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    Trishna
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    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    908 abonnés 4 829 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 septembre 2014
    Assez terrible comme film. La fin est très forte. On ne s'y attend vraiment pas. Je n'aime pas trop le jeu des acteurs que je trouve un peu léger mais l'ensemble est vraiment pas mal
    Hotinhere
    Hotinhere

    410 abonnés 4 728 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 décembre 2021
    Un mélodrame complexe et délicat mais pas dénué de clichés et plombé par une deuxième partie qui se casse la gueule, dans une culture indienne régit par les rapports de classe et par le poids des conventions sociales, doublé d’une sublime carte postale de l’Inde, et illuminé par la présence pleine de grâce de Freida Pinto. 3,25
    tixou0
    tixou0

    629 abonnés 1 969 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 juillet 2012
    Le théâtre, la danse et le chant tiennent une place fondamentale dans la culture indienne. Logiquement l’industrie cinématographique du sous-continent (la première au monde, avec environ 1.200 films produits par an – contre moins du quart en moyenne dans le même temps en France) relaie très massivement le phénomène. Un cinéma d’auteur à la Satyajit Ray est ultra marginal, les longs (fort longs) métrages indiens sont du cinéma excessif et coloré (« kitsch » pour les Occidentaux) où sentiments et plaisir visuel sont les ressorts essentiels (cinéma « masala » ou cinéma « mélangé » : drame, comédie, romance, policier, action… s’y succèdent, le lien étant les intermèdes dansés et chantés, sans rapport souvent avec la trame générale). Ces films passent aussi en boucle à la télévision, ce qui en assure une diffusion maximum, même dans des coins reculés qui n’auraient pas de salles de cinéma. Trishna (Freida Pinto, ravissante et assez convaincante) a appris pour sa part à danser grâce au petit écran, qui est le loisir unique de sa modeste famille de cultivateurs et sa seule ouverture sur le monde (avant que Jay Singh ne lui donne l’occasion de voyager). Son séjour à Bombay avec ce dernier (qui a envie de se lancer dans la production cinématographique) l’incitera à perfectionner d’heureuses dispositions naturelles avec les professionnels qui règlent les chorégraphies des films. Abandonnée par son amant, elle s’apprête même à s’orienter en ce sens pour assurer sa subsistance (et celle de sa famille dont elle est le soutien à distance). Cependant Jay (Riz Ahmed, le beau gosse déjà partenaire de Freida Pinto dans « Or Noir » d’Annaud) finissant par revenir en Inde (il était parti pour Londres au chevet de son père malade et s’y était attardé sans donner la moindre nouvelle), la jeune fille, en grande dépendance affective comme toujours, accepte sans broncher de le suivre à nouveau dans le Nord - faisant contre fortune bon cœur, son compagnon a accepté de prendre la direction des palais rajasthanis transformés en hôtels de luxe par les Singh. Trishna est officiellement affectée au room-service de celui où Jay a fixé ses pénates, mais elle est surtout au service exclusif de celui-ci, qui l’a transformée en objet sexuel. Ses danses sont maintenant celles, lascives, d’une hétaïre. Abusée, usée et désabusée, elle ne trouve alors d’issue à son malheur que radicale, et même doublement fatale. Même si la scène est en Inde et ses héros du cru, Michael Winterbottom ne raconte pas la triste romance de Trishna (attachant son destin à celui d’un garçon égoïste et gâté par son aisance matérielle, puis aigri d’avoir dû renoncer à ses projets par révérence filiale et passant son ennui sur une maîtresse ravalée au rang de courtisane) selon les codes du cinéma populaire indien et la grammaire cinématographie particulière s’y développant (mauvais effets spéciaux, mouvements de caméra particuliers, bande-son amplifiée, jeu surligné des acteurs, musique tonitruante, pour des intrigues simples et des personnages unidimensionnels). On pleure volontiers dans ces films « masala », on extériorise ses sentiments. Rien de ce genre ici : la facture est nettement « occidentale ». Si l’esthétique « Bollywood » est évoquée, c’est simplement parce que Trishna aime danser comme dans « Devdas », et qu’elle croit surtout avoir trouvé un bonheur personnel à Bombay, avec un compagnon voulant investir dans un secteur plaisant (et très rentable), ce qui lui permet de toucher du doigt la magie d’un cinéma qui l’a formée culturellement comme toutes les filles de son âge en Inde. « Trishna » n’est donc pas « un film à la sauce Bollywood », comme souvent lu sous des plumes un peu trop promptes aux raccourcis commodes – les séquences « Bombay » étant presque documentaires, qui montrent l’envers du décor et mettent alors en scène des vrais pros du secteur (Anuraq Kashyap, scénariste et réalisateur et Kalki Koechlin, actrice d’ascendance française, jouent chacun leur propre rôle), dont on apprend qu’ils tournent aussi des « pubs » ! Et d’ailleurs, pour conclure là-dessus, rappelons que Bombay n’est que l’un des 6 ou 7 centres indiens de cinéma (même si c’est le plus connu en France, car pratiquement le seul à s’exporter), chaque région importante tournant selon