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    La Ruée vers l'art
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    2,5
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    Cinephille
    Cinephille

    137 abonnés 627 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 17 octobre 2013
    Ce film est une totale supercherie. Danièle Granet et Catherine Lamour qui sont tout sauf des pauvres filles incultes et innocentes, prétendent ne rien connaître au marché de l'art et nous démontrer "en toute naïveté" comment ce marché fonctionne, spécule. Sauf que bizarrement elles accèdent comme elles veulent à François Pinault le jour de l'inauguration de la Pointe de la douane, sauf qu'elles accèdent comme elles veulent à Larry Gagosian (et s'offusquent qu'il leur interdisent de le toucher !), elles rentrent dans toutes les foires, font amie-amie avec les grands collectionneurs. Elles se baladent aux quatre coins du monde, à chaque fois, nous balancent les noms les plus connus (Hirst, Koons...) sans JAMAIS parler de leur travail, juste d'argent. Elles enfilent les poncifs comme leurs colliers de perles. Et...à la fin ô joie ô bonheur elles rencontrent le Maître : Zhang Huan "dont le pas, l'allure, le ton dénotent un chef". Oui un chef ! Leur coeur de midinette fait manifestement boum devant ce chef qui sait si bien faire travailler étudiants des Beaux-arts et "simples ouvriers", qui sait si bien accéder aux bonnes galeries, en un mot qui a fait tout le parcours qu'elles prétendaient fustiger, pour obtenir une cote démesurée. Outre cette supercherie de fond, le film est extrêmement moche. La totale donc.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 19 octobre 2013
    Un beau voyage à Venise Dubaï Hong-Kong Paris la Chine... (où les enchères n' apparaissent qu' une seule fois) centré sur l' art contemporain, avec des dialogues d' interlocuteurs différents, des collectionneurs, des artistes, des personnes issues de musées, des galeristes etc Ne voyageant pas, ce docu.m' a livré des images filmées que je ne regrette pas d' avoir pu admirées..
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 17 octobre 2013
    La Ruée vers l'Art est un film très intéressant sur le milieu de l'art contemporain.
    on y apprend plein de choses passionnantes sur les business de l'art, sur les artistes, sur ces milliardaires qui achètent des collections entières!
    c'est l'art contemporain pour les nuls! ça vaut le coup!
    Sagramanga
    Sagramanga

    21 abonnés 87 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 décembre 2013
    Ce documentaire a un petit côté “film d'aventures” qui le rend très plaisant à suivre : on voyage de Bâle à Hong Kong, Zurich, Venise, Dubaï, Singapour, Shanghai... comme dans un James Bond !!!
    On peut rendre grâce aux deux journalistes économiques Danièle Granet et Catherine Lamour, au cours de cette enquête menée sur les places mondiales de l'Art contemporain, d'avoir su obtenir de certains acteurs majeurs (galeristes, grands collectionneurs...) leurs éclairages sur la mutation en cours dans le marché de l'Art depuis la crise financière de 2008, l'affolante ascension de la valeur marchande de certains artistes “stars” et l'intrusion des détenteurs des “nouvelles richesses”, issues de l'exploitation des matières premières et de la spéculation boursière, provocant l'envolée des cotes de certaines œuvres.
    La réalisatrice Marianne Lamour, furetant avec sa caméra derrière ses consœurs, a su capter l'atmosphère particulière, à la fois euphorique et éthérée, des foires d'Art contemporain. On apprend d'ailleurs que cette atmosphère fut délibérément créée voici quelques années par des marchands d'Art (Christie's entre autres), afin d'insuffler une ambiance quasi hypnotique dans les ventes d'Art, devenues des moments de béatitude, de temps suspendu où le réel se remplit d'allégresse et où la dépense de millions de dollars se vit en moment festif. La possession d'une œuvre se transforme alors, allégée du poids de la transaction mercantile par l'euphorie d'un achat en quasi apesanteur, en clef d'appartenance à la nouvelle classe des Dominants. La magie de la nouvelle économie.
    En ce qui concerne les artistes, on s'attarde sur les plus connus, Damien Hirst, Jeff Koons, ainsi que celui qui paraît comme la valeur montante (au moment de l'enquête), Urs Fischer, présenté comme assez cynique et méprisant envers ses collectionneurs et renvoyant une image assez répulsive d'un artiste avide qui semble avoir fait de la cupidité sa raison d'être.
    À contrario, la visite à l'artiste chinois Zhang Huan (et à ses dizaines d'employés), trahit l'admiration que lui porte les journalistes, alors même qu'elles visitent (trop rapidement ?) l'atelier de Matthew Day Jackson, qui possède pourtant aussi une profondeur à laquelle elles semblent moins sensibles.
    Au bout du compte, la véritable mutation de l'Art au XXIe siècle ne serait donc pas l'envolée artificielle des cotes, mais plutôt le retour à un “Art d'atelier” (comme au Quattrocento !), où l'artiste, devenu entrepreneur en Art, fournit en œuvres les places internationales, à la grande joie des amateurs et collectionneurs du monde entier, petits et grands ravis de participer à ce Disneyland “for adult only”.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 31 octobre 2013
    je trouve ce fil interessant car il montre le vrai visages de personnes tres connues
    comme mr pinault le quatar
    bref c'est une fabrique de l'art qui fonctionne d'elle meme
    c'est vraiement extravagant voire choquant
    est ce encore culturel ou humain? je ne crois pas
    en tout cas bling bling et souvent bidon
    les perdants c'est nous!
    yvonlg
    yvonlg

    17 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 15 décembre 2013
    Dommage d'etre passé à côté d'un sujet qui s'annoçait passionnant.
    Mais pendant 1h30 on enfonce des portes ouvertes et on nous balances des infos qui n'ont sont pas... Car on savait deja tout ca. On parle de mécanismes spéculatifs mais finalement on en démonte ni ne démontre aucun réellement. On ne fait que survoler un sujet. Dommage
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 24 août 2018
    Pas beaucoup d'intérêt à ce type de reportage.
    Tout d'abord c'est assez insipide visuellement et les prises de son sont catastrophiques.
    Le ton du reportage est très hautain et assez dédaigneux envers l'industrie de l'art contemporain, car il s'agit surtout ici de l'industrie de l'art et pas de l'art.
    Aucun intérêt à se rendre à toutes les sauteries mondaines, où la réalisatrice et ses deux acolytes semblent bien à leur aise, pour ne pas parler de l'art!
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