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    Les Animaux fantastiques : Les crimes de Grindelwald
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    854 critiques spectateurs

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    Epikouros
    Epikouros

    30 abonnés 43 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 27 novembre 2018
    Mauvaise nouvelle : j'ai perdu, j'ai dû perdre, mon âme d'enfant ! Accompagnant (en traînant les pieds) un ami passionné par ce genre de films, je me suis vu embarqué dans une saga aussi abracadabrantesque qu'interminable. Durant toute la projection, dans un état de quasi sidération, entre ennui et consternation, je ne cessais de me dire, hébété, incrédule : c'est quoi, ça ? mais comment ? pourquoi ? pour qui ? quel esprit surchauffé et déliquescent a pu inventer des histoires pareilles ?! A quoi bon une telle débauche de dollars, d'effets spéciaux et de stars qui surjouent ? Pour raconter quoi ? Pour passionner qui ? Pour émouvoir qui ? NADA. Ce n'est même pas idiot, c'est bien en-deçà. Une débilité sur écran géant, sidérale, bruyante, effrénée, une course à l'abîme sans queue ni tête, une spirale de non-sens baroque et de surenchère infantile. Sur la fin, "ça" se veut grandiloquent, vaguement anti-facho lorsque dans l'arène spoiler: tout le monde se regroupe avant d'être éjecté sous forme de fusées pétaradantes.
    Mais c'est encore une convention grand-guignolesque pour donner le change. Bref, inutile de penser : ce sont les effets spéciaux qui pensent à la place du spectateur qui, lui, en est assommé. Non, vraiment, je ne comprends pas... S'il y avait un petit quelque chose à sauver, je parlerais d'une certaine poétisation du Paris haussmannien (c'est l'explication de ma demi-étoile). Et encore, dans un tel contexte artificiel, c'est pompeux, répétitif et, au bout de 10 minutes, ça sent le procédé et le préfabriqué.
    En sortant de la salle, mon ami – comblé, les yeux encore pleins d'étincelles et le ciboulot en effervescence à propos de l'odieux Méchant à l'œil de verre qui va sans aucun doute revenir lors de l'épisode suivant – bref, il m'a dit : " évidemment, tu ne peux pas aimer : tu fais partie d'une minorité." Sous-entendu, celle qui pense ? Et qui estime que le cinoche n'est pas au mieux de sa forme quand il revient à sa première vocation d'amusement pour fête foraine avec force pétards trucages et grimaces ? Sauf que le mercantilisme du XXIe siècle et l'hyper-technologie ont encore aggravé les choses, alors qu'au début, ce n'était qu'un divertissement pour grands enfants. Désolé, c'est donc vrai, je l'avoue, j'ai bel et bien perdu mon âme d'enfant ingénue et poétique... un môme délicat qui, comme pour le Père Noël, croyait autrefois à la magie généreuse d'un Art dit Septième.
    Jake S.
    Jake S.

    68 abonnés 231 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 29 avril 2019
    Si J.K. Rowling cherche à détruire sa saga en prenant des décisions et choix scénaristiques aussi hâtifs et confus de la sorte, on fonce droit dans le mur. « Les Animaux fantastiques : les Crimes de Grindelwald » (déjà le titre permet de constater qu’on touche à deux sujets sans savoir sur quoi se concentrer réellement) est une suite étouffante où les références à l’univers d’Harry Potter affluent et tentent d’alimenter les pulsions des passionnés du genre. Mais que dire de la logique et de la cohérence ? d’un scénario qui se tient ? Tout est raté à ce niveau-là. Le premier opus avait le mérite de nous raconter une histoire certes un peu mielleuse et enfantine (vous me direz comme Harry Potter), mais une histoire quand même. Ici, Norbert Dragonneau (ou Newt Scamander en VO) n’est même plus central, la magie n’opère plus comme avant et devient fade… même Grindelwald n’impressionne pas et reste peu en action mis à part pour la scène d’introduction. C’est sans doute un épisode de transition vers le troisième mais quand le titre donné au film est « Les Crimes de Grindelwald », il faut se poser des questions ; au final, Grindelwald doit apparaitre 25 min à l’écran pas plus. Et depuis quand Dumbledore spoiler: a un frère caché sous le nom d’Aurelius ?
    Encore une technique à la Star Wars pour créer encore plus de personnages improbables et inutiles. Ce film devrait s’appeler « The Credence Identity » tellement on passe de temps à se creser la tête pour savoir d’où il vient. Sauf qu’on s’en moque un peu. Enfin bref, je ne sais pas s’il est nécessaire de voir la suite tant c’est confus et mal écrit. Une chose est sûre, je préfère cette saga lorsque J.K. Rowling ne subit pas de pressions de la part des studios pour respecter des deadlines.
    Alexis Seny
    Alexis Seny

