Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
20 Minutes
par La rédaction
Le duo Alexandre Bustillo/Julien Maury auquel on doit "A l’intérieur" (2009) et "Livide" (2011) signe un film radical subtil mélange entre l’initiation à l’âge adulte à la manière de "Stand by me" (Rob Reiner, 1986) et "Massacre à la tronçonneuse" (Tobe Hooper, 1974).
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Charlie Hebdo
par Gérard Biard
Bustillo et Maury ont une vraie "patte". La volonté de créer une ambiance propre, (...) cette "french touch" qui imposerait de donner du sens plutôt que de rechercher l'efficacité à tout prix. Tout ce qui fait qu'"Aux yeux des vivants" rate en partie la cible qu'il s'est fixée.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Si les personnages manquent un peu de consistance, ce film traduit, à travers ses références, son atmosphère et sa radicalité, un amour inconditionnel pour le cinéma d'horreur. Sans oublier de jolies trouvailles de mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Sandrine Marques
S'inscrivant dans la tradition du slasher movie, ce film maniériste revendique ses influences mais croule sous leur poids.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Guillaume Tion
Les scènes gratuites y sont plus chères qu’il n’y paraît : violentes, furieuses, gore, elles permettent d’éventrer certains tabous, notamment concernant l’enfance, thème présent dans chaque film.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Laurent Duroche
(...) il a le mérite d'être une oeuvre pure et sincère dans ses intentions et les sensations cinéphagiques qu'il fait remonter à la surface. Certes, ça ne fait pas un grand film, mais avoir une âme, c'est déjà beaucoup.
Positif
par Philippe Rouyer
Les auteurs savent cultiver le mystère et une ambiance malsaine en s'appuyant sur une lumière sophistiquée et de très beaux décors. Le seul problème tient à l'écriture des personnages, dont la dimension caricaturale est accentuée par la fausseté des dialogues.
Télérama
par Jérémie Couston
Hormis une fin un peu conventionnelle, la tension ne faiblit pas (...) Famille dégénérée, civilisations perdues, cauchemars éveillés : les bons films d'horreur sont bâtis sur des ruines.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Fiches du Cinéma
par Grégory Auzou
Un film de genre violent et empli de fureur. En dépit d'une certaine efficacité, cette tentative, plutôt bancale, se révèle décevante.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ecran Large
par Simon Riaux
Un mélange d'amateurisme et d'incontinence scénaristique qui devrait encourager pas mal de monde à l'humilité.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Ecran Fantastique
par Yann Lebecque
"Aux yeux des vivants" appartient plus au registre du grand n'importe quoi qu'à celui d'un cinéma ayant une quelconque exigence. C'est que le scénario, incompréhensible et sans aucune force, met des personnages sans épaisseur dans des situations d'une bêtise qui confine au risible.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
(...) une œuvre émaillée de quelques fulgurances visuelles mais largement insuffisante pour faire passer la pilule d’une écriture précaire incapable de définir son public.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
Le duo Alexandre Bustillo/Julien Maury auquel on doit "A l’intérieur" (2009) et "Livide" (2011) signe un film radical subtil mélange entre l’initiation à l’âge adulte à la manière de "Stand by me" (Rob Reiner, 1986) et "Massacre à la tronçonneuse" (Tobe Hooper, 1974).
Charlie Hebdo
Bustillo et Maury ont une vraie "patte". La volonté de créer une ambiance propre, (...) cette "french touch" qui imposerait de donner du sens plutôt que de rechercher l'efficacité à tout prix. Tout ce qui fait qu'"Aux yeux des vivants" rate en partie la cible qu'il s'est fixée.
Le Journal du Dimanche
Si les personnages manquent un peu de consistance, ce film traduit, à travers ses références, son atmosphère et sa radicalité, un amour inconditionnel pour le cinéma d'horreur. Sans oublier de jolies trouvailles de mise en scène.
Le Monde
S'inscrivant dans la tradition du slasher movie, ce film maniériste revendique ses influences mais croule sous leur poids.
Libération
Les scènes gratuites y sont plus chères qu’il n’y paraît : violentes, furieuses, gore, elles permettent d’éventrer certains tabous, notamment concernant l’enfance, thème présent dans chaque film.
Mad Movies
(...) il a le mérite d'être une oeuvre pure et sincère dans ses intentions et les sensations cinéphagiques qu'il fait remonter à la surface. Certes, ça ne fait pas un grand film, mais avoir une âme, c'est déjà beaucoup.
Positif
Les auteurs savent cultiver le mystère et une ambiance malsaine en s'appuyant sur une lumière sophistiquée et de très beaux décors. Le seul problème tient à l'écriture des personnages, dont la dimension caricaturale est accentuée par la fausseté des dialogues.
Télérama
Hormis une fin un peu conventionnelle, la tension ne faiblit pas (...) Famille dégénérée, civilisations perdues, cauchemars éveillés : les bons films d'horreur sont bâtis sur des ruines.
Les Fiches du Cinéma
Un film de genre violent et empli de fureur. En dépit d'une certaine efficacité, cette tentative, plutôt bancale, se révèle décevante.
Ecran Large
Un mélange d'amateurisme et d'incontinence scénaristique qui devrait encourager pas mal de monde à l'humilité.
L'Ecran Fantastique
"Aux yeux des vivants" appartient plus au registre du grand n'importe quoi qu'à celui d'un cinéma ayant une quelconque exigence. C'est que le scénario, incompréhensible et sans aucune force, met des personnages sans épaisseur dans des situations d'une bêtise qui confine au risible.
aVoir-aLire.com
(...) une œuvre émaillée de quelques fulgurances visuelles mais largement insuffisante pour faire passer la pilule d’une écriture précaire incapable de définir son public.