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    American Honey
    Note moyenne
    3,0
    35 titres de presse
    • Culturopoing.com
    • Les Inrockuptibles
    • VSD
    • Bande à part
    • Chronic'art.com
    • Elle
    • Franceinfo Culture
    • L'Obs
    • Le Parisien
    • Les Fiches du Cinéma
    • Ouest France
    • Première
    • Transfuge
    • Télé Loisirs
    • Télérama
    • Voici
    • aVoir-aLire.com
    • L'Humanité
    • Le Journal du Dimanche
    • Libération
    • CinemaTeaser
    • Critikat.com
    • La Croix
    • La Septième Obsession
    • Le Dauphiné Libéré
    • Le Figaroscope
    • Le Monde
    • Le Parisien
    • Paris Match
    • Studio Ciné Live
    • Cahiers du Cinéma
    • L'Express
    • Le Figaro
    • Positif
    • Télérama

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    35 critiques presse

    Culturopoing.com

    par Pierre Guiho

    Andrea Arnold ne se contente pas de regarder ses personnages vivre, elle vit avec eux, et mettant en lumière la puissance des liens fraternels, choisit l'espoir plutôt que la défaite.

    La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com

    Les Inrockuptibles

    par Romain Blondeau

    Bien que puissamment ancré dans le réel, "American Honey" ressemble à un film trip, un long travelling rêvé sur les routes d'Amérique, perfusé d'images mentales et d'allégories délirantes.

    VSD

    par Olivier Bousquet

    Trop long, avide de digressions, chaotique, American Honey déborde de tout, et c’est pour ça qu’on l’aime.

    Bande à part

    par Olivier Bombarda

    Dans une étourdissante proximité et avec beaucoup de sensualité, la caméra d'Andrea Arnold se fond dans le quotidien de ces ados américains impétueux, livrés à eux-mêmes, déboussolés et qui survivent en abusant de la naïveté d'autrui.

    La critique complète est disponible sur le site Bande à part

    Chronic'art.com

    par Jérôme Momcilovic

    Le pari d’Andrea Arnold serait de tremper cette exigence dans l’eau sucrée d’une esthétique teenage et sexy, qu’elle ne maitrise pas moins. Pari assez habilement réussi, d’autant que son récit en faux-plat parvient à contourner beaucoup d’écueils prévisibles, à commencer par celui de l’ennui (2h40, quand même).

    La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com

    Elle

    par Florence Ben Sadoun

    Andréa Arnold, grande réalisatrice anglaise qui signe son quatrième film, "American Honey", Prix du jury à Cannes, après "Red Road" et "FishTank", a incroyablement réussi à nous faire entrer dans ce van qui sillonne les routes du Midwest américain.

    Franceinfo Culture

    par Jacky Bornet

    La bonne idée du palmarès de Cannes 2016 : décerner son Grand prix à "American Honey" d’Andrea Arnold. Un road movie qui prend son temps dans la lignée d’un Larry Clarks doublé d’un Gus Van Sant.

    La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture

    L'Obs

    par Pascal Mérigeau

    (...) on regrette seulement que son auteur n’ait pas su en limiter la durée : "American Honey" ne justifie pas ses 2h42. Plus court, il n’aurait pas été moins bien. Il aurait même été meilleur.

    La critique complète est disponible sur le site L'Obs

    Le Parisien

    par Renaud Baronian

    POUR : "American Honey" fait figure d'ode à la liberté, envisagée sous l'angle d'une jeunesse affranchie de toutes règles, hardie et indépendante. On a rarement vu film aussi libre.

    Les Fiches du Cinéma

    par Michael Ghennam

    La peinture amrèe de la perte des idéaux, sous la forme d’un road-trip envoûtant.

    La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma

    Ouest France

    par Gilles Kerdreux

    Acteurs et musiques sont au rendez-vous pour décrire une Amérique joyeuse et déprimante en même temps.

    Première

    par Frédéric Foubert

    L'Anglaise Andrea Arnold (...) affirme dans ce road-movie hypnotique son regard lyrique et sensoriel.

    Transfuge

    par Frédéric Mercier

    La vraie beauté d'un cinéma au présent.

    Télé Loisirs

    par Thierry Cheze

    Une oeuvre intense et fascinante.

    Télérama

    par Louis Guichard

    POUR : Cette passion, tour à tour assouvie et empêchée, inspire des scènes splendides, et finalement très romantiques, à Andrea Arnold (...).

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    Voici

    par Lola Sciamma

    Ce road trip R'n'B rappelle qu'au delà de ses happenings chelous, Shia LaBeouf est d'abord un grand acteur.

    aVoir-aLire.com

    par Alexandre Jourdain

    Andrea Arnold explore l’Amérique white trash sur fond de beats trap incantatoires. Un voyage sombre et ensorcelant, que l’on traverse en état de transe.

    La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com

    L'Humanité

    par Vincent Ostria

    Ce qui impressionne, c’est la liberté du film. Liberté des personnages, du filmage et de la mise en scène, souvent improvisée. (...) À l’arrivée, une œuvre fracassée qui fouille les entrailles des États-Unis ordinaires pour en extraire un précipité primitif.