    54 abonnés 34 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 18 novembre 2018
    Les crimes de Grindelwald ont le syndrome du Hobbit et les animaux fantastiques font de la figuration : c'est consternant !
    Deux ans après le premier film qui ravivait la magie du monde d'Harry Potter (qui n'a jamais cessé d'être nourrie depuis la fin de la saga-mère), le deuxième volet des Animaux Fantastiques nous fait vite transplaner de New York à Paris pour entrer un peu plus dans le vif du sujet. Les créatures fantastiques ne manquent pas et c'est en compagnie d'une équipe élargie que les moldus que nous sommes tentent de contrecarrer les plans de Grindelwald. Plus de masque ou d'apparences trompeuses, Johnny Depp entre dans le jeu et se montre sous un visage séduisant dans les temps troublés, magiques et maléfiques mais aussi raccord à ce que nous vivons dans le XXIe siècle qui est le nôtre. Ça ne suffit pas à faire un film.

    À lire plus à l'aise sur : http://branchesculture.com/2018/11/18/les-crimes-de-grindelwald-animaux-fantastiques-deception-fantastic-beasts-dragonneau-fan-service-jk-rowling-ennui-populisme/

    Dans le hall du cinéma, la file est déjà longue, quarante minutes avant le début du film. C'est sûr, en cette première semaine d'exploitation, la magie opère et le sortilège d'accio se montre toujours efficace. Les portes s'ouvrent, ce n'est pas Poudlard mais le grand écran de l'Acinapolis qui apparaît, et une armée d'apprentis sorciers se rue sur les sièges, veillant à choisir la meilleure place pour assister au spectacle. En attendant, certains fans enfiévrés débattent déjà sur la photo du casting projetée en attendant le lancement des bandes-annonces. Les théories vont bon train, l'effervescence est intacte.

    Il était une fois à Paris...

    Et, dans ce deuxième opus, si les personnages sont désormais familiers, que d'autres prennent possession du devant de la scène, on s'aperçoit vite que tout est à recommencer pour Norbert Dragonneau (Eddie Redmayne) et ses amis. Le temps a passé, Grindelwald (Johnny Depp) s'est échappé (une séquence d'ouverture incroyable et ascensionnelle, comme une attraction à sensations fortes, qui donne le La à un divertissement visuel magnifique) et veut rassembler les sorciers de "sang pur". Dans sa sinistre quête, l'homme aux yeux dépareillés entend encore compter sur Croyance, laissé plus vif que mort et de plus en plus puissant. Il était une fois à Paris... Problème, Norbert rencontre quelques ennuis avec le ministère de la magie anglais et ne peut plus voyager à l'étranger. Sauf s'il accepte le deal de son frère, Thésée (Callum Turner), auror ayant le vent en poupe, et collabore avec lui. Les frères ennemis le resteront et Albus Dumbledore (Jude Law) finira de convaincre Norbert de braver les interdictions pour rallier la Ville-Lumière sacrément obscurcie. Comme notre amour pour cette deuxième saga qui perd des plumes dans la passe de deux...

