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    La Duchesse de Varsovie
    Note moyenne
    2,9
    14 titres de presse
    • aVoir-aLire.com
    • Les Inrockuptibles
    • Libération
    • Cahiers du Cinéma
    • L'Obs
    • La Croix
    • Le Journal du Dimanche
    • Première
    • Studio Ciné Live
    • Critikat.com
    • Le Monde
    • Les Fiches du Cinéma
    • Positif
    • Télérama

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    14 critiques presse

    aVoir-aLire.com

    par Claude Rieffel

    Dire l’horreur irreprésentable avec la palette du marchand de couleurs et la légèreté d’une comédie musicale : c’est le pari impossible que Morder réussit à tenir dans ce film inclassable, grave et jubilatoire, en prenant des risques esthétiques insensés et en s’appuyant sur un formidable duo d’acteurs.

    La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com

    Les Inrockuptibles

    par Jean-Baptiste Morain

    Le parti pris esthétique de Morder est une réussite. Il parvient, à partir de la noirceur, à fabriquer du romanesque, qui aide à vivre ou survivre à la douleur, à l'insupportable et à l'inoubliable, et surtout du lien entre les deux êtres qui s'aiment mais ne s'étaient jamais parlé avec sérieux.

    La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

    Libération

    par Julien Gester

    S’il sera finalement question, comme souvent chez Morder, de l’Holocauste et d’identité meurtrie, le récit s’épanche dans un climat presque enjoué, avec une pétillance de comédie musicale vintage à rebours de la pesanteur de ses enjeux.

    La critique complète est disponible sur le site Libération

    Cahiers du Cinéma

    par Louis Séguin

    Drôle de film que "La Duchesse de  Varsovie", atteint d’un syndrome d’inversion des pôles : audacieux quand il pense être sage, et vice versa.

    L'Obs

    par Pascal Mérigeau

    Existe-t-il procédé plus ingrat que celui consistant à faire évoluer les personnages dans un décor composé de toiles peintes ? Morder filme Alexandra Stewart de face, sur fond noir (...). Moment d'une force saisissante, qui permet de reconsidérer le film dans son ensemble et montre que le procédé était le seul, en effet.

    La Croix

    par La Rédaction

    Audacieux! Mais hélas trop statique pour emporter le spectateur.

    Le Journal du Dimanche

    par Alexis Campion

    Cet univers irréel, tressé à des conversations titillant les caprices de la mémoire, finit par nous emporter dans les replis d’une histoire bien réelle, et gagne en émotion jusqu’à la séquence finale, bouleversante.

    Première

    par Bernard Archour

    Morceau de bravoure émotionnel annoncé, la confession de l’aïeule, aussi intense et respectable que naïvement écrite et convenue, parasite la fascination ambiante, avant qu’elle ne reprenne par bonheur ses droits lors de l’épilogue.

    La critique complète est disponible sur le site Première

    Studio Ciné Live

    par Xavier Leherpeur

    Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.

    Critikat.com

    par Benoît Smith

    Il y a chez Morder un amour évident du cinéma, de son pouvoir de raconter des histoires avec des artifices ; mais ici, il exprime cet amour avec une application qui se manifeste au détriment de la vérité de ce qu’il raconte, de l’émotion sincère et forte que son histoire devrait susciter.

    La critique complète est disponible sur le site Critikat.com

    Le Monde

    par Jacques Mandelbaum

    Le film scelle la rencontre, pour le moins périlleuse, entre le parti pris de l'enchantement esthétique et le récit de l'horreur concentrationnaire.

    La critique complète est disponible sur le site Le Monde

    Les Fiches du Cinéma

    par Nathalie Zimra

    Joseph Morder poursuit sa réflexion sur la Shoah et son impact transgénérationnel, mais l'artificialité du dispositif de cette construction un peu poseuse affadit l'ensemble.

    Positif

    par Vincent Thabourey

    Il faudra toute la finesse d'Alexandra Stewart pour donner corps à ce témoignage et dépasser la sécheresse d'un dispositif qui peine parfois à convaincre.

    Télérama

    par Pierre Murat

    Alexandra Stewart et Andy Gillet sont mal à l'aise dans ce film original, mais figé.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama
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