ses particularismes et dans la langue locale – les ¾ des films indiens viennent de Tollywood, Kollywood etc. (Bombay ne concerne que les films en hindi ou ourdou). Michael Winterbottom avait déjà tourné en 2003 au Rajasthan pour « Code 46 » (jamais sorti en salles dans notre pays, mais disponible depuis fin 2011 en DVD). Il avait alors eu l’occasion de découvrir une société contemporaine où les contrastes sociaux étaient aussi marqués qu’ils avaient pu l’être au 19ème siècle, ce qui lui avait donné l’envie d’adapter « Tess d’Urberville », en situant le récit à notre époque, et dans un univers en cohérence avec celui de Hardy. On pourra se souvenir que Winterbottom avait déjà porté à deux reprises à l’écran des romans du grand auteur anglais : « Jude » (en 1996), l’adaptation signée Hossein Amini (« Les Ailes de la Colombe », « Drive » et même plus curieusement « Blanche-Neige et le Chasseur », pour partie) de « Jude l’Obscur » - sans changement ni de temps, ni de lieu, et « Rédemption » (The Claim ») en 2002 (inspiré de « Le Maire de Casterbridge » et situé dans l’Ouest américain en 1867, quand l’original est dans une ville imaginaire du Wessex anglais, et dix ans plus tard). Il signe avec « Trishna » d’abord le scénario, désireux d’actualiser l’histoire d’amour écrite par Hardy à la fin de l’ère victorienne. Pour en préserver la vraisemblance, il fallait que la scène soit dans une société encore fortement clivée : en dépit d’une émergence spectaculaire en matière économique, l’Inde est emblématique à cet égard avec son système de castes toujours vivace (malgré une abolition contemporaine de la Constitution de 1947), surtout en zone rurale, et dans les couches défavorisées de la population. Trishna, dès l’instant qu’elle renonce à lutter contre sa passion, accepte implicitement d’être à vie une amoureuse « backstreet », son origine modeste et sa caste inférieure la condamnant à ne jamais pouvoir épouser Jay (l’intermède « Bombay » et une vie dans une société en marge et occidentalisée lui ouvrant l’espoir d’un statut au moins de « petit-amie » officielle qu’on n’hésite pas à présenter comme telle). Le retour au Rajasthan la fait revenir en arrière : cachée, humiliée, son désespoir va la conduire à toute extrémité. Par ailleurs, Tess passe sans arrêt de la campagne à la ville, et se perd dans ces allers-retours entre tradition et modernité, tout comme Trishna, et là encore Winterbottom sait tirer parti des contrastes flagrants entre les zones rurales arriérées et les zones urbaines en plein développement (même si ces dernières, très populeuses, sont aussi très souvent misérables et peuplées de « slumdogs »), et aussi montrer des ateliers où les femmes (voire les enfants) travaillent dans des conditions lamentables, dignes de l’époque victorienne peinte par Hardy. On pourrait multiplier les points de convergence entre la vie des deux héroïnes, la Tess du 19ème siècle et la Trishna du 21ème : ainsi, les deux familles de pauvres cultivateurs sont-elles au début privées l’une et l’autre de moyens de locomotion par un accident (mais la faute en est à Tess elle-même remplaçant son père ivre laissé à la maison, alors que c’est le père de Trishna qui s’endort au volant), ce qui amène Tess comme Trishna à accepter (bien que dans un contexte dramaturgique différent) d’aller chez « les riches ». Jay (comme Alec, son modèle romanesque) confie le soin d’oiseaux à Trishna (mais ceux d’une volière, quand Tess sera en charge de la basse-cour !), la sauve d’un mauvais pas (fêtards entreprenants en Inde contre ancienne conquête d’Alec) et la séduit sans ménagements. Même les suites de ce début de liaison sont identiques : Tess est enceinte comme Trishna, fuit comme elle et revient au foyer paternel (autres temps, autres mœurs : Tess accouche d’un enfant si chétif qu’il meurt au bout d’une semaine, quand Trishna se fait avorter, poussée par ses parents). Et cela continue… Sauf que Michael Winterbottom a commis l’erreur de « supprimer » le deuxième personnage masculin, et c’est là que le bât blesse ! Angel Clare va épouser Tess, puis l’abandonner quand elle lui avoue naïvement, après qu’il lui ait parlé de son propre passé sentimental, sa liaison avec Alec, ce qui la poussera plus tard à nouveau dans les bras de ce dernier. Winterbottom synthétise les deux figures masculines rivales dans le seul caractère de Jay, qui est donc tantôt ouvert, tantôt rétrograde, tantôt altruiste, tantôt égoïste… ce qui rend moins lisible le conflit intérieur chez la jeune fille, tiraillée entre passion et devoir chez Hardy, alors qu’on la voit surtout passive devant la caméra de Winterbottom, et quasi incompréhensible le « climax » final (en dépit d’efforts du scénariste/réalisateur voulant justifier le geste fatal de Trishna grâce à une explication de textes du « Kamasoutra », suivie de travaux pratiques dégradants). Tess poignarde Alec pour retrouver l’amour d’Angel, le rejoint enfin et se laisse arrêter, assurée de son pardon (tout en lui recommandant d’épouser après son exécution annoncée sa plus jeune sœur). Winterbottom trouve certes une solution en adéquation avec un récit à 2 et non à 3 personnages pour conclure celui-ci, mais au prix général d’une « adaptation » assez infidèle, puisque simplifiée dommageablement.
    Eric C.
    Eric C.