    Pokémon, attrapez-les tous

    Elle perd des plumes et, pourtant, les bêtes à poils et à plumes sont au rendez-vous. De nouvelles, bercées de chinoiseries. Plus fantastiques (ouf, elles portent bien le nom) les unes que les autres, bondissantes, terrifiantes et admirables, et pourtant superflues dans tout ce que raconte le film. On se croirait dans un album Panini, dans Pokémon, il faut tous les attraper... et vite les oublier. Car, c'est là que la bât... guette blesse, ces Animaux sont assez proches des gadgets de James Bond : ils amusent la galerie et sont des moyens à court-terme pour débloquer l'une ou l'autre situation mais ils ne sont pas indispensables à l'intrigue.

    En voyant le premier film, je me disais que les Botrucs et Niffleurs en tête lanceraient un fameux business de produits dérivés (peluches, jouets et pourquoi pas un Fantastic Beasts Go?, etc.), à l'instar des Minions ou de Groot et Baby Groot. Ça ne s'est pas passé comme ça et ce deuxième film m'a fait comprendre pourquoi : ces créatures sont vides, éphémères. Au-delà de leur aspect visuel plus que sympathique, ils ne sont que des figurants de luxe permettant de passer le temps.

    Une succession de tours de magie...

    En effet, le scénario des Crimes de Grindelwald tient sur un post-it. En trente minutes, tout aurait pu être emballé et pesé. Le film dure, pourtant, 2h15. Et il est bien obligé, du coup, de pratiquer la magie au sens où les prestidigitateurs et magiciens de notre monde l'entendent. C'est-à-dire : attirer l'attention ailleurs pour mieux sortir le lapin du chapeau. Et, dans le chapeau de David Yates, le réalisateur, il y a beaucoup d'artifices. À commencer par ces animaux fantastiques, donc, mais aussi un retour à Poudlard qui met des étoiles plein les yeux avant de se rendre compte qu'on essaye de nous duper. À tel point que dans les situations d'urgence de ce long-métrage, quand la menace devrait les oppresser (Norbert est amené à pénétrer dans l'enceinte du Ministère de la magie français, incognito et illégal, et les alarmes ont tôt fait de sonner), les personnages s'arrêtent, tapent la causette, livrent leurs états d'âme. JK Rowling a juste oublié de leur servir le thé. Après dix minutes de palabres et de la broderie, la course peut reprendre, n'évitant pas les embûches et les invraisemblances.

    ... et beaucoup de fan-service pour sortir de la cuisse de Ju... Potter

    Dans sa course folle pour essayer de cacher le vide qui l'emmitoufle, ce dixième film de l'univers d'Harry Potter ne cesse de vouloir se cautionner et se prétendre sortir de la cuisse de Ju...Potter, amenant des micro-origin story, des intrigues parallèles et des clins d'oeil qui auraient mérité de jouer la discrétion. Ainsi, Dumbledore revient de manière assez grossière (on peine à reconnaître sa physionomie mais aussi sa psychologie) sous les traits de Jude Law, un Nicolas Flamel en toc surgit de nulle part, ne parlons même pas du passage à Poudlard... abyssal et consternant. Poussif et poussant à la crise de foi(e).

    Les formules magiques et séduisantes qui font les discours fratricides

    En résulte un film dont le spectacle est intense (magie et cinéma ne font décidément qu'un dans cette oeuvre) mais qui semble vide. Pourtant, il y a à dire et la richesse de l'univers semble très mal exploitée. Notamment par les jeux de pairs (Norbert et Tina, Jacob et Queenie, Thésée et Norbert mais aussi Thésée et Leta, Croyance et Nagini, Croyance et Yussuf) qui finissent par nous perdre. Puis, arrive le moment où JK Rowling dégaine l'arme fatale, le sort Stupefix, quand on se rend compte que la saga d'Harry Potter n'a sans doute jamais autant parlé de notre monde, le nôtre, de 2018 et de la tentation de croire aux formules magiques qui rendent les discours fratricides séduisants (ils s'appelaient Hitler ou Staline, dans le passé, ils sont désormais Trump, Bolsonaro & co). Le surpuissant Johnny Depp fait un méchant complexe et plus vrai que nature et qui, comme tant de leader à double-facette (le Che, Allende, Castro ou même Escobar), est prêt à tuer des dizaines d'innocents sur l'autel d'une cause qu'il croit bonne et humaniste. Et ça, c'est fort. Dommage, que le film fasse ce qu'il dénonce : du populisme !

