Avis : The Rover - Page 7

Un cinéma ultra radical et désespéré. Hypnotisant...

Grosse claque cinematographique de plus le duo pattinson/Pearce est parfait !

Un thriller tant éprouvant qu'il n'est intéressant ! Durant ce road-movie vous avez autant peur de ce qu'il va se passer dans le film que les personnage craignent le personnage principal interprété magistralement par Guy Pearce. J'ai rarement vu d'aussi parfaite interprétation d'acteur, il est accompagné d'un superbe Robert Pattinson tout aussi juste dans son interprétation. The Rover un film à voir ABSOLUMENT !

Directement inspiré de l'univers de Mad Max, The Rover est un film lent et ennuyeux, sauvé par une photographie précise et de bons acteurs. Sans réel intérêt, il n'est même pas un divertissement. Adapté à un public adulte, il est à voir pour ses images, pour la relation Pearce-Pattinson et éventuellement pour son message d'humanité, mais pas pour son histoire.

lent, histoire tirée par les cheveux... contexte pas clair.
Heureusement que les acteurs sont bons.
bref pas mon style de film.

Un film rare: un jeu d'acteurs excellent à tel point qu'on plonge littéralement dans l'histoire qu'on vie avec les personnages. Réalisme, expression forte à travers les images alors que les dialogues sont de strict minimum, parce que tout passe à travers les images. Une perle du cinéma. A voir absolument et en VO de préférence. Le sujet est de l'actualité.

Un bon drame avec une prestation impressionnante de Pattinson. Beaucoup d'intrigues laissées à l'interprétation du spectateur, un road movie très sombre avec, à chaque escale, un évènement renfonçant la dureté, l'errance et le désœuvrement. Fond apocalyptique, assez peu de dialogues, sans rythme et un final en 2 étapes attendu (malheureusement). 3.5/5 !

EH MEC, ELLE EST OU MA CAISSE? Dans l' outback australien, on y tourne des films d'une rare violence, sans trop de dialogues dans une ambiance pesante avec un son et une musique monstrueuse. Une mention au vampire Pattinson et la folle du désert Guy Pearce.

film très ennuyeux et d'une lenteur incroyable !! on ne voit pas trop où on veut nous emmener !! Dommage car j'aime assez bien Guy Pearce mais pour ce coup c'est raté

Que dire de ce film plus prometteur dans la bande annonce que devant le film. A part l'interpretation irreprochable de guy pearce et de robert pattinson. L'histoire est peu interressante et assez plate.

Pour ma 1001ème critique sur "Allociné", je ne pourrai hélas pas être aussi élogieux que dans la précédente. En gros, le pitch du film, c'est : un type (Eric) se fait voler sa bagnole (une "Rover" ?) par des malfrats en cavale. Cela lui fout vraiment les nerfs, en fait pas vraiment pour la bagnole, mais pour une raison assez futile qu'on ne découvrira qu'à la fin. De fil en aiguille, parti à la poursuite des vilains en compagnie du frère un peu débile de l'un d'entre eux (Rey) et abandonné pour mort par la bande, il va semer les cadavres derrière lui, le tout sans un décigramme d'émotion. L'histoire se déroule dans une Australie "post-apocalyptique" où tout -- ou presque -- semble permis. Ca m'a laissé assez froid et je n'ai été pris d'empathie pour aucun de ces personnages frustres et cradingues, évoluant avec une lenteur digne des meilleurs "Derrick". De plus, amis de la VO, à moins que vous ne soyiez un autochtone et/ou ayiez une oreille très affutée, une bonne partie des dialogues (dialectes ?) vous semblera difficile à comprendre : les sous-titres vous aideront grandement ! Robert Pattinson (Rey) a changé de registre : ce rôle lui va plutôt bien. Quant à Guy Pearce (Eric), ce n'est pas la mémorisation des dialogues homéopathiques de son personnage de "taiseux" qui l'aura beaucoup fatigué...

Un film lent, long basé uniquement sur l'esthétisme des images en limitant dialogue et scénario au livre à acheter avant.
PLV: nouveau concept de film : il faut lire l'histoire avant pour comprendre le film, les images n'apportent pas grand chose

Michod parvient à maintenir l'attention et le suspense avec un scénario minimaliste et une ambiance de western moderne, Pattinson se débrouille très bien, ce qui est plutôt une surprise, sorti de ça il s'agit malgré tout d'un petit film, en-dessous de son précédent

Lenteur et sombre voila ce qui caractérise ce road movie lugubre et gore avec un pattinson débile éblouissant.

Présenté au festival de Cannes, The Rover se présente comme un digne légataire de Mad Max qui, selon Michod est l'astre du cinéma australien autour duquel tous les autres films gravitent. Mais ici, point d'explosions, de courses-pousuites ou de giclades de sang. Michôd opte plutôt pour un réalisme prenant et ce, dès l’ouverture où en posant sa caméra il nous fait découvrir des paysages australiens désertiques où toute forme d'humanisme semble être enfoui six pieds sous terre. En réalité, The Rover fait partie de ses films (à l'instar du Only God Forgives de Nicolas Winding-Refn) dont on ne sait pas s'il tiennent de la blague ou du génie : c'est donc en mi-figue mi-raisin qu'il faudra raisonner. Le duo formé par les excellents Guy Pearce et Robert Pattinson dévoilent une relation complexe dans un monde déshumanisé où tout meurtre semble être sans grande conséquence, mais sert en réalité à cacher la pauvreté d'un scénario (en gros, Pearce recherche ceux qui ont volé sa voiture) qui nous emmène dans un road-trip d'1h40 tour à tour hypnotique, immersif, déstabilisant et distant. The Rover n'est donc ni un chef d’œuvre ni une daube mais un juste milieu, un film qui se laisse regarder pour son travail de production design crade et donc génial.