Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Metro
par Mehdi Omaïs
Nommée à l’Oscar de la meilleure actrice, Charlotte Rampling trouve l’un de ses plus beaux rôles dans le poignant "45 ans" d’Andrew Haigh.
La critique complète est disponible sur le site Metro
VSD
par Bernard Achour
Baigné d'une mélancolie à faire pleurer le fantôme de Tchékhov, 45 ans offre en outre à Charlotte Rampling l’occasion de déployer une inoubliable symphonie de nuances. Jusqu’à un final proprement sublime.
20 Minutes
par Caroline Vié
La comédienne est éblouissante en septuagénaire jalouse et fragile dans le drame intimiste du Britannique Andrew Haigh...
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Critikat.com
par Marianne Fernandez
Bien plus pessimiste que son premier long, plein de jeunesse et d’espoir, Andrew Haigh impose en tous cas son absolue maîtrise de la représentation du mouvement amoureux et du flux des sentiments, espoirs et illusions.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Franceinfo Culture
par Pierre-Yves Grenu
Tout se joue sur les nuances, un silence, une voix tremblante, une larme qui perle. Charlotte Rampling et Tom Courtenay sont formidables de justesse.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Eric Libiot
C'est sans doute un peu répétitif, mais le poison d'une jalousie fantomatique finit par se distiller doucement.
L'Obs
par La Rédaction
(...) le film réussit à ne pas verser dans la sentimentalité qui le guette.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Arnaud Schwartz
Sans effet de manche, Andrew Haigh accompagne l’un et l’autre dans les méandres d’une souffrance surgie avec cet encombrant fantôme. Le résultat est remarquable de justesse.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un beau film, sensible et cruel, sur le temps qui passe et sur la crise d’un couple qui voit, à l’automne de sa vie, remettre en question tout ce sur quoi il s’est fondé.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Remarquable dans sa façon très anglaise de verser dans un réalisme sentimental plutôt que social.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Pour faire vivre cette complexité, ce glissement tectonique, il faut un metteur en scène ultrasensible. (...) Il faut aussi deux acteurs d'exception.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Un beau long-métrage sur l'état de la vie quand elle a fait son chemin.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Chronique dramatique tournée comme un thriller et superbement portée par ses deux acteurs principaux, “45 ans” interroge avec intelligence et élégance les relations de couple, sans pathos mais non sans émotion.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par Pierre Fornerod
Un rôle parfait pour Charlotte Rampling.
Studio Ciné Live
par Laurent Djian
Un mélo tout en retenue sur le couple et ses éternels doutes.
Télérama
par Pierre Murat
C'est un film discret et terrible où le réalisateur a l'intelligence de faire du troisième âge non pas une génération molle et assoupie, mais ardente et tourmentée.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Judith Godniot
Que se passe-t-il une fois qu’un couple s’est marié et a eu beaucoup d'enfants ? Au delà du conte de fées, Haigh livre une peinture fine de l’après, qui laisse une douce amertume dans le cœur.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
Le classicisme de la mise en scène a son revers, un académisme qui rôde : faut-il renoncer à toute audace formelle quand on fait un film sur la vieillesse ?
Les Inrockuptibles
par Romain Blondeau
Alors qu’il semblait s’engager sur les rails confortables d’un face-à-face conjugal postbergmanien, délicat mais un peu académique, le film se dérègle ainsi dans un climat d’étrangeté morbide, rejouant le motif du remplacement amoureux de Sueurs froides.
Première
par Isabelle Danel
Cette observation minutieuse et sensible des ravages mentaux d’une jalousie rétrospective n’évite pas la pesanteur des dialogues, ni des symboles (...). Mais Tom Courtenay, tout en silences et hésitations, et Charlotte Rampling, qui semble se craqueler intérieurement de douleur, font des miracles.
