Avis : Dark Clown - Page 2

une idée sympa au départ qui n'est en fait qu'un enchainement de scénes gores grotesques supporté d'un scenario ectoplasmique. 10/20

Un second degré bien géré et une histoire originale. Mais au final le film manque d'ampleur, de rythme et les scènes de meurtres ne sont pas réaliste.

Est-ce que j’ai bien aimé that is the question
Surprenant ça c’est sûr et après tout ça devient rare au cinéma
Film irlandais, ceci explique peut-être cela
A vous de voir !

Conor McMahon a de l'audace, le bougre. Comme Sinister pour le film d'épouvante et son fantôme démoniaque, Stitches ramène à la vie un boogeyman qu'on aime détester, le clown tueur. Production irlandaise qui offre quelques pépites telles que Outcast de Colm McCarthy, ce long-métrage est un délice. Une petite sucrerie digne de figurer dans le panthéon des meilleurs films de genre. Tout simplement.

Stitches est un clown dégueulasse, il fornique à l'envie, insulte les marmots et se livre à divers joutes verbales où suintent son amoralité et sa méchanceté. Lors d'un fête, il perd malencontreusement la vie mais 6 ans plus tard il est bien décidé à revenir pour se venger... Qu'on se le dise, ça va saigner sévère...

Une compression de la boîte thoracique suite à une introduction d'une drôlerie rafraîchissante, c'est ce à quoi j'ai eu droit dès les premières minutes de Stitches. Le terrain est joli, l'exposition se faisant sans heurts, l'humour pince sans rire propice à un troisième degré qui va enchanter. Le film de Conor McMahon réussi le mariage habile de la comédie fun à un film d'horreur dont les séquences gores rappellent quelques bons souvenirs. Stiches est une farce qui, par ailleurs, est dotée d'une réalisation élégante : le cinéaste dresse le portrait séduisant d'adolescents en évolution, il réussit en outre à les rendre sympathiques. Il y a quelques idées intelligemment mises en scène (le nez, cette façon de jouer sur un récit binaire lors des séquences de meurtres ou la mise en image de ses mêmes crimes). C'est bien écrit. On notera cependant une baisse de rythme par moment mais pas une baisse de plaisir. Mention excellent à Ross Noble, charismatique. Stitches est un film que je recommande. 4/5

Etre fan de film de série B n'implique pas qu'il faille trouver des excuses quelconques à ce film! Chaudement recommandé dans l'émission Direct to DVD je me suis empressé de le regarder. Je vous prévient le clown sur la pochette n'a absolument rien à voir avec le clown du film! Les personnages sont vraiment insupportables (cette pléiade de gamins vraiment couillon) et Stitches le méchant du film n'a pas de charisme et ne fait absolument pas peur. Les scènes de gores ne sont pas super intéressantes et franchement le décalage humour/gore ne rendait pas super bien! Il faut une sacré maitrise pour maitriser le concept et pour ma part c'est vraiment loupé. En tout cas je ne peux souhaiter à ce jeune réalisateur que le meilleur vu qu'il a déjà fait le pire!

Petit film irlandais horrifique et gore, "Dark clown" atteint son but avec un scénario bête et méchant qui voit un clown revenir de l'au delà pour régler ses comptes avec une bande d'adolescents qui l'ont fait passer de vie à trépas quelques années auparavant. Comme le dit un des protagonistes: " lorsqu'un clown raconte une blague une deuxième fois, c'est beaucoup moins drôle"....c'est effectivement le cas pour les adolescents du film.

À la suite des nombreux films d’horreur à propos de coulrophobie, dont le plus connu est certainement Ça de Tommy Lee Wallace, inspiré par Stephen King, le petit dernier intitulé Dark Clown, réalisé par Conor MacMahon, vient de sortir en France, le 6 mai 2014, sous l’impulsion du magazine Mad Movies, deux ans après sa sortie irlandaise. Un slasher à l’ancienne, avec un brin d’humour, sujet oblige.