    201 abonnés 2 273 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 novembre 2019
    Partagé sur l'ensemble du film car il y a des points forts et des points faibles et pas une linéarité et cohérence d'ensemble. En point négatif principal, le scénario qui devient vite languissant et répétitif pour ce thème que l'on comprend très vite d'amour quasi impossible qui passe par les étapes de l'attirance, le coup de foudre même mais avec le sentiment de vouloir ce qui est différent puis la passion amoureuse et la vie en couple suivie de la lente d'échéance vers une relation biaisée qui se transforme en rapports sexuels et quasiment esclavage sexuel. Le principal obstacle à cette liaison durable et romantique est la différence sociale et ici renforcée par la différence de caste car on est en Inde où cela régit la plupart des rapport humains et sociaux. Différence également entre milieu urbain et rural d'une province indienne avec d'un côté la modernité, l'occidentalisation et l'anonymat des grandes métropoles et le milieu rural, provincial avec des usages, coutumes, interdits très présents, traditionalistes. Difficile de voir dans ce film l'adaptation de Tess en Inde ce qui est la volonté du réalisateur mais peu importe le film existe sans cela. Au delà de ces points négatifs et de lenteurs le film met en lumière et en beauté la sublime et talentueuse Freida Pinto dans un rôle de jeune paysanne ou sujet de caste inférieure et modeste rurale tombant amoureuse et dépendante d'un riche jeune indo anglais héritier d'un riche propriétaire d'hôtels de luxe en Inde. Coup de foudre, attirance uniquement physique, désir de posséder ce que l'on a pas comme un trophée, difficile de cerner précisément le point de départ qui va néanmoins se transformer en amour fusionnel et s' épanouir du moins un temps dans la grande ville de Bombay. Puis on sent une sorte de lassitude s'installer dans les sentiments amoureux du jeune homme et avec le retour à la province indienne rurale, une relation qui devient cachée, interdite, ambiguë et même perverse, la jeune femme n'étant plus qu'une chose, une esclave sexuelle. Freida Pinto interprète remarquablement avec grâce, subtilité, sensualité et talent cette femme assez passive qui subit surtout les événements, aveuglée par le mythe du prince charmant et jamais vraiment installée dans cette relation difficile par la différence sociale. Du coup le final est particulièrement étonnant et dramatique. Autre point fort du film, les formidables images de l'inde, images qui nous placent vraiment en immersion de ce qu'est la plus grande partie de l'inde très différente du faste et décorum bollywoodien. On voyage beaucoup avec ce film et Freida Pinto est belle, émouvante, avec une destinée dramatique et romantique.
    traversay1
    traversay1

