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    La Fille du Patron
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    2,9
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    benoitG80
    benoitG80

    3 314 abonnés 1 464 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 janvier 2016
    "La fille du patron" ne m'aura pas plus emballé que ça !
    Où veut-en venir Olivier Loustau avec ce premier film ?
    Entre plusieurs thèmes croisés, le rudby, une histoire de couple qui se délite, une entreprise en difficulté, l'amour avec la fille du patron bien sûr, on semble naviguer un peu à vue...
    Tout semble rapidement ébauché, aucun personnage n'étant véritablement développé ou fouillé comme on l'attendrait, aucun dialogue véritablement écrit en profondeur, si bien qu'aucune émotion ou empathie quelconque pour les personnages ou au moins quelques-uns ne se met en place.
    On aurait aimer entrer dans l'existence des deux héros, de mieux les connaître.
    Mais on passe beaucoup trop de temps en survolant le collectif, dans l'excitation et l'effervescence des matches qui se préparent, puis se déroulent sous nos yeux, pour rebondir sur les problèmes de rentabilité de l'usine, puis vice-versa...
    Dans certains moments, comme dans les tribunes du stade en particulier, la différence de classe sociale est d'ailleurs montrée sans finesse, avec tous les stéréotypes possibles.
    J'ai eu enfin l'impression au bout d'une heure, de ressentir un peu de tension, et de comprendre la raison d'être du film, mais non, le rythme faiblit de nouveau pour reprendre comme il l'était juste avant...
    Les comédiens ne sont guère dirigés et le tout manque de conviction, de puissance sans que rien ne nous atteigne vraiment.
    Le contexte de départ était bien vu pourtant, et semblait prometteur avec des instants plutôt sincères et des reflets de la vie bien étudiés et bien ciblés, ce que j'aime et recherche tout particulièrement.
    Dommage...
    islander29
    islander29

    758 abonnés 2 274 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 janvier 2016
    C'est plus un film sympa qu'un grand film....La façon de filmer confesse pas mal de clichés, les ballades en moto, les matchs de rugby.....Je me suis amusé à penser à Chabal par la physionomie de l'acteur et metteur en scène, et effectivement il y a une surprise.....Le film ne s'appesantit pas sur l'imbroglio social (une entreprise a des difficultés) et édulcore assez tout ce qu'il met en scène (ne vous attendez pas à un drame social à l'anglaise)....Mais il met du sentiment et présente un homme en changement......Pas de dialogue extraordinaires non plus, mais une histoire qui a de nombreux points de vue assez justes.....C'est, j'ai envie de dire à la fois réaliste et romantique, et assez pertinent pour un premier film....Pas mal....
    Dom Domi
    Dom Domi

    34 abonnés 303 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 janvier 2016
    Une histoire assez banale d'une rencontre de deux êtres se débattant dans deux univers sociaux différents et que le film rend antinomiques. Deux bons acteurs ne font pas un grand film. Ici, sur fond de " sport co ", l'histoire cherche à émouvoir et à tenir le spectateur en éveil, maladroitement et sans vraiment y parvenir. c'est dommage même si l'amour semble gagner la partie...

    dom
    Fritz L
    Fritz L

    162 abonnés 767 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 janvier 2016
    Ce que l’on ne peut pas reprocher à Olivier Loustau, c’est la candeur et la vitalité qui traverse « La fille du patron ». Que ce soit au niveau des scènes relatives au rugby (les plus réussies), ou le rythme qu’il y donne, on sent sa grande implication et la joie évidente qu’il a eu à tourner. Hélas pour le spectateur, c’est beaucoup moins probant.

    Le scénario est un rien éculé, dans le sens de ressassé, et fourmille de poncifs dont le titre en est un parfait exemple. Vital, chef d’équipe dans une petite entreprise de textile se partage entre son travail, les entrainements de Rugby et accessoirement de son épouse et de sa fille. Jusqu’au jour où Alix la fille du boss, vient faire une étude sur l’ergonomie dans l’usine de son papa. C’est une véritable opération de cardage dans la vie de vital qui va s’opérer, démêlant un à un les fils de son existence un peu en grappe. Sur une toile de fond sociale (compétitivité, entreprise familiale, grève, conditions de travail, classes sociales…) Le réalisateur recompose un vécu (celui de son père) sans arriver à toutefois l’ennoblissement.

