Derniers Avis : Big Bad Wolves - Page 5

Un bon film mais Une fin pas assez claire. Dommage car il avait l'air vraiment bien

film ultra violent, malsain et complaisant. et le pire c'est que c'est complètement gratuit.

Big Bad Wolves est une farce délurée et oppressante qui amuse autant qu’elle nous met dans un état inconfortable. Le film n’en demeure pas moins à un thriller sombre à la tension et au suspense impeccablement maintenu qui décrit une société israélienne dominée par la violence. Pas le film de l’année, mais une bonne surprise !

Je suis allée voir Ce film car il était qualifié de film de l'année par M. Tarantino, au bout de quelques minutes on comprend pourquoi, humour grinçant malgrès le sujet du film, la pédophilie, ou l on se pose souvent la question qui est le gentil ? Qui est le méchant ?
Ce thriller israélien nous rappelle le très bon Prisonners mais avec ce petit côté décalé en plus.
Au final, vous ne serez pas déçu, c est un très bon thriller avec de très très bons acteurs !!!

Voici le genre de film putassier qui nous gratifie de séances de tortures jusqu'à la nausée sans même que l'on sache s'il entend la dénoncer ou la justifier. J'ai du mal à comprendre comment l'on peut aimer un tel film sauf à avoir un petit problème avec la violence extrême. Et qu'on ne me dise pas qu'il faut prendre cela au second degré, la torture est une chose suffisamment grave pour que l'on ne s'en amuse pas.
Ce film soulève d'ailleurs une grave interrogation: la société israélienne banalise-t-elle à ce point la torture? Non seulement, dans ce film, elle ne pose aucun problème aux policier ou aux anciens militaires mais on la pratique en famille: le père aide son fils à torturer le suspect en lui "vantant" les bonnes vieilles méthodes ("on ne vous apprend plus rien dans l'armée"?). Le pire reste la fin, qui non seulement ne tient pas debout mais semble justifier tout ce que le suspect a enduré. Je me joins donc au profond dégout manifesté par les critiques de Télérama, du Monde, de Libé et autres!

Avec son accroche en haut de l'affiche citant Quentin Tarantino qui qualifie Big Bad Wolves de meilleur film de l'année, ce thriller israélien est quasiment certain d'attirer en salles tous les plus grands fans du réalisateur curieux de découvrir son dernier coup de cœur.

Une innocente partie de cache cache se transforme en drame lorsqu'une des jeunes participantes est kidnappée et retrouvée assassinée de manière atroce quelques jours pour plus tard. Un coupable est rapidement trouvé mais les méthodes un peu trop radicales des policiers lui permettent d'être remis en liberté. Un de ces flics ne compte cependant pas lâcher si facilement l'affaire. De son coté le père de la jeune victime est bien décidé lui aussi à faire parler le kidnappeur présumé par n'importe quel moyen.

L'accroche de Quentin Tarantino donne un sacré coup de projecteur sur le deuxième film de Aharon Keshales et Navot Papushado, la preuve en est que leur premier long métrage Rabies n'avait lui eu que le droit à une sortie en DVD l'année dernière. Après l'horreur dans leur premier film, les deux réalisateurs se mettent désormais au thriller d'inspiration coréenne, ce qui a certainement séduit Tarantino.

L'histoire de Big Bad Wolves est racontée de trois points de vues différents de trois hommes que le sort vont regrouper. Le premier est un flic qui va voir le coupable présumé d’enlèvement de fillettes être libéré à cause de procédure illégale. Le second est cet homme soupçonné, un professeur dans un lycée sur lequel le doute de la culpabilité plane pendant tout le film. Le troisième est le père de la dernière victime qui n'hésite pas à se faire vengeance lui même en mettant au point un plan pour faire avouer l'homme soupçonné par la police.

Dans un premier temps on passe de l'un à l'autre sans vraiment savoir ce qui va finalement les réunir. De longues scènes lentes et sans véritable suspense qui nous font nous demander ce que veulent raconter les deux réalisateurs. Le film fini par basculer en quasi huis clos dans une cabane perdue dans les bois où le pédophile kidnappeur va subir le même traitement que celui qu'il a infligé à ses jeunes victimes. Des scènes à la limite du supportable qui nous rappelle que les deux réalisateurs viennent de l'Horreur.

Cette histoire d'auto vengeance n'est pas sans rappeler l'excellent Prisoners de Denis Villeneuve dans lequel Hugh Jackman réglait son compte au kidnappeur présumé de sa fille. On y voit très clairement ce qui a pu séduire Quentin Tarantino, on pense au Oldboy de Park Chan Wook a qui le réalisateur avait donné le Grand Prix à Cannes mais aussi à Reservoir Dogs pour l'affrontement en huis clos. Bref une impression de déjà-vu plane sur ce Big Bad Wolves qui ne méritait certainement pas autant d'éloges.

A moins de bien connaître le cinéma Israélien, le nom des acteurs de Big Bad Wolves ne vous dira probablement rien. Lior Ashkenazi qui ressemble à un croisement entre Steve Carrel et Clive Owen était déjà au générique de leur précédent film Rabies encore dans le rôle du flic. Le pére de famille est interprété par Tzahi Grad n'a jamais été en tête d'affiche et Rotem Keinan qui joue le présumé kidnappeur débute à peine sa carrière. Chacun se montre convaincant dans leurs rôles même si on aurait aimé qu'ils soient plus étoffés.