    3 078 abonnés 4 620 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 juin 2012
    Michael Winterbottom, cinéaste prolifique et touche-à-tout, est-il un dilettante ultra doué qui ne fait qu'effleurer les thèmes, par paresse, sans se donner la peine de les approfondir ? Au vu de sa copieuse filmographie et de Trishna, adaptation libre de Tess d'Urberville dans l'Inde d'aujourd'hui, la tentation est grande de répondre : Yes, Sir ! Comment expliquer alors, sinon par une certaine perversité cinéphilique, le coupable plaisir que l'on prend à regarder ce film étrange, mélange invraisemblable de réalisme social et de glamour bollywoodien, très esthétisant et abondant en cartes postales chatoyantes du Rajasthan et de Bombay ? L'art du montage "cut" de Winterbottom est très au point, avec des scènes systématiquement trop courtes, jouant sur la frustration. Le cinéaste s'attarde en revanche sur la beauté des paysages et la photogénie de ses interprètes. Freida Pinto, personnage mystérieux et passif, est littéralement sublime. Il est légitime de se demander si Trishna ne tient pas davantage du dépliant publicitaire et touristique que du film de fiction. Ceci assimilé, pourquoi donc ne pas se laisser aller à la jouissance de l'oeil au détriment de l'esprit ? Allez, juste pour une fois !
    vanou97
    vanou97

    38 abonnés 633 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 novembre 2012
    Freida Pinto nous confirme après Slumdog Millionaire et Miral son talent d'actrice et sa sensualité. Elle retourne pour Trishna dans son pays d'origine, jouer cette femme prise au piège des sentiments et des conventions sociales. Le scénario est recherché, avec des scènes fortes dans une mise en scène dépaysante. Michael Winterbottom a largement gagné son pari !
    Vivien19
    Vivien19

    49 abonnés 443 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 12 juillet 2012
    Qu'on ne me dise pas que je ne suis pas romantique après ça, parce que je dois dire tout de suite que je suis un grand fan de films comme Eternal Sunshine of the spotless mind ou encore Titanic. Pardonnez moi d'avoir comparé l'incomparable. Trishna c'est le nouveau film de Winterbottom. Alors beaucoup, dont moi, doivent se demander "Qu'est-ce que c'est que ce plouc ?", à vrai dire j'avais pas fait le rapprochement avec deux films récents que je connais mais que j'ai pas vu malgré le fait que leur casting est mené pour les deux par deux acteurs que j'apprécie beaucoup : The Trip avec Steve Coogan et The Killer Inside Me avec Casey Affleck. Il est aussi réalisateur de bon nombre de films plus ou moins anciens, dont on retiendra 9 songs, Jude ou Code 46 parmi tant d'autres... et je remarque en parcourant sa page Allociné que finalement, je n'ai vu aucun de ses films, jusqu'à ce jour. Ce grand jour où j'ai vu Trishna. On commence en suivant un groupe d'amis pété de frics originaires de Bombay qui sont en excursion au Rajasthan, région indienne que certains d'entre eux jugent de "paumée" avant qu'ils se rendent compte qu'au Rajasthan, y a aussi des jolis filles et jolis cailloux. D'un point de vu social, c'est un peu comme un parisien qui va dans la Creuse et qui se rend compte que ce n'est pas une grande réserve de vaches inhabitée. L'un d'eux flash sur une locale, Trishna, et lui propose un job dans son hôtel. C'est à partir de là que tout commence puisqu'ils commencent à fricoter sérieusement. Là j'ai résumé les tente premières minutes, et c'est là le problème c'est que cette entame s'étend finalement sur une heure et demi d'ennui total où on alterne entre des scènes où ils s'embrassent, et des scènes où ils s'engueulent. Ça devient très vite chiant, et ça l'était depuis le début aussi. Seul le retournement final (pas le tout final, celui juste avant) est plutôt pas mal amené, le problème c'est qu'au lieu de s'arrêter là Winterbottom a préféré rajouté encore du scénario et on se retrouve avec un final sois disant Saddy End mais qui fait finalement plus débile qu'autre chose, avec un jugement des plus radical : l'amour c'est de la merde, restez célibataire. On est d'accord ou pas avec cette morale, moi je m'en tape, mais il faut dire que c'est traité avec une telle lourdeur. D'autant plus que le casting est absolument insupportable : Freida Pinto je pouvait déjà pas l'encadré dans Slumdog Millionaire et encore moins dans Or Noir, Riz Ahmed il a un regard vide (encore plus que Nicolas Cage c'est dire) et ça m'a gêné tout le long, et puis t'as tout les gosses qu'ils ont dut allé chercher dans un bidonville : au moins dans Slumdog Millionaire les gosses ils en venaient aussi et ils avaient un minimum de talent, que là ils sont justes insupportables que t'as plus envie de les baffer qu'autre chose. Ajouté à tout ça une mise en scène téléfilm, c'est clair que Trishna vole pas haut : d'ailleurs c'est ça, Trishna est un téléfilm. Un téléfilm romantique avec un vieux message mal amené pour divertir sur M6 un dimanche après-midi, rien de plus. Et c'est sorti au cinéma.
    César D.
    César D.

