprétation, instructif (n'hésitez pas à y amener les ados et pré ado....), l'acteur incarnant le majordome mérite sans aucun doute un prix.
A voir sans hésitation.... beaucoup d'émotions dans ce film.

Tres beau film sur fond de segregation raciale aux US... que de chemin parcouru depuis... a voir !!!

J'ai envie de dire que je suis un peu déçue (mais juste un peu) car je m'attendais à mieux à cause du bruit que la sortie de ce film a fait dans la presse. Il n'en reste pas moins que le film est bien fait, mais un peu trop light pour moi côté émotions. Le petit côté sympa est le blind test de reconnaissance de peoples dans les tierces rôles !