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    Hold-up
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    2,4
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    81 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 1 octobre 2012
    Intéressant. Oubliez "Heat" car le film lorgne plus vers le film d'auteur que vers la superprod' et ce, malgré une certaine parenté. L'ensemble est au final haletant et précis jusqu'au bout.
    L'histoire? Ben c'est celle d'un braquage en Norvège en 2004. Donc pas grand chose d'autre a (et n'a été) rajouté.
    SansCrierArt
    SansCrierArt

    50 abonnés 414 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 septembre 2012
    Le 5 avril 2004 a lieu le plus gros braquage de Norvége. Des malfaiteurs militairement armés attaquent la banque Nokas et dérobent 8 millions d'euros.
    Le film, à la forme assez aride et filmé en quasi temps réel, montrant plus qu'il ne démontre, aurait aussi bien pu s'appeller "Les Pieds Nicklés braquent le pays de Oui-Oui". D'un côté (la police) comme de l'autre (les truands), l'incompêtence est manifeste, comme ci les deux camps découvraient ce jour là leur "mêtier". Les passants-témoins, eux-mêmes, sont sans réaction, pensant à un exercice plutôt qu'à une violence réelle.
    Ainsi, le film vaut surtout par ce qu'il raconte de la Norvége, concidérée comme un des pays les plus paisibles au monde, et du rapport de celle-ci à la violence. Intrigant.
    Toutes les critiques sur http://zabouille.over-blog.com/
    Miltiade
    Miltiade

    30 abonnés 178 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 juin 2013
    Le parti pris de réalisme documentaire du réalisateur n’est pas des plus passionnants, et ne convainc donc pas vraiment. « Hold-up » est un film mitigé. On peut applaudir le radicalisme de cette mise en scène, sauf que celle-ci appauvrit terriblement le film, qui en devient aussi quelconque que son titre. Oui, la réalité est bien plus ennuyeuse et bien moins palpitante que les films de braquage hollywoodiens, comme le souligne l’un des braqueurs au début du film. Mais Skjoldbjærg aurait quand même pu rendre ces actions minutées plus fascinantes. Par son jusqu’au-boutisme anti-spectaculaire, « Hold-up » est en quelque sorte le « Policier, adjectif » du film de braquage.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 1 septembre 2012
    Film plat sans suspense.
    Ennuyeux du début à la fin!
    Acteurs manquant terriblement de charismes et n'arrivant a nous convaincre qu'a travers de rare scènes d'actions.
    flechouille
    flechouille

    3 abonnés 179 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 août 2012
    très bon film à l'humour noir alors que l'intro pourrait nous laisser croire à une équipe de pro du braquage face à des policiers inexpérimentés face à ce genre de situation. La suite est bien conduite dans un rythme soutenu ou le suspense est total. l'amateurisme des braqueurs est parfaitement joué.
    selenie
    selenie

