Avis : Stuart Little - Page 4

Inspiré d'un roman jeunesse, Stuart Little est un sympathique film tout public réalisé par Rob Minkoff. L'histoire se situe à New York et nous fait suivre un couple et son garçon qui vont adopter une souris se comportant comme un humain. Ce scénario est agréable à visionner, d'autant plus qu'il ne perd pas de temps en rentrant immédiatement dans le vif du sujet. Il faut dire que cette aventure familiale est relativement courte, puisqu'elle ne dure qu'une petite heure et quart. Cela permet à l'intrigue de ne souffrir d'aucun temps mort et d'aller à l'essentiel. Malgré cette brève durée, on assiste à un récit ne semblant pas souffrir de manquements, même si le tout est assez convenu. Le ton est particulièrement gentillet et bienveillant, mêlant amusement et passages plus touchants, en plus d'offrir des péripéties bien rythmées. La narration traite des liens familiaux à travers des personnages appréciables, interprétés par des acteurs convaincants, avec en tête d'affiche Hugh Laurie et Geena Davis dans le rôle des parents et Jonathan Lipnicki dans celui de l'enfant. Mais l'attraction principale c'est évidemment la mignonne petite souris, sans oublier également le chat de la famille Snowbell et ses acolytes félins, qui volent presque la vedette à Stuart. Le reste de la distribution est plus anecdotique. Les relations entretenues par tout ce beau monde parviennent à créer de l'attachement grâce à des échanges attendrissants, soutenus par des dialogues de bonne facture. L'ensemble est bien réalisé par Rob Minkoff qui livre une mise en scène assez classique mais efficace, parvenant à faire ressentir le point de vue du petit animal via des décors miniaturisés. Les effets-spéciaux sont pour leur part convaincants et rendent le petit rongeur plus vrai que nature et donc crédible. Ce visuel est accompagné par une très bonne b.o. signée Alan Silvestri. Celle-ci se fait beaucoup entendre pour notre plus grand bonheur vu que ses compositions sont qualitatives et parfaitement dans le ton. Reste une fin attendue mais satisfaisante, venant mettre un terme à Stuart Little, qui est un long-métrage qui contentera aussi bien les plus petits que les plus grands.

Eh bien j ai adhéré à ceux petit film avec cette petite souris qui et attachante et à voir avec des petits ou grands

un film familial baser sur un roman jeunesse malheureusement méconnu ou peu connue en France donc pour comparer l'adaptation et le livre cela serait très compliquer . Une famille qui adopte une souris non pas comme animal de compagnie mais comme frère pour leur fils. En plus d'être étrange la cohabitation entre les 2 frères et également le chat de la maison qui ferait bien de la souris sont 4h ça s'annonce difficile. Très rythmée, énergique le film ne laisse peu de repis malgré tout on ne rigole que très peu un gros bémol donc .
personnages réelle et d'animation nous captive réellement grâce au images de synthèse de haute qualité c'est donc un non divertissement.

Ce film familial devenu aujourd'hui plus ou moins culte, réalisé par Rob Minkoff et sorti en 1999, n'est franchement pas terrible. Le sujet ne m'intéressant pas spécialement mais en ayant tellement entendu parler, j'ai profité de sa disponibilité Netflix pour le regarder et j'en suis assez déçu. Enfin déçu, je n'en attendais pas grand chose non plus mais au moins à un divertissement sympathique. C'est donc ici l'histoire d'une petite souris qui se fait adopter par une famille humaine mais elle va avoir du mal à se faire accepter par son frère (humain) et le chat de la famille. Bon, voilà, c'est un scénario de comédie familiale classique, sans plus, même si on peut y noter quelques messages. Évidemment, si on va plus loin que le simple divertissement familial, on peut y percevoir des messages concernant les familles qui adoptent des enfants qui ne sont pas de la même ethnie et qui ont du mal à se faire accepter par les autres membres de la famille. La fin est d'ailleurs porteuse de ce message, notamment la discussion entre la souris et les chats concernant les valeurs de la famille. C'est très cliché et mielleux mais ce n'est cependant pas vraiment un défaut dans ce genre de film. Ce n'est d'ailleurs pas pour son côté terriblement niais que je n'apprécie pas trop le film mais plus par rapport à son rythme que je trouve lent. L'intrigue n'étant déjà pas très riche, le film en devient vite lassant, faute d'un rythme soutenu, ce qui est bien dommage. En revanche, le film est très réussi en ce qui concerne les effets numériques qui sont encore très regardables aujourd'hui. Du côté des acteurs, nous avons surtout Hugh Laurie et Geena Davis qui jouent plutôt bien, de même que Michael J. Fox dans la voix (en version originale bien-sûr) de Stuart. "Stuart Little" n'est donc pas franchement une réussite mais il peut au moins occuper des enfants pendant une heure et demie.

