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    Victoria
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    3,9
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    217 critiques spectateurs

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    Koalahama
    Koalahama

    5 abonnés 198 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 mars 2018
    La réalisation one shot est extraordinaire. On se laisse emporter comme si nous y étions. Très original !
    Laetitia H.
    Laetitia H.

    2 abonnés 19 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 novembre 2017
    Un des meilleurs films que j’ai vu, tout en plan séquence... a master piece! La notion de réel est extrêmement forte!
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 26 février 2018
    Un thriller avec un scénario de personnages sans histoires, des inconnus qui se rencontrent et intriguent, des péripéties périlleuses, le fond est pas très palpitant mais qui s'en sort bien.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 23 septembre 2017
    Quelle performance...filmé sur un seul plan et le film est génial. Jamais on s ennuie..mais comment on ils fait pour filmer sans couper? Je suis cubé!
    velocio
    velocio

    1 187 abonnés 3 043 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 août 2017
    Certes, il y a la performance collective du film tourné en un seul plan-séquence. Mais sinon ... ? On retrouve en fait tous les poncifs du thriller dans ce film beaucoup trop long et qui peine à démarrer, on a déjà vu 100 fois toutes les scènes qui se succèdent donc sans aucune interruption.
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    78 abonnés 1 737 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 août 2017
    Véritable prouesse technique car tourné en un seul plan séquence (!), Victoria nous plonge dans une nuit berlinoise qui réservera de nombreuses surprises à une jeune Espagnole sortant tout juste de boite. S'il retranscrit bien l'atmosphère de la capitale allemande – du moins dans sa première partie – et offre de beaux moments d'émotion, le film est parfois un peu long. À voir.
    SociN
    SociN

    9 abonnés 534 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 juillet 2017
    Un plan séquence véritable morceau de bravoure ! Ceci n'efface pas complétement le scénario un peu léger. On comprend mal comment Victoria peut accepter de suivre ces 3 zonards qui ne peuvent lui apporter que des ennuis. spoiler: De même, la fin ouverte est un peu trop simple. On aurait aimé savoir si Victoria va réussir à tromper la justice, ce dont on doute.
    Un film que l'on appréciera donc plus pour sa technique que pour son scénario.
    Backpacker
    Backpacker

    56 abonnés 780 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 mai 2017
    Le procédé technique du plan-séquence ininterrompu n'est en aucun cas novateur dans le cinéma. Mais il avait au moins le mérite de faire de "Victoria" une oeuvre originale. Hélas, et malgré le jeu des deux beaux acteurs principaux, le film se trouve, dès le début, plombé par des longueurs qui empêchent de mettre rapidement l'histoire en situation et de déclencher l'intérêt. Et ce ne sont pas les trop nombreuses invraisemblances qui le sauvent, loin de là. Intéressant mais vite oublié et définitivement surcoté. Dommage.
    Matis H.
    Matis H.

    12 abonnés 162 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 21 mai 2017
    "Victoria" se présente comme une prouesse technique, celle d'un unique plan-séquence, semblant apparement justifier le fait de porter le long-métrage aux nues. Mais cette spécificité formelle fait-elle du film une réussite ? Il semblerait que non.

    Car si "Victoria" peut prétendre à un titre, c'est bien celui de coquille vide. La volonté de filmer ces personnages du quotidien avec un tel dispositif est louable, la distance avec les protagonistes se voyant diminuée, permettant d'accentuer un sentiment de réel. Et c'est bien là l'intérêt de cette "prouesse" : créer une mise en scène du réel. Il est alors décevant de voir le long-métrage être d'une telle artificialité aussi bien formellement que dans son écriture.

    Le plan-séquence n'a ainsi aucune beauté, et se retrouve parasité par des éléments purement fictionnels - cette musique, planante dans un premier temps, mais dont l'abus finit par rendre exaspérante - qui rappellent constamment au spectateur que tout cela n'est que du cinéma. Schipper fait preuve d'intentions contradictoires qui desservent grandement l'œuvre. Cependant, il parvient à comprendre son procédé durant quelques rares instants, à l'image du braquage, nous laissant dans l'habitacle de la voiture, redonnant ainsi tout son poids au temps. Reste que tout ceci est bien vain, se limitant à un déploiement technique, certes impressionnant, mais de transmettant aucune vision, ne semblant jamais se penser comme un objet de cinéma.

    Toutefois, si la vacuité formelle de "Victoria" est une preuve manifeste de son échec, c'est bien la faiblesse de l'écriture qui empêche toute implication. Car après un premier tiers trouble sur les intentions des protagonistes, le long-métrage décide de s'inscrire dans une veine criminelle, et c'est à partir de là que le naufrage est total. Les relations qui commençaient à se lier entre les différents protagonistes sont donc sacrifier au profit d'un récit inintéressant et ridicule, enchainant les lieux communs et les incohérences. Les acteurs essayent donc de se débrouiller comme ils peuvent avec le peu qu'ils ont à jouer (Frederick Lau parvient malgré tout à convaincre), le tout au milieu de mafieux russes aux cheveux peroxydés.