    5 547 abonnés 6 039 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 août 2012
    Un film de braquage captivant et audacieux sur l'histoire vraie du plus gros braquage qu'est jamais connu la Norvège. Pour bien comprendre il faut rappeler que la Norvège est un pays qui ne connais pratiquement pas de violence criminelle ; 79 cartouches tirées entre 1994 et 2004 dont 48 le furent lors de ce braquage du 5 avril 2004 !... Le réalisateur, connu pour le film "Insomnia" (remaké par Christopher Nolan) s'est extrêmement documenté pour faire un film extrêmement précis en tournant notamment sur les lieux même des faits et en servant des témoignages connus. Ces derniers ont servis également pour créer une histoire à plusieurs points de vue, le montage est d'ailleurs parfaitement maitrisé, se jouant de la chronologie tout en restant cohérent et compréhensible. Quasi documentaire, caméra à l'épaule mais sans le côté épileptique le réalisateur réalise là un film qui marque les esprits autant par le partie pris que par le style. Dès le début on plonge dans un braquage qui dure près de 20 minutes, en temps réel (1h dans le film mais qui s'explique par les différents points de vue). Pas d'esbrouffe ni d'effets visuels à l'américaine mais un film millimétré extrêment efficace... Tout pour faire un très grand film malgré deux défauts. Le premier c'est qu'il est difficile de croire à des flics aussi maitrisés et au self-control aussi impressionnant ; pas de sueur, aucun signe de stress ou de pression mais qui semblent tout perdu pour un simple barrage alors qu'ils ont une autre sortie qu'une simple chaine bloque... Car le film fait montre d'aucun manichéïsme montrant le peu de professionnalisme (sauf pour la zen attitude) des flics comme de l'amateurisme des braqueurs. La fin est trop abrupte, il manque la fuite "réelle" et un véritable épilogue. Cependant le réalisateur prouve qu'il a du talent (à part "Insomnia" ses films restent méconnus en France) et offre un très bon film de braquage, impressionnant, oppressant et d'un réalisme saisissant. Il est dommage que les flics soient si peu humain en fin de compte la note aurait été bien meilleure.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 22 août 2012
    On ne peut s'empêcher de faire le lien avec la tuerie d'Utoya quand on voit les réactions et comportements (supposés) des norvégiens quand ils entendent des coups de feu ou voient quelquechose d'inhabituel : ils continuent leur chemin comme si de rien n'était ; ils sont comme anesthésiés et endormis dans un monde de Bisounours (c'est forcément un canular ou un exercice de simulation). À part ça le film est décevant , la caméra à l'épaule donne la nausée.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    6 298 abonnés 7 259 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 août 2012
    Hold-up (2010) avait tous les ingrédients pour être un palpitant polar. Son histoire, inspirée de faits réels (qui remontent à avril 2004 lorsque la ville de Stavanger a été le théâtre du plus spectaculaire braquage qu’est connue la Norvège. Une dizaine de braqueurs ont dérobés 51 millions couronnes en plein centre-ville, au beau milieu des passants, tout en ayant pris soin de bloquer le commissariat le plus proche). Erik Skjoldbjaerg, réalisateur de Insomnia (1997) & Prozac Nation (2001) reconstitue avec une minutie très précise les évènements qui se sont déroulé, l’ennui, c’est que l’on s’attendait à un film de braquage conventionnel et en réalité, il n’en est rien, le film qui avoisine à peine les 90 minutes accuse une mise en scène à l’encéphalogramme plat, de quoi déstabiliser n’importe quel spectateur avide de ce genre de film, au risque de sombrer dans un sommeil profond. Malgré cela il faut bien admettre que Erik Skjoldbjaerg excelle dans la mise en scène, notamment lorsque les braqueurs tentent de pénétrer dans la banque Nokas et qu’ils se retrouvent face à la fameuse vitre (on évitera d’en dire d’avantage, histoire de préserver ce qui préfigure comme étant l’un des moments clés du film). Avec ce polar nordique, oubliez tout ce que vous aviez pu voir auparavant, notamment les habituelles productions US, car ici, c’est à l’extrême opposée de ce à quoi on avait été habitué. Bien qu’il y insuffle un réalisme palpable et spectaculaire, il faut bien admettre que le film s’avère rudement ennuyeux, faute de n’y trouver une quelconque énergie (il suffit de voir les membres de la police ou les braqueurs en action, on peine à en ressentir la moindre once de suspense), c’est vraiment regrettable car il y avait réellement du potentiel.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 22 août 2012
    Chronique hyper-réaliste d’un braquage, filmée en caméra à l’épaule, donnant à voir successivement le point de vue des voleurs, des policiers et des employés de banque, Hold-up est la reconstitution visiblement honnête d’un fait divers norvégien. A part ça, c’est juste un film pour rien.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 19 août 2012
    /!\ Spoilers /!\ Quelques minutes avant le début du « Hold-Up », un des apprentis cambrioleurs fait remarquer à ses petits camarades que les vrais braquages ne se passent pas comme dans les films, citant le « Heat » de Michael Mann pour preuve. Que le réalisateur norvégien explicite si clairement sa démarche dans un dialogue d'un de ses personnages est au mieux inutile, au pire un peu prétentieux, mais il est néanmoins nécessaire de garder à l'esprit que le cinéma et la télévision sont effectivement bien obligés d'enjoliver plus ou moins la réalité pour faire rêver. Pour que l'ensemble demeure réaliste et crédible, on peut y apposer une vague expérience de terrain (l'argument de vente préféré d'Olivier Marchal), ou, comme Erik Skjoldbjaerg, tenter de désacraliser le braquage de banque ; tout en prenant soin de bien souligner l'aspect « histoire vraie » de son film.