    Alors bien sur certains plans sont bien trouvés (les retrouvailles sur un escalier, la moto filant sur un barrage…), on a plaisir à retrouver Stéphane Rideau et Florence Thomassin, Loustau l’acteur est plutôt crédible, et une certaine sympathie générale se dégage de ce petit monde. Mais tout étant trop convenu et jamais réellement crédible, au final on quitte la salle un peu gêné face à tant de bons et gros sentiments acryliques. La spontanéité n’est pas toujours gage de réussite surtout si elle ne s’accompagne pas de rigueur.
    traversay1
    traversay1

    3 096 abonnés 4 624 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 janvier 2016
    Olivier Loustau rend hommage à son père et à un univers qu'il connaît bien, assez souvent absent du cinéma français : le monde ouvrier. C'est le côté humain, authentique, solidaire mais sans candeur de La fille du patron, qui frappe, dans un scénario qui a la simplicité des bonnes histoires avec des personnages de chair et de sang observés avec tendresse. Le rugby occupe dans le film une place qui n'est pas que symbolique. Loustau n'est certainement pas un novice dans ce sport et sa façon de le filmer, au plus près des mêlées, dépasse largement ce qu'Eastwood proposait dans Invictus. Acteur viril, Loustau a eu la bonne idée de confier le rôle principal féminin à Christa Théret, moins fragile qu'il n'y paraît. Leur alchimie est crédible. Quant aux seconds rôles, ils sont bien présents et remarquablement interprétés.
    dominique P.
    dominique P.

    785 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 janvier 2016
    Voilà une petite comédie dramatique, sentimentale et sociale assez banale.
    Oui c'est ça, c'est pas mal dans l'ensemble mais banal.
    Samuel T
    Samuel T

    49 abonnés 16 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 janvier 2016
    Beau premier film d'Olivier Loustau, comédien aperçu entre autres chez Kechiche. Servis par un scénario de grande qualité, les comédiens incarnent avec beaucoup de justesse ce groupe d'ouvriers du textile. Mentions spéciales à la présence lumineuse de Christa Théret et à la musique de Fixi (ex Java) et Winston McAnuff. La fille du patron montre avec beaucoup de sincérité un visage humain et chaleureux du monde ouvrier rarement traité de cette façon au cinéma.
    saurar
    saurar

    11 abonnés 123 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 janvier 2016
    Dans ce film on trouve un peu de tout: une ergothérapeute, fille du patron , rôle bien interprétée par la jeune actrice Christa Théret , de relations conflictuelles au sein d'un entreprise en difficulté, générant des mouvements sociaux , une équipe de rugby d'entreprise et une relation sentimentale extra conjugale et ses conséquences privées et professionnelles . Beaucoup de longueurs, et de répétitions dans les situations, générant des périodes d'ennui. Le scénario manque de liant . Un film, toutefois sympa sans plus.


    Béatrice Gaillard a actualisé son statut.
    14 novembre, 11:39
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 9 janvier 2016
    J'ai ADORE ce film ! tout y est, le jeu des acteurs, le bon scénario la photo au top !
    je recommande !!
    PLR
    PLR

    407 abonnés 1 475 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 janvier 2016
    Un fond social, l'esprit d'équipe au travers du sport en entreprise, une romance : les entrées du scénario sont multiples, se chevauchent et interagissent. Tout ça pour nous donner une histoire à laquelle on s'intéresse immédiatement. Sympathique. Bien.
    vidalger
    vidalger

    291 abonnés 1 226 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 janvier 2016
    Olivier Loustau, dont il faut saluer le courage d'aborder dans un premier film le monde ouvrier, se perd en cours de route dans les méandres d'une histoire sentimentale entremêlée de la chronique d'une usine au bord du dépôt de bilan. Problème de scénario mais aussi de montage. Quelques jolis moments sont plombés par de longs tunnels où l'on baille d'ennui (les matchs de rugby ou les promenades à moto). On retiendra le jeu émouvant de la jeune Christa Théret en jeune biche amoureuse du vieux briscard et celui tout en finesse - et aussi émouvant - de Florence Thomassin en épouse délaissée.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 9 janvier 2016
    Un film rare au cinéma...touchant,sensible...un film social se déroulant dans une entreprise...avec une histoire d'amour entre un ouvrier et la fille du patron...l'ensemble m'a touché...beaucoup de thèmes sont abordés de manière juste...les acteurs sont très touchants
    scrabble
    scrabble

    34 abonnés 467 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 janvier 2016
    un film très sympa. c'est bien joué. c'est réaliste sans chichi. la romance bluette on s'en fiche pour moi ce volet n'est pas le plus important dans ce film mais surtout cette amitié virile et franche. le scénario est simple mais super bien construit. les acteurs masculins sont tous très attachants
    Chris58640
    Chris58640

