Avis sur Assaut sur Wall Street

Tous les adaptations de jeux vidéo de Uwe Boll que j'ai pu voir sont ratés et affreuses à regarder, je m’étais fais une opinion de réalisateur complétement nul jusqu'au que je vois assaut sur wall street avec dominic purcell, et edward furlong et là j'ai adoré. Le film n'est pas un chef d’œuvre, mais il a le mérite de se laisser regarder sans problème, avec cette histoire couple qui connait une descente aux enfer a cause d'hommes de la finance peu scrupuleux qui les ont ruiné. Uwe Boll n'en fait jamais des tonnes et se met en retrait pour laisser l'histoire se raconter, ce qui fait que l'on est plus touché par ce qui arrive aux couple incarné par dominic purcell et Erin Karpluk. On finit par être révolté par la cupidité et l’égoïsme des uns ( les banques et les courtiers) , et l'hypocrisie et la lâcheté de ceux qui sont sensé protéger les petits gens à l'image de ce procureur qui rejette avec dédain le personnage de dominic purcell, venu plaidé sa cause. A l'inverse on pourra qu’être touché par la solidarité de ses collègues mais qui malheureusement ne pèse pas bien lourd face au pouvoir de destruction et de nuisances de ses courtiers et banques financières. Ce qui nous amène à la dernière partie du film qui est un pur plaisir,à savoir la vengeance d'un homme contre les vampires de la finances, malgré le carnage on ne peut qu’être du coté du personnage vengeur et qui n'a plus rien à perdre de dominic purcell malgré son jeu assez monolithe, il est magnifique, de détermination et on ne peut qu’être de son coté tant les individus qu'il tue nous apparaisse froid et cynique. Le fait que le film se termine sur une sorte de happy end qui amène à des suites qui n'existeront jamais me désole sur le fait que Uwe Boll qui a arreter le cinéma n'ait pas ce genre de film plutôt, au lieux adaptations foireuses de jeux vidéos dont il ne maitrise pas les codes. Dommage.

Formidable, jubilatoire, libérateur contre cette nouvelle religion mondiale qui est l'Or dont s'est emparé nombre d'êtres humains, et depuis au moins 5000 ans. Et aujourd'hui cet or métal n'est même plus physique, il est une suite de zéros et de uns dans le binaire de l'informatique... Ce n'est pas vraiment un film d'action, toute la partie préparatoire est à mon avis beaucoup plus importante que les fusillades finales.
Un film bien dans son époque et qui "tire" là où ça fait mal.

sans révolutionner le genre, Assault on Wall street se laisse regarder; et pour une fois, le happy-end pas vraiment dans la lignée moralisatrice hollywoodienne à deux balles, fait plaisir à voir.
Enfoirés de capitalistes!...

Voici ce qu'aurait du être le film "Le Punisher" s'il avait été réussi car on a ici la version "Wall Street" qui est très impressionnante.
La première heure se veut extrêmement pessimiste, où tout va de mal en pis. On suit la longue descente aux enfers d'un couple qui est pris dans un engrenage financier sous fond de crise immobilière. Dramatique, stressante, cette première heure n'offre quasiment pas de lueur d'espoir si ce n'est le réconfort des amis du héros qui assistent impuissant mais compatissant à la détresse de leur ami. Il n'est pas question d'action du tout dans cette première heure, l'accent étant porté sur le caractère poignant de la situation des personnages. Assez psychologique, on n'en demeure pas indemne car la détresse du couple concerné se veut très réaliste et émeut facilement les spectateurs.
Puis s'ensuit la dernière demi-heure du film, qui monte crescendo également mais cette fois ci dans la violence avec comme point d'orgue l'assaut d'un bâtiment de Wall Street par le héros. Ici pas de place à la mièvrerie, les actes du héros peuvent même paraitre inadmissibles tant ils sont extrêmes. Mais par ceux qui touchent le fond, comme dit dans le film, ils peuvent au moins se comprendre.
Comme disait le dramaturge norvégien Henrik Ibsen "l'homme le plus fort du monde est celui qui est le plus seul". On en a la certitude en visionnant ce long-métrage qui porte un regard noir sur le système financier dont quelques individus profitent tant qu'ils sont en haut de l'échelle.

