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    La Fille Inconnue
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    150 critiques spectateurs

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    Bionman
    Bionman

    7 abonnés 32 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 29 octobre 2016
    Si Groland avait fait une parodie des films des frères Dardenne, ca ressemblerait à cette Fille Inconnue. Sauf qu'à Groland, les scetchs durent 2 minutes. Là ça dure 1h40. Autant prévenir, cette heure quarante vous en paraitra 5 tant le chemin de croix est fastidieux.
    Que dire si ce n'est que le cinéma des Dardenne tient sur des détails qui font parfois de belles réussites. Dans leur dernier film, rien de fonctionne, tout est raté. A commencer par le scénario, tout simplement invraisemblable, peuplé de personnages qui réagissent un peu n'importe comment. Ou ces longues scènes explicatives pour surligner les choses là où les non dits aurait été préférables. Impossible de rentrer dans cette histoire lorsqu'on a vite compris qu'on a affaire à un navet pur et simple, même pas digne de passer sur M6 un lundi après-midi.
    Les dialogues de type :
    "Il faut que tu parles à la police.
    - Non
    - Si tu dois leur parler
    - Non je veux pas
    - Si il le faut
    - Bon d'accord."
    Ca n'amène strictement rien à la scène, aucune tension, aucun enjeu rien. Et puis le fameux "Je me réjouis" de la medecin à son interlocuteur téléphonique au début. Même pas "Je m'réjouis", non, "Je me réjouis". Qui parle comme ça au téléphone dans la vraie vie ? Et ce n'est pas sauvé par des acteurs qui récitent leur texte comme des robots avec le ton monocorde qui va avec.
    Pour en rajouter une couche, les Dardenne placent leur action dans les lieux les plus laids de Liège, les intérieurs varient entre cabinet médical froid, cyber café du coin, commissariat et caravane, et ce sera chantier et route périphérique pour les extérieurs. Les pauvres personnages sont habillés chez emmaus, ils semblent tous sortir d'une autre époque, comme si une médecin n'avait pas les moyens de se payer autre chose que cet affreux manteau (ah ce manteau... ce manteau!). Les Dardenne ont voulu faire du "réel" sauf que leur réalité s'est arrêté il y a 20 ans.

    Avec ce film, les Dardenne arrive à rendre la réalité plus moche qu'elle ne l'est. Heureusement, les Inrocks et Telerama seront toujours là pour les soutenir même lorsqu'ils nous pondent cette daube sans précédent dans leur carrière. Cette année, si on veut du cinéma social, on préférera Ken Loach.
    Fabrice Deabrassart
    Fabrice Deabrassart

    11 abonnés 134 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 février 2017
    Énormément surpris par la qualité du film.Logiquement chez les Dardennes la technique c est leur fort et le scénario . Un réel intérêt apporté sur l'importance des rapports entre le médecin et ses patients. Le film nous montre parfois la face cachée d'un métier . Un film très bien ficelle , telle une policière dans le beau pays de Liège en ( Belgique ) . Encore une fois le sociale rentre en ligne de compte , et cette comédienne A Haenel est vraiment étonnante . Les second rôles ils ont voulu réunir leur meilleur comédiens qui ont déjà tourner pour eux comme mon ami O Gourmet et T Doret ( étonnant aussi dans ce film ) . Ce film est à voir absolument ont rentre facilement dans cette histoire humaine
    ocelot
    ocelot

    19 abonnés 927 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 janvier 2017
    Une déception et on s'y attendait : les frères Dardenne n'innovent plus, que cela soit dans le fond ou dans la forme. C'est pour cela qu'ils ne gagnent plus de prix. Les acteurs sont bons et justes mais cela ne suffit plus.
    neryparis
    neryparis

    151 abonnés 14 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 octobre 2016
    J'ai trop souvent vu les comédiens en train de jouer et j'ai eu du mal à croire aux enjeux. un peu déçu de cette cuvée Dardenne.
    PaulGe G
    PaulGe G

    101 abonnés 607 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 octobre 2016
    tres décevant. le sujet est mince (le remord) alors on rajoute des scènes longues et souvent inutiles. l'enquête policière menée par une jeune docteur n'est pas très crédible , on avance avec lourdeur , certaines séquences n'ont pas de fin.... d'autres en plans fixes . heureusement c'est bien joué , mais vous avez raté votre film
    Stéphane C
    Stéphane C