    Le syndrome du Hobbit façon gloubi-boulga et Amour, Gloire et Beauté

    Au final, je suis resté pantois devant ce film qui m'a rappelé une autre douleur cinématographique : Le Hobbit. Une autre saga dans la saga qui avait duré la bagatelle de neuf heures pour un livre qui ne faisait que... 287 pages. C'était long et lent mais qu'est-ce que c'était beau. Les crimes de Grindelwald, on l'a dit, aurait pu (dû?) se dérouler sur une demi-heure sans rien entacher de son intrigue. Et là, on se souvient qu'au lancement de ce nouveau marathon, JK Rowling (scénariste en solo des films) avait expliqué qu'à l'origine, elle voyait ce film sur trois épisodes, avant de se raviser et d'en scénariser cinq.

    Ceci explique peut-être cela. Puis, au fond, si je veux aller plus loin, je dirais même que, après le coup de maître du premier opus (qui était peut-être autant la chance de la débutante), JK a peut-être écrit cette suite comme... un livre, multipliant les intrigues dont le cinéma aurait dû s'inspirer et sélectionner ce qu'il prenait ou laissait tomber. La romancière est prise à son propre jeu. Dans l'histoire, les réflexes sont d'ailleurs ici plus littéraires que cinématographiques, d'où le malaise, l'incompréhension, l'ennui et cette impression de gâchis et de gloubi-boulga. Le verdict est sans appel... mais appelle une suite. Et malgré l'amère déception, il y a de fortes chances qu'on en soit. Allez comprendre !
    jonathan b.
    jonathan b.

    18 abonnés 37 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 septembre 2019
    Une vraie déception. Autant le premier fut captivant et magiquement fantastique autant le deuxième est brouillon, lent et décevant.
    Véronique P.
    Véronique P.

    38 abonnés 124 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 novembre 2018
    Magique, interprètes histoire, fiction tout y était.
    À voir et revoir.
    Sûrement apprécié par ceux qui ont vu le 1er volet ainsi que les harry potter.
    Mickael Eloire
    Mickael Eloire

    18 abonnés 51 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 novembre 2018
    Sombre, dramatique et poétique. Un film visuellement beau et captivant. Même si cet opus prépare le terrain au suivant, on se laisse agréablement emporté par la féerie “potterienne “.
    Un plaisir coupable pour les moments où on retrouve Poudlard.
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    592 abonnés 2 705 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 avril 2022
    Ainsi malgré une première partie un peu timide, et relativement lente, le long métrage sauve la face avec un final renversant ponctué de nombreuses révélations et twists. Les Animaux Fantastiques : Les crimes de Grindelwald demeure un blockbuster intelligent et divertissant à l'miage du précédent opus de la saga.

    https://www.cineserie.com/news/cinema/les-animaux-fantastiques-2-quelle-star-francaise-a-refuse-un-role-dans-le-film-5051562/

