Avis : The Predator - Page 10

"The Predator" de Shane Black a été largement critiqué pour ses nombreux problèmes, qui le placent à la limite du nanar. Voici une critique détaillée après l'avoir visionné ce soir sans beaucoup de conviction :

**Scénario incohérent**
Le scénario du film est confus et incohérent. Il semble avoir été modifié à plusieurs reprises au cours de la production, ce qui se traduit par des sauts brusques dans l'intrigue et des personnages dont les motivations ne sont pas claires.

**Humour maladroit**
Shane Black est connu pour son humour, mais dans "The Predator", il semble forcé et maladroit. Les blagues tombent à plat et ne contribuent pas tellement à l'atmosphère du film.

**Effets spéciaux médiocres**
Les effets spéciaux du film laissent à désirer, en particulier les scènes impliquant les Predators. Les créatures sont censées être effrayantes, mais elles semblent souvent artificielles et peu impressionnantes. La seule chose à peu près réussie c'est les scènes dans l'espace.

**Personnages stéréotypés**
Les personnages du film sont stéréotypés et peu développés. Les acteurs font de leur mieux avec ce qu'ils ont, mais il est difficile de s'attacher à eux ou de s'intéresser à leur sort.

**Incohérences dans l'univers**
"The Predator" ne respecte pas toujours les règles établies dans l'univers des Predators, ce qui peut perturber les fans.

**Violence excessive**
Le film est rempli de scènes de violence excessive qui semblent être là uniquement pour choquer le public, sans réelle justification dans l'histoire. C'est juste du gâchis.

**Fin abrupte**
La fin du film est plutôt abrupte et bâclée, et laisse des questions sans réponse, ce qui laisse le public insatisfait.

En résumé, "The Predator" de Shane Black est un film qui souffre de nombreux problèmes, allant d'un scénario incohérent à des effets spéciaux médiocres. Bien qu'il puisse potentiellement plaire à certains fans de films d'action bourrins, il est difficile de le recommander comme un bon représentant de la franchise Predator.
Il reste donc à la limite du nanar.

la 1 ere vision au cinema m avais un peu decu mais apres une deuxième vision plus tranquille chez moi ,je trouve se predator genial et meme jouissif , ok le 1 er reste une reference mais dans celui on retrouve pas mal de référence ,bref je suis sur que dans qq années il remontera dans les esprits

À la base, voir Shane Black prendre les manettes de ce nouveau « Predator », cela me plaisait bien, comme un clin d'œil également au premier volet, où il interprétait l'un des membres du commando. Seulement, j'avais un peu vite oublié que celui-ci était aussi l'auteur du moyen « Iron Man 3 », preuve qu'il est visiblement beaucoup plus à l'aise sur un terrain de jeux plus personnel (les très bons « Kiss Kiss Bang Bang » et « The Nice Guys ». Parce que ce quatrième volet, il n'est vraiment pas terrible. Black semble d'ailleurs assez curieusement lâché l'affaire rapidement, comme si c'était un peu foutu pour foutu. Du coup, il balance un gros humour qui tâche de bout en bout, se disant que ça passera un peu mieux. Ce n'est pas totalement faux. Ça fait passer le temps, il y a quand même du taf niveau effets spéciaux, scènes d'action, et au moins a t-on essayé de renouveler le mythe avec de nouvelles idées, de placer le récit dans un contexte plus contemporain... Seulement, lorsqu'on fait ça, il faut qu'il y ait un minimum de crédibilité autour, ce qui n'est pas franchement le cas ici. Non mais sérieux?? spoiler: Des chiens Predator ??!! Une lutte entre l'ancienne et la nouvelle génération des méchants aliens ? Un enfant autiste qui serait l'avenir de leur planète et qu'ils veulent donc kidnapper ??
Je ne suis pas contre une certaine dose de What The Fuck, mais il y a des limites. Là, ça donne juste l'impression de se foutre de nous. Bientôt on va apprendre que les gars étaient d'anciens hippies ayant mal viré après avoir trop forcé sur le joint : stop ! Même si cela peut être frustrant, il y a des créatures auxquelles il ne faut pas toucher : celle-ci en fait partie. Il faut juste accepter que celle-ci soit là pour faire le mal, sans qu'il y ait moyen d'en savoir beaucoup plus. Pour le reste, quelques scènes efficaces, quand même spoiler: (notamment sur le vaisseau, pas mal, et surtout la mort de l'abruti insultant le fils du héros, assez jubilatoire)
, mais surtout la routine, avec un nouveau « commando » (de têtes brûlées, cette fois), scientifique ultra-sexy en prime, sans envergure ni originalité, dont on devine aisément qui survivra ou pas (la sublime Olivia Munn parviendra t-elle à échapper à la mort ? Suspense, suspense!!). Cela peut amuser, tout juste divertir, mais au vu du titre originel et de la présence derrière la caméra de l'ami Black, on était vraiment en droit d'espérer plus. Décidément, le blockbuster hollywoodien semble en bien mauvaise santé artistique.