    54 abonnés 389 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 octobre 2016
    Un film en demi-teinte, ennuyeux, répétitif, qui se noie dans l'épuisement ... les Dardenne nous avaient habitués à mieux !
    Chris58640
    Chris58640

    184 abonnés 729 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 octobre 2016
    Je ne suis pas une habituée du cinéma des frères Dardenne, je crois même que c’est une première. Je ne peux donc pas comparer « La fille inconnue » avec le reste de leur travail, ni le placer sur une échelle de valeur au regard des autres long métrages du binôme. L’idée même du scénario est à priori intéressante. C’est une façon pertinente d’explorer le sentiment de culpabilité à travers le regard d’un jeune médecin, confronté à la vraie difficulté de son travail et qui, un soir, fait le choix (tout à fait compréhensible dans le contexte) de ne pas répondre à son interphone. Cette décision, c’est le point d’impact entre l’idée qu’on se fait de la médecine (idéaliste, altruiste, désintéressée) et la réalité qui se cache derrière (des êtres humains avec leur ambitions, leur besoin de se protéger eux même, leurs failles). C’est d’ailleurs un aspect que le scénario n’occulte pas, la difficulté du métier de Jenny, qui se fait agresser par un type au cours d’une consultation, qui est appelée au milieu de la nuit, qui dort dans son cabinet faute d’avoir le temps (ou les moyens) de se chercher un appartement. Devant un sacerdoce de ce type, personne n’a envie de lui reprocher de se préserver un petit peu. Mais elle, elle se le reproche franchement et ça la ronge, ça la pousse à changer d’orientation de carrière, ça la pousse à faire cette enquête, à montrer la photo de la fille dans des endroits dangereux, ça la pousse en avant et c’est presque plus fort que ça propre volonté. La culpabilité est au cœur du film et pas seulement dans le cœur de Jenny. Beaucoup de personnages doivent composer avec la culpabilité, le jeune Brian (qui sait quelque chose et qui se tait au point de somatiser), le jeune stagiaire qui culpabilise de ne pas être à la hauteur de l’idée qu’il se fait de la médecine, la sœur de la victime aussi, dans une scène finale très touchante, et le responsable de la mort de la fille, evidemment. Presque tous les personnages de ce film, au premier plan comme au second plan, sont rongés par un sentiment de culpabilité qui les ronge comme de l’acide. L’enquête sur la mort de la jeune inconnue, en tant que telle, est presque anecdotique dans ce contexte, d’autant que la résolution de l’affaire est d’une banalité à pleurer. Ce n’est pas la quête de Jenny qui importe, ce qui importe c’est que c’est la seule façon qu’elle a trouvé pour crever cet abcès qui ne lui laisse aucun répit. Le scénario part donc sur de bonnes bases, et il bénéficie d’un casting très intéressant. Dans le rôle titre, Adèle Haenel s’en sort avec les honneurs. Je n’ai pas toujours été emballée par cette actrice, pourtant devenue une des coqueluches du cinéma français. Je l’ai parfois trouvé une peu trop « brute de pomme » pour les rôles qu’on lui confiait. Mais avec Jenny, elle trouve un rôle qui lui convient. Elle donne corps à un jeune médecin très investit, au point de négliger son aspect (mal habillée, mal coiffée, presque asexuée), bien plus souvent à fleur de peau que son métier ne le suppose, je l’ai trouvé très bien, très juste, et surtout très sobre dans un rôle qui exigeait absolument de l’être. Les seconds rôles sont nombreux, eux aussi tous très bien tenus, même quand ils frôlent l’anecdotique comme avec Olivier Gourmet ou Jérémie Rénier (des habitués des frères Dardenne). En réalité, ce qui dessert « La fille inconnue », ce n’est pas l’idée de départ ou le casting, c’est l’austérité et le manque de rythme qui caractérise sa réalisation. Je sais que les longs plans silencieux, les personnages mutiques, la photographie grisâtre, c’est un style. C’est que ce que j’appelle « Le style festival de Cannes » et ce n’est pas étonnant que le film y ai été présenté cette année. Je n’ai rien contre mais quand on veut faire un film qui lorgne un peu vers le polar, il faut éviter les longueurs, les scènes accessoires, il faut donner un peu de rythme à son histoire qui, franchement, au bout d’un moment, tire en longueur. Déjà que la résolution de la mort de la jeune femme est tristement banale mais si en plus, pour y arriver, on multiplie les scènes redondantes et on fait durer les situations plus que de raison, on prend le risque d’ennuyer et j’avoue, vers la fin, je trouvais le temps un peu long. En fait, le principal problème de « La fille inconnue », c’est que Luc et Jean-Pierre Dardenne ont choisi de ne pas choisir entre faire un vrai polar (et il n’y aurait pas eu de honte à cela !) et faire un film psycho-social sur l’exercice de la médecine et l’exploration de sentiment de culpabilité sous toutes ses formes. Du coup, leur long métrage navigue entre deux eaux sans jamais choisir son camp, et il perd de son intérêt au fil des minutes qui passent. On ne peut pas dire qu’il se délite à proprement parler, juste qu’il manque de vrai partis pris, il effleure puis passe à autre chose, il nous berce et prends le risque, sinon de nous endormir, tout du moins de nous lasser. Pas de musique, une photographie austère, des longs silences qui durent, des scènes en trop, des scènes un peu redondantes, des acteurs filmés comme au saut du lit, c’est un style qui ne plaira pas à tout le monde et avec lequel, au bout d’un moment (et même en y mettant de la bonne volonté), j’ai un peu de mal. Il y avait moyen de faire quelque chose de plus percutant sur un sujet de cette nature, vouloir faire austère comme si c’était une marque de fabrique, comme si c’était la preuve d’un cinéma sans concession, ça montre parfois ses limites. Au final, au sortir de la salle, on a la désagréable impression d’une coquille vide, d’une coquille portant prometteuse mais qui accouche d’une intrigue impalpable, presque fumeuse. Et on ne peut s’empêcher de soupirer « Tout ça pour çà… Dommage. ».
    nicolas t.
    nicolas t.