    "Victoria" est un concentré de contradictions, de prétention et de décisions idiotes. Le plan séquence se révèle être un cache misère pour le manque de vision artistique, qui n'est aucunement rattrapé par l'indigence globale de l'écriture.
    zhurricane
    zhurricane

    71 abonnés 1 336 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 juin 2017
    Le film dure 2 heures 14 et contient un seul et unique plan séquence, oui un seul. On a du mal à rentrer dans le film, il faut bien 20 minutes après la rencontre de Victoria avec les 4 personnage principaux qui sont 4 "voyous". Mais après il faut dire que le film plan séquence oblige nous fait presque devenir accro aux personnages. Même si il faut attendre un peu avant d'arriver au clou du spectacle. C'est la scène, qui a tout d'un chef d'oeuvre, entre Victoria et un voyou lorsqu'il sont dans la boutique en train notamment de jouer du piano. C'est simple, mais pourtant on touche au sublime, avec des dialogues, et une atmosphère qui transpire par tout les ports la classe. Grâce notamment au fait que cette scène est lieu au petit matin, presque une métaphore de l'envie de refaire le monde. Dommage que ce moment ne dure pas plus longtemps. Ensuite le film va tomber dans un moment d'émotion beaucoup plus brut, avec spoiler: la scène de la vente et de course poursuite,et mort
    . Ce moment tranche avec la première moitié du film, car il est extrêmement sombre, cela peut déranger au début, mais plus on se rapproche de la fin, plus la tension monte. Pour finir donc sur une fin absolument splendide. Alors par contre, on pourrait dire que le personnage de Victoria n'est pas crédible, mais je ne l'ai pas tellement vu sous cet angle là. Je l'ai plutôt vu sous l'angle d'un personnage en quête d'elle même, le fait qu'elle soit espagnole dans un pays qui n'est pas l'Espagne (Allemagne) nous fait accepter cette idée. Parce qu'elle recherche les aventures, et le fait qu'elle soit un peu alcooliser, que se soit la fin de la nuit, avec des garçons étrangers lui fait prendre ses décisions que l'on pourrait qualifier de folles spoiler: parce que oui elle n'a qu'a s'échappé, et ses ennuis sont finis
    . Alors oui, cela montre peu être pour certains, la stupidité du personnage, j'y vois plus du courage, et surtout de la loyauté envers ses "amis d'un jour". Il faut dire aussi que le fait que le film ne soit jamais découpé participe au dynamisme du film, et à son atmosphère absolument unique. Pas sur qu'il aurait conserver autant de ses qualités coupés en de multiples plans.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 6 mai 2017
    Victoria est l'expérience d'une vraie virée nocturne à Berlin avec ses rencontres et ses aventures improbables. Le parti pris technique du réalisateur de filmer en un unique plan séquence fait vivre en direct et dans ses différents rythmes cette fin de nuit qui dégénère. Les personnages principaux sont tellement sincères et véridiques dans cet environnement urbain et de la nuit typiquement berlinois que l'on sort de ce film comme si on avait soi-même vécu cette nuit-là avec l'héroine. De quoi réveiller à certains moments des souvenirs, voire des battements de coeur et des sueurs froides, chez les noctambules invétérés et les abonnés aux galères.
    Casimirismylegend
    Casimirismylegend

    43 abonnés 311 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 mai 2017
    Vu tardivement, Victoria m'a mis une claque bien méritée. Le film nous propulse, en temps réel, dans la vie bouleversée d'une très jeune femme. On participe à l'action, on avance en même temps qu'elle. C'est violent, intelligent et beau. C'est une réussite totale.
    Uncertainregard
    Uncertainregard