La critique complète est disponible sur le site Première
TF1 News
par Romain Le Vern
Les vicissitudes du couple Charlotte Rampling et Tom Courtenay sont touchantes et l'idée du fantôme d'amour, prometteuse. Mais la limite du film, sensible aux regards et aux gestes, à la discrétion et aux détails, c'est de reposer sur ce vécu.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Metro
Nommée à l’Oscar de la meilleure actrice, Charlotte Rampling trouve l’un de ses plus beaux rôles dans le poignant "45 ans" d’Andrew Haigh.
VSD
Baigné d'une mélancolie à faire pleurer le fantôme de Tchékhov, 45 ans offre en outre à Charlotte Rampling l’occasion de déployer une inoubliable symphonie de nuances. Jusqu’à un final proprement sublime.
20 Minutes
La comédienne est éblouissante en septuagénaire jalouse et fragile dans le drame intimiste du Britannique Andrew Haigh...
Critikat.com
Bien plus pessimiste que son premier long, plein de jeunesse et d’espoir, Andrew Haigh impose en tous cas son absolue maîtrise de la représentation du mouvement amoureux et du flux des sentiments, espoirs et illusions.
Franceinfo Culture
Tout se joue sur les nuances, un silence, une voix tremblante, une larme qui perle. Charlotte Rampling et Tom Courtenay sont formidables de justesse.
L'Express
C'est sans doute un peu répétitif, mais le poison d'une jalousie fantomatique finit par se distiller doucement.
L'Obs
(...) le film réussit à ne pas verser dans la sentimentalité qui le guette.
La Croix
Sans effet de manche, Andrew Haigh accompagne l’un et l’autre dans les méandres d’une souffrance surgie avec cet encombrant fantôme. Le résultat est remarquable de justesse.
Le Dauphiné Libéré
Un beau film, sensible et cruel, sur le temps qui passe et sur la crise d’un couple qui voit, à l’automne de sa vie, remettre en question tout ce sur quoi il s’est fondé.
Le Journal du Dimanche
Remarquable dans sa façon très anglaise de verser dans un réalisme sentimental plutôt que social.
Le Monde
Pour faire vivre cette complexité, ce glissement tectonique, il faut un metteur en scène ultrasensible. (...) Il faut aussi deux acteurs d'exception.
Le Parisien
Un beau long-métrage sur l'état de la vie quand elle a fait son chemin.
Les Fiches du Cinéma
Chronique dramatique tournée comme un thriller et superbement portée par ses deux acteurs principaux, “45 ans” interroge avec intelligence et élégance les relations de couple, sans pathos mais non sans émotion.
Ouest France
Un rôle parfait pour Charlotte Rampling.
Studio Ciné Live
Un mélo tout en retenue sur le couple et ses éternels doutes.
Télérama
C'est un film discret et terrible où le réalisateur a l'intelligence de faire du troisième âge non pas une génération molle et assoupie, mais ardente et tourmentée.
aVoir-aLire.com
Que se passe-t-il une fois qu’un couple s’est marié et a eu beaucoup d'enfants ? Au delà du conte de fées, Haigh livre une peinture fine de l’après, qui laisse une douce amertume dans le cœur.
Cahiers du Cinéma
Le classicisme de la mise en scène a son revers, un académisme qui rôde : faut-il renoncer à toute audace formelle quand on fait un film sur la vieillesse ?
Les Inrockuptibles
Alors qu’il semblait s’engager sur les rails confortables d’un face-à-face conjugal postbergmanien, délicat mais un peu académique, le film se dérègle ainsi dans un climat d’étrangeté morbide, rejouant le motif du remplacement amoureux de Sueurs froides.
Première
Cette observation minutieuse et sensible des ravages mentaux d’une jalousie rétrospective n’évite pas la pesanteur des dialogues, ni des symboles (...). Mais Tom Courtenay, tout en silences et hésitations, et Charlotte Rampling, qui semble se craqueler intérieurement de douleur, font des miracles.
TF1 News
Les vicissitudes du couple Charlotte Rampling et Tom Courtenay sont touchantes et l'idée du fantôme d'amour, prometteuse. Mais la limite du film, sensible aux regards et aux gestes, à la discrétion et aux détails, c'est de reposer sur ce vécu.