    https://www.cineserie.com/critiques/cine/les-animaux-fantastiques-les-crimes-de-grindelwald-un-retour-plus-quhonorable-2130064/
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 15 novembre 2018
    Je vais d’ambler faire mon relou, mais déjà le retour à poudlard sois disant jubilatoire, c'est totalement faux. Le poudlard de Yates est le pire qu'on est jamais eu à l'écran, et retrouver le château aussi terne, sans couleurs, presque sans vie, moi je suis désolé ils ont beau me mettre la musique de John Williams, je n'ai jamais eu l'impression de revenir à Poudlard. Il y a aucune couleur, rien de chaleureux, rien qui donne envie de retourner dans ce château. Yates ne comprend rien à ce qui fait la magie d'Harry Potter. Il a ruiné la saga avec ses films complètement ternes, à la créativité visuelle médiocre et à la mise en scène d'une banalité affligeante, sans parler de sa direction d'acteur catastrophique avec un Daniel Radcliff en roue libre qui ne prenait plus la peine de jouer. Pourtant les animaux fantastiques premier du nom remontait le niveau avec un ton un peu plus décomplexé et une ambiance "conte de Noel" très bienvenue et qui renouait un peu avec la magie des quatre premiers Harry Potter. Maintenant le second est véritablement un naufrage digne d'harry potter 6. Le scénario est complètement alambiqué, multipliant pas moins de 4 voir 5 sous-intrigue pour finalement nous amener à une conclusion dans un cimetière digne des plus mauvais roman policier. Ce n'est pas une blague, un personnage censé tué quelqu'un, récite son plan pendant 10min plutôt que d'agir... on en est là! Le film est extrêmement long mais ne raconte presque rien. C'est simple, à la fin du film on est presque revenu à la situation initiale si ce n'est que certains personnages ont changé de camps et que Norbert récupère un objet... Le film est blindé de fan-service inutile: Honnêtement quand je vais voir un film comme ça, j'en ai juste rien à faire qu'on me raconte l'histoire du serpent de Voldemort... Surtout quand ce personnage ne fait finalement que de la figuration. Ha et il y a des erreurs aussi: Dumbledore est prof de défense contre les forces du mal dans le film... au lieu de professeur de métamorphose par exemple.Le traitement des personnages est vraiment mauvais: La femme de Jacob qui change de camps pour rejoindre Grindelwald de manière complètement aléatoire, Tina qui ne sert à rien, Norbert qui décide d'aller à Paris non pas pour trouver Croyance, mais pour draguer Tina, Dumbledore qui n'agit à aucun moment sur l'histoire, Leta qui se sacrifie sans aucune raison à la fin et qui joue " les sorcières incomprises" alors qu'elle a un job au ministère... la blague! Les scènes d'actions du film sont rarissimes et totalement illisibles!!! David Yates en 10 ans de film Harry potter, n'a toujours pas appris à filmer une scène d'action. La scène d'introduction est la chose la plus dégoûtante que j'ai vu cette année, c'est simple: Je n'ai rien compris. Il fait sombre, il pleut et les plans sont mal cadrés et trop rapides: on y vois rien! Purée ce film est vraiment mauvais... Je me rend compte que je pourrai continuer longtemps mais je vais m'arrêter là. Heureusement que les animaux fantastiques sont bien exploités dans certaines scènes, c'est le seul point positif que je retiens de ce film. Ha et bien évidement comme tout les Blockbusters de ces derniers temps, je tiens à préciser que ce film ne déroge pas à la régle, il est blindé de message anti-trump avec son lot de sous-intrigue centré sur l’homosexualité et les afro-américain... était-ce vraiment la bonne saga pour en parler ? Comme pour Star wars etc... je ne pense vraiment pas!!! J'en ai vraiment marre qu'on me balance de la politique à la figure dès que je souhaite me détendre au cinéma. 2.5/5
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    582 abonnés 2 750 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 20 juillet 2019
    Rien, ou si peu, à la vue de cette suite qui n’a pour elle que son ouverture visuellement saisissante et son segment final, tous deux portés par le magnétique Johnny Depp. On pouvait déjà discuter l’intérêt d’une suite à un premier film plutôt moyen, et même si le spectateur éprouve un plaisir certain à retrouver, une fois encore, l’univers d’Harry Potter, force est de constater qu’il s’ennuie de pied ferme dans cet entrelacs d’histoires secondaires dont on peine à comprendre les enjeux, tant l’ensemble s’avère brouillon. L’intrigue ? confuse. L’image ? d’une laideur… Les acteurs ? sont présents. Heureusement, James Newton Howard revient pour signer la bande originale et délivre une composition de grande qualité qui sait mêler l’épique au lyrisme teinté de macabre. Les Animaux Fantastiques : Les crimes de Grindelwald ne semble s’adresser qu’aux initiés, et laissera sur le carreau tout moldu de cet univers qui tend désormais à s’enliser dans sa propre magie préfabriquée où tout s’anime, tout crie et s’invective. Trop de magie tue la magie, et le film atteste un déficit d’âme des plus flagrants. Preuve que la véritable magie – celle du cinéma en particulier – ne peut naître que de l’absence, et que la fin (définitive) d’une saga aurait, seule, rendu au petit monde créé par J. K. Rowling sa puissance mythique.
    Thewiks79
    Thewiks79