    Dans « Hold-Up », les malfaiteurs mettent dix minutes pour casser une vitre, ont du mal à mettre le feu à un camion, ne parviennent pas à garder leurs otages, lancent approximativement leurs sacs remplis de billets de banque et hésitent en permanence sur la conduite à adopter. De leur côté, les flics sont totalement dépassés : ils se retrouvent à deux contre une quinzaine de braqueurs tandis que leurs collègues sont coincés au commissariat par une voiture en feu, et n'arrivent pas à sécuriser les alentours du braquage. Les badauds passent au milieu des échanges de tirs, sans se rendre véritablement compte de ce qui se passe ; au même moment, il est demandé à un chauffeur de bus (dont le trajet commence depuis le lieu de la fusillade) d'aller voir sur place et de demander à un policier s'il peut circuler. Sans le sérieux de plomb observé par Skjoldbjaerg (toujours soucieux de montrer « comment ça s'est vraiment passé »), « Hold-Up » aurait pu être une comédie tellement l'incompétence semble être générale dans cette affaire. Le cinéaste norvégien s'évertue donc d'être objectif et exhaustif, se basant sur les déclarations des témoins et des braqueurs. Avec un début de film franchement ennuyeux et un braquage dénué de spectaculaire (malgré le dispositif important déployé par les malfaiteurs), Skjoldbjaerg soulève une réflexion intéressante : le public contemporain ne connaissant des braquages que ce qu'il a pu en voir au cinéma et à la télévision (aussi bien dans des fictions qu'aux informations), il trouve ici étrange et anormal le déroulement des évènements. Il n'y a ici ni héros ni morceau de bravoure (voir le chauffeur de bus prier une passante de faire demi-tour... alors que tout est déjà fini). Il s'agit juste d'un braquage tristement ordinaire, et c'est ce que le spectateur n'a jamais vu sur un écran.

    S'il n'y a pas de raison de douter du réalisme factuel de « Hold-Up », on peut en revanche s'interroger sur la légitimité des moyens employés. Tout comme les films contre lesquels il se bâtit, la fiction de Skjoldbjaerg ne demeure bel et bien qu'une fiction : le réalisateur scandinave, tout comme un Michael Mann ou un Olivier Marchal, fait des choix de mise en scène, et ce qu'il filme ne pourra jamais être la réalité. Malgré cet obstacle insurmontable et commun à tous les cinéastes, Skjoldbjaerg accumule les mauvais choix, à commencer par l'horripilante utilisation d'une caméra à l'épaule tremblotante et imprécise. Alors que le film se veut le plus objectif et le plus réaliste possible, la présence d'un caméraman au milieu des acteurs et de l'action saute constamment aux yeux et ne fait que donner l'illusion d'un aspect pseudo-documentaire. A cette fâcheuse tendance rarement justifiée s'ajoute l'incompréhensible recours à des ralentis quasi-lyriques et l'existence dommageable d'une bande originale. A ce sujet, on se rappellera l'explication donnée par Xavier Beauvois à l'absence de musique dans « Le Petit Lieutenant » : « [Quand] je marche dans la rue, je n'ai pas un quatuor à cordes qui me colle aux basques ». De la même façon, on imagine mal la présence d'un musicien sur les lieux du crime lors du véritable braquage survenu en 2004 : assez gênant quand on cherche tant à faire un film « réaliste ». L'idée de départ était certes intéressante mais s'avère gâchée par des mauvais choix et la certitude de son auteur de bien faire. « Hold-Up » se révèle alors être un film intelligement écrit mais pauvrement réalisé.
    JCOSCAR
    JCOSCAR

    108 abonnés 1 100 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 août 2012
    Hold-up est un casse mais plus un reportage qui raconte des faits réels. Ce film d"action est construit comme une caméra d'amateur qui veut tout nous montrer...
    davidgainsbourg
    davidgainsbourg

