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    My Beautiful Boy
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    4,0
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    168 critiques spectateurs

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    Maite.ferhat
    Maite.ferhat

    58 abonnés 46 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 février 2019
    J'ai eu l'occasion de voir "My Beautiful Boy" lors de la projection Club 300. Timothée Chalamet a présenté le film humblement, ce qui le reflète très bien.
    C'est un film simple, dans sa complexité. Pas de blabla, pas de fioritures. Il est brut. Et pour une fois, un film ne traite pas de la drogue du point de vu de l'addict, mais de l'entourage. C'est touchant, émouvant.
    Tout le long du film, on ressent une forte douceur et une ambiance chaleureuse, que l'on aime avoir auprès des siens. Ce film, malgré qu'il soit dur, fait du bien. On a envie d'aimer les siens.
    My Beautiful traite des rapports complexes familiaux, et des choses qui nous empêchent parfois d'être soi et de dire Je t'aime.

    Les acteurs sont exceptionnels, ne parlons pas de Timothée Chalamet qui est extrêmement prometteur et qui a déjà d'ailleurs fait ses preuves.

    Je vous conseille vivement ce film.
    Aymeric P.
    Aymeric P.

    3 abonnés 56 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 février 2019
    Sans faute, époustouflant, profond, touchant, attachant... Timothée une nouvelle fois révélé par son propre art. L'art sensible, l'art sentimental. Je me baladais dans la rue quand j'ai vu l'affiche. J'ai bien compris depuis Call me by your name que ce garçon est une graine de génie. Excellent moment de cinéma qui raconte une histoire difficile et vraie. Bravo Tim !!!!! Encore et encore stp
    bug bunny
    bug bunny

    40 abonnés 1 285 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 février 2019
    Un film superbe bien poignant et réaliste chapeau et les acteurs magnifiques ont ceux retrouver parfaitement dans cette famille
    Christoblog
    Christoblog

    749 abonnés 1 621 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 20 février 2019
    Felix Van Groeningen a souvent montré son goût pour la mièvrerie, mais celui-ci était pour l'instant dissimulé par un burlesque grinçant typiquement belge (Belgica, La merditude des choses) ou une mélancolie mélodramatique sur-développée (Alabama Monroe).

    Ici, le rouleau compresseur de la normalité américaine renvoie malheureusement le réalisateur à ses limites : My beautiful boy est affreusement convenu et ses tentatives d'émouvoir échouent lamentablement.

    La faute en revient principalement aux acteurs. Rarement l'expression "balai dans le cul" aura connu meilleure illustration que celle fournie par la prestation terne et guindée de Steve Carell. Quant à Timothée Chamalet, trop propre et mignon pour être crédible en junkie jusqu'au-boutiste, il fatigue par ses minauderies tiédasses.

    Félix Van Groeningen tente de masquer l'incurie de son scénario derrière des afféteries inutiles (le montage mélangeant différentes périodes), et on reste interdit devant l'exploit que constitue ce film : laisser complètement froid le spectateur, avec une histoire qui intrinsèquement devrait être bouleversante.

    Une franche déception.
    AurelC
    AurelC

    1 abonné 161 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 février 2019
    Grosse claque émotionnelle avec ce film, adapté d'un témoignage réel, qui se concentre non pas sur les ravages provoquées par la drogue sur l'individu, mais sur les conséquences de l'addiction sur les relations avec les proches et la souffrance qui en découle. L'émotion monte crescendo jusqu'au témoignage bouleversant d'une mère qui explique qu'elle n'a pas eu d'autre choix que de faire le deuil de sa fille de son vivant. Le jeu tout en retenue et la sincérité des acteurs fait beaucoup à la réussite du film...
    Romain D
    Romain D

    7 abonnés 3 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 février 2019
    c est ce genre de film qui me fait aimé le cinéma. un drame surpuissant qui vous prends à la gorge pendant 2h. ça fait du bien ça nous change de tous ces navets qui sont sorti la semaine dernière
    FREDDY44600
    FREDDY44600

    9 abonnés 125 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 17 février 2019
    Très beau film, belle image, très bonne bande musicale. Le film ne cherche pas à vous attendrir, même si il peut quand même vous tirer une larme de temps en temps, pour moi c'était quand il dit "merci de m'avoir invité". On comprend bien la difficulté de s'en sortir une fois qu'on est pris dans la drogue, et qu'il n'y a plus de limite pour réussir à trouver sa dose. Et derrière les familles trinquent.
    Stéphane C
    Stéphane C

    54 abonnés 389 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 février 2019
    Le réalisateur d'Alabama Monroe nous livre une fois de plus une histoire déchirante : le combat sans limite et fragile d'un père pour son fils en perdition... Un drame moins percutant que le premier mais tout aussi criant de réalisme. Le jeune Thimothée Chalamet mérite sa place parmi les grands !
    🎬🎬🎬
    Antoine11
    Antoine11

    1 abonné 81 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 février 2019
    Un grand moment d'émotion durant ces deux heures où le film nous porte vers une relation extrêmement délicate entre un père et son fils drogué. Timothée Chalamet confirme son grand talent d'acteur à côté d'un Steve Carell excellent. Merci pour ce magnifique film.
    Nico H.
    Nico H.