La petite souris blanche nommé Stuart adopté par la famille agrandie Little, des gens snobs du commun tout comme le scénario aseptisé. Une charmante et gentille bête citadine, très simple dans sa sobriété, la mise en scène est animée, bien drôle l’interaction avec les chats de salon et de gouttière, des prédateurs ne partageant pas les mêmes valeurs mais le même goût, la brochette de rongeur souriceau. Stuart sait comment les amadouer sans grimace, un bon travail comique toujours avec beaucoup de simplicité, il devra se sortir sans difficulté de parcours d’intrigue à la douceur piquante. En croisant la route d’autres de ses congénères, des apparitions pleines de moments agréables à regarder dans cette comédie.

J'ai vu ce film plusieurs fois étant gamin , je le trouvais très bien et très drôle , je l'ai revu et malgré le fait que l'histoire des parents qui adopte une souris est absurde , le film fonctionne bien , y'a un univers particulier et c'est ca qui rend les choses plausible pour les spectateurs , les chats me font toujours autant rire qu'avant , c'est aussi un des seuls films ou je préfère la bande son française.

Mouairf… Sans être ultra fan j’avoue que je n’ai pas non plus vomi cette souris de synthèse. Seulement voilà, encore une fois je la trouve trop classique et avec trop peu de relief. Comme souvent…

Les partis pris extrêmes et audacieux de Rob Minkoff constituent à la fois les qualités et les défauts de ce conte pour enfants. C'est charmant et coloré mais lourd et poussif faute à une morale trop insistante.

Un film franchement moyen, malgré l'originalité de son histoire. Une famille adopte une petite souris qui parle. La petite souris va avoir du mal à trouver sa place, et le thème du film tourne autour de l'acceptation de la différence. Le problème c'est que le tout est très niais, et essaie d'être trop mignon.
Parfois ça marche, parfois non, et quand c'est pas le cas c'est franchement lourd.
N'en reste pas moins un film pour enfant très moyen, mais pas ignoble non plus.

C’est bien fait et très rythmé. Le scénario manque cependant cruellement d’épaisseur. De bons souvenirs d’enfance : J’avais adoré à l’époque mais à l’évidence Stuart Little s’adresse essentiellement aux enfants.
J’aurais du le laisser à l’état de souvenirs.

Rien d'exceptionnel. C'est juste sympa à regarder. C'est vraiment pour les enfants par contre.

Hugh Laurie dans l’un de ces premiers rôles au cinéma est l’une des qualités de ce film. Cette comédie enfantine assez honorable. Avec une histoire originale (l’adoption d’une souris par des humains), le film donne tout le savoir faire des comédies pour enfant ; sympathique

Cette « fable » sur la tolérance est un film à partager en famille, avec des petits enfants principalement. Habilement réalisé sans overdose d’images numériques et de synthèse, le scénario offre un conte attendrissant et ce qu'il y a de plus important dans la vie : le rêve.

Que s'est original enfin je pense que s'est ce qu'il y'a dans le film le reste ne suit pas scénario baclé et jeux d'acteur horrible

Un bon film enfantin, amusant et qui a le mérite de nous faire croire à cette souris en image de synthèse. Bien joué Rob.