    19 abonnés 307 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 19 août 2012
    Ce film n'arrive pas à trouver sa place, mi scénario, mi fiction, mi documentaire, mi télé réalité, tout est filmé comme un reportage de tf1 seulement voilà : c'est une fiction. la caméra toujours en mouvement donne mal à la tête et les acteurs qui finalement n'en sont pas, refletent vraiment la rue, le peuple, bref la réalité de ce braquage violent heureux ou malheureux qu''on se place dans le camp de la société ou dans celui. des voyous...
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 20 août 2012
    un Docu-fiction norvégien sur un sujet qui semble intéressant.
    le seul problème étant que c'est un film et qu'a la fin de celui ci on ne sait absolument rien d'aucun des personnages que l'on a suivi a l’écran.
    l’élément qui me semble le plus important, a savoir le fait que les trois quart du pognon n'a jamais été retrouvé, n'est absolument pas traité dans le film.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 18 août 2012
    Avec "Hold-up", on s'éloigne sensiblement du film de divertissement pour se rapprocher du film de reportage même si certains partis-pris (multiplication des points de vue, chronologie déstructurée...) nous rappellent qu'on est bien dans la fiction plutôt que dans le documentaire pur et dur. Et puis quand d'entrée, au détour d'un dialogue entre casseurs, on nous affirme que les films de braquage hollywoodiens ne sont pas réalistes, on se doute bien qu'on ne sera pas trop servis en bling-bling et autres effets spectaculaires. C'est ce qui fait à la fois la force et la limite du film. Le réalisateur Erik Skjoldbjaerg a abordé cette reconstitution avec une précision clinique et quelques effets de mise en scène bien sentis (ralentis superbes, bande sonore rythmée par le souffle des protagonistes, le bruit des moteurs des différents véhicules, le grésillement de la radio de la police...). Le sujet lui-même et le déroulement de l'action présentent aussi des aspects déroutants et presque cocasses pour le spectateur habitué aux braquages de cinéma : il s'agit du plus gros hold-up de l'histoire de la Norvège (et au final une seule victime après une longue fusillade !!!???) avec d'un côté des braqueurs qui ont l'air très pros (équipement de pointe, organisation quasi militaire...) mais qui ont en fait très mal préparé leur coup, de l'autre des policiers en manque d'effectif et de matériel et, au milieu de tout ça, une population norvégienne d'une grande placidité face aux évènements. Ajoutez à cela le fait qu'on met trois plombes pour péter une vitre ou que les voitures n'explosent pas dès le premier coup de feu (et ouais, comme Schwarzy dans "Last Action Hero", bienvenue dans la réalité !), on a donc devant les yeux un film à la fois très original et très intéressant bien que très peu spectaculaire. Bon, d'un autre côté, revers de la médaille, "Hold-up" manque cruellement de charge émotionnelle contrairement à "Bloody Sunday", par exemple, un film qui lui ressemble beaucoup au niveau de la mise en scène (même si, bien sûr, le sujet de "Bloody Sunday" est beaucoup plus propice à l'émotion). Et puis, bien que Skjoldbjaerg fasse tout pour nous immerger dans l'action (caméra sur l'épaule...), on se sent quand même assez rarement impliqués à 100%. "Hold-up" est un film froid et précis mais qui vaudra toujours beaucoup mieux que les films de casse prétendument cools à la "Ocean 11" et compagnie.
    Thomas P
    Thomas P

    25 abonnés 507 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 août 2012
    Pas de quoi s’émerveiller dans l’ensemble mais de nombreux films devraient s’inspirer de ce film pour y apprendre la crédibilité et le réalisme. Pour un thème vu et revu, le réalisateur norvégien a su innover en transformant un évènement réel en un long métrage généreux en suspens. Avec de splendides prises de vue inattendues et la mise en place d'une ambiance oppressante, le Hold-up de la banque devient un véritable thriller. Destins croisés, retour en arrières, narration non linéaire faisant revivre une même scène via un autre personnage, le film parvient à se distinguer dans le genre. La crédibilité et le réalisme ont été permis grâce aux témoignages de ce véritable braquage mais la réalisation et le jeu des acteurs y ont également beaucoup contribué.
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