Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Ce film d’animation dynamique sait laisser la place à de doux sentiments entre deux gags bien trouvés.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Elle
par Héléna Villovitch
S’il vaut mieux avoir 8 ans pour commencer à apprécier, les adultes y trouvent aussi leur compte, d’autant que les références fifties abondent : entre deux séquences animées à la sophistication toute contemporaine, se glissent parfois de délicieuses vignettes rétro (...) C’est extra.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Pour son nouvel opus, Dreamworks développe un scénario joliment saugrenu, suffisamment polyvalent pour séduire à la fois les têtes blondes et les plus chenues qui les accompagnent.
Le Figaroscope
par Olivier Delcroix
Heureuse surprise que ce "Baby Boss" signé Tom McGrath ! Sur le thème de la jalousie provoquée par l’arrivée d’un petit dernier au sein du noyau familial, ce dessin animé des studios DreamWorks virevoltant et bourré de références parvient à rivaliser avec Disney, Pixar et consorts.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Parisien
par Renaud Baronian
Un enchantement.
Les Fiches du Cinéma
par Valentine Verhague
Plein d’humour, “Baby Boss” explore cette peur foncièrement enfantine de n’être plus aimé de ses parents.
Voici
par La Rédaction
Hormis ce pitch capillotracté, la comédie d'animation du réalisateur Tom McGrath se révèle bien plus audacieuse et réjouissante que juste rigolote pour spectateurs en culottes courtes (mieux, d'ailleurs, à partir de 7 ans).
Closer
par La Rédaction
Si le scénario tiré par les cheveux et les gags parfois pipi-caca rebuteront les plus grands, les enfants, eux, seront certainement séduits par ce film.
Ecran Large
par Simon Riaux
Si le film ennuie poliment quand il s'adresse (un peu grossièrement) aux plus jeunes, il sait aussi ménager un humour féroce et une charge inattendue contre la vie en entreprise.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Express
par Christophe Carrière
Un peu chancelant au début, le scénario finit par se rétablir. Ce n'est pas du petit-lait, mais on biberonne quand même.
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Un bébé hors du commun met en place une stratégie pour déjouer les plans terribles de la société ToutouCo. Sympathique et délirante fantaisie animée.
Le Figaro
par La Rédaction
Le film séduit par l'originalité de son thème (la rivalité fraternelle), mais se perd dans une intrigue secondaire bâclée.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un scénario original conjugué à un humour savoureusement décalé : l’arme fatale du studio d’animation DreamWorks, qui récidive avec cette comédie référencée et pleine de tendresse.
Le Monde
par Murielle Joudet
(...) en partant d’un canevas absolument pixarien (une famille qui s’agrandit, un enfant délaissé) pour ensuite le cuisiner à sa sauce régressive, Dreamworks fait un malin pied de nez à son concurrent, et nous livre, triomphant, cet aveu : Dreamworks ne sera jamais Pixar et ne tient pas vraiment à l’être.
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Il y a quelque chose de corrosif et d’inattendu, une sorte de subversion du chromo familial dans ce torrent de petites fesses roses qui, de fait, s’adresse bien plus aux jeunes adultes qu’aux tout-petits.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Yannick Vely
La «méchanceté» de la première demi-heure est jouissive quand les deux frères s'affrontent et que le Baby Boss se comporte en tyran domestique. Bien sûr, il fallait étoffer le scénario pour tenir la sacro-sainte durée d'1h40 et le récit bifurque sur une histoire de rivalité bébés humains-bébés chiens trop sur les rails.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télé 7 Jours
par Philippe Ross
D'emblée, on est bidonné. Le réalisateur de la saga "Madagascar" nous offre un véritable festival de gags. En plus, le scénario (...) ne manque pas d'originalité (...). Petit bémol, le niveau d'humour ne tient pas tout à fait la longueur, mais les poupons sont à croquer.