    9 abonnés 141 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 novembre 2018
    C'est plutôt long et brouillon, je n'ai pas compris tout les personnages, encore moins la fin, j'adore harry potter mais vouloir faire d'autres films dans le meme genre je ne pense pas réellement que ça est un intérêt, ou alors c'est tout simplement que c'est mal fait. Le personnage principal est plutôt niet en fait, il est gonflant. IL y'a une ou deux scènes sympa, avec de bon effets spéciaux, mais sinon, en soit ça reste un film très moyen. Long et plutôt ennuyant. Ils vont étirer l'histoire sur 3,4 films voir plus alors qu'en fait en 1 ou 2 films il pourrait faire le spin off et terminé. Dommage.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 25 novembre 2018
    Beaucoup d'incohérences, l'intringue n'est pas clair du tout (liens de familles assez compliqués à comprendre) mais surtout beaucoup trop de surenchère (final) qui ne sert absolument pas le film. Le film reste plaisant car très beau mais au niveau de l'histoire et des personnages, grosse déception ...!
    Scaar Alexander Trox
    Scaar Alexander Trox

    11 abonnés 7 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 20 novembre 2018
    Les Animaux fantastiques était une sympathique surprise. Ça ne cassait pas trois pattes, c'était du divertissement hollywoodien "by-the-book", mais dans le genre, et pour un spectateur pas particulièrement fan de Harry Potter, c'était plaisant, notamment grâce à un bon équilibre entre développement des personnages et spectaculaire et des animaux fun à voir. Aussi n'avais-je aucun préjugé quand je suis allé voir Grindelwald. Ignorant que j'allais subir 2h15 d'un parfait exemple de suite foirée. Le VRAI crime de Gindelwald, c'est d'être chiant à mourir. Si cette grosse conne imbue d'elle-même de Rowling n'avait pas déjà écrit le premier volet, on pourrait dire que l'écriture de scénario n'est vraiment pas son truc : la narration est complètement éparpillée, la nana ayant voulu faire rentrer 40 000 intrigues dans son script, et de fait, tout est bâclé ; aucun arc dramatique de personnage ne captive, les enjeux sont ineptes (en plus d'être pompés sur X-Men avec les motivations du méchant), parfois même obscurs dans un scénario qui est parvenu à perdre une amie généralement incollable ; c'est par moment atrocement bavard pour rien d'intéressant (cf. toute l'exposition interminable du début, ou encore la discussion sur les origines du personnage toujours aussi bidon de Croyance). En fait, c'est bien trop obsédé par sa propre mythologie, s'égarant dans des scènes à Poudlard qui n'apportent rien au schmilblick et jouant avec des auto-références qui, plutôt que d'être autant de cerises sur le gâteau, parasitent un tissu décousu d'intrigues négligées. Et puis ça ramène Kowalski, un bon point du premier film, sans aucune justification, juste parce qu'il plaisait, mais oui. En gros : toxique comme une suite peut l'être vis-à-vis d'autres opus réussis. En dehors de ça ? Les animaux fantastiques sont trop pelés. Redmayne, doté du sex-appeal d'une poule, était supportable dans le premier film... mais ici, il patine complètement, étant parfois même réduit à un observateur, et n'ayant même aucune scène digne de ce nom avec Tina (Waterston, qui fait le job sans passion), dont le rôle dans ce volet tient sur deux lignes. Zoe Kravitz n'est toujours pas une actrice, tout juste un "token" de casting minorités-compatible (mon dieu, le coup du méchant pur-sang français kidnappant la gentille Sénégalaise !). Depp, lui, ne dessert pas Grindelwald en faisant son Depp, mais n'apporte rien non plus à un antagoniste qui n'arrive pas à la cheville d'un Voldemort (encore une fois, ses motivations sont de l'archi-déjà vu). Et le film n'est même pas VRAIMENT satisfaisant à voir : Yates, jamais plus qu'un yes-man compétent, livre une réalisation efficace mais sans personnalité, et ne sait compenser la médiocrité du script ni dans ses choix de réalisation, ni via un travail de montage qui aurait pu insuffler un minimum de rythme, le résultat ayant un gros, gros problème de tempo. Quant aux effets spéciaux, ils ont beau être réussis, donnant même parfois l'impression que c'est tout l'intérêt du film, une démo de "CG", la scène d'action du début est illisible, et la fin, une bouillie de pixels bleue censée représenter un océan de flammes menaçantes. Ok, le Paris des années 20 est sympa à voir. Il y a eu du boulot, c'est respectable. Ça compense la pauvreté de la direction artistique (voir le bureau français, tout droit pompé sur MiB, et le coup des draps noirs recouvrant Paris, digne d'une pub Lancôme). Et oui, Jude Law fait un Dumbledore charismatique. De quoi faire jouir une romancière vouant clairement un culte à son propre personnage (les effets dramatiques quand sont nom est prononcé, mamma mia !). Plus quelques autres bricoles décentes, comme la référence à la catastrophe mondiale à venir (même si ça faisait un peu Abyss, et l'amusante réplique "I hate Paris" du méchant, au milieu d'un océan de répliques insipides). Et ? Et c'est tout. 1,5 étoiles.
    Note : c'est moi, ou le film suggère carrément une relation homo entre Dumbledore et Grindel-truc ? Et sans avoir les cojones de développer ?
    Audrey L
    Audrey L

