Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
L'Humanité
par Vincent Ostria
Le travail visuel surprenant et parfois déroutant de Sauper fait le prix de son périple illustré. Tout en stigmatisant le post-colonialisme, cet homme engagé, qui est aussi un artiste, parvient à éviter le pensum.
L'Obs
par François Forestier
C’est une peinture au couteau, acide et drôle, que livre le cinéaste Hubert Sauper dans son nouveau film, "Nous venons en amis" (...) Le documentaire (Sauper préfère dire : "Le film de non-fiction"), sous-tendu par un ton caustique et indigné, est passionnant.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Emma Martin
Un film visuellement superbe, utile, pédagogique et jamais sentencieux (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Thomas Sotinel
On sent bien que, (...) Hubert Sauper ne peut jamais oublier la fange qu’il survole et qu’il tient à ce que ses spectateurs prennent leur part de culpabilité dans les malheurs des Sud-Soudanais. Mais il parvient cette fois à une telle ampleur dans son évocation que sa fresque prend la beauté terrible de certaines chapelles expiatoires.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Lucille Bion
Hubert Sauper revient avec un documentaire sublime sur le Soudan au moment de sa partition en deux États : le plus grand pays d'Afrique devient alors une terre de violence et la cible des investisseurs du monde entier.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Voir la séquence surréaliste où un ambassadeur américain venu inaugurer une centrale électrique débite un laïus old school sur les vertus de la civilisation lorsque soudain un guerrier traditionnel déboule avec une lance et tourne furieusement autour de la foule. Toute la magie du cinéma de Sauper se trouve dans ces raccourcis visuels aussi déroutants qu’éloquents.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par Pierre Fornerod
Radical et instructif.
Première
par Damien Leblanc
Les images de ce stupéfiant documentaire prennent parfois la forme d'un récit de science-fiction, même si elles relatent de manière pourtant bien réelle les nouvelles stratégies du colonialisme.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Laurent Djian
Un documentaire percutant, poignant et très inventif dans sa réalisation.
Sud Ouest
par Sophie Avon
À la fois précis de géopolitique et méditation, le film ne s'autorise aucun raccourci et patiemment fait entendre ceux qu'on n'entend jamais, les Soudanais eux-mêmes, dont un tiers connaît la famine tandis que 10 % de leurs terres ont été cédées à des investisseurs étrangers.
Télérama
par Cécile Mury
Comme dans "Le Cauchemar de Darwin", les séquences et les témoignages se heurtent, éclats tranchants d'un discours résolument militant et spectaculaire. Certains, comme il y a dix ans, reprocheront cette mise en scène à sensation, traqueront les raccourcis et les approximations.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Adrien Dénouette
(...) à cheval sur des intentions louables (...) et les gimmicks pontifiants du "Cauchemar de Darwin" (retrait, survol, graisse sensationnaliste), il faut tout de même reconnaître que "Nous venons en amis" tient plus du bon projet inabouti que de l’enquête frauduleuse.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Libération
par Didier Péron
On voit des tas de trucs mais au fond, les infos et le spectacle sont si étroitement mêlés que l’on sent qu’ici, le pittoresque du chaos et une forme de «tourisme de la désolation» excitent plus Sauper que le simple effort de rigueur et de clarification qu’un tel sujet suppose.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Le style ampoulé de Sauper est à peine digne d’un vieux mondo-film, ces pseudo-documentaires racoleurs du début des années 60.
L'Humanité
Le travail visuel surprenant et parfois déroutant de Sauper fait le prix de son périple illustré. Tout en stigmatisant le post-colonialisme, cet homme engagé, qui est aussi un artiste, parvient à éviter le pensum.
L'Obs
C’est une peinture au couteau, acide et drôle, que livre le cinéaste Hubert Sauper dans son nouveau film, "Nous venons en amis" (...) Le documentaire (Sauper préfère dire : "Le film de non-fiction"), sous-tendu par un ton caustique et indigné, est passionnant.
Le Journal du Dimanche
Un film visuellement superbe, utile, pédagogique et jamais sentencieux (...).
Le Monde
On sent bien que, (...) Hubert Sauper ne peut jamais oublier la fange qu’il survole et qu’il tient à ce que ses spectateurs prennent leur part de culpabilité dans les malheurs des Sud-Soudanais. Mais il parvient cette fois à une telle ampleur dans son évocation que sa fresque prend la beauté terrible de certaines chapelles expiatoires.
Les Fiches du Cinéma
Hubert Sauper revient avec un documentaire sublime sur le Soudan au moment de sa partition en deux États : le plus grand pays d'Afrique devient alors une terre de violence et la cible des investisseurs du monde entier.
Les Inrockuptibles
Voir la séquence surréaliste où un ambassadeur américain venu inaugurer une centrale électrique débite un laïus old school sur les vertus de la civilisation lorsque soudain un guerrier traditionnel déboule avec une lance et tourne furieusement autour de la foule. Toute la magie du cinéma de Sauper se trouve dans ces raccourcis visuels aussi déroutants qu’éloquents.
Ouest France
Radical et instructif.
Première
Les images de ce stupéfiant documentaire prennent parfois la forme d'un récit de science-fiction, même si elles relatent de manière pourtant bien réelle les nouvelles stratégies du colonialisme.
Studio Ciné Live
Un documentaire percutant, poignant et très inventif dans sa réalisation.
Sud Ouest
À la fois précis de géopolitique et méditation, le film ne s'autorise aucun raccourci et patiemment fait entendre ceux qu'on n'entend jamais, les Soudanais eux-mêmes, dont un tiers connaît la famine tandis que 10 % de leurs terres ont été cédées à des investisseurs étrangers.
Télérama
Comme dans "Le Cauchemar de Darwin", les séquences et les témoignages se heurtent, éclats tranchants d'un discours résolument militant et spectaculaire. Certains, comme il y a dix ans, reprocheront cette mise en scène à sensation, traqueront les raccourcis et les approximations.
Critikat.com
(...) à cheval sur des intentions louables (...) et les gimmicks pontifiants du "Cauchemar de Darwin" (retrait, survol, graisse sensationnaliste), il faut tout de même reconnaître que "Nous venons en amis" tient plus du bon projet inabouti que de l’enquête frauduleuse.
Libération
On voit des tas de trucs mais au fond, les infos et le spectacle sont si étroitement mêlés que l’on sent qu’ici, le pittoresque du chaos et une forme de «tourisme de la désolation» excitent plus Sauper que le simple effort de rigueur et de clarification qu’un tel sujet suppose.
Cahiers du Cinéma
Le style ampoulé de Sauper est à peine digne d’un vieux mondo-film, ces pseudo-documentaires racoleurs du début des années 60.