Avis : Quartet - Page 8

Le film ne possède que de trop rares moments d’humour et d’émotion pour réussir à nous captiver pleinement et ce malgré son sympathique quatuor d’acteurs. La mise en scène du débutant Dustin Hoffman est bancale et peine à mettre en valeur un scénario pas très bien adapté ni ficelé lui non plus (difficile de croire qu’il y a une pièce de théâtre à l’origine de ce script) dont certaines scènes paraissent inachevées. « Quartet », erreur de vieillesse ?

Hoffman aura attendu 50 ans avant d e nous proposer son premier film : et une réussite ! on voit qu'il maîtrise tout à fait la forme cinématographique , rien à jeter , une belle leçon . Quand au fond , il nous sert peut-être de son expérience personnelle . c'est drôle émouvant ... a voir avant d'être vieux

En quelques mots : Pour son premier film, Dustin Hoffman signe un feel-good movie très émouvant et nous permet d'en découvrir un peu plus sur un art quasi-méconnu du grand public l'opéra. On rigole bien dans cette comédie SO BRITISh (leur accent <3) Le casting est top et convaincant. Bref on passe un bon moment.

Très ennuyeux malgré la grande qualité des acteurs, pas assez de musique ( même pas du tout) alors que c'est un film qui montre des musiciens qui on fait des grandes carrières et pas vraiment de scénario .

Une comédie anglaise douce-amère qui permet de passer un bon moment mais qui pâtit d’un classicisme vieillot. Vous pouvez être certain de savoir d’avance exactement ce qui va se passer. C’est uen partie du charme

Je me suis beaucoup ennuyée. Trop de chants et d'opéra et scénario presque inexistant. Seul point positif au niveau de l'image avec de beaux paysages mais c'est largement insuffisant pour en faire un bon film.

Maggie Smith est comme a son habitude parfaite, c'est un très beau film que nous offre Dustin Hoffman ! L'histoire est très touchante, quelques peu déprimante de temps en temps mais j'ai beaucoup aimé.

Une comédie dramatique d'automne tiède visant le vieillissement «Quartet» est le premier film de Dustin Hoffman, mais il a tiré une cartouche a blanc.

Adapté par Ronald Harwood à partir de sa propre fin des années 1990 stageplay, "Quartet" se déroule avec un vernis bien nantis respectueux et respectable, semblant croire que son casting merveilleux lui confère une sophistication automatique qui inocule contre des accusations de l'ennui.

Le film, cependant, n'offre pas grand chose, même dans la voie de soulèvement programmatique. Mais ses personnages sont si... directement dans leurs réactions émotionnelles, que le film prend rapidement les qualités narratives sans fioritures d'une série du petit écran, en l'absence d'un quelconque enjeu

. Il y a certes ceux qui parlent de la Maison Beecham qui aurait besoin d'argent, mais il n'y a pas d'antagoniste opposition donnée à cette menace vaguement défini -

en un mot, aucune motivations ou de subtilités d'engagement .

en bref "Quartet", offre un tas de personnages au service d'une histoire vide. 2.5

Quartet est une comédie engoncée, aussi insolente que la mère-grand des contes de fée. L’entreprise est trop sage, elle manque d’audace et d’impertinence. Beaucoup de bons sentiments et finalement peu d’émotion.

Un bon premier film pour Dustin Hoffman qui traite de deux sujets important pour lui la musique classique et la vieillesse. Il les mélange tous les deux avec brio. On a plaisir de redécouvrir (ou découvrir) les grands classiques de l'opéra. Un film So British avec un casting qu'on ne présente plus et qui nous démontre une nouvelle fois son talent. Mon point noir, est l'histoire, qui est déjà vu (sous d'autre forme) et qui n'amène rien de nouveau si ce n'est l'opéra. L'histoire traîne en longueur, pour un final qui se précipite et que l'on avait deviné dès le début. Et cette fin que nous attendions temps nous est finalement sucré. On passe un bon moment, la réalisation est super.

