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18 critiques presse
Transfuge
par Frédéric Mercier
Ce premier film percutant, tendu d'un bout à l'autre, inaugure avec fracas une nouvelle ère du cinéma israélien : un vrai cinéma social - au sens économique.
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
Dans la lignée du "Policier" de Nadav Lapid, "Youth" incarne le renouveau d’un cinéma contestataire en Israël.
Le Figaroscope
par La rédaction
Le film épouse l'énergie désordonnée d'une jeunesse en pleine confusion, dans un paysage économique et social profondément dégradé.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Tom Shoval signe un premier long-métrage original et étrange, nourri par la crise économique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Bruno Icher
Certains films possèdent cette faculté rare à égarer le spectateur dans des territoires qu’il pense connaître comme le fond de sa poche et dont il découvre, avec autant d’excitation que d’appréhension, des passages souterrains qu’il ne soupçonnait pas. C’est le cas de Youth (...).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Ariane Allard
De la dualité organique de Youth à l'aveuglement schizophrène de la société qu'il décrit, il n'y a donc qu'un pas, que son jeune réalisateur emboîte avec sûreté.
La critique complète est disponible sur le site Positif
TéléCinéObs
par Sophie Grassin
L'ensemble manque de tension mais ce récit prometteur d'une perte d'innocence a le mérite d'aborder un sujet peu traité par le cinéma israélien à l'exception du "Policier", coup d'éclat de 2011 signé Nadav Lapid.
L'Express
par Sandra Benedetti
Voir le site de L'Express.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
(...) Le film présente sans les juger les frères Yaki et Shaul. Il les montre dans les différents rôles qu’ils endossent pendant ces quelques jours absurdes, où le jour du shabbat vient contrer leur plan. Tantôt bons fils, tantôt méchants garçons, dans des ambiances tranchées qui donnent sa profondeur à ce premier long-métrage dérangeant sur une jeunesse sans repères.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Dans ce premier film inégal, Tom Shoval dessine, en creux, le portrait parfois sinistre d'une jeunesse israélienne sans repères.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Paris Match
par Alain Spira
Traité avec une violence quasi insoutenable, ce fait divers est aussi répugnant qu’un furoncle d’où jaillirait un flot de bêtises. Frères dans la vie, David et Eitan Cunio parviennent intelligemment à atteindre le degré de stupidité violente de leurs personnages.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télérama
par Mathilde Blottière
"Youth" aurait pu n'être qu'une méchante farce sur des pieds nickelés et la poule aux oeufs d'or. Mais ce premier film, tendu, poisseux, brosse en fait le tableau très sombre d'une génération de nouveaux pauvres dans un pays violent.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Camille Lugan
Le cinéaste israélien Tom Shoval signe un premier long-métrage dérangeant, magnétisé par le visage de ses deux protagonistes, mais dont le propos ambigu se perd parfois dans l’efficacité de son récit.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Camille Pollas
Shoval semble hésiter : faire d’abord un film d’enlèvement, un thriller, ou faire de l’enlèvement un prétexte à une étude de la famille de classe moyenne israélienne.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Elle
par Florence Ben Sadoun
Ce film israélien aborde pour une fois la question économique du pays sans passer par la politique.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Le Journal du Dimanche
par Danielle Attali
Ni polar, ni film social, "Youth" hésite et déroute. Le choix de jumeaux trouble d'autant que le réalisateur suggère à la fin le penchant des deux hommes pour la violence, voire pire...
Première
par Bernard Achour
Mais toute cette science de la mise en scène, du cadre et du montage au service de quoi ?
Transfuge
Ce premier film percutant, tendu d'un bout à l'autre, inaugure avec fracas une nouvelle ère du cinéma israélien : un vrai cinéma social - au sens économique.
Cahiers du Cinéma
Dans la lignée du "Policier" de Nadav Lapid, "Youth" incarne le renouveau d’un cinéma contestataire en Israël.
Le Figaroscope
Le film épouse l'énergie désordonnée d'une jeunesse en pleine confusion, dans un paysage économique et social profondément dégradé.
Le Monde
Tom Shoval signe un premier long-métrage original et étrange, nourri par la crise économique.
Libération
Certains films possèdent cette faculté rare à égarer le spectateur dans des territoires qu’il pense connaître comme le fond de sa poche et dont il découvre, avec autant d’excitation que d’appréhension, des passages souterrains qu’il ne soupçonnait pas. C’est le cas de Youth (...).
Positif
De la dualité organique de Youth à l'aveuglement schizophrène de la société qu'il décrit, il n'y a donc qu'un pas, que son jeune réalisateur emboîte avec sûreté.
TéléCinéObs
L'ensemble manque de tension mais ce récit prometteur d'une perte d'innocence a le mérite d'aborder un sujet peu traité par le cinéma israélien à l'exception du "Policier", coup d'éclat de 2011 signé Nadav Lapid.
L'Express
Voir le site de L'Express.
La Croix
(...) Le film présente sans les juger les frères Yaki et Shaul. Il les montre dans les différents rôles qu’ils endossent pendant ces quelques jours absurdes, où le jour du shabbat vient contrer leur plan. Tantôt bons fils, tantôt méchants garçons, dans des ambiances tranchées qui donnent sa profondeur à ce premier long-métrage dérangeant sur une jeunesse sans repères.
Les Fiches du Cinéma
Dans ce premier film inégal, Tom Shoval dessine, en creux, le portrait parfois sinistre d'une jeunesse israélienne sans repères.
Paris Match
Traité avec une violence quasi insoutenable, ce fait divers est aussi répugnant qu’un furoncle d’où jaillirait un flot de bêtises. Frères dans la vie, David et Eitan Cunio parviennent intelligemment à atteindre le degré de stupidité violente de leurs personnages.
Télérama
"Youth" aurait pu n'être qu'une méchante farce sur des pieds nickelés et la poule aux oeufs d'or. Mais ce premier film, tendu, poisseux, brosse en fait le tableau très sombre d'une génération de nouveaux pauvres dans un pays violent.
aVoir-aLire.com
Le cinéaste israélien Tom Shoval signe un premier long-métrage dérangeant, magnétisé par le visage de ses deux protagonistes, mais dont le propos ambigu se perd parfois dans l’efficacité de son récit.
Critikat.com
Shoval semble hésiter : faire d’abord un film d’enlèvement, un thriller, ou faire de l’enlèvement un prétexte à une étude de la famille de classe moyenne israélienne.
Elle
Ce film israélien aborde pour une fois la question économique du pays sans passer par la politique.
Le Journal du Dimanche
Ni polar, ni film social, "Youth" hésite et déroute. Le choix de jumeaux trouble d'autant que le réalisateur suggère à la fin le penchant des deux hommes pour la violence, voire pire...
Première
Mais toute cette science de la mise en scène, du cadre et du montage au service de quoi ?
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live.