    54 abonnés 239 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 octobre 2016
    Les Dardenne semblent arriver au bout de leur système.
    Ils se répètent et ont perdu la force de leurs premiers films.
    Adèle Haenel ne les aide pas, peu crédible en médecin, elle est monocorde, peu expressive
    et surtout pas attachante. Elle n'arrive pas à nous intéresser au
    drame moral que vit cette jeune médecin.
    Cotillard avait elle réussi dans leur film précèdent à insuffler de la vie et de l'émotion
    à un scénario basique et très répétitif. Ce n'est pas le cas d'Haenel.
    Amaury F
    Amaury F

    25 abonnés 151 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 octobre 2016
    Figures de proue du cinéma social européen et déjà lauréats de deux palmes d'or (Rosetta et L'enfant), les frères Dardenne, habitués aux éloges et aux prix en tout genre, ont pourtant connu un tiède accueil critique en mai dernier, à Cannes. On nous avait prévenu, malgré son humanisme et ses intentions plus que louables, le film est effectivement une déception. L'héroïne, une jeune médecin culpabilisant de ne pas avoir ouvert la porte de son cabinet à une immigrée retrouvée morte, mène une enquête qui nous rappelle le porte-à-porte qu'effectuait Marion Cotillard dans Deux jours, une nuit, mais à la différence de ce précédent film (autrement plus réussi) qui comportait des moments de répit pour le spectateur et les personnages, La Fille inconnue est extrêmement monocorde et monotone. Les Dardenne se caricaturent eux-mêmes dans un scénario outrancièrement misérabiliste, tiré par les cheveux et lourd, à tel point que l'accumulation de mauvaises nouvelles devient presque involontairement comique. On déplore également une absence totale de style au profit d'un naturalisme pataud et paresseux, ainsi que des interprétations inégales du côté des seconds rôles (beaucoup de répliques sonnent faux). Adèle Haenel (Les Combattants), toujours juste et parfois touchante, tire cependant son épingle du jeu en apportant de l'humanité à un personnage très peu écrit et sans nuance, ce qui n'était pas gagné d'avance ! À moins que vous soyez un immense fan de l'actrice ou des frères, vous pouvez donc passer votre chemin pour celui-là.
    Jonathan M
    Jonathan M