Stitches (Ross Noble), clown lubrique et antipathique, débarque à la fête d’anniversaire de Tom (Tommy Knight). Tom et ses turbulents camarades vont mettre à mal le spectacle du clown (qui ne semble pas vraiment motivé d’ailleurs). Les petites crapules vont commettre l’irréparable, et en lui envoyant un ballon dans la tête, le faire glisser sur un couteau de cuisine trônant dans le lave-vaisselle ouvert. Stiches, ressuscitait par une société secrète de clowns, va revenir six ans plus tard pour se venger, avec plus ou moins de goût, et d’imagination.

Prévenons tout de suite les âmes les plus sensibles, Dark Clown ne fait pas l’économie de scènes plus gores les une que les autres. Au menu, vous aurez le droit à une trépanation, une éviscération, une décapitation, etc. Tout le panel nécessaire pour se livrer à une surenchère d’hémoglobine et de viscère. On apprécie quand les films de genre, aussi violent soit-il, serve un propos, ce n’est pas vraiment le cas ici. Stitches est désagréable et inspire une impression malsaine dès le départ, donc on ne compatit pas à sa destinée. Ce clown n’est pas un vrai personnage de méchant, plutôt le looser plus, le personnage machiavélique qu’il devient n’est pas suffisamment original ou angoissant pour que l’on en garde un souvenir impérissable. Et la critique portant sur des gosses mal élevés n’est pas un motif qui semble légitimer une telle vengeance. En fait, ces enfants ne sont pas assez mauvais pour que l’on trouve du fun dans leurs supplices. Et surtout, les films de vengeance horrifique fonctionnent lorsque celui qui se venge a subi un véritable supplice. Ici, il ne s’agit que d’un accident survenu à cause de sales mioches. La mise en scène appuie sur les actes des gamins, comme s’ils méritaient un temps au purgatoire. Mais l’effet est raté, leur taquinerie restant assez convenue. Malgré ce scénario peu exaltant, Dark Clown peut se targuer de nous faire rire de temps à autre, comme lors de la ridicule course poursuite en bicyclette, où le clown revient en arrière n’arrivant pas à franchir une pente, et se met alors à porter le vélo. Ou bien encore, lorsque Stitches lance son nez à la recherche d’une victime potentielle. Ou comment, avec peu de moyen, oscillé entre le fantastique et le burlesque.

Nominé quatre fois au Paris International Fantastic Film Festival, notamment dans la catégorie « Meilleur long métrage », le film n’a finalement rien raflé. Pour notre part, nous ne sommes pas sur que les nominations soit justifiées. Dark Clown ne brille ni par son originalité, ni par le fond, ni par la forme.

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Si il y a deux-trois idée marrantes sur le papier notamment au début, on se rend bien vite compte que tout le film est, à l'image du clown, de très mauvais goût, que les acteurs sont évidemment à la ramasse et que les effets spéciaux/maquillages sont fauchés. Passées les 10 premières minutes, c'est accablant de bêtise. On est vraiment dans la même veine qu'un Uwe Boll genre 'House of the Dead' et, vous qui lisez ça, vous trouverez sûrement bien mieux à regarder ce soir.

Bon c'est du classique dans le style de vendredi 13 mais avec un clown faisant office de tueur.
Mais ou le film gagne en intérêt,c'est dans la façon que le clown tue ses victimes qui est assez drôle.

Malgré la présence d'un scénario assez basique et d'un casting bien médiocre, on prend un certain plaisir à visionner ce film irlandais qui mélange de manière astucieuse la comédie et l'horreur. Il y a de nombreuses scènes gores, les maquillages sont très réussi et l'humour fonctionne globalement plutôt bien. A voir par curiosité !

Film complétement kitch et décalé, il ne manque pas grand chose pour que ce film soit culte. Dommage.

Une excellente surprise, c'est gore a souhait, rempli d'effets comiques portés sur le sexe, je me suis marrer tellement ce film est burlesque et, une vrai réussite.

Début accrocheur pour cette comédie horrifique venant d'Irlande avec cette ouverture ou l'on découvre comment des gamins de 10 ans tuent accidentellement un clown venu leur faire un spectacle certes tout pourrie mais de là à le tuer ce pauvre clown... bref 6 ans plus tard il revient tuer les petits qui on grandit entre temps lors d'une teuf organisée par l'un d'eux.
Donc ce début est très sympa Dark Clown laissant présager une comédie horrifique tendance trash assez fun à mater mais finalement ça cale un peu. Dans son genre ça reste assez classique et la mise en scène manque d'imagination heureusement que les scènes de meurtres sont bien faites, elles sont du style grand guignolesque ; gore mais plus humour noir que vraiment effrayante.
Ce film est court donc évite l'ennui, c'est joué correctement mais c'est trop vite oublié une fois terminé.

