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    Le Grand jeu
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    2,4
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    124 critiques spectateurs

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    totor22
    totor22

    6 abonnés 72 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 décembre 2015
    Je suis pas rentrer dans.lhistoire. pas compris ce que le realisateur nous demontrer a part que les gens dextreme gauche sont pas bien vu. Bon jeu dacteur quand meme.
    selenie
    selenie

    5 523 abonnés 6 035 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 décembre 2015
    Premier long métrage écrit et réalisé par Nicolas Pariser qui s'était fait connaitre par le court métrage "La République". La République, il en est question dans ce premier film qui s'inspire de l'affaire Tarnac, qui a éveillé en Pariser un idée. Malheureusement le thriller politique prend l'eau à la moitié du récit pour se transformer un romance impossible sur fond politique. A mi-film on tombe sur 30mn d'ennui profond dans une ferme écolo-anar où notre romancier nègre oublie ses déboires pour une fille. On frôle le hors sujet. En soi un bon film qui se regarde, mais qui râte sa cible et trompe notre envie par un ennui qui grandit au fur et à mesure qu'arrive la fin.
    vincentasc
    vincentasc

    28 abonnés 148 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 décembre 2015
    On pense pour le scénario aux films de politique fiction des années 70's. On pense à Pierre Granier-Déferre ou à Laurent Heynemann pour la froideur de la mise en scène. Ou à Polanski période "Ghost Writer" (il y a d'ailleurs une séquence qui lui est entièrement pompée) Mais au final on se trouve face à un film assez vain, se voulant une réflexion sur le pouvoir, sur un mouvement contestataire ou sur la difficulté d'écrire. C'est un peu comme un cours sur la rhétorique. Ça parle, ça parle et à la fin on ne sait plus quel est le sujet. La lumière est digne d'un téléfilm, sans recherche, sans personnalité. Seul intérêt du film, les comédiens qui, on ne sait par quel miracle, s'en sortent avec brio, donnant vie à un dialogue, pour une fois, extrêmement bien écrit.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 23 décembre 2015
    Très belle mise en scène, belle photo et surtout des dialogues bien écrits qui donnent envie de les écouter, et ça, c'est plutôt rare par les temps qui courent !
    Dussolier est superbe.
    Pauline_R
    Pauline_R

    172 abonnés 398 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 décembre 2015
    Un thriller politique avec un scénario un peu alambiqué et trop peu crédible pour être véritablement captivant. C'est dommage car les dialogues sont souvent très bons et bien vus, en particulier lors des échanges entre Melvil Poupaud et André Dussolier. Les interprètes sont tous remarquables, Poupaud, de quasi tous les plans, en tête. Mention spéciale à Sophie Cattani, toujours très juste et intense lors de ses (trop rares) apparitions à l'écran.
    Jmartine
    Jmartine

    153 abonnés 654 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 décembre 2015
    Pour son premier long métrage, Nicolas Pariser a choisi de plonger dans les coulisses du jeu politique à travers une histoire de manipulation plus ou moins inspiré par la communauté de Tarnac et ses invraisemblances, avec aussi quelques références à l’affaire Boulin…un politique Joseph Paskin (André Dussolier) homme de l’ombre et des réseaux veut discréditer le ministre de l’intérieur, son ennemi…pour ce faire il commande à Pierre Blum ( Melvil Poupaud) , un ancien écrivain à la gloire éphémère, la rédaction d’un manifeste révolutionnaire qui mettrait en danger le ministre de l’intérieur et une communauté d’altermondialistes dont il a été proche dans le passé…Joseph Paskin, en Méphisto des temps moderne, tisse sa conspiration avec des airs mystérieux, des fréquentations toutes autant mystérieuses, toujours avec onctuosité et exquise urbanité…la conspiration ne se déroulera pas comme prévu… Pierre Blum se réfugiera dans cette communauté autogérée qu’il a implicitement trahie dans son manifeste de commande, refuge des désillusions d’une génération des années 90, qui regrette les années 68 de leurs parents…La fin est énigmatique et finalement c’est au spectateur de l’imaginer…c’est plutôt prenant, fluide, un peu moins fort quand Joseph Paskin sort du jeu…Ce n’est pas aussi maitrisé que l’Exercice de l’état de Pierre Schoeller mais cela reste efficace…ce film a reçu le prix Louis Delluc du premier film…
    Maryanto D.
    Maryanto D.

