Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Sebastien Mac Fly
14 abonnés
174 critiques
Suivre son activité
3,5
Publiée le 11 septembre 2014
Le mélange entre passé et présent fonctionne plutôt bien. Sans être des plus terrifiant, l'ambiance est la, et ca monte progressivement. Sans avoir à attendre une heure les premiers événements comme dans beaucoup de films du genre (Paranormal activity par exemple). Le seul regret si je puis dire, c'est qu'il n'y a aucune explication sur l'origine du miroir, ses intentions, et pourquoi. Mais c'est un peu le problème avec tous les films qui parle de surnaturel ces derniers tps.
J'ai rien compris, après il est super bien filmé la cinématographie est impeccable mais honnêtement trop tordu le scénario, je dois être idiote car franchement j'ai pas compris grand chose !!
C'est un thriller très psychologique pas gore mais bien angoissant par contre Bourré de flash back et de ''vision'' du coup on se perd et on a jamais la réponse aux intrigues dommage ... un film où on reste sur sa faim quoi
Enfin un film d'épouvante qui ne se contentent pas de reprendre le même pochoir et de changer les couleurs. A une époque où Hollywood nous noie dans ses Paranormal Activity, Insidious et autre Conjuring commerciaux au possible, Oculus (je refuserais jusqu'au bout de l'appeler "The Mirror") est un petit bijou de fraîcheur et d'originalité. Certains effets tombent un peu à l'eau à la fin, mais le film n'a jamais eu la prétention de nous promettre une orgie d'effet spéciaux ou de gore. À voir, donc!
Oculus ne risque pas de faire de l'ombre au futur film d'horreur à base de miroir. Le film démarre très fort mais après il n'y a plus rien à se mettre sous la dent, Le principe du film est certes original mais lourd à force car, nous avons à faire à de très, très nombreux flashback! Certains sont totalement inutile, juste pour combler le vide sidéral d'Oculus ...
Oculus fait partie de ces nombreux titres de genre directement sortis en France en vidéo, ne permettant pas de donner pleine puissance à son récit sur grand écran. Dès lors, il n’est guère étonnant que le Belge du groupe se permette de revenir sur l’un des meilleurs films fantastiques de ces dernières années. Les personnes au fait de la filmographie de Mike Flanagan feront directement le rapprochement entre ce long-métrage et sa fabuleuse série « The Hauting of Hill House » par le biais du traumatisme familial qui traverse les années, répercutant aussi bien passé et présent. Le plus bel exemple de comparaison reste ce superbe sixième épisode avec qui Oculus partage les mêmes intentions narratives et le même jeu de miroir entre ses temporalités, jusqu’à opposer la souffrance des personnages à des âges divers dans une même séquence. De quoi rappeler l’implication dramatique que porte le réalisateur pour ses personnages. Pourtant, c’est le miroir du film qui semble contrôler la mise en scène du long-métrage par les diverses manipulations qui seront prises durant sa durée. On pense à une amorce de retrouvailles basculant dans le malaise par un changement d’axe au détour d’une réplique et d’un affrontement idéologique qui, s’il ne dispose pas de l’issue la plus surprenante, traite d’un questionnement sur une institutionnalisation de la gestion de drames et de la sourde oreille que peuvent prêter certains endroits et spécialistes censés aider leurs patients et finissant par les affecter par leur rationnalisme. L’horreur du film, bien que graduelle, reste omniprésente et joue par des idées aussi nombreuses que passionnantes, que ce soit un set up pay off ou bien ces caméras, vectrices de la réalité des événements sans tomber dans la vague de found footage. Bref, s’il semble d’une certaine simplicité, Oculus offre diverses pistes narratives et visuelles pour offrir un vrai moment de frousse réussi, annonçant définitivement que Mike Flanagan allait s’avérer un des réalisateurs à suivre dans le cinéma de genre contemporain…
Ce film navigue entre fantastique, une pointe d'horreur, et un bon thriller. Le mélange passe bien puisque qu'on évolue avec nos 2 protagonistes entre leur passé troublé par ce miroir, et le présent ou ils vont tenter d'en comprendre le fonctionnement (je résume)... L'ambiance musicale est bonne, les relations entre les personnages apporte une bonne tension... mais on reste sur notre faim d'horreur ou d'angoisse !