Comédie horrifique, réalisée par Conor McMahon, Dark Clown est un long-métrage sympathique. L'histoire nous fait suivre un clown lubrique exerçant sans conviction son métier. Engagé pour animer la fête d'anniversaire des dix ans de Tommy, il va se faire humilier par les enfants présents, et victime d'une mauvaise blague, son destin va basculer puisqu'il va trouver la mort. C'est alors que six ans plus tard il va réapparaître à l'occasion d'un nouvel anniversaire et compte bien gâcher la fête en se vengeant de ses bourreaux encore hantés par son souvenir. Ce scénario rentre immédiatement dans le vif du sujet et s'avère très plaisant à visionner tout au long de sa durée d'environ une heure et vingt minutes, grâce à son ton mêlant humour et horreur. Ce mélange des genres prend parfaitement et se veut très bien équilibré à travers des scènes aussi drôles que gores, même si l'ensemble manque parfois de rythme et d'ambiance. Tout cela est rendu possible grâce aux personnages, notamment ce clown libidineux et maléfique. Cet homme aux nez rouge est correctement interprété par Ross Noble qui semble prendre plaisir à effrayer ses victimes. Des proies joués par de jeunes comédiens plus ou moins convaincants entre Tommy Knight, Shane Murray Corcoran, Gemma-Leah Devereux, Roisin Barron ou encore Eoghan McQuinn. Une bande formée de rôles plutôt clichés mais appréciables, surtout qu'il existe des dissentions entre eux. Du coup, les relations entre tous ces individus offrent des échanges tantôt musclés, tantôt gênants, mais toujours amusants, surtout quand le clown vient se mettre au milieu de ce groupe juvénile. En effet, chaque fois qu'il ouvre la bouche il touche sa cible à travers ses répliques aussi marrantes que vulgaires. Sur la forme, la réalisation de Conor McMahon est globalement assez quelconque mais parvient par moments à s'élever à travers des transitions bien pensées et des morts créatives aussi marrantes que violentes. Mais cette violence est relativisée par des effets spéciaux volontairement grossiers rendant ces scènes brutales acceptables. L'atmosphère est elle assurée par une b.o. aux titres festifs mêlées à et des musiques angoissantes franchement convaincantes. Ces festivités sanglantes se concluent sur une fin satisfaisante venant mettre un terme à Dark Clown, qui s'avère être un petit film divertissant méritant d'être découvert.

« Juste pour info, toutes les fêtes ne se finissent pas par un clown mort ! » Conor McMahon est un peu le Peter Jackson dèbutant du cinèma british et l'humour de son mètrage a souvent un côtè attardè! Mais il est impossible de s'ennuyer en regardant un ovni comme "Dark Clown", lequel rèussit même parfois à accomplir du gore dètonnant, dègoulinant et ècoeurant telles les boules de glace avec de la bonne cervelle d'ado! Les effets spèciaux ? ils n'ont rien d'extraordinaire mais bon les meurtres sont marrants et originaux spoiler: (le parapluie dans l'oeil de la jolie Roisin Barron)
. il y a un avant et un après "Dark Clown". Même si c'est une comèdie d'horreur qui ne manque pas de folie, ce film de 2012 ne fait jamais peur avec des scènaristes qui ont prèfèrès beaucoup de sang à la place! Pour ceux qui cherchent du dialogue posè et bien enlevè, c'est ratè! Et le jeu en roue libre des acteurs ne remontent pas le niveau! Reste heureusement le siphonnè Ross Noble dans la peau du "Dark Clown" dont on ressort au mieux amusè, au pire choquè, mais qui ne laisse pas indiffèrent dans le domaine de la connerie! La projection finie, on n'ècoutera quand même plus jamais, « (I Just) Died In Your Arms » du groupe pop rock Cutting Crew, de la même manière...