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    Adama
    Anecdotes, potins, actus, voire secrets inavouables autour de "Adama" et de son tournage !

    Un grand mélange créatif

    Adama est une histoire de rencontres. Des artistes de tous horizons (malgaches, réunionnais, cubains, français de métropole…) ont réuni pour la fabrication du film différents arts:  le dessin, la peinture, l’encre magnétique et l’animation 3D.

    Tiré d'une Histoire vraie

    Adama est un conte qui fait revenir les combattants de la "Force noire", régiment de tirailleurs sénégalais parti combattre durant la guerre 14-18 pour l’Empire colonial français. Abdoulaye N’Diaye fut le dernier survivant de ce contingent jusqu'à sa mort en 1998. C'est son fils qui a transmis le récit de son expérience traumatique à Julien Lilti, scénariste du film.

    De l'argile à l'ordinateur

    Le réalisateur a souhaité apporter des imperfections aux personnages sans se reposer sur des traits de crayon jugés insatisfaisants. Aidé d’un sculpteur professionnel, il a d’abord modelé le visage des personnages en déposant sur des moules en plâtre une surface en argile, friable et fragile. Les bustes ainsi produits (plus d’une centaine) ont été complétés d’un scan tridimensionnel qui amenait à une nouvelle forme d’animation 3D.

    Des explosions expérimentales

    Afin de coller à la vision abstraite qu’Adama a de la Grande Guerre, Simon Rouby a fait appel pour représenter les explosions à la technique expérimentale des ferrofluides. Ces nanoparticules de fer, contenues dans de l’huile noire ou de l’encre, se déplacent en suivant le mouvement d’un ou plusieurs aimants. Elles donnent ainsi un mouvement plus aléatoire et moins rigide qu’une animation tridimensionnelle.

    Une musique métissée

    De grands courants musicaux tels que le Hip-Hop ou le Jazz sont le fruit d’une rencontre entre l’Afrique et l’Occident. La musique du film suit un mouvement similaire : le son du kalimba, boite à musique africaine, croise un ensemble de cordes à l’arrivée d’Adama en Occident. Une scène orchestre même le contact entre un accordéon et une caisse en bois.

    Oxmo Puccino, artiste aux multiples facettes

    En plus de prêter sa voix au personnage de Djo, le rappeur et poète Oxmo Puccino a écrit et interprété le morceau du générique de fin du film.

    La Réunion d'équipe

    Plus de 60 personnes ont opéré durant un an la fabrication du film à un unique endroit : le studio Pipangaï sur l’île de la Réunion. Une aubaine pour cette île multiculturelle qui a pu compter en partie sur les jeunes talents de l’ILOI, l’Institut de l’Image et de l’Océan I’Indien.

    En compétition

    Adama a été sélectionné en compétition au festival d’Annecy 2015.

    Une affaire de premières fois

    En plus d’être le premier long-métrage réalisé par Simon Rouby, Adama est aussi le premier long-métrage produit par la société Naïa Productions et le premier en trois-dimensions réalisé au sein du studio d’animation Pipangaï.

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