Film d'une rare qualité vu le nombre de navet ayant produit Uwe Boll.
Ce film dénonce les systèmes judiciaires et médicaux en Amérique le tout porté par Dominic Purcell qui incarne le personnage de Jim à merveille que sa soit en mari aimant ou dans la descente aux que vit se couple !!!
J'aurai mis 4/5 au film spoiler: si la fin et notamment son happy-end (Jim s'en sort s'en problème) n'aurait pas gaché la crédibilité que le film avait pendant toute sa durée mais bon il reste de très bonne facture tout de même...

A ne pas rater !

Assault on Wall Street : Un petit direct to DVD sympathique a voir et sans prétention. On retrouve dans le rôle titre Dominic Purcell connue pour son rôle dans la série Prison Break. Comme je l'ai dit plus haut, le film est sans prétention, et même si il ne vole pas bien haut, il a le mérite de critiquer un peu le système capitaliste.

je m'attendais un une série b pourrie mai la claque que j'ai prit ma remis en place un film extra avec un scénario superbe un homme qui par en guerre contre un système pourrie et qui lui a tout fai perdre rien a dire génial .

Uwe Boll secoue Wall Street. Enfin voulait... L'idée démarrait que le personnage principal prenne la décision après divers problèmes du quotidien malgré lui, perte d'argent auprès de la bourse, perte d'emploi et j'en passe, d'attaquer par un moyen extrême les coupables. Boll ne parviendra pas à finaliser tout ça au mieux. Plus de quarante minutes après, le personnage est toujours en train de réfléchir et quand le moment que l'on attend tous se pointe, malgré sa violence, cela arrive trop tard.

Ah Uwe Boll, s'il n'était pas là, il nous manquerait tellement. Quelle subtilité dans son message...non en fait, il dénonce les dérives d'un système capitaliste comme un bourrin mais c'est pour ça que c'est bon...on prend un plaisir coupable à voir Dominic Purcell dézinguer ces salopards de spéculateurs, agissant au final comme un exterminateur en mission. Et puis au niveau casting, il y a pléthore d'acteurs de séries B (Paré, David, Furlong, Heard...) qui assurent leurs rôles correctement.

Un bon film qui ressemble plus à un téléfilm dans le 1ere partie mais qui reste quand même efficace dans le traitement par contre le 2e partie sur la vengeance est excellente.

je viens de voir ce film que j'ai trouvé tres bon, et apres avoir donné mon avis sur le site de visionnage ou j'etais le premier a laisser un commentaire, j'ai (comme souvent lorsqu'un film me plait) voulut en savoir un peu plus et surtout voir ce que les autres spectateurs en pensait en general , et la........ !!
je n'arrive pas a croire qu'il est pu avoir des critiques ou des notes aussi mauvaises, ou plutot si , mais ca confirme juste que beaucoup on arreter d'etre objectif ou de reflechir un minimum (s'ils l'ont fait un jour.....) et qu'ils veulent voir ce qu'ils ont deja preconçu dans leur cerveau de consommateur egocentrique a la vu de l'affiche et du nom du realisateur avant de voir cette perle de Uwe BOLL.
comment peut on dire que ce film est : " long, plat, chiant, vide, il ne se passe rien. Ha si pardon, les 5 dernières minutes il y a un semblant d'action, scène d'ailleurs complètement improbable. 1,5/5"( tiré d'un comm d'un membre d'ici)?

je ne parlerai pas du sujet du film, d'autres l'on fait ici, mais plutot de la realisation general, ou on ne peut que saluer le casting, certes pas de grands acteurs hollywoodien (ce qui n'est pas pejoratif de ma pars....) mais qui remplissent tres bien leurs role, en particulier Dominic PURCELL , touchant et on ne peut plus credible.
la camera sait etre calme et faire passer des emotions , mais aussi vive et dynamique, aidé par un montage parfois subtil (alternance "rapide" de plan dans des scenes posé ) et parfois brut et sans concession dans les scenes d'actions.
le seul gros bemol reside dans le doublage en vf, ridicule et vraiment mauvais, pas etonnant que je n'arrive pas trouver le nom de la societé aussi bien dans le generique que sur le net......

pour finir, si l'on est capable de faire l'impasse sur la reputation dite "sulfureuse" du "master of error"(surnom que les americains lui donne...) , et lui "pardonner" (on parle de cinema, pas d'une chose qui a pouvoir de vie et de mort sur nos vies, hein.....) ses productions plutot serie b du passé, on passe un tres bon moment grace a la montée en puissance de cette pepite de Uwe BOLL!!!