    114 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 octobre 2016
    Les films passent et les frères belges ont un style toujours aussi unique. Il n'y a pas vraiment d'évolution, plutôt une constance dans la dramaturgie. Ils dépeignent des parcours de vie cabossés, où la rédemption et l'acceptation de soi fait foi. Si Marion Cotillard avait su tirer le sublime de cette chevauchée réaliste dans "Deux jours, une nuit", Adèle Haenel trépasse dans le pathos dans ce dernier opus. Pas aidé par des Dardenne fainéants jusque dans le titre. L'ambition émotive est absente, on joue sur des nuances de sentiments, qui restent en surface du récit comme pour nous dire : "regardez comment on sait y faire !". Sauf que cette fois, on y est pas du tout.
    L'Info Tout Court
    L'Info Tout Court

    387 abonnés 1 025 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 octobre 2016
    On note surtout un problème majeur dans La fille inconnue qui vient de la relation d’identification entre le spectateur et le personnage. Les Dardenne ne parviennent pas à créer un pont émotionnel à cause d’un récit trop schématique et trop fictionnel, ce qui est dérangeant de la part de cinéastes qui ont fondé la force de leur style sur une approche quasi-documentaire. On regarde le long-métrage avec une certaine indifférence et on préfère sur un sujet assez similaire l’étonnant Une belle fin d’Uberto Pasolini.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 23 novembre 2016
    Les frères Dardennes explorent encore une fois les limites du cinéma social en essayant les schémas du cinéma classique pour adapter leur récits. Toujours une critique et une dénonce comme point de départ, ils ne se retiennent pas pour mélanger des drames sociales d'actualité avec une narration atypique pour le courant actuel du cinéma engagé. Déjà, dans le précédent Deux jours, une nuit, les réalisateurs s'en servaient d'une surprenante structure en temps quasi-réel pour nous montrer une histoire d'abus de pouvoir contre une employée.

    La fille inconnue fait référence au corps d'une femme non-identifiée apparue aux alentours d'un cabinet médical. La veille, cette fille aurait sonné au cabinet et la protagoniste, une jeune médecin, avait refusé d'ouvrir la porte une heure plus tard de la fermeture. Luttant contre ses remords et contre l’indifférence du voisinage, la médecin décide de commencer son enquête pour faire justice à la fille décédée.

    Comme on a déjà dit, le point de départ est une critique: le fait que la fille soit noir provoque l'indifférence de la ville face à sa mort. Les autorités ferment leur recherche sur l'inconnue le moment où on découvre qu'elle n'a pas été tuée, malgré les caméras de surveillance, qui la montrent s'enfuir de quelqu'un. La fille inconnue ne devient qu'une citoyenne de seconde zone aux yeux de l'administration. Comme conséquence, ce la jeune médecin qui se déguise en détective.

    Une protagoniste charismatique conduit le récit. Les Dardennes incarnent chez Adèle Haenel les professionnels sanitaires à grande vocation. Dans un système si stricte que le médical, le facteur humain et morale doit dépasser les entraves administratives. La médecin donne son tout pour ses patients, elle se déplace à domicile et elle continue dans ce petit cabinet pour rester en contact avec ces patients plutôt que faire partie d'un prestigieux centre hospitalier où sa vie privée et son temps libre seront assurés.

    Ce profil nous fait comprendre ses remords au point qu'elle s'applique à fond pour dévoiler la vérité. Le thriller se déclenche suivant une série d'éléments du genre: témoins muets, faux témoignages, menaces, mafias, magouilles des autorités... Les Dardennes nous mènent vers la fin d'une façon admirable: il n'y a pas de twist de scénario quand on révèle l'identité de la victime ou des coupables, sinon que le shock du film se crée petit à petit, de manière subtile, quand le Dardennes nous montrent la réalité des différents scènes où des milliers de filles inconnues passent leur vies.
    ///Encore plus de fautes et d'erreurs sur le lien ci-dessous
    Caine78
    Caine78

    6 051 abonnés 7 396 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 août 2020
    Lorsque l'on regarde un film des frères Dardenne, l'une des rares choses dont on est sûr, c'est que l'on ne va pas se fendre la gueule pendant 90 minutes. « La Fille inconnue » ne fait pas exception, se montrant fidèle à la « Dardenne's touch » : aucune musique, un cadre social défavorisé, des gens pauvres (cela marche souvent ensemble), des personnages ne respirant pas la joie de vivre