    5 abonnés 68 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 21 décembre 2015
    film chuchotant... soporifique à souhait, d'ailleurs le sommeil m'a gagnée !! je ne pense pas avoir perdu grand chose si ce ne sont des bavardages incessants et ininterrompus totalement dépourvus d'intérêt ! dommage la distribution est excellente !
    momo M.
    momo M.

    36 abonnés 277 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 décembre 2015
    Premier film étonnant et sujet original. Inspiré de l'affaire de Tarnac où les services antiterrorismes s’intéressent à des gauchistes altermondialistes plutôt inoffensifs, c'est aussi le portrait d'une génération de trentenaires qui militent s'en avoir connu mai 68. Le sujet est assez casse -gueule et Nicolas Pariser ne s'en tire pas mal, même si la fin est un peu confuse. Dussollier est parfait dans son rôle de barbouze.
    Un film un peu difficile mais qui mérite le détour.
    Extremagic
    Extremagic

    54 abonnés 484 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 décembre 2015
    Je suis allé voir ce film, un peu comme ça, sans grande conviction, je savais juste que ça parlait de politique... Et franchement c'est du bon. Alors ce n'est pas génial, surtout en terme de mise-en-scène, disons que c'est correct mais c'est assez simple, l'important pour lui c'est le texte, le discours, et les personnages, ça se sent, mais ce n'est pas déplaisant. Le film se scinde clairement en deux avec une première partie très politique et une deuxième très politique aussi mais finalement plus humaine (donc sociale ?). Et je dois avouer que j'ai aimer la première partie, parce qu'au fond l'une est un constat et l'autre un proposition de changement. Le changement je m'en fout, parce qu'un vrai changement ne se planifie pas, tout ça ne reste à mes yeux que des utopies ou de la politique politicienne. Mais les analyses sont toujours très intéressantes pour comprendre le monde qui nous entoure. Du coup je suis un peu déçu qu'on ne développe pas plus que ça le personnage de Dussolier, qui est tout à fait fascinant. Poupaud n'est pas en reste non plus mais finalement on voit très vite clair dans son jeu. Bref, je pense que le film aurait gagné à avoir plus de mystère. Il y a une scène qui m'a beaucoup marquée c'est celle dans le bar tout de rouge teinté avec ces lumières tamisées jaunâtres et ces miroirs, c'est typiquement le genre d'endroit que j'adore, très sombres qui dégagent une atmosphère mystérieuse à la limite de l'étrange. Mais au fond je trouve qu'encore une fois il ne va pas au bout du truc. Bref, ce film m'a pas mal parlé parce que j'adore l'idée de construire une petite communauté. J'ai pas mal ri aussi à des blagues bien de gauche. Enfin il y a plein de choses à en tirer mais je trouve qu'il ne va pas au bout du truc, enfin j'aimerais en tout cas qu'il aille plus loin et qu'il ne choisisse pas le chemin déjà si balisé de l'amourette même si celle-ci est tout à fait honorable. En gros c'est bien mais j'aurais pas fait comme ça. En tout cas le discours politique est intéressant et puis on a des personnages féminins superbes, évidemment Clémence Poesy mais je pense surtout à la fille qu'il rencontre dans la librairie, bon sang, on a du vrai du beau, et puis même si la réalisation ne va pas très loin, il sait filmé ses acteurs du coup on a de longs plans sur leurs visages, on croirait pouvoir les toucher c'est vraiment beau.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 21 décembre 2015
    Premier long métrage de Nicolas Pariser, "Le Grand jeu" est un film noir à l’ambiance froide et inquiétante sur les coulisses du pouvoir, entre mensonges, mystère et manipulation.