Bon film d'horreur, qui de par son mélange du temps et des effets, nous faire perdre le fil de savoir ce qui est réalité et ce qui le l'est pas. une sorte d'inception aux portes de l'horreur. Si la fin est appréciable, il manque juste une histoire, un contexte à cet objet maléfique, quelque chose de plus construit. Cela reste néanmoins un film qui fera son effet à regarder dans le noir
Je n'étais pas emballée par l'affiche et encore moins par la bande annonce. Je l'ai regardé un jour de pluie n'ayant pas trop d'idées et quelle surprise!!! L'ambiance est glauque et malsaine, la musique flippante, le film glisse tout doucement mais sûrement dans l'horreur. On se prend au jeu et on s'y perd en même temps que les "héros" de l'histoire. Si bien qu'on ne sait plus ce qui est réel ou non. Je regrette juste la fin. Mais sinon ce film est bien foutu et j'ai passé un très bon moment.
Une déception. Le film commence bien. Les acteurs sont convaincants. Deux histoires sont racontées simultanément, et elles le sont bien. Dans le passé, comment la famille bascule dans la folie et l'enfer. Dans le présent, comment les enfants rusent pour déjouer les illusions de l'entité du miroir, par leurs astuces et leur logique. Le réalisateur fait bien plus que simplement montrer en parallèle les deux lignes temporelles, il les fait s'entrecroiser avec beaucoup d'originalité et de talent dans la mise en scène. L'aspect fantastique est très bien construit, et c'est ce qui fait véritablement monter l'angoisse. Tous ces éléments font que The Mirror vaut le coup d'oeil. Malheureusement, le film est complètement plombé dans la deuxième partie par les incohérences excessives des personnages. Dans un film d'horreur classique type slasher, la stupidité des personnages ne pose aucune problème, car ça fait partie du "contrat" initial et même des codes du genre. Mais là on n'est pas dans un slasher mais dans un thriller psychologique-fantastique. La différence, c'est que le réalisateur ne peut pas nous faire la démonstration dans la première partie de toute la sagacité de ses personnages, avant de les faire agir complètement stupidement dans la deuxième partie, comme il le voudrait, et comme ce serait le cas dans un slasher. Alors ça ne retire pas à la première partie toutes ses qualités, mais l'ensemble du film en prend un sacré coup. Dommage.
Un thriller d'horreur plus triste qu'effrayant avec de grandes performances d'acteur, principalement d'Annalize Basso, Garrett Ryan et Karen Gillan.
A un moment donné, il faut savoir lâcher prise si on veut survivre ; c'est ainsi que l'on peut interpréter l'histoire douloureuse de Kaylie et Tim, et de leurs parents.
Ce film est un bon divertissement, il ne prétend pas être excellent et est pourtant pas mal. Il se démarque du lot de navets mais n'est pas pour autant le film de l'année. Le gros bémol c'est qu'il est trop prévisible, après on s'y accomode et on se laisse aller même si l'histoire n'est pas réellement innovante. Je vous le conseille mais n'ayez pas trop d'attentes. Bon visionnage.
Film assez inégal. Peu d'intérêt au début, les personnages ne sont pas spécialement intéressants ou profonds, ils sont même un peu clichés. Mais dans la seconde partie du film quelque chose se débloque et petit à petit le film commence enfin et c'est très efficace. Ce ressort horrifique où l'on se perd entre la réalité et la perception du personnage est extrêmement efficace et jubilatoire. Peut être que ce film en montre trop et nous explique tout trop vite, ce qui retire toute part de mystère. Les acteurs ne sont pas incroyables mais bons. Étant une très grande fan de flanagan ce n'est pas au niveau du film Jessie et encore moins de ses series, mais ça reste un bon film d'horreur (meme si vous pouvez passer la première moitié en x2)