Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Elle
par Khadija Moussou
Sara Forestier aurait pu se contenter de raconter une histoire d’amour sur fond d’ascension sociale. Avec « M », elle délivre un message sincère sur l’amour certes, mais aussi sur l’apprentissage de la langue française qui peut paraître farfelue, et laisse transparaître quelques scènes drôles, comme celle du restaurant.
La critique complète est disponible sur le site Elle
20 Minutes
par Caroline Vié
Ce premier long-métrage de Sara Forestier en tant que réalisatrice est bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
L'Express
par Christophe Carrière
Il y a bien quelques maladresses côté mise en scène et écriture, mais elles sont balayées par une intensité et une sincérité indubitables.
Le Journal du Dimanche
par Eric Mandel
Un film avec un parti-pris audacieux et un univers singulier, où la poésie affleure à chaque plan, entre légèreté et gravité, avec des pointes d’humour distillées avec finesse.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Dans «M», son premier long-métrage en qualité de réalisatrice, Sara Forestier incarne une bègue enfermée dans le mutisme, amoureuse d'un mauvais garçon qui souffre d'être analphabète. Attention, performance.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Première
par Christophe Narbonne
L’élève d’Abdellatif Kechiche préfère au commentaire social efficace mais banal la poésie casse-gueule qui interpelle. On préfère cette liberté de déplaire.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé Loisirs
par Jérémy Mingot
Malgré quelques faiblesses d'écriture (...), Sara Forestier réalise un drame fort, poignant et surtout très touchant.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Des hésitations sont sans doute à mettre au compte d’un apprentissage, certes talentueux, mais qui ne saurait assimiler "M" à une révélation.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Un film à fleur de peau, écorché vif, porté par une impérieuse envie de cinéma et où les sentiments sont captés sans filtre dans leur fièvre la plus sincère.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une première réalisation pour Sara Forestier, qui lui ressemble : tendue, mettant en scène des êtres simples qui se heurtent à la difficulté de vivre. Il y a de la passion, de l’énergie, de l’espoir et un peu trop de pathos.
Le Figaro
par La Rédaction
Maladroit, démonstratif, le film témoigne de l'extrême sensibilité de son auteur.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Pour son premier film, Sara Forestier fait oublier les quelques maladresses d’écriture par une émotion brute et sincère.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Alexandre Büyükodabas
Pour son premier long métrage comme réalisatrice, Sara Forestier offre une histoire d'amour bancale mais habitée.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Pierre Eisenreich
Ce refuge dans un univers sans aspérité, parce que trop dans l’imagerie décousue, peine à nous convaincre de cette idylle. Cependant il faut saluer les interprétations sensibles de Sara Forestier et Redouanne Harjane, ainsi que la révélation de la jeune Liv Andren interprétant Soraya.
Studio Ciné Live
par Laurent Djian
Aussi imparfait soit-il, le film possède la plus essentielle des qualités : il ressemble à son auteure.
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Le premier long métrage en tant que réalisatrice de Sara Forestier est une romance sensible entre deux écorchés, qui vaut surtout pour l’interprétation émouvante de l’actrice.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Clément Graminiès
[Le complexe] donne surtout l'impression d'être exploité pour son seul potentiel dramatique et sa capacité à provoquer l'empathie chez le spectateur.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
La musique de Christophe n'aide pas à rendre le film, ambitieux et naïf, plus modeste qu'il ne l'est.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Murielle Joudet
Lorgnant du côté d’un cinéma naturaliste, le film peine à parvenir à l’intensité émotionnelle à laquelle il prétend. Sara Forestier mise tout sur des scènes de dispute, devenues le lot commun d’un certain cinéma réaliste français.
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Malgré ses interprètes au taquet, le premier film de Sara Forestier s’égare dans les méandres d’un scénario alambiqué et les clichés.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Elle
Sara Forestier aurait pu se contenter de raconter une histoire d’amour sur fond d’ascension sociale. Avec « M », elle délivre un message sincère sur l’amour certes, mais aussi sur l’apprentissage de la langue française qui peut paraître farfelue, et laisse transparaître quelques scènes drôles, comme celle du restaurant.
20 Minutes
Ce premier long-métrage de Sara Forestier en tant que réalisatrice est bouleversant.
L'Express
Il y a bien quelques maladresses côté mise en scène et écriture, mais elles sont balayées par une intensité et une sincérité indubitables.
Le Journal du Dimanche
Un film avec un parti-pris audacieux et un univers singulier, où la poésie affleure à chaque plan, entre légèreté et gravité, avec des pointes d’humour distillées avec finesse.
Le Parisien
Dans «M», son premier long-métrage en qualité de réalisatrice, Sara Forestier incarne une bègue enfermée dans le mutisme, amoureuse d'un mauvais garçon qui souffre d'être analphabète. Attention, performance.
Première
L’élève d’Abdellatif Kechiche préfère au commentaire social efficace mais banal la poésie casse-gueule qui interpelle. On préfère cette liberté de déplaire.
Télé Loisirs
Malgré quelques faiblesses d'écriture (...), Sara Forestier réalise un drame fort, poignant et surtout très touchant.
Franceinfo Culture
Des hésitations sont sans doute à mettre au compte d’un apprentissage, certes talentueux, mais qui ne saurait assimiler "M" à une révélation.
La Septième Obsession
Un film à fleur de peau, écorché vif, porté par une impérieuse envie de cinéma et où les sentiments sont captés sans filtre dans leur fièvre la plus sincère.
Le Dauphiné Libéré
Une première réalisation pour Sara Forestier, qui lui ressemble : tendue, mettant en scène des êtres simples qui se heurtent à la difficulté de vivre. Il y a de la passion, de l’énergie, de l’espoir et un peu trop de pathos.
Le Figaro
Maladroit, démonstratif, le film témoigne de l'extrême sensibilité de son auteur.
Les Fiches du Cinéma
Pour son premier film, Sara Forestier fait oublier les quelques maladresses d’écriture par une émotion brute et sincère.
Les Inrockuptibles
Pour son premier long métrage comme réalisatrice, Sara Forestier offre une histoire d'amour bancale mais habitée.
Positif
Ce refuge dans un univers sans aspérité, parce que trop dans l’imagerie décousue, peine à nous convaincre de cette idylle. Cependant il faut saluer les interprétations sensibles de Sara Forestier et Redouanne Harjane, ainsi que la révélation de la jeune Liv Andren interprétant Soraya.
Studio Ciné Live
Aussi imparfait soit-il, le film possède la plus essentielle des qualités : il ressemble à son auteure.
aVoir-aLire.com
Le premier long métrage en tant que réalisatrice de Sara Forestier est une romance sensible entre deux écorchés, qui vaut surtout pour l’interprétation émouvante de l’actrice.
Critikat.com
[Le complexe] donne surtout l'impression d'être exploité pour son seul potentiel dramatique et sa capacité à provoquer l'empathie chez le spectateur.
L'Obs
La musique de Christophe n'aide pas à rendre le film, ambitieux et naïf, plus modeste qu'il ne l'est.
Le Monde
Lorgnant du côté d’un cinéma naturaliste, le film peine à parvenir à l’intensité émotionnelle à laquelle il prétend. Sara Forestier mise tout sur des scènes de dispute, devenues le lot commun d’un certain cinéma réaliste français.
Libération
Malgré ses interprètes au taquet, le premier film de Sara Forestier s’égare dans les méandres d’un scénario alambiqué et les clichés.