Si on vous disait que vous passerez la fin de vos jours dans une maison de retraite paisible, réservée aux personnes mélomanes. Tout au long de la journée et où que vous alliez, la musique serait à vos côtés pour vous distraire, vous apaiser, et vous accompagner jusqu'au bout du chemin. C'est dans cette douce ambiance que Dustin Hoffman a choisit de placer son premier film, Quartet.

Reggie, Wilf et Cissy sont de proches amis, mais l'arrivée d'une nouvelle pensionnaire va bousculer la vie paisible de ce petit groupe. Le réalisateur en herbe nous propose de participer à leur quotidien, fait de ballade et de symphonie. Seulement, le film peine un peu à démarrer avant l'arrivée de truc. Peut-être qu'on insiste trop sur ces nombreuses musiques classiques en délaissant l'écriture et les dialogues. Il y a bien ce pseudo enjeu narratif pour garder le spectateur « en haleine », avec ce gala permettant la survie du domaine. Mais en définitive, Quartet est filmé au rythme de ses sujets, assez lentement.

La force de cette première oeuvre vient de ses quatre personnages principaux, composant un émouvant et juste tableau de la vieillesse. Billy Connolly ne veut pas vieillir et utilise l'humour et la grossièreté comme rempart à une mort prochaine. Le charme de ce groupe est apporté par Pauline Collins, qui perd la tête peu à peu mais qui possède une innocence que certaines personnes âgées ont encore. La nostalgie et le regret sont des ressentis qui font partie intégrante de cet âge avancé, et Maggie Smith le joue parfaitement bien. Quant à Tom Courtenay, il incarne probablement le sage qui aime ce qu'il devient, et qui arrive à pardonner malgré les aléas de la vie

Quartet est un film typiquement indépendant, avec cette touche humoristique à la sauce british. Nous sommes par ailleurs obligés de penser à Indian Palace (plus réussi) dans le traitement que le film fait de son sujet. Mais pourquoi Dustin Hoffman a t-il choisit ce thème comme premier film ? Peut-être parce qu'à 75 ans, lui aussi se sent vieillir et souhaite en parler. Simple et agréable à voir, ce film parlera surement plus à certains plutôt que d'autres.

Au cœur d’une campagne anglaise verte et humide, la pension Beecham House a des allures de paradis pour les vieux musiciens et chanteurs d’opéra qu’elle accueille ! Sombres boiseries et moquettes profondes, tout ici est cosy. Ca vocalise et ça joue à tous les étages et l’heure du « tea time » est partagée entre souvenirs musicaux et cabotinages légers. Jusqu’à ce que la paisible retraite des artistes soit troublée par l’arrivée de Jean, une diva d’abord hautaine puis soucieuse de reconquérir Reginald, un « ex » qu’elle retrouve là. Le masque finira par craquer et Jean acceptera de participer au gala préparé par les pensionnaires et censé assurer la survie de la pension. C’était couru, comme l’« happy end » sentimental qu’on sent venir. Ca n’empêche pas deux bonnes idées : avoir fait jouer de vrais comédiens en retraite aux côtés des quatre acteurs professionnels et passer habilement à côté du gala tant attendu. Si bien qu’au final l’atmosphère de cette comédie « so british » est plutôt sympa.

Bonne petite comédie amusante et parfois émouvante. Je ne suis pourtant pas entré à fond dans ce film, malgré tout, j'ai passé un très bon moment. Bon, ok, j'adore Maggie Smith !!!

Pari réussi pour un premier film en tant que réalisateur pour Dustin Hoffman ! Il aborde des thèmes intéressants, il ravi nos oreilles en nous emmenant dans un univers musical magique, tout en nous rassurant sur le fait de vieillir. Après ce film, vous n’aurez plus peur de vieillir et, au contraire, vous saurez peut-être qu’on peut continuer à s’épanouir, même à la retraite, et cette douce pensée, me conforte dans l’idée que l’on peut faire du reste de notre vie, le meilleur de notre vie !

Un premier film touchant sur l'art de vieillir, sur la difficulté pour des artistes à mettre leur ego de côté et à quitter le devant de la scène ... avec d'excellents comédiens et de beaux décors. Rien de transcendant mais de l'émotion et des sourires qu'on aurait pu espérer plus nombreux mais on passe déjà un moment tout à fait plaisant !