    Librement inspiré par l’affaire Tarnac, ce thriller à la veine réaliste mélange plusieurs univers, tantôt film d’espionnage, tantôt film politique ou encore douce romance : « J’ai compris qu’il était possible de construire un récit mêlant l’appareil d’État français, la police et des militants d’extrême-gauche. Cela m’a permis de joindre les deux extrémités de la politique : des gens au pouvoir qui, en réalité, ne parlent jamais d’idées politiques et des gens qui ne parlent que de ça mais qui ne sont jamais au pouvoir » révèle le réalisateur.

    Servi par une distribution impeccable – Melvil Poupaud, convaincant en écrivain misanthrope à la gloire passée, André Dussolier, parfait diplomate aux pratiques douteuses -, Le Grand jeu se présente comme une partie d’échecs redoutable et complexe où les principaux protagonistes ne sont à leur insu que de simples pions. Hélas, le propos bien souvent nébuleux prend le pas sur la mise en scène pourtant soignée, tout en tension
    Richard L.
    Richard L.

    15 abonnés 140 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 décembre 2015
    Malgré un début prometteur et une affiche alléchante, André DUSSOLIER et Melvil POUPAUD sont excellents, le film de Nicolas PARISER manque de souffle, la seconde partie notamment le séjour dans la ferme des gauchos-écolos est pénible, la fin est confuse, comme si le metteur en scène et scénariste laissait le spectateur imaginer la fin qui lui convient. Enfin entre çà et Stars Wars le choix était biaisé.
    Jonathan M
    Jonathan M

    115 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 décembre 2015
    Le film se veut être un jeu politico-diplomatique. Le sujet de départ est excitant, on peut à près tout et rien faire avec. J'attendais l'étau qui se ressert sur l'écrivain perdu joué par Melvil Poupaud, c'est presque évident. Mais c'est plutôt une curiosité sur la manière de procédé. Ce genre de film est souvent fourre-tout. Et, malgré l'excuse du premier film, Nicolas Pariser tombe un peu trop dans l'écueil. Une intrigue qui s'échappe, une histoire d'amour vide. La fuite en avant n'a rien de passionnant et le scénario écrit avec une couche épaisse de prétention.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 23 décembre 2015
    Film quelque peu soporifique, malgré la présence d'André Dussollier qui fait ce qui peu pour donner un minimum d'authenticité à une intrigue biscornue qui, à une époque qui connait le problème du terrorisme, parait bien fade. Le méchant ministre de l'Intérieur et des policiers voyous, celà parait quand même d'un autre âge. Le film aurait été plus acceptable si l'action s'était déroulé il y a quelques décennies...
    Audrey G.
    Audrey G.

    3 abonnés 1 critique Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 décembre 2015
    Coup de maitre pour Nicolas Pariser qui obtient le prix Louis Delluc du premier film grâce à une mise en scène maitrisée dans ce thriller politique audacieux et convaincant.
    La distribution étoffe avec brio un scénario travaillé et des dialogues soignés. La plume critique et acerbe de Nicolas Pariser sur les arcanes du pouvoir donne aux comédiens un merveilleux support de jeu. André Dussollier incarne avec justesse un Joseph Paskin redoutable.
    Loïck G.
    Loïck G.

    299 abonnés 1 638 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 décembre 2015
    C’est une histoire politico-sociale qui s’appuie un tout petit peu sur l’affaire Boulin, et un peu plus sur les soi-disant terroristes de Tarnac pour nous dire que le monde des bas-fonds ne va pas très bien. On s’élimine entre copains, on infiltre des gauchos qui n’ont rien de menaçants et la terre continue pourtant à tourner. Plus confuse que mystérieuse (tout ce que l’on attend d’une telle histoire), la mise en scène de Nicolas Pariser porte l’hermétisme à un point de sophistication rebutant. Chichiteux, ardu le récit se nourrit de nombreuses situations qui n’aboutissent jamais. Sur le papier, les comédiens jeunes ou pas présentaient toutes les garanties d’une bonne aventure cinématographique. Mais non !

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