    550 abonnés 2 424 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 avril 2022
    A voir surtout pour le spectaculaire, car l'écriture est "abracadabrante". Vu en VF puis VO pour essayer de démêler ce sacré sac de nœuds qui se révèle au final un joyeux bazar scénaristique, bourré d'incohérences et de facilités, mais dont les effets spéciaux sont bluffants et dont Newt reste cet attachant personnage dans la Lune, bien interprété par Eddie Redmayne. Dès l'ouverture ébouriffante, on s'embarque dans une aventure à fond le train ! Plus sombre, plus complexe au niveau de l'intrigue, mais toujours avec cette part bon-enfant de découverte de nouvelles créatures, chacun trouvera au moins un petit bonheur (magique) à voir Les Animaux fantastiques : Les Crimes de Grindelwald. L'ouverture et le final sont des concentrés de spectaculaire (qu'il vaudra mieux voir en IMAX 3D pour pleinement en profiter !) qui s'amusent avec les cadres : les éléments sortent sur les bordures noires pour donner de la profondeur à l'action, et c'est réussi ! Des romances fleurissent et se fanent, on attend de voir la suite comme un feuilleton (attention à ne pas passer au soap). Néanmoins, je trouve des ombres au tableau, notamment les longueurs en milieu de film (assez bavard et stoïque après la mise en bouche impressionnante), les incohérences ( spoiler: Minerva McGonagall qu'on voit en 1927 alors qu'elle est née en 1935 d'après les Harry Potter, Newt qui sort dans le quartier magique parisien pour retrouver Tina, fait un sort de révélation juste devant le passage...et bingo... c'est facile la vie avec ce scénario, Croyance qui déboule en frère caché de Dumbledore ce qui est un peu fort de café pour qu'on n'en ait jamais entendu parler dans les Harry Potter...
    ), la musique qui est moins inspirée, Jude Law en Dumbledore (dont on a fait tout un foin) qui n'est spoiler: finalement présent que dix minutes
    et les révélations en chaîne à la fin qui sont frustrantes car on a parfois du mal à suivre et ne sont que du fan-service (parfois maladroit)... Sans parler des rôles de Queenie et Leta qui sont bâclés, et de Nagini qui fait carrément papier-peint, dommage car il y avait un potentiel tragique puissant ! A part cela, on se régale du jeu des acteurs qui collent parfaitement à leur personnage (Eddie Redmayne semble bien à l'aise dans le costume - gris maintenant ! - de Norbert / Newt qui est vraiment attachant !) et si la bouille du frangin ne vous revient pas (comme ce fut mon cas d'après les affiches), il devient bien plus agréable dans le film surtout dans un final touchant avec Newt. Beaucoup de nouvelles créatures sont au rendez-vous (le Zouwu - "gros chat chinois" - qui fait des câlins à Newt, excellent !) quelques notes d'humour (un peu trop rares) ponctuent agréablement l'aventure, et les rebondissements finaux vous font tomber du fauteuil (pour le meilleur et le pire), chapeau. On revoit plus longuement l'adorable Nifler, il n'en fallait pas plus pour ravir les "grands enfants" que nous sommes. Malgré les révélations fan-service fatigantes et une écriture maladroite, Les Animaux fantastiques s'offre une suite mature, sombre, avec des nouvelles créatures et des combats spectaculaires, et dont les personnages évoluent à une vitesse hallucinante. Reste à savoir comment ce joyeux bazar va s'organiser dans la suite.
    Sheogh
    Sheogh

