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    The Last Girl – Celle qui a tous les dons
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    3,3
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    190 critiques spectateurs

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    Gustave Aurèle
    Gustave Aurèle

    106 abonnés 2 330 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 septembre 2017
    Un très bon film qui renouvelle le genre zombie avec bonheur, la réalisation et l'interprétation sont excellentes.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 5 juillet 2017
    ENFIN une fin crédible !!!!
    spoiler: on remet à sa place l'égo surdimensionné des humains, et Mélanie a raison : pourquoi devrait-elle mourir et sacrifier son espèce pour que les humains vivent ? En quel honneur ? Elle est en constante évolution, et l'humain est en constante régression et a fait la preuve de son égoïsme à plusieurs reprises pendant le film, le choix de Mélanie était donc pris avec mûre réflexion.

    J'enlève une micro demi-étoile car il y avait quelques longueurs, mais franchement j'ai adoré, on sort enfin du conventionnel !
    Hollywood-Biographer
    Hollywood-Biographer

    173 abonnés 1 478 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 juillet 2017
    Malgré l'excellente interprétation de la jeune Sennia NANUA, "The Last Girl - Celle qui a tous les dons" ne se révèle pas indispensable dans le paysage cinématographique du genre zombie. Le scénario du film de Colm McCARTHY possède pourtant une idée de départ originale (l'éducation d'enfants à demi contaminés) et de bonnes séquences, mais le réalisateur ne parvient pas à sublimer le genre. Son film manque cruellement d'enjeu et la mise en scène se révèle très plate. Le final se révèle aussi très décevant, frisant le ridicule et laissant le spectateur sans la moindre explication.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 28 juin 2017
    Vu en avant première hier soir, et franchement très déçu par ce film de zombis. En effet, il s'agit du pire étron que j'ai jamais vu.
    Après les 15 premières minutes du film (après que la base militaire soit attaquée, le film devient insupportable : Aucune trame narrative (même pour un film post-apocalyptique), aucune intrigue, aucune tension, aucun suspense, aucun attachement aux personnages.
    The Last Girl tente d'apporter du renouveau aux films sur les zombis mais finalement se met à faire n'importe quoi et de façon incohérente. On se met donc à attendre désespérément la fin du film pour finalement être encore plus déçu...
    Ce film est d'un ennuie terrible, je ne le recommande absolument pas !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 30 juin 2017
    Bons acteurs, bien réalisé, belle intrigue et suspense fort tout au long du film. Un bel éloge de la bienveillance
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 29 juin 2017
    Il faudra déjà qu'on m'explique pourquoi changer en France un titre anglais pour un autre titre anglais... Parce que là, ça a véritablement son sens : "The Girl with all the gifts" fait clairement allusion au personnage central de la petite fille zombie alors que "The last girl" nous renvoie au personnage joué par Emma Arterton. Quoi qu'il en soit, ce film se laisse voir, sans plus. On ne peut pas dire que l'on s'ennuie, mais rien de bien palpitant non plus. Les premières minutes sont assez intrigantes il est vrai même s'il suffit d'écouter ce qui est lu pour deviner la fin. Cette dernière est sans doute ce qu'il y a de plus intéressant car elle sort un peu des sentiers battus de l'happy end US. Ce n'est pas mal joué : Sennia Nenua spoiler: pandoresque
    qui veut montrer l'humanité que peut ressentir un zombie et Glenn Close en médecin spoiler: prométhéen
    avant tout. Emma Asterton fait ce qu'elle sait faire... Alors pourquoi cette espèce de déception ? Sans doute parce que le scénario est indigent et que les effets spéciaux sont assez cheap ! Et puis, moi , le discours écolo qui se cache derrière le film me laisse assez froid. Bref, un moment à tuer ? Allez-y. Sinon, vous ne louperez pas grand chose et lisez plutôt "Un Horizon de cendres" de Jean-Pierre Andrevon qui est nettement plus captivant.
    Julien L
    Julien L

    1 abonné 22 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 juin 2017
    vu au festival de Gerardmer en janvier.
    Bon film bien mener , les 2 actrices sont très attachante .
    décevant sur la fin mais début animé et intrigue très intéressante.
    A voir
    Estonius
    Estonius

    2 489 abonnés 5 229 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 janvier 2023
    De très bonnes choses, un bon début, des décors impressionnants, des zombies pas trop mal foutus et puis on ne s'ennuie pas. Le souci c'est que trop de choses ne vont pas, passons sur la facilité de scénario qui permet de réunir tout le casting dans un même camion (on est au cinéma), mais je n'aime pas les gosses qui se croient plus malins que tout le monde, en l'occurrence, c'est le sujet du film, mais il y des limites tout de même, je n'aime pas qu'on fasse du mal aux bêtes (à quoi rime la scène avec ce pauvre matou ?) Je n'aime pas cette fin d'une incohérence totale. Et puis le gros défaut du film c'est l'absence de tension et d'enjeu, on ne s'identifie à personne, Parlons du casting, Glenn Close est pénible (même si c'est le rôle qui veut ça. Gemma Aterton immense et superbe actrice est complétement sous-exploitée Quant à la gosse, il faut bien avouer qu'elle joue très bien son rôle. Du bon et du mauvais, donc moyen)
    Laurent C.
    Laurent C.