    97 abonnés 1 285 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 mai 2017
    Je m'attendais à bien plus vu les commentaires et ayant beaucoup apprécié son 1ier film "Les bouffons". Finalement endehors de l'exploit technique d'avoir tourné en un seul plan séquence (ce qui a déjà été fait) et une excellente interprétation de cette belle brochette de barrés Berlinois, le scénario m'a beaucoup rappelé "Ni pour ni contre (bien au contraire)" de Klapisch. En effet, on assiste tout simplement à une jeune femme entrainée dans un braquage. Sauf que ça va beaucoup plus vite. Même trop vite. J'ai été surpris de voir Victoria abandonner son café comme ça pour accepter de conduire ses nouveaux amis au comportement pour le moins inquiètant. Pas très crédible...Et il y en a d'autres...La mise en scène est à la hauteur des moyens: simple caméra à l'épaule qui suit nos personnages durant cette longue nuit par contre les passages musicaux sont le bienvenus. Le décor de ce quartier Berlinois avec ce manque de luminosité est parfois étouffant car dans les intérieurs on ne distingue vraiment rien. Sinon il y a de bonnes séquences sur un rythme entrainant et cet effroyable sensation qu'il va arriver quelque chose d'horrible mais ça reste assez gentil en fin de compte...
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 024 abonnés 4 094 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 avril 2017
    Victoria (Laia Costa) est une jeune espagnole qui sans doute poussée par la crise ayant frappé de plein fouet son pays après l'éclatement de la bulle immobilière, est venue tenter sa chance à Berlin. Mais c'est un mini job à 4 euros de l'heure qui l'attendait au sein de la locomotive de l'Europe citée si souvent en modèle. Mal intégrée car ne maitrisant pas la langue locale, Sebastian Schipper nous la présente dans une boite du centre ville où elle se défoule jusque tard dans la nuit avant de reprendre au petit matin son job de serveuse dans un café bio. Quinze ans après "L'auberge espagnole", on est désormais très loin de l'Europe de carte postale présentée par Cédric Klapisch au sein de laquelle la jeunesse européenne biberonnée à Erasmus faisait ses humanités dans les grandes métropoles devenues le berceau des amours post-adolescentes. L'Europe s'est réveillée de ce doux rêve un peu factice avec la gueule de bois et désormais elle doit faire face à la contestation des peuples qui ont le sentiment désagréable que c'est contre eux que la technostructure bruxelloise rédige ses lois et règlements. Cette présentation du contexte qui sera juste essaimée à petites touches par Schipper tout au long du film permet sans aucun doute de mieux comprendre ce le réalisateur va nous raconter. Schipper qui est un disciple de Tom Tykwer (acteur dans quatre de ses films), le réalisateur de l'électrique "Lola, cours Lola" (1998), prend la suite de son compatriote et ami en livrant sur plus de deux heures un thriller haletant qui prend la forme d'un unique plan-séquence immersif, filmé caméra à l'épaule. Mais au-delà de l'intrigue qui nous conduit spoiler: jusqu'à un hold-up sanglant
    , "Victoria" est surtout le portrait d'une jeune femme qui en une longue nuit se révèle à sa véritable nature. C'est sans doute l'aspect le plus intéressant du film au-delà de la capacité de Schipper à tenir le spectateur en haleine. Dans une première partie crispante au possible, spoiler: on se demande comment Victoria, sorte de petit chaperon rouge ibère à la naïveté déconcertante va se faire dévorer par un des quatre loups avinés ou par les quatre en même temps. Schipper prend un malin plaisir à jouer avec nos nerfs, la jeune fille semblant prendre visiblement plaisir à se mettre en danger comme si une jeune femme avec quatre inconnus au milieu de la nuit dans un pays dont elle ne maîtrise pas la langue était une chose allant de soi. Les regards entendus échangés par les quatre jeunes hommes nous font pressentir à chaque instant le geste qui va déclencher le viol qui flotte dans l'air depuis le début. Mais Schipper change brutalement de cap en introduisant la réalisation d'un hold-up par la petite bande des quatre qui s'avèrent en réalité face à l'adversité être des louveteaux sans défense. Victoria comme un papillon sortant de sa chrysalide se révèle au milieu de cette déroute comme un être à la soif de réalisation sans limite, capable pour accéder à des sensations fortes, de braver bien des tabous
    . On comprend mieux dès lors certains de ses comportements lors de la première partie. La jeune femme que l'on voit partir seule à la fin du film dans les rues de Berlin fait froid dans le dos et l'on se remémore alors le vieux proverbe qui dit que "l'habit ne fait pas le moine". Chacun d'entre nous dit-on a au fond de lui une part d'ombre qui peut se révéler en certaines circonstances. Sebastian Schipper de manière virtuose, aidé de jeunes comédiens très convaincants au premier rang desquels Laia Costa, en apporte la plus brillante et terrifiante démonstration. Chapeau bas !
    On regarde quoi ce soir ?
    On regarde quoi ce soir ?

    24 abonnés 868 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 mars 2017
    Quel film, un bijou ! Les acteurs sont bourrés de talent, c'est immensément joué ! Ils retranscrivent leurs émotions à la perfection. La musique tient et joue un grand rôle. Elle s'inscrit et s'adapte parfaitement à la situation. Elle se substitue même aux paroles quand elle est la plus à même de faire passer les sentiments du moment. Même l'affiche du film est géniale et nous plonge dans l'ambiance. Ce n'était pas des "bad guys". Seulement des "frères" influençables, manquants de repères et pris dans un engrenage. C'est fou ce que le mélange cocaïne/adrénaline peut faire. La redescente est d'autant plus brutale quand elle est conjuguée au fait d'être une bête traquée. Le film est vivant, on est pris, on s'identifie et on a de l'empathie à revendre. Il pose des questions sur l'amitié jusqu'au boutiste. Plusieurs fois Sonne dit avoir passé une agréable soirée. Malheureusement elle fut interminable. Et en cela le plan séquence est un coup de génie ! A consommer sans modération !!
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