    24 abonnés 69 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 20 novembre 2018
    Dans la saga Harry Potter, nous regardions le monde des Sorciers à travers les yeux d’un enfant et nous le découvrions avec lui.
    Dans le premier volume des Animaux Fantastiques, c’est à travers les yeux de Jacob que nous poursuivions notre apprentissage.
    Dans ce volet, les seules explications concernent les animaux eux-mêmes… Animaux qui ne semblent être là que pour justifier le titre de cette nouvelle saga…
    La magie est omniprésente et donne lieu à un déluge d’effets spéciaux pas toujours bien fait dans lequel se noient l’intrigue et les personnages.
    En conséquence, il est parfois difficile de suivre l’histoire. Une histoire qui se révèle finalement bien peu intéressante et truffée d’incohérences…
    Nicolas S.
    Nicolas S.

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    4,0
    Publiée le 22 novembre 2018
    Ce second opus de la saga dérivée de Harry Potter serait-il meilleur que le précédent ? J'en ai bien l'impression.

    Ce qui nous est offert ici, c'est un maelström d'action et d'effets spéciaux aboutissant à des scènes relativement épiques. Assis dans une salle de cinéma, avec la toile et le système audio idéal, on peut profiter à fond des combats entre sorciers ou des rencontres avec des créatures.

    Niveau action, nous sommes donc servis. Qu'en est-il pour le reste ? La délocalisation à Paris fonctionne parfaitement. On ne tombe pas dans les clichés sur la France qui auraient pu alourdir le propos. Au contraire, les auteurs ont cherché à rendre le monde des sorciers français crédible (le ministère ressemble ainsi à un vaste bâtiment public avec ses nombreuses archives et ses secrétaires, mais en bien plus magnifique) et l'équipe a bien exploité la physionomie des rues de Paris.
    Ne vous attendez donc pas à voir des mimes ou des accordéonistes et c'est tant mieux !

    Mais le point fort de cet opus, ce sont ses acteurs. Jude Law incarne ainsi un Dumbledore humain et sensible mais digne. Sa lecture du personnage est remarquable et lui confère une grande justesse.
    Johnny Depp, lui, évite le piège qui lui était tendu, à savoir reprendre ses mimiques de Pirates des Caraïbes. Il préfère incarner Grindelwald en adoptant un visage froid et distant mais au regard intense, presque brûlant, et mise sur l'éloquence du personnage lors des discours (il joue ainsi beaucoup sur les silences). J'avais peur de ce que son interprétation pourrait donner mais mes craintes ont été levées.
    Enfin, dernière mention spéciale à Zoë Kravitz dont on aimerait que son personnage prenne de l'importance par la suite pour admirer encore plus son jeu d'actrice et son personnage qui semble fort intéressant.

    Le film m'a donc bien emballé tout du long alors que j'étais resté relativement dubitatif face au premier et surtout prudent puisqu'il se contentait de mettre en place l'intrigue. Celui-ci continue à mettre en place l'intrigue qui devrait exploser lors du troisième opus.
    En revanche, et sans spoiler, j'ai été particulièrement décontenancé par la scène finale qui contient une révélation qui semble peu cohérente avec ce que l'on sait des livres Harry Potter. A voir comment JK Rowling pourra justifier cela !
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