    15 abonnés 170 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 février 2019
    Le film tient principalement pour son duo d'acteur, le scénario ne parvenant pas à suciter un réel intérêt, jusqu'à ce que la mention "histoire vraie" vienne remettre votre vision de la drogue en question (et par la même tout le film) . Oui, on peut plonger sans raison et oui, c'est glaçant.
    L'AlsacienParisien
    L'AlsacienParisien

    596 abonnés 1 402 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 février 2019
    Même si le thème a des airs de déjà-vu après le combat émotionnel de Julia Roberts dans "Ben is back", "My Beautiful boy" parvient tout de même à nous sensibiliser et à nous toucher. Ici, une relation père-fils extrêmement douloureuse est décryptée au peigne fin, entre souvenirs heureux et présent ravagé par la drogue. Ce montage déstructuré reflète les émotions contradictoires des personnages, entre amour et désarroi, douceur et douleur, lueurs d'espoir et grosses rechutes,... Cette forme déstabilisante ne fait que nous mettre au diapason avec ce père face à la descente aux Enfers de son enfant, sujet à des addictions à diverses drogues. Le fait de perdre le contrôle d'une situation, de ne pas pouvoir aider un être cher au point d'abandonner toute tentative afin de se préserver soi-même et les autres membres de la famille, telle est la problématique du film.
    Les émotions sont vives ; on passe facilement du rire rempli d'espoir aux larmes de désespoir. Le côté mélo peut d'ailleurs en rebuter quelques-uns, surtout lorsqu'on est sensible à cette musique omniprésente qui accompagne le récit. Accompagner la destruction de cette relation complexe et intime participe à notre engouement. Il y a un côté "sans pitié", un réalisme accru qui secoue sans qu'on s'y attende vraiment. En confrontant le présent avec les souvenirs, la nostalgie devient violente, irrévérencieuse, désagréable. L'ambivalence de la mise en scène, des relations et de notre ressenti ne fait que rendre compte de l'impossibilité d'un retour à la normale...
    Evidemment, tout cela ne serait rien sans le talent des acteurs. Steve Carell, humble et poignant, témoigne de toute la souffrance intérieure d'un père démuni et désemparé. A ses côtés, Thimothée Chalamet nous happe par sa composition difficile et émotionnellement forte. C'est débordant d'amour mais noyé sous des émotions contradictoires, douloureuses, involontaires et effrayantes. Maura Tierney, dans le rôle de la belle mère et de la nouvelle femme de ce père, bien qu'effacée dans la première partie, se révèle très juste et chargée de sens dans la seconde partie où la dégringolade s'accentue.
    "My beautiful boy" reste un portrait cruel mais magnifique, sobrement mis en scène mais suffisant. Certes, quelques fioritures se promènent ici ou là mais la force sensible de cette réalité ne peut que nous percuter et nous faire rendre compte des dégâts d'un tel cercle vicieux et sans fond.
    Stephenballade
    Stephenballade