    184 abonnés 727 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 janvier 2016
    Il est charmant et bien fichu, le premier film d’Olivier Loustau. Même s’il n’est exempt de petits défaut et de petites naïvetés, il fait du bien au milieu de la grisaille ambiante. Olivier Loustau s’est réservé le premier rôle, celui d’un ouvrir quadragénaire un peu bourru, mal dans sa vie, qui tombe amoureux d’une jeune fille de 26 ans tellement éloignée de ce qu’il est sur tous les plans (éducation, mode de vie) que tout concourent à les séparer rapidement. Le scénario de « La fille du patron » (le titre n’est pas génial, j’en conviens, on dirait le titre d’une émission de TV réalité d’M6 !) est assez astucieux pour nous éviter les grosses ficelles de la comédie romantique : l’anonymat de la jeune Alix ne dure pas et il n’est pas au centre de l’intrigue avec tous les quiproquos qu’on aurait pu craindre. Vital tombe amoureux de la fille du patron en sachant très bien qui elle est, il en tombe amoureux malgré ce qu’elle est. Le vrai nœud du film, c’est comment concilier une histoire d’amour sincère quand on est à la fois si amoureux et si différent sur tous les plans. De ce point de vue, je reconnais aussi que le propos peut paraitre un peu naïf, un peu « fleur bleue » puisqu’il n’y a au final que peu de cynisme dans cette histoire. Mais bon, moi, une jolie histoire d’amour qui ne se termine pas dans les larmes et les regrets, ca me plait de temps en temps, je trouve ça rafraichissant. La jeune Alix, très bien interprétée par Christa Théret, parle comme un livre, réfléchis en terme de déontologie, regarde ce monde ouvrier avec bienveillance mais elle en est fort éloignée et pour tout dire, elle a bien du mal au début à le comprendre. Et puis, elle aussi, ouvre son esprit à une réalité différente au contact de Vital, l’alchimie marche dans les deux sens. Si Christa Théret et tous les seconds rôles sont très bien tenus (même si certains sont un peu sous-écrits, comme celui du patron), c’est Olivier Loustau lui-même qui, par son charisme et sa présence, imprime le film. Il a un charisme prometteur, cet acteur, et il rend très vite son rôle attachant en jouant habilement de son côté viril et ours mal léché. C’est assez efficace et on comprend que la jeune ergonome se laisse charmer ! La réalisation est soignée, elle aussi est prometteuse car il y a dans « La fille du patron » beaucoup de scènes de rugby. Le sport en général, et pas seulement le rugby, est très difficile à filmer pour le cinéma, les contre exemples sont nombreux. Et bien, là, les scènes de jeu sont bien menées, pas trop chaotiques tout en faisant naturelles, on a l’impression d’être dans un vrai match et non pas devant une reconstitution, c’est assez rare pour être souligné. Le scénario laisse une part importante aussi à la réalité sociale de l’industrie textile française et là, pour le coup, « Le fille du patron » verse moins dans la naïveté que pour l’histoire d’amour qu’il raconte. Le patron qui n’arrive plus à assurer devant la concurrence, la pression qui s’exerce sur les ouvriers, quand il ne s’agit pas d’un quasi-chantage, les accidents de travails et pour finir, la liquidation des actifs : rien n’est oublié et rien n’est vraiment édulcoré. Les tensions sociales, les incompréhensions de part et d’autres, la suspicion immédiate qui précède tout le reste, tout cela sonne assez juste même si j’imagine que la réalité va encore plus loin que ne l’évoque le cinéma. Afin que son film ne soit pas trop plombant de ce point de vue, Loustau y glisse quelques pointes d’humour (pas assez néanmoins) et de romantisme et l’un dans l’autre, malgré ses faiblesses, l’alchimie fonctionne. Le film ne baisse pas de rythme et on ne s’ennuie jamais, on n’a jamais l’impression d’être pris pour un jambon par un scénario sans surprise. C’est naïf mais pas trop, c’est cynique mais pas trop, ca finit bien mais pas trop, bref, c’est un film équilibré et agréable. Pour un premier film, ma foi, c’est drôlement prometteur !
    Nicolas DUTENT
    Nicolas DUTENT

    87 abonnés 6 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 janvier 2016
    La beauté des personnages et l'adresse dans l'usage métaphorique d'une compétition de rugby où les salariés jettent dans mêlée leurs derniers espoirs (la violence sourde imposée par la reprise de leur entreprise est ici toujours souterraine) nous fait oublier ou accepter la pauvreté du scénario.
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