    La critique complète est disponible sur le site L'Humanité

    Le Journal du Dimanche

    par Barbara Théate

    À trop vouloir filmer la liberté, la réalisatrice abandonne ses acteurs à leurs errances. Interminables.

    Libération

    par Luc Chessel

    "American Honey" (...) a quelque chose de synthétique - une grande reprise, sous forme de chaos, autant qu’une recherche du naturel par le plus voyant artifice. S’il est bien une épopée pop (...), c’est celle de la grande circulation des apparences, de la non-originalité des formes, l’infini de la reproductibilité et de la reprise (...).

    La critique complète est disponible sur le site Libération

    CinemaTeaser

    par Emmanuelle Spadacenta

    Un faux film punk, à peine romanesque.

    La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser

    Critikat.com

    par Clément Graminiès

    (...) l’échappée belle reste balisée de bout en bout et si chemins de traverse il y a, ils ne font jamais oublier la dimension programmatique de l’ensemble.

    La critique complète est disponible sur le site Critikat.com

    La Croix

    par Arnaud Schwartz

    En dépit du regard empathique de la réalisatrice sur ce groupe d’adolescents, de sa capacité à décrire sans juger une Amérique sans perspective et engluée dans son désespoir, "American Honey" vire à l’épreuve pour le spectateur qui se lève de son siège comme on sort de sa voiture après un long voyage : les jambes engourdies et le cerveau bourdonnant.

    La critique complète est disponible sur le site La Croix

    La Septième Obsession

    par Alexandre Jourdain

    Délaissant la tradition du cinéma social britannique, la réalisatrice dresse un portrait de l’Amérique white trash à grand renfort d’hyperboles photogéniques.

    Le Dauphiné Libéré

    par Jean Serroy

    Un road movie qui, centré sur un personnage rebelle et ses aventures sentimentalo-existentielles, fait défiler l’Amérique profonde, pas spécialement belle à voir malgré la volonté formaliste de la réalisation : et la route n’en finit pas…

    Le Figaroscope

    par Nathalie Simon

    On pourrait s’y attacher si le road movie d’Andrea Arnold ne s’éternisait pas pendant près de trois heures. Certes, les jeunes acteurs sont plus vrais que nature, les images gorgées de lumière du Midwest américain belles et la bande-son, entraînante. Mais le scénario est paresseux et la répétition de leurs "aventures " finit par désintéresser le public.

    La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope

    Le Monde

    par Mathieu Macheret

    "American Honey" a cela d’intéressant qu’il montre comment ce libertarisme n’est, en définitive, que la façade d’un libéralisme encore plus implacable que celui du monde adulte. Mais en refusant la moindre digression, Andrea Arnold livre un film paradoxalement étriqué malgré ses grands espaces et sa longue durée.

    Le Parisien

    par Thierry Dague

    CONTRE : On s'attache d'abord à ces gamins déracinés et à ce portrait en creux de l'Amérique profonde, avant de ne plus supporter les scènes répétitives et le rap tonitruant qui nous fracasse les oreilles.

    Paris Match

    par Yannick Vely

    Rien ne justifie la durée de presque trois heures, si ce n'est de faire grand Sujet, grand Auteur, et le cinéma indépendant américain a déjà témoigné de l'errance de sa jeunesse (...), si bien que l'on se demande ce qu'a voulu témoigner Andrea Arnold d'original dans «American Honey».

    La critique complète est disponible sur le site Paris Match

    Studio Ciné Live

    par Thierry Cheze

    Le charisme rugueux (des comédiens) l'aide à montrer l'envers du rêve américain mais n'empêche pas le film de se fracasser sur une enfilade de clichés.

    Cahiers du Cinéma

    par Louis Séguin

    "American Honey" se transforme en une interminable playlist (près de 3 heures), les morceaux s’enfilant comme autant d’idées qui manquent à ce portrait de la vie en collectivité.

    L'Express

    par Christophe Carrière

    En route pour une traversée de l'Amérique où les clichés se disputent aux simagrées esthétiques.

    Le Figaro

    par Eric Neuhoff

    Pendant presque trois heures, Andrea Arnold déroule délinquance, bagarres, prostitution et paysages. Et fait d'"American Honey" un film paresseux et filandreux.

    La critique complète est disponible sur le site Le Figaro

    Positif

    par Michel Ciment

    Son talent, qui s'était révélé parfois inégal, semble aujourd'hui s'être fourvoyé.

    Télérama

    par Jacques Morice

    CONTRE : Ce qui chagrine n'est pas tant l'esthétique déjà datée (...). Ni le fait que la cinéaste tente de poétiser une réalité plutôt sinistre — n'est pas Larry Clark ou Harmony Korine qui veut. Non, ce qui gêne, surtout, c'est la manière désinvolte de tournoyer sans cesse autour de ses personnages, de les survoler, de les éviter, en fait.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama
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