    358 abonnés 1 236 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 février 2019
    "My beautiful boy" ou le combat d’un père pour sauver son garçon de la drogue. Evidemment, le pitch promet quelque chose de poignant, de puissant, de choquant, d’émotionnellement fort. Finalement, c’est un long métrage qui ne sera pas forcément apprécié de tout le monde, que ce soit au niveau du public ou celui de la presse. Et pourtant, "My beautiful boy" n’est ni plus ni moins que l’adaptation des mémoires des véritables David et Nic Sheff, chacun ayant écrit les siennes. Une histoire vraie donc. Mais une histoire vraie filmée avec simplicité. Evidemment, devant un sujet pareil, la tentation peut être grande d’utiliser tous les moyens pour susciter chez le spectateur quelque chose qui le remue jusque dans les tripes. Eh bien ce n’est pas le cas. Certes le spectateur ne sera pas insensible à cette cause visiblement perdue, à condition toutefois qu’il ait un minimum de connaissance de la psychologie humaine. Regardons d’un peu plus près ce pauvre Nic, si vous le voulez bien : interprété par un Timothée Chalamet à fleur de peau, c’est un jeune homme qui a indéniablement un bon fond, mais qui a le malheur d’être faible. Et c’est justement sur cette faiblesse que le scénario a été partiellement bâti, laissant apparaître une question qui reviendra tel un leitmotiv dans la tête du spectateur : s’en sortira, s’en sortira pas ? Ou alors replongera, replongera pas ? Car finalement, les démons liés à la drogue resurgissent en fonction de l’état de solitude du jeune homme ou de ses fréquentations, ou encore de la vue tronquée de la vie. Eh oui, une fois n’est pas coutume, c’est par lui que sont exposés les mécanismes de cette spirale infernale. Si je dis une fois n’est pas coutume, c’est parce que dans ce genre de sujet, on nous raconte le plus souvent la descente aux enfers, les ravages que cela provoque, tant au niveau familial qu’au niveau sanitaire et pécuniaire. Mais beaucoup plus rarement les mécanismes, en tout cas pas de façon aussi explicite. En ce sens, ce film ressemblerait presque à une docu-fiction, car il donne quelques pistes sur la façon d’appréhender cet épineux problème. Pour une fois, ce n’est pas la mère qui est mise sur le devant de la scène, mais le père. Encore que la mère n’est pas inactive, mais ce n’est pas le combat mené par elle qui sera le plus montré. Logique quand on sait que ce sont les mémoires de ce papa accroché dans une attitude à garder le cap coûte que coûte qui ont été utilisées. Dans ce registre, Steve Carell est très bon. Après tout, à partir du moment où le fiston l’appelle à l’aide dès qu’il y a un souci en raison du lien d'amour qui les unit « plus fort que tout », il semble normal que la caméra s’attarde sur lui. Alors qui de mieux que lui pour garder une ligne de conduite la plus droite possible pour livrer un combat de tous les instants à cette addiction qui menace de lui enlever son garçon ? Alors bien sûr, en tant que spectateur profondément amoureux du cinéma et du jeu d’acteur, j’aurai préféré voir ce père craquer de temps en temps. Je veux dire se laisser aller aux larmes et au découragement. Il y a de quoi. Au lieu de ça, il passera ses nerfs sur quelqu’un d’autre. Sur quelqu’un qui n’y est pour rien. Mais là aussi c’est humain. Il faut dire que dans son combat, il est formidablement aidé par sa compagne, interprétée par une Maura Tierney plus en prise aux émotions. Par son jeu subtil malgré le fait que son personnage est pour ainsi dire gardé presque continuellement en retrait, c’est quasiment elle qui tire le mieux son épingle du jeu. Pour en revenir à la réalisation, la simplicité avec laquelle Felix Van Groeningen a signé ce long métrage est remarquable en regard de l’alternance des deux points de vue. Ainsi, le spectateur peut distinguer tour à tour les mémoires de l’un et les mémoires de l’autre. Et même si l’histoire suit une lente évolution je n’ai pu m’empêcher d’une part qu’il y avait quelque chose de personnel chez le réalisateur et d’imaginer une issue fatale. Les deux raisons sont liées par les plans qui s’attardent sur les photos, sur les flashbacks qui visent à démontrer comment les protagonistes (en particulier le père) peuvent se raccrocher aux bons souvenirs pour y trouver la motivation du combat en plus des liens du sang. Le tout est balancé sur une B.O. extraordinaire, éclectique à souhait, et dont tous les genres abordés accompagneront à merveille la séquence associée. Tous les titres sont préexistants, et pourtant certains semblent avoir été écrits spécialement pour ce film. Après, effectivement je mentirai si je disais que je n’attendais pas de ce long métrage quelque chose de plus puissant. Vous savez, ce quelque chose qui vous vrille les tripes et vous tire irrésistiblement les larmes à n’en plus finir, ou qui réveille en vous une révolte insoutenable. Bon j’avoue avoir pensé dire à David Sheff, au risque d’en choquer plus d’un, de laisser tomber, qu’il ne pouvait plus rien pour son fils, que ce dernier était perdu à jamais et pour le coup irrécupérable (comme quoi, l'intrigue est vraiment crédible). Mais en même temps, la sobriété qui caractérise à la fois le récit et la réalisation est la bienvenue et donne beaucoup d’authenticité à cette histoire et dans laquelle l’amour et l’absence de jugement constituent les seules armes tangibles. Et par la même occasion, les lettres de noblesse ont été rendues aux liens du sang, à la chair de la chair, même si c’est avant tout le lien père-fils qui est mis en avant.
    VeganForAnimalRights
    VeganForAnimalRights