Une vague de sentiment fulgurante , un film qui fout les boules , et qui explose dans la violence . On en redemande!

Un Jérôme Kerviel avec des flingues, un justicier qui nous venge des financiers qui ont l'impunité, ça fait du bien à voir.

Ah, ce bon Uwe Boll, toujours aussi subtil ! Bon, certes ce film délivre son propos de façon balourde, mais ça reste un métrage finalement plaisant et même bien réussi, malgré un manichéisme certain.
Les acteurs sont un peu inégaux. Dominic Purcell en effet n’est pas toujours très convaincant. Si dans l’ensemble il est solide et investi dans son rôle, parfois il a des airs de benêts qui lui enlèvent de la crédibilité, et c’est un peu là où l’on voit la différence quand même entre un Jason Statham par exemple, toujours constant et charismatique, et un Dominic Purcell qui fait des efforts louables, qui globalement tient la route, mais n’est pas toujours égal et pas toujours marquant. Autour de lui de bons seconds rôles assez bien campés. La charmante Erin Karpluk, le vétéran Keith David, un Edward Furlong assagi, et puis des habitués de chez Boll comme Eric Roberts dans un petit rôle qu’il maitrise. Pour ma part j’ai trouvé ce casting éclectique plutôt bon.
Le scénario est assez bon. Honnêtement ce qui fait plaisir avec Boll c’est son jusqu’au-boutisme, son refus du consensuel, ce qui donne à ces films un caractère brut et direct intéressant. Le film sait se montrer méchant, sans concession, et en même temps il y a une certaine pertinence dans le propos. D’autant que le film est loin de miser sur l’action en fait, mais plutôt sur l’errance psychologique du héros, bien montrée. Une approche réellement bien vue, quoique le film du coup est un rythme qui puisse décevoir. Pour ma part je l’ai trouvé très agréable, mais c’est vrai que Boll, forçant le trait jusqu’à la caricature, n’est pas toujours d’une grande crédibilité.
La réalisation est bonne. Franchement Uwe Boll a fait de très sérieux progrès dans la majorité de ses films récents. C’est très proprement réalisé, c’est élégant, la photographie est très belle, les décors sont classieux et d’une sobriété des plus agréables. Franchement à l’image du dernier film de Boll que j’avais vu et critiqué, j’ai trouvé un travail d’une grande propreté, sans grandiloquence ou chichi outrancier. La fusillade est fort réussie, le final d’ailleurs est très bien fichu, et je dois dire que j’ai pris un franc plaisir devant l’aspect visuel du film, traité avec un soin très perceptible. On regrettera comme souvent chez le réalisateur que la bande son ne soit pas plus costaud, néanmoins c’est ici très acceptable quand même.
En somme les principaux défauts de ce film viennent d’un Dominic Purcell inégal, d’un côté un peu trop caricatural et forcé, et d’un rythme qui aurait pu être un peu plus soutenu. Mais enfin, pour le reste c’est un bien bon Uwe Boll que voilà, et je suis de plus en plus tenté de poursuivre dans sa filmographie, qui clairement voit son niveau se rehausser. 4.

Un film rare tout en substantialité, ressenti et en parti pris qui se légitime spoiler: sauf qu'il est moralement pour la fin difficile de légitimer un massacre d'au moins une vingtaine de personnes que l'on pourrait qualifier de moyennement responsables. L'ancien militaire employé dans la sécurité des transports de fonds est-il moins responsable du système que l'employé d'une grosse société qui ne fait que survivre comme lui.
Il y a là, si le propos anti-capitaliste est bien compréhensible et assez habilement exprimé, des incohérences. L'ensemble est unilatéral, orienté sur le vécu du personnage joué par Dominic Purcell. Cela se comprends dans le sens du film mais en donne aussi une limite. Le personnage doué spoiler: comme sniper et pour le commando
c'est ce qui nous est présenté et cela n'est pas du tout absurde mais amorce déjà une violence que certains appelleraient libératrice mais qui n'est que violence sans espérance et sans vraie justice. Le discours du capitaliste est intéressant et lucide, il n'est lui-même que le jouet d'un système ce qui ne le dédouane pas d'une forme de responsabilité mais à la vérité il est difficilement crédible que la tuerie montrée dans le film soit autre chose qu'une vengeance et a une quelconque utilité pour lutter contre le système.