Film surprenant, qui nous sors pour une fois du nouveau contient. Une intrique rondement mener, avec des acteurs cliché dans leur rôle mais qui fonctionne à merveille, l'angoisse est présenté mêlant drôlerie barbarie et angoisse. Une sorte de prisonniers like version trash. À voir tout simplement

Hé bien ce n'est pas mal du tout ! Cela faisait longtemps que je n'avais pas vu un thriller aussi haletant, des têtes inconnus mais qui jouent très bien, une production israélienne peu connue mais qui mérite le détour. J'espère que ces deux scénaristes vont continuer sur cette voie-là, un petit bijou du 7ème art israélien. Petit bémol, interdit aux moins de 16 ans il ne faut peut être pas exagérer non plus !

Reprenant tous les codes de Prisoners de Denis Villeneuve (2013), Big Bad Wolves est ce genre de film difficilement supportable. Pourquoi ? Parce que d'une part les réalisateurs s'appuient sur une bonne histoire et en font un ramassis de scènes gores, invraisemblables et involontairement comiques. Caricaturée, simplifiée, on se lasse vite de cette atmosphère répétitive, malsaine et ultra violente. Gênant aussi, pendant tout le film, on cherche les méchants et les gentils sans être satisfait. Frustrant. La fin comme à l'accoutumée est bâclée, et on regrette bientôt, de s'être laissé embarquer dans ce petit film de série B qui aurait pu être très bien.

Epoustouflant... Je n'ai pas pu regarder les scènes de torture droit dans la toile et bien souvent une déroute d'humour noire m'a permis de respirer un peu. c'est génial ! des questionnements à la sortie, des recherches... Enfin la beauté d'un cheval à la croisée de routes avec dessus un palestinien face à un flic apeuré, que faut il comprendre ? ce film est certainement bourré de messages qui passent dans notre sang par cette torture à juger... est elle juste ou injuste ? a t elle juste le droit d'exister ? Non en conclusion bien évidemment. mais quelle horreur que cette nature humaine !

J'ai été bluffé par ce film qui est une pépite... Les acteurs sont formidables. A voir absolument en V.O car même pour moi qui ne parle pas israélien, je trouve cette langue pleine de poésie. Ce qui est génial dans ce film c'est le décalage entre les scènes à la limite de l'insoutenable et l'humour qui reste toujours présent... La scène ou le père de la petite fille tuée est interrompue au téléphone par sa mère juive possessive alors qu'il est en train d'arracher les ongles de l'individu qu'il suspecte d'être le meurtrier de son enfant est juste jubilatoire ...

Un thriller sans enquête au suspense mal construit et au scénario ridiculement mince, à l'humour d'un mauvais gout surprenant et mal maîtrisé, qui tombe quasi toujours à plat, avec des héros violents et sadiques, le tout pataugeant dans une musique extrêmement lourde omniprésente. Bref, un mauvais moment à passer !

Un film à ne pas mettre entre toute les mains, et qui met volontairement le spectateur dans une situation inconfortable ou l'on sent que l'on ait pas dans les torn movies (genre hostel, saw...) habituel. Là, le scénario se pourrait déja plus "crédible" et annonce des thèmes qui dans certains pays sont "coutumiés" même si tout le monde se tait. Pour une réalisation Israèlienne, j'avoue avoir été complètement bluffé et ne m'attendais pas à cela ou l'on est quasiment dans une production à la hauteur de certains films hollywoodiens! Un suspens implacable, ajouté à cela ; un humour noir qui permet au public pourtant "destabilisé" d'être un peu plus "accroché" par le coté obscure de l'histoire et du film. Pour le jeu d'acteur, bien que plusieurs sont ; selon ce que j'ai pu lire des acteurs connus dans leurs pays. Pour ma part, totalement inconnu ; mais dans l'ensemble joue convenablement. Pour le final, on se doute que cela ne sera pas de tout repos et que le happy ne sera pas spécialement de mise. Mais les 20 dernières minutes nous offrent une atmosphère complétant le reste du film et nous laissant sur le c** à l'arrivé du générique de fin. Certains sentiront que le réalisateur c'est un peu inspiré de vague idées d'autres films et par moment se montre répétitifs (mais cela s'encre un peu plus dans l'esprit du spectateur) et seront donc lassant suivant le public. Après on conçoit quand même que le réal a voulu plaire à ses confrères , Tarantino par exemple (et c'est le cas pour lui, qui le qualifie de film de l'année^^) et offre donc un film qui ne plaira pas à tout le monde tant par son thème que par sa violence physique et psychologique. Un film dur et éprouvant, mais qui laisse le spectateur rentrait chez lui en ayant pris une claque visuel et unique (je pense) pour un film venu d'un pays beaucoup plus restricteur (je me comprends) que nous ou les Etats Unis. Mais l'on sent, qu'ils veulent monter en puissance et cela se fait d'autant plus ; ressentir dans le film. Un film rare, loin des films d'horreur "torn movie" que l'on a connu ses dernieres années et qui se ramène plutôt à un thriller psychologique mettant vos nerfs à rude épreuve...

Une histoire dure et très glauque (meurtres de fillettes, vengeance, tortures...), heureusement tempérée par un humour noir et une stylisation de la violence qui a tapé dans l'oeil de ce maniaque de Tarantino. Traité avec le sérieux de Dennis Villeneuve pour "Prisonners", le film aurait sans doute été insoutenable. L'humour sur les voisins arabes est assez pertinent (c'est un film israelien, rappelons-le), et le flic interprété par Lior Ashkenazi fait penser à un croisement entre Clive Owen et Steve Carell. La tension est permanente, la violence bien sadique, mais la fin déçoit un peu.

Très mal joué au début , ce film de seconde zone nous entraine peu à peu dans une horreur inexpliquée.