    238 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 juillet 2017
    Les zombies, ici nommés les Affams, ont eu leur heure de gloire avec le cinéma d'un certain George A. Romero chez qui était posée en substance de ses oeuvres, la grave question de la fin du monde et du décadentisme fin de siècle. Cette fois, dans cet étonnant "The last Girl : celle qui tous les dons", non seulement il s'agit de zombies, mais de zombies pensants en la personne d'enfants et plus particulièrement d'une petite fille noire, Mélanie, très intelligente et sensible. En ce sens, le film devient presque une démonstration métaphorique de l'autisme Asperger qui contraint les personnes atteintes à un rapport complexe à la réalité et l'affectivité, et une intelligence exceptionnelle. Le film a l'avantage de nous plonger dans tout autant une aventure pour adolescents avec ses rebondissements, un peu de sueurs froides et une réflexion pas des moins intéressantes sur la pollution et les risques planétaires qui en découlent. Certes, le propos est assez pessimiste même si le recours à l'éducation cherche à relever les consciences et à prévenir du pire. On est tenu en haleine jusque l'issue du film, absolument remarquable. On ne gâche pas son plaisir en riant aussi et en tremblant devant ces hordes de zombies maladroits et affamés. Du coup, devant un tel plaisir, on passe les quelques incohérences du récit, les scènes parfois excessives, ou surtout la mode depuis peu à faire du cinéma un vaste jeu vidéo. Car "The Last Girl - Celle qui a tous les dons" a tous les attributs d'un jeu vidéo à la première personne dans le dédale d'un Londres abandonné et d'une prison pour enfants zombies intelligents.
    orlandolove
    orlandolove

    114 abonnés 1 722 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 juillet 2017
    Son concept malin permet à "The Last Girl" d'émouvoir tout en se démarquant du tout-venant du film de zombies. Efficace dans les passages obligés du genre, suffisamment novateur pour intriguer : voici un film de genre hautement divertissant. Un excellent casting finit de consolider l'ensemble.
    dagrey1
    dagrey1

    86 abonnés 655 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 juin 2017
    "The last girl" raconte l'histoire de Melanie, jeune fille surdouée touchée par un virus qui change les gens en morts-vivants, et dont elle semble maitriser les effets. Transformée en cobaye ainsi qu'un certain nombre d'enfants de son âge, elle est étudiée par des scientifiques sous la surveillance de l'armée dans une base britannique à proximité de Londres, cernée par la population infectée.

    La réalisation de "The last girl" a été confiée a Colm McCarthy, réalisateur de la série Peaky Blinders.

    "The last girl", prix public au festival de Gerardmer 2017, constitue une belle tentative de renouveler le genre du film post apocalyptique. Débordant de réalisations plus ou moins réussies depuis un dizaine d'années, le genre s'essoufle un peu par manque d'originalité et multiplication des films et séries.

    Teinté de féminisme (ses premiers rôles sont tenus par des artistes féminines: Melanie, interprétée par"la révélation" Sennia Nanua, Helen Justineau interprétée par Gemma Arterton et Glenn Close dans le rôle du docteur Caldwell, chargée de trouver un vaccin), le film fait parfois penser à "28 jours plus tard", avec davantage de sensibilité. La relation entre Mélanie et Helen Justineau s'apparente presque à une relation mère fille. Mélanie est d'ailleurs le personnage qui renouvelle le genre, interagissant avec ses semblables infectés comme avec les humains. Capable de sauvagerie mais instinctive et intelligente, elle est une partenaire ou une adversaire redoutable.

    Personnage masculin le plus consistant, le sergent Parks interprété par Paddy Considine, se révèle au final un personnage attachant.
    Le film pose un questionnement plutôt intéressant sur l'avenir de l'humanité et son épilogue assez inattendu.

    spoiler: Mélanie a les clefs de l'avenir du genre humain, elle choisit de le faire évoluer plutôt que de continuer à combattre pour le préserver tel quel. La fin du film est en revanche un peu hasardeuse avec les petits cannibales hirsutes, contemporains de Mélanie, qui montre les dents comme des petits sauvageons issus du Néanderthal.


    Signalons également une BO "tribal house", so british, inspirée de Cristobal Tapia de Veer.

