Avis : Sous Les Jupes Des Filles - Page 2

Une daube sans nom, peut-être le plus mauvais film qu'il m'ait été donné de voir. J'avais envie de crier pitié ! Aucune finesse, aucune trace de subtilité et d'intelligence... Merci à Audrey Dana de nous apprendre que les filles ont aussi mal au ventre et qu'elles peuvent péter ! Et bravo à Laeticia Casta pour son interprétation ! Il n'y a que le titre qui n'est pas trompeur, ça reste effectivement sous le niveau de la jupe ! Au moment où les Américains commencent à nous faire des films intelligents, y compris leurs blockbusters, nous réalisons des films d'un niveau affligeant... Au secours ! A la lecture d'autres critiques, les bras m'en tombent, comment peut-on parler de chef d'oeuvre ? Je n'aime pas me sentir plus idiot après un film qu'avant, mais malheureusement, c'est bien ce que j'ai ressenti. Vous l'aurez compris, à éviter !

Quelle catastrophe, je n'ai pas accroché du tout. Le scénario est lourd, les actrices en font des caisses, il n'y a aucune blague. Comment un tel casting a-t-il pu accepter un projet comme celui-là?

Tout est excessif dans ce film : le casting (j'adore sans exception toutes les actrices et c'est bien ca le Piège), le thème du cul (qui revient environ toutes les 3 secondes), l'humour gras (à répétition).....un grand absent : le scénario.......NUL : meme pas en dvd.

Affligeant
100% vulgaire
Scénario inexistant, aucun film conducteur
toute faite de plastique est mauvaise, les autres ne se sortent pas si mal de cette galère
Audrey Dana aime t elle ou déteste t elle les femmes?.... ce qu elle décrit de nous est affreux, des nanas qui ne veulent que se faire sauter , ou se font sauter , ou parlent de se faire sauter, tout cela sans finesse ni humour ni glamour
Vomi, tampax, pets ...
on dirait une blague de pote d'armée avinés, bref : à vomir

Coluche disait : La vulgarité peut se nicher dans un chignon. Sous les jupes des filles pourrait illustrer à lui tout seul pendant 1h30 ce qu'est la vulgarité. Ou comment déceler le pathétique féminin. Vu par une femme donc. Comme si un homme à lui tout seul pourrait prétendre représenter tous les autres hommes. On cherchera ( en vains ) l'exercice de style. La pléiade d'actrices recrutées tourne en rond, comme une mauvaise sitcom française. On imagine le summum : Du tampax qui tache les doigts aux conseils avisés semi drolatiques. Un rictus d'effroi nous transperce. Aie. C'est du lourd. Le film poubelle nous enseigne tout ce qu'il faut fuir, les hommes comme les femmes. A l'arrivée, le navet arrive même à tomber dans tous les pièges : clichés, prétentions des personnages, conseils de grands mères, rôles tous surjoués où même les " bons " acteurs deviennent mauvais. A voir, sauf si vous avez une meilleure image de ce qu'il peut se passer sous les jupes des filles....

C’est donc cela la « femme moderne »… un déferlement de vulgarité sur fond de clichés du plus mauvais goût, des femmes tout droit sorties d’une pub Tampax qui se veulent pleines d’autodérision mais tombent toutes, sans exception, dans le pathos. Cette atroce "comédie" en devient gênante à force de gags potaches et de dialogues dignes d’une rédactrice d’un test de « Jeune et Jolie ». Passons la déplorable image de la femme: qu’a voulu dire la réalisatrice ? A priori nous prouver que quand on manque cruellement de talent, rien ne sert de réunir une brochette d’actrices en vogue (Isabelle Adjani?) : un navet reste un navet. Ce film est un scandale.

Un casting intéressant qui m'a fait me déplacer....Qelles déception : décousu, vulgaire, oui très vulgaire (l'humour s'en tient à la mise d'un tampax, au vomis, au pet , à la baise etc...) il n'y a pas d'amour ,même pas du cul .....de la baise. Pas d'émotion et surtout pas d'histoire.
Creux creux creux .On se sent sale en sortant.

Nous sortons, ma femme et moi, abassourdis par tant de vulgarité gratuite, de jolies actrices si mal servies par un scénario à pleurer, des rôles invraissemblables et des dialogues de corps de garde.

Non, la gente féminine n'est pas obsédée du matin au soir par le sexe, rien que le sexe, et c'est consternant que ce soit une femme qui ait produit ce navet.

Rajoutez à cela que j'ai compté sept enfants dans la salle accompagnant des adultes, bravo pour l'image que vous donnez de la femme, de la relation amoureuse, de la fidélité et de la paternité.

A vomir.