Télérama
par Cécile Mury
scénario à coucher dehors (dans un landau), pour un film d'animation plus drôle et futé (jolie fable sur la rivalité fraternelle) que son esthétique 3D un peu plastifiée ne le laisse, d'abord, supposer.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
Ce film d’animation dynamique sait laisser la place à de doux sentiments entre deux gags bien trouvés.
Elle
S’il vaut mieux avoir 8 ans pour commencer à apprécier, les adultes y trouvent aussi leur compte, d’autant que les références fifties abondent : entre deux séquences animées à la sophistication toute contemporaine, se glissent parfois de délicieuses vignettes rétro (...) C’est extra.
Le Dauphiné Libéré
Pour son nouvel opus, Dreamworks développe un scénario joliment saugrenu, suffisamment polyvalent pour séduire à la fois les têtes blondes et les plus chenues qui les accompagnent.
Le Figaroscope
Heureuse surprise que ce "Baby Boss" signé Tom McGrath ! Sur le thème de la jalousie provoquée par l’arrivée d’un petit dernier au sein du noyau familial, ce dessin animé des studios DreamWorks virevoltant et bourré de références parvient à rivaliser avec Disney, Pixar et consorts.
Le Parisien
Un enchantement.
Les Fiches du Cinéma
Plein d’humour, “Baby Boss” explore cette peur foncièrement enfantine de n’être plus aimé de ses parents.
Voici
Hormis ce pitch capillotracté, la comédie d'animation du réalisateur Tom McGrath se révèle bien plus audacieuse et réjouissante que juste rigolote pour spectateurs en culottes courtes (mieux, d'ailleurs, à partir de 7 ans).
Closer
Si le scénario tiré par les cheveux et les gags parfois pipi-caca rebuteront les plus grands, les enfants, eux, seront certainement séduits par ce film.
Ecran Large
Si le film ennuie poliment quand il s'adresse (un peu grossièrement) aux plus jeunes, il sait aussi ménager un humour féroce et une charge inattendue contre la vie en entreprise.
L'Express
Un peu chancelant au début, le scénario finit par se rétablir. Ce n'est pas du petit-lait, mais on biberonne quand même.
La Voix du Nord
Un bébé hors du commun met en place une stratégie pour déjouer les plans terribles de la société ToutouCo. Sympathique et délirante fantaisie animée.
Le Figaro
Le film séduit par l'originalité de son thème (la rivalité fraternelle), mais se perd dans une intrigue secondaire bâclée.
Le Journal du Dimanche
Un scénario original conjugué à un humour savoureusement décalé : l’arme fatale du studio d’animation DreamWorks, qui récidive avec cette comédie référencée et pleine de tendresse.
Le Monde
(...) en partant d’un canevas absolument pixarien (une famille qui s’agrandit, un enfant délaissé) pour ensuite le cuisiner à sa sauce régressive, Dreamworks fait un malin pied de nez à son concurrent, et nous livre, triomphant, cet aveu : Dreamworks ne sera jamais Pixar et ne tient pas vraiment à l’être.
Les Inrockuptibles
Il y a quelque chose de corrosif et d’inattendu, une sorte de subversion du chromo familial dans ce torrent de petites fesses roses qui, de fait, s’adresse bien plus aux jeunes adultes qu’aux tout-petits.
Paris Match
La «méchanceté» de la première demi-heure est jouissive quand les deux frères s'affrontent et que le Baby Boss se comporte en tyran domestique. Bien sûr, il fallait étoffer le scénario pour tenir la sacro-sainte durée d'1h40 et le récit bifurque sur une histoire de rivalité bébés humains-bébés chiens trop sur les rails.
Télé 7 Jours
D'emblée, on est bidonné. Le réalisateur de la saga "Madagascar" nous offre un véritable festival de gags. En plus, le scénario (...) ne manque pas d'originalité (...). Petit bémol, le niveau d'humour ne tient pas tout à fait la longueur, mais les poupons sont à croquer.
Télérama
scénario à coucher dehors (dans un landau), pour un film d'animation plus drôle et futé (jolie fable sur la rivalité fraternelle) que son esthétique 3D un peu plastifiée ne le laisse, d'abord, supposer.