    "The last girl" confirme en tous les cas la très bonne santé du cinéma de genre britannique.
    Kivodulh
    Kivodulh

    34 abonnés 326 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 juillet 2017
    Le film brille par ses premières scènes d'introduction et une conclusion surprenante. Entre les deux, rien de nouveau pour le genre "apocalypse zombies" dont on pourrait finir par croire que le cinéma les TV Show ont fait largement le tour.
    La prestation de Senia Nenuana est remarquable !
    Xavi_de_Paris
    Xavi_de_Paris

    233 abonnés 2 851 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 juillet 2017
    Par moments un peu long, surtout sur la fin, "The Last Girl" reste néanmoins un film de zombies original. La réalisation surtout, avec cette musique lancinante mais terriblement angoissante, qui contribue à maintenir le spectateur sous tension tout au long du film. De même que l'atmosphère, oppressante, qui transporte parfaitement dans un monde où tout n'est que chaos. L'autre singularité réside dans le personnage de la fille, bien interprétée par Sennia Nanua. À la fois humaine et zombie, elle donne à voir les deux facettes de l'Homme dans cet univers violent. Pas particulièrement gore ni choquant, le film maintient quand même une ambiance un peu glauque, et quelques scènes "chocs" n'altèrent pas la qualité du film. Une jolie réussite en bref, qui plaira aux amateurs comme aux autres, à la recherche d'un cinéma singulier.
    Ip Man S
    Ip Man S

    5 abonnés 212 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 juillet 2017
    Je ne comprends pas les notes du film.
    Ce dernier est plat, niveau effet spéciaux c est pas mal mais c est finalement une sorte de TWD en beaucoup moins réussi...
    RedArrow
    RedArrow

    1 529 abonnés 1 491 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 juin 2017
    Aujourd'hui, on ne peut pas dire que découvrir un nouveau film d'infectés soit la chose la plus transcendante au monde. On a en effet un peu toujours l'impression de déjà en connaître les contours tant d'oeuvres majeures en ont dessiné les bases emblématiques que d'autres bien plus mineures ont usé jusqu'à la corde. Mais, quelques fois, arrive une petite perle sortie de nulle part capable de nous surprendre, de développer un propos cohérent voire réellement intelligent sous cette thématique, d'en utiliser à nouveau les ressorts les plus classiques avec ingéniosité ou plus rarement encore, de nous émouvoir dans un contexte qui n'y laisse pourtant peu de place. Et, autant le dire tout de suite, "The Last Girl" fait un carton plein sur tous ces tableaux !

    D'une intensité sans cesse ascendante, la première partie nous plonge au coeur de la captivité confinée de plusieurs enfants où, on le comprend très vite, quelque chose ne tourne pas rond. Mis aux côtés de Melanie, une petite fille à l'imagination plus débordante que les autres (l'immédiatement attachante Sennia Nanua), le spectateur se dirige à tâtons dans cet étrange environnement où se côtoient la rigidité des geôliers militaires menés par leur sergent (Paddy Considine), la froideur d'une scientifique (Glenn Close) et l'empathie non dissimulée de leur enseignante (Gemma Arterton). On a peine le temps de digérer la révélation brillamment mise en scène de la nature de ces petits prisonniers que le chaos se déchaîne, ce monde factice où un reste d'humanité qui n'en a plus que le nom tente d'assurer sa sauvegarde vole en éclats sous la fureur d'une attaque d'infectés déchaînés à couper le souffle...

    Puis, tout rentre apparemment dans le rang habituel de ce type de films, le petit groupe de personnages se retrouvant à survivre ensemble dans un environnement hostile.
    Mais, le terme "apparemment" a rarement eu autant d'importance car la tension reste en permanence palpable que cela soit au détour d'une marche silencieuse au milieu de "zombies inconscients" ou bien la nature prédominante de la petite Melanie qui offre autant de moments de légèreté dans son interaction avec ses compagnons d'infortune et sa découverte du monde que de profondeur dans son perpétuel combat intérieur.
    Par ailleurs, le film en profite habilement pour construire les enjeux de son dernier acte : le fonctionnement de l'infection par son virus particulièrement retors pour assurer sa survie, l'erreur d'avoir oublié une minorité très spécifique de la population touchée et cet affrontement sous-jacent entre l'approche émotionnelle de l'enseignante et le but poursuivi par la scientifique. Si ces deux dernières pourraient être métaphoriquement les deux faces d'une même pièce représentant l'humanité (leurs intentions sont parfaitement louables à l'une comme à l'autre), Melanie, elle-même, devient progressivement une deuxième pièce mais roulant sur sa tranche et dont le moindre vacillement sur une face ou l'autre pourrait entraîner la chute d'une vision de la survie du monde. Une thématique passionnante qui prendra d'assaut une surprenante et pessimiste dernière partie empilant les moments marquants (la séquence ironique se concluant par le seul sourire de Glenn Close du film est un must à elle toute seule) et ce, jusqu'à son ultime scène en forme d'épilogue débutant en trompe-l'oeil après un passage ô combien émotionnellement fort pour mieux nous laisser sur un sentiment étrange de légèreté et de contre-pied parfait aux premiers instants du film.

    Pas étonnant qu'un tel casting se soit laissé tenter par l'aventure d'un film d'infectés, surtout lorsque celui-ci se révèle si brillant à jouer sur plusieurs registres tout en restant dans le respect de ses aînés. Parfaitement adapté par M.R. Carey (de son propre roman), porté à l'écran avec maîtrise par Colm McCarthy et sublimé par la puissance musicale de Cristobal Tapia de Veer, cette "Girl with all the gifts" prouve qu'il y a encore quelque d'intéressant et de séduisant à faire dans le genre. On n'y croyait plus alors courrez-y... comme un infecté après un bout de chair fraîche !
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