Aïe aïe aïe, le précédent film de la franchise était une belle surprise et on n'en attendais pas moins du réalisateur Shane Black mais quelle désillusion. Les predators sont plutôt laids, on les voit trop, les personnages totalement plats et l'histoire avec l'enfant absurde. Un ratage total qui nous éloigne encore plus d'un retour tonitruant et gagnant de Predator. Une vraie déception.

Ce nouvel opus de la saga Predator possède malheureusement un script assez pauvre et un manque de charisme de la part de son casting. Mais fort heureusement la réalisation de Shane Black comporte d'excellentes séquences d'action, les Predators sont bien conçus et les effets spéciaux sont globalement réussi, ce qui fait que l'on ne passe pas un moment désagréable devant ce film de science-fiction.

Dur dur d'être définitif sur le film. Charcuté par le studio en sous-main, le film contient pourtant en son sein des plans, des idées ou des répliques qui portent la marque d'un auteur. Mais voilà, contrit dans leurs contradictions, coincés face à un objet autrement plus subversif et violent qu' un "Deadpool" javelisé, la Fox s'est de nouveau cassé les dents sur un de ses titres phares. Incapable de faire des films autrement, de sortir d'un schéma de pensée consensuel, les grands studios fantasment mais ne peuvent s'assouvir. Narrativement brouillon, blindé de défauts, le film est toutefois drôle et percutant, avec des idées bien Z, une histoire pas forcément emballante, mais il y a la maîtrise du verbe par un scénariste qui offre à un spectateur plus habitué des persos un peu décalés, mais vraiment décalés, voire indéfendables. Alors oui, il y a des morts stupides, des morts inutiles, c'est un carnage un peu vain, les scènes d'action ne sont pas toutes finalisées comme il faut, mais j'ai aimé ce délire, cet esprit de sale gosse, qui reste malgré tout. Je ne le reverrais sans doute jamais, et c'est à peine mieux pour moi que son "Iron Man 3", mais ça confirme surtout que Black s'épanouit plus en dehors des grosses machines. D'autres critiques sur thisismymovies.over-blog.com

Shane Black multiplie les hommages au film culte de John McTiernan avec ce nouvel épisode. Malheureusement, il s’approche plus du nanar régressif qu’était "Aliens vs Predator – Requiem" que d’un film de monstre oppressant. Que ce soit dans sa manière de dépeindre ses personnages, d’enchaîner les rebondissements et les effets gores, "The predator" n’a jamais peur du ridicule et du jusqu’au-boutisme. Pris au second degré cela lui donne un côté amusant.

Il y a un plaisir régressif à regarder ce film d'action tout droit sorti des années 80. C'est bourrin, stupide mais il y a de l'action et quelques bonnes répliques, donc c'est plutôt fun.

Ce Predator 3 bénéficie de bons effets spéciaux, il y a de l'action, il est plutôt distrayant, et... je n'ai pas grand chose de plus à en dire. Je trouve quand même la moyenne des critiques très sévère.
A noter le rôle d'Yvonne Strahovski, que certains ont pu connaitre dans la très bonne série Chuck en tant que Sarah Walker. Elle ne joue toutefois ici qu'un rôle très secondaire en incarnant l'ex-femme du personnage principal.

Un raté assez incompréhensible, alors que toutes les planètes semblaient aligner pour relancer la saga Prédator. La narration est horriblement confuse, les saillies d'humour déstabilisent ce qui reste de cohérence au film, tandis que les acteurs peinent à convaincre.

Quatrième volet de la saga Predator commencée en 1986 avec Arnold, The Predator donne envie avec à la réalisation un acteur du premier (Bon ok le premier à se faire buter dans la jungle) - connu aussi pour iron man 3 et les scénarios de l arme fatale . Il doit surement connaître ce qu il fait .
Contrairement aux 3 premiers , il n y pas d acteur connus . (Schwarzy pour le premier , Glover pour le deuxième , Brody pour le troisième avec une pléiade de second rôles connus). Est ce un signe ?
Malheureusement si ... un mauvais signe .

On voit le Predator dès les premiers images contrairement aux autres épisodes . Ça casse le mythe directement.
Le Predator est devenu un élément que l’on cherche à étudier ... mais bien entendu il s échappe pour trucider tout ce qui bouge .

On a encore un groupe comme dans les précédents mais plus un groupe de militaire ou policier mais un groupe de foldingue. Beaucoup de phrases comiques , qui perturbe sur la volonté du film d en faire un thriller de science-fiction .

Un alien plus gros que le predator d origine, un chien alien qui devient un toutou, un enfant qui programme la technologie alien , le prédateur rafleur d adn des plus grands tueurs de la galaxie , le probleme écologique , le traducteur qui permet au predator de se faire comprendre ... bref le scénario part en vrille !