J'ai rarement vu un film aussi mauvais, une ode à la vulgarité et à la bêtise, servi par des comédiennes tantôt idiotes, tantôt hystériques. Un ratage total.

Sous les jupes des filles, il vaut mieux ne pas regarder ! Ne vous fiez pas au casting, ce film est nul.
Les femmes peuvent être aussi vulgaires que certains mecs, ça on le savait, ça ne vaut pas le déplacement

Je reviens juste de l avant première, vous voulez changer d air, oubliez les soucis du quotidien, si vous etes une femmes qui aiment les femmes, un homme qui aiment aussi les femmes et bien ce film est pour vous
je suis sorti du film avec la banane, juste un truc de fou, Audrey Dana nous offre un film pétillant avec des actrices sublimes les une que les autres, ça aide a réfléchir sur sa propre vie, meme si je suis un homme.... c est vraiment une comédie qui fait du bien partout, je ne peux pas dire qui je prefere dans les actrices car on arrive à s'identifier dans chacunes d elles... Dana a réussie son coup avec cette comédie populaire qui va être la comédie de l été
MERCI POUR CE MOMENT DE BONHEUR

Si la femme est "l'avenir de l'Homme" pour le poète, pour Audrey Dana, la "cinéaste", l'avenir de la Femme, c'est clairement (et quasi uniquement) le Cul ! "Sous les jupes des filles", elle y montre les menstrues, le fout.e, les flatulences, les godemichés.... Une vision grandiose, en somme. Cela se veut sans doute iconoclaste et "nouveau", ce n'est que tristement grossier. Dans le "bal des actrices" convoquées (dont l'auteur) pour entonner ces couplets "réalistes" et réducteurs, on retiendra Julie Ferrier et Marina Hands en "positif", Sylvie Testud en "neutre" et pas mal d'autres en "nul" - dont Mlle Adjani, qui frôlant la soixantaine, pense encore faire illusion côté physique (tout en ne faisant plus montre, depuis pas mal de temps, du moindre talent). Laid, stupide et franchement désespérant !

Je viens de voir ce film avec un sentiment partagé, ne sachant définir le malaise : les femmes d'aujourd'hui sont-elles comme celles-là ? Non certes pas, au moins pas la majorité. C'est pourquoi en rentrant je me suis connecté pour lire les avis spectateurs. Je les trouvent excessifs et bien trop sévères. Ce film est à voir. Ces femmes sont bien différentes et elles méritent d'être découvertes comme elles sont. Elles ont toutes leurs faiblesses comme nous tous. Il faut aller au delà de la caricature du trop de sexe. En effet je n'ai jamais vu de femmes faire l'amour en pleine rue... Un film caricature qui force le trait pour décomplexer ? Pour interroger les femmes et nous aussi les hommes ?

On peut avoir peur pendant la première demi-heure : ce rassemblement d’actrices en forme de patchwork est long à démarrer et frôle la cacophonie. Mais petit à petit, la bonne humeur communicative de l’ensemble finit par prendre le dessus et emporter notre adhésion. On voit qu’Audrey Dana dont c’est le premier film est fière de diriger autant de grandes actrices jeunes ou moins jeunes du paysage cinématographique français. Problème : elle doit en avoir peur et certaines compositions sont outrées pour un résultat proche de l’hystérie. Et comme les films faits de rassemblements de court-métrages, les long-métrages choraux où se croisent les protagonistes souffrent souvent d’histoires et de personnages plus faibles que d’autres. « Sous les jupes des filles » ne faillit pas à la règle : autant ceux de Paradis, Nakache, Taglioni et Hands sont les plus réussis, autant ceux d’Adjani, Casta, Testud et Belaïdi sont inexistants ou excessifs et ratés. Julie Ferrier, elle, fait peur au début mais fait exploser de rire ensuite ! On note également des lacunes d’écriture au niveau du scénario, quelques longueurs et une réalisation quelconque. Cependant ce film de filles plein de punch à l’humour pipi-caca parfois osé comme le font si bien les américains fait figure de bol d’air frais au sein du cinéma féminin français. Et surtout on rit beaucoup et de façon exponentielle !

Géraldine Nakache, Vanessa Paradis, Alice Taglioni, Isabelle Adjani, Sylvie Testud, Laetitia Casta, Audrey Fleurot, Julie Ferrier, Marina Hands, Audrey Dana, Alice Belaïdi... Un casting d'actrices trois étoiles au service d'un film pour les femmes, écrit par des femmes, crues, très crues mais drôles. "Sous les jupes des filles" dresse un portrait de femmes modernes déstabilisées et destabilisantes, avec une justesse et une intelligence jamais égalée.
Un film rare, une révolution qui risque d'en déstabiliser plus d'un.