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Lili8163
21 abonnés
271 critiques
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3,0
Publiée le 14 septembre 2014
Cette romance fantastique, pleine de poésie, est faite pour les âmes rêveuses et fleurs bleues. Les deux héros sont magnifiquement assortis et leur histoire est belle et émouvante. Toutefois le film est plus ou moins scindé en deux parties, le passage de l'une à l'autre étant un peu brouillon. Les liens entre Colin Farell et Russel Crowe (incarnation du bien et du mal) ne sont pas assez développés et l'on a parfois du mal à comprendre la haine du second envers le premier, faute d'explication. Tout l'aspect fantastique (le cheval ailé, la magie, etc...) donne un côté onirique au film, non déplaisant, mais parfois indigeste. Bilan mitigé pour cet "Amour d'hiver" duquel j'attendais plus.
De bons acteurs mais qui n'arrivent pas à briller malheureusement, dans ce film, à l'histoire qui manque d'intérêt et d'originalité. Dommage car l'image comme la musique avaient du potentiel, mais l'histoire d'amour fait presque fausse tant elle est forcée par le scénario, qui en demande une.
Cette bizarroïde histoire d’amour accumule les absurdités. Les acteurs principaux ne comprennent pas ce qu’ils font. Les seconds rôles n’ont même pas dû lire le script. D’ailleurs Will Smith laisse présager qu’il veut gagner un autre Razzie Award en tant que pire acteur de soutien dans son rôle de Lucifer. Les effets spéciaux sont en décalage avec la demande. Le scénario navigue dans le temps sans jamais rien justifier. Les décors donnent simplement l’impression d’avoir été squattés en l’état d’un précédent tournage. A en croire que le grand Colin Farrell prépare déjà sa retraite à ne jouer que dans des navets en ce moment. Vous voulez de la poésie et du romantisme, la bande annonce l’annonçait mais le résultat est tout autre. Un amour d’hiver est finalement une grosse blague discount. D'autres critiques sur ma page Facebook : Cinéphiles 44
On rit beaucoup. C’est pas vraiment voulu de la part du film mais au moins l’effet est là et quelque part, ça le rend presque attachant. Le lendemain encore, on se demande toujours ce qu’il s’est passé sur ce Winter’s Tale. Que ce soit au moment de l’écriture, du tournage, du montage ou de la présentation du produit fini, personne ne s’est rendu compte de rien ? Vraiment ? Pourtant, Un Amour d’Hiver (son titre français sic) est au cinéma ce que le clip de David Hasselhoff "Hooked a Feeling" est à la musique : un joyeux moment de surréalisme nanardesque tellement drôle au second degré, qu’il a des chances de devenir culte avec le temps !
un beau casting au service d'un conte fantastique émouvant. le message ésotérique ou religieux est peut être plus poussif mais cette histoire d'amour nous touche et le voyage dans le temps intrigue.
Pour son premier film en tant que réalisateur et malgré la ténacité et l'enthousiasme qu’il y a mis Akiva Goldsman n’a pas, et c’est le moins que l’on puisse dire, convaincu la critique professionnelle et pas vraiment non plus le public si l’on en juge par les résultats financiers qui montrent que le film n’a même pas remboursé la moitié de ce qu’il a coûté… Pourquoi une telle déception, peut-être tout bêtement parce que l’histoire peine à intéresser. Il y a de l’amour, de la magie, l’affrontement du bien et du mal et pourtant l’intrigue d’un romantisme échevelée manque cruellement de force. On suit sans ennui cette histoire, mais on peine à entrer vraiment dans l’univers que nous dépeint le réalisateur et qui ne semble qu’une vaste illustration sans âme d’un roman - probablement bon - dont le résultat à l’écran est un peu too much. Les acteurs eux-mêmes sont décevants : la belle Jessica Brown Finlay n’arrive pas à émerger de son rôle de belle mourante, Colin Farrell semble un brin fadasse dans celui du bel amoureux dépassé par les événements et Russell Crowe à la limite de la caricature en démoniaque agent du chaos. L’intrigue connaît en outre une fin un peu décevante qui laisse le spectateur un peu interloqué devant autant de temps pour une conclusion aussi médiocre. Le romantisme submerge le film ainsi que les bons sentiments, mais l’ensemble semble déjà-vu et ne parvient jamais à sortir d’un récit très engoncé dans un sentimentalisme insipide. Pas vraiment désagréable, juste inoffensif et assez inintéressant au fond.
"Un amour d'hiver" est une aventure navigant entre romantisme et fantastique qui fait le minimum syndical : un peu de magie, un peu d'émotion, un peu de larmes. Moyen, donc. La faute à une histoire décousue dans laquelle on a un peu de mal à rentrer. Pourtant, les moyens ont été mis sur la table avec une imposante brochette de comédiens poids-lourds : Colin Farrell, Russell Crowe, Jennifer Connelly ou Will Smith. Mais ça reste trop superficiel pour que l'on puisse être submergé de belles sensations et un exercice de style trop froid, même si, vu son titre, de saison.
c'est joli, plein de bons sentiments, avec une pointe de surnaturel et une belle brochette d'acteurs. L'hiver arrive, l'amour, l'amour, toujours l'amour.....
Il est étrange de voir des critiques aussi négatives. Je crois qu'il ne faut pas attendre de ce film un message trop profond mais seulement le voir comme un divertissement de grande qualité. C'est un film très original quant à son histoire mais surtout quant à sa mise en place et son développement. Dur à comprendre parce qu'on a pas tous les éléments d'un coup, on les découvre au fur-et-à mesure. C'est rudement bien construit, très poétique et chaleureux. Les enfants pourront autant apprécier que les adultes car la magie opérante est souvent digne d'un Disney moderne (peut être pas les plus petits d'entre eux...). Beaucoup de tendresse et d'émotions. Russel Crowe reprend un rôle de méchant digne de celui des « Misérables » ou de celui de « Programmé pour tuer », etc... Colin Farrell est vraiment très étonnant, son couple avec Jessica Brown Findlay fonctionne très bien. La photographie et les décors sont magnifiques, nous avons d'ailleurs droit à une très jolie affiche. Un premier projet de taille pour Akiva Goldsman, je ne serai pas étonné de le voir grimper les échelons et atteindre le niveau d'un grand réalisateur reconnu en Amérique.
Scénariste plus ou moins talentueux, Akiva Goldsman ("Je suis une légende", "Un homme d'exception", "Batman & Robin") passe à la réalisation avec "Un amour d'hiver", histoire d'amour fantastique dans laquelle les forces du Bien et du Mal s'affrontent, le Mal voulant empêcher les personnes d'accomplir le miracle pour lequel elles sont destinées. Le résultat, sans aucune nuance, est terriblement manichéen et le premier degré constant de l'histoire qui se prend bien trop au sérieux finit par devenir pesant, laissant la magie s'envoler. Certes, il y a quelques bonnes idées mais gâchées par une mise en scène impersonnelle et par un scénario maladroit. L'émotion a donc du mal à venir pointer le bout de son nez et ce n'est pas dans son aspect fantastique que le film est le plus réussi, osant offrir à Will Smith le rôle de Lucifer, certainement plus pour faire une private-joke que pour sauver la crédibilité de l'ensemble. Ce qui s'avère également surprenant, c'est qu'en méchant, Russell Crowe a l'air de patauger et il faut bien la prestation de Colin Farrell pour trouver quelque chose de vraiment positif à dire sur le film. En effet, dans un rôle pas facile et pas forcément subtil, l'acteur arrive à apporter de la sincérité et cela fait un peu de bien.