Le film devient une caricature de lui même et frôle avec la médiocrité .

The predator n'est pas le remake qu'on aurait pu imaginer au vu du titre.
Non au contraire, c'est une suite au deuxième ( dont il font référence des deux premiers dans le film).
Mieux que le deuxième mais moins bien que le premier qui aurait du rester unique au vu des suites, thé predator a des bon côté de part de l'action omniprésentes et d'une touche d'humour.
De même, les predators sont bien réalisés.
Par contre, les chiens predators sont ridicule et certaines scènes egalement ( celle par exemple ou les acteurs de retrouvent sur le vaisseau).

Je salue l'inventivité de Shane Black et la volonté de s'approprier le Predator pour ne pas réaliser une énième version de la même histoire. Côté scénario c'est donc assez rafraîchissant - dans les limites du genre évidemment. Le focus sur des personnages assez atypiques (le groupe d'"anciens combattants", le petit garçon) est également très appréciable et donne un bon coup de fraîcheur à l'ensemble. Pour ce qui est des scènes d'action, je les ai trouvées pas mal du tout, avec des petites touches bien gore et drôles, mais assez répétitives à la longue. A partir de la moitié du film, j'ai commencé à décrocher et à me lasser de ce spectacle qui se déroule quasi exclusivement de nuit. The Predator est donc un film qui commence très bien avec de sérieux atouts, mais ne tient pas sur la durée et au final se transforme en film d'action passable.

Alien et Predator. Les deux parfaites forment de vie extraterrestres. Deux monstres du cinéma qui ont marqué leur époque et continuent aujourd'hui de faire le bonheur des studios, aux détriments des cinéphiles. Ridley Scott et John McTiernan insufflaient de leur pâte et de leur maîtrise dans deux films au rythme et à l'atmosphère oppressante pour ceux qui arboraient fièrement leur 12 ans. Si Alien: Covenant, dernier en date ne rendait pas justice à la franchise tout en essayant de s'y conformer, on peut dire que The Predator nous laisse le même ressenti de gâchis malgré une tentative de Shane Black d'y insuffler son humour et sa maîtrise des dialogues.

D'entrée de jeu, on ne fait pas dans la dentelle et le côté presque intimiste et furtif du plus ignoble chasseur de l'espace surprend. Certes, avec les deux tentatives précédentes, l'heure n'est plus à la découverte d'un ennemi invisible mais est-ce vraiment une raison pour y aller en fanfare ? Revoir le premier opus confirme immédiatement que non. On peut savoir à quoi s'attendre sans pour autant envoyer valser un certain mystère. Ainsi, on se retrouve donc immédiatement sur terre avec une confrontation éclair entre notre futur héros et le charcuteur de l'espace. De là, tout va très vite et on se retrouve sur les rails de la série B tout ce qu'elle a de plus consensuelle. Equipe de militaires timbrés et loufoques à la personnalité purement esthétique : des gros bras qui n'ont pas forcément la lumière dans toutes les pièces. Quoi de mieux finalement que des têtes brûlées pour un combat perdu d'avance. Quitte à mourir, autant que ce soit sans crainte et avec panache.

Alors oubliez la tension, la "chasse", Shane Black tente ici quelque chose d'original qu'il faut bien lui reconnaître. Première victime du Predator dans le film de 1987, le scénariste et réalisateur inspiré (L'arme fatale et Last Action Hero au crayon, Kiss Kiss Bang Bang et The Nice Guys à la caméra) donne au film sa pâte entre humour, dialogues et situations décalées. Hors contexte, ça marche et on se marre mais difficile d'oublier d'où on vient.
Il faudrait presque appréhender ce 4ème opus comme un reboot plutôt qu'une suite. Un reboot qui ne manque pas d'aligner les clins d'oeil à ses prédécesseurs. Mais difficile lorsqu'on a frémit dans la jungle aux côtés d'Arnold et de sa bande de joyeux drilles de faire abstraction du passé. Pour autant, lorsqu'on se force, The Predator a quelque chose de divertissant même si on est très loin de la virtuosité d'un McTiernan derrière la caméra. Ici, la menace est ce qu'elle est, ni plus ni moins. Une bestiole qui prend plaisir à massacrer avec style, peut-être un brin complexée par sa gueule de Tonton David au lendemain d'une soirée un peu trop fournie en psychotropes.

Dommage que le scénario n'ait pas été différent et un poil plus simple finalement car à trop tenter de nous surprendre, Shane Black nous pond un ovni tiré par les dreadlocks où les tenants et les aboutissants parfois risibles ne servent que de prétexte à l'utilisation d'une icône d'un cinéma fantastique qui a fait la grandeur de la fin des années 80, début 90.

Ce film est une parodie (assumée ?).
Scénario catastrophique.
Casting improbable.
Rythme exténuant.
Proche d'un B-movie.