    118 abonnés 214 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 février 2019
    Je m'attendais à mieux de la part de Groeningen, même si ça reste un beau film à défaut d'un bon film.
    On n'oubliera pas de sitôt la scène de Timothée dans les toilettes, couché et mourant, avec en fond sonore la sublime Symphonie n° 3 de Gorecki.
    Groeningen filmant la mort d'un jeune homme (même si, heureusement, il ne mourra finalement pas) : voici ce qu'il faut retenir de "Beautiful Boy".
    Stmazauric
    Stmazauric

    5 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 février 2019
    Pourquoi autant de sévérité envers ce film,
    Il faut pourtant reconnaitre la grande qualité de ce film belge, d’une grande sensibilité. Affirmer de manière présomptueuse qu’il n’y a pas de mise en scène dans ce film, c’est ne rien comprendre au cinéma, la mise en scène a lieu justement dans ces flash-back, le choix de ces différentes séquences et leur montage, comment elles s’incrustent dans la trame du film . Autant d’éléments psychologiques, mais qui restent des non-dits, pour nous faire comprendre, plutôt ressentir et encore cela se passe inconsciemment , pourquoi ce basculement chez ce jeune homme dans la drogue, C’est un film tellement riche sur un plan psychanalytique où le réalisateur nous ne propose que des éléments de compréhension que le spectateur ne peut que ressentir, par ce choix d’image, de séquences, lorsque son père l’amène par exemple à l’aéroport rejoindre sa mère à la suite du divorce, nous ressentons tous cette déchirure, ce manque à jamais incomblable, cette incomplétude qui va s’enraciner chez ce petit garçon que seule la drogue (la mère nourricière) pourra occulter et encore comme chacun sait illusoirement. Mais comme chez tous les toxicomanes, le recours à la drogue ne peut être que la seule issue sans fin, une sorte de mise en abîme mais sans fond (si ce n’est la mort accidentelle par overdose. La drogue coûte que coûte, l’héroïne nous faisant revenir à ce sentiment océanique (comme le décrit Freud), à cet état psychologique fœtal qui seul semble soulager de ce qui excède cet adolescent et qu’il ne comprend pas. Car tel est bien l’idée de ce film, pourquoi ce basculement ,cette addiction chez ce touchant jeune homme, bien incapable lui-même de se comprendre, mais toujours éprouvant ce vide, cette carence, cette béance finalement depuis le divorce (de ses parents et cela malgré l’équilibre qui lui est donné dans par sa famille recomposée, la déchirure a eu lieu et à jamais) que rien ne pourra plus jamais suppléer, si ce n’est ce recours illusoire et sans finalité à la drogue, la drogue que l’on s’injecte tel le lait du sein maternel . C’est un film sur l’inconscient, sur les affects inconscients qui se nouent et se trament en nous. Il en est de même sur le désarroi des parents, leur impuissance, magnifiquement joués et filmés, avec une telle simplicité et tonalité et avec un tel réalisme, ne préjugeant de rien, ne portant jamais d’accusation sur un plan moral. La puissance de ce film résidant bien dans ce qu’il ne dit pas, dans ce que nous comprenons inconsciemment paradoxalement mais tout en restant toujours dans le registre de l’émotion, de l’affect ( il n’y a rien de théorique , de conceptuel ou de démonstratif dans ce film), il y a ces images, ces flash- back, mais quel art de la mise en scène, où nous voyons ces personnages déambuler, ces personnages heureux et malheureux, luttant , se faisant et se défaisant, mais toujours pris par quelque chose qui les dépasse, les déterminismes psychologiques inconscients toujours plus forts et pesants comme une fatalité . Un film magnifique et bouleversant de bout en bout et nous avions déjà ce type de construction dans le film Alabama Monroe
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 14 février 2019
    Il faut rester jusqu’à la fin du générique : Magnifique poème de Charles Buckowski remarquablement lu par Timothee Chalamet. Hélas je n’ai pas vu une seule personne rester ! Film poignant, et pudique. Timothee Chalamet est époustouflant. Et Steve Carell extraordinaire. Contrairement à beaucoup de critiques les aller retour entre passé et présent ne m’ont pas dérangé. Je recommande ce film qui aborde avec pudeur un sujet grave et montre l’impact de la vie d’un addict sur sa famille.
    Quel incroyable amour entre ce père et ce fils !
    Quel dommage que ce film ne sorte que dans si peu dé salles !
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