    33 abonnés 616 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 juin 2012
    une histoire d'amour bancale, qui finira mal. rien de neuf sous le soleil de l'Inde d'aujourd'hui. le traitement, par contre est moderne, on a même droit à des scènes de "lit". Frida Pinto porte ce film sur ses frêles épaules, et le porte bien. ajouter à ça les images dépaysantes de l'Inde, ses couleurs, son chaos, et ses traditions rétrogrades, et vous obtiendrez un film divertissant. c'est déjà pas mal.
    Ciné2909
    Ciné2909

    63 abonnés 1 638 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 juin 2012
    Le pays des éléphants continue d’inspirer les cinéastes puisqu’après l’Indian palace de John Madden, c’est maintenant Michael Winterbottom qui nous fait profiter des charmes de l’Inde. Il y a aussi la belle Freida Pinto qui reste toujours un plaisir pour les yeux mais cette héroïne manque de caractère. Il n’y a que l’évolution du personnage de Jay qui donne un peu d’intérêt et qui permet d’éclaircir une scène clé du film. Trishna c’est donc le récit d’une relation complexe où se mêlent passion, violence, déception mais aussi l’espoir d’une vie nouvelle. A défaut de réellement nous passionner, il vous donnera au moins l’occasion de découvrir de jolis paysages
    Tseganesh
    Tseganesh

    34 abonnés 78 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 juillet 2012
    Un peu d'appréhension en allant voir ce film mais c'est un agréable moment que l'on passe malgré la tristesse du scénario éclairé par la beauté de Freida Pinto. De magnifique paysage de l'Inde que ni Slumdog millionnaire et ni Indian Palace n'avaient su nous montrer.
    cimoifil
    cimoifil

    9 abonnés 380 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 décembre 2012
    C'est un bon film, une sorte de roméo et juliette indien ...
    Après je pense pas que ca restera gravée dans ma mémoire, car ce film ne traite rien !! pourtant ca dure 2h du coup on a droit à des longueurs ennuyante

    On reste sur sa faim, on comprend pas pourquoi le sujet et traité aussi superficiellement
    Les 2 acteurs principaux sont tres beaux et bons ce qui rend le film attrayant
    Kapp Pacino B.
    Kapp Pacino B.

    10 abonnés 148 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 janvier 2013
    Certainement le film que j'ai preferé en 2012 ! Freida pinto est magnifique,riz ahmed que je voyais pour la premiere fois sur grand ecran est troublant! Film magnifique ! Que d'emotions !!
    ! Vraiment un chef d'oeuvre! Moi perso ça m'a pris au trip tout le long du film. En plus la fin est vraiment surprenante! Bref j'ai été emballée!!!
    Pascal H.
    Pascal H.

    6 abonnés 78 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 juillet 2012
    Thrishna est un film perdu entre le style anglais et bollywood. Le problème vient du fait qu'il ne prend pas forcement du meilleur des deux. On se retrouve donc avec une histoire d'amour à l'indienne sans l’exotisme des chansons et des chorégraphies mais traité à la sauce occidentale avec tout un travail psychologique autour du personnage principal et ce qu'elle vit.
    L'interprétation de Freida Pinto est tout à fait juste et n'est pas à mettre en défaut, l'envie de connaître de devenir de Trishna est bien présente, mais le tout manque cruellement d'ampleur.
    J'ai eu l'impression d'errer avec l'héroïne, sans trop savoir où aller jusqu'à la fin qui m'a laissé l'étrange sensation de ne pas savoir si j'avais ou pas passé un agréable moment.
    Oriwa
    Oriwa

    54 abonnés 898 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 janvier 2013
    Si le film commence bien avec des allures de comédie romantique, il vire complètement de bord sans trop savoir comment nous mener au vif du sujet. Le résultat arrive après quelques longueurs mais il a le mérite d'être stupéfiant, ce qui pardonne tout. Les acteurs sont très bons, Freida Pinto décidément très jolie, et étant allée en Inde, c'est toujours un plaisir de voir ces paysages et ambiances bien particulières.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 18 juin 2012
    Une transposition de "Tess d'Urberville" dans l'Inde d'aujourd'hui tout à fait dépaysante, trop même parceque M.Winterbottom délaisse un peu trop l'histoire pour nous balader à travers l'Inde... Mais l'histoire de Trishna est assez bouleversante pour nous émouvoir et nous toucher et nous faire prendre conscience qu'il y a encore bien des inégalités à changer... Freida Pinto est très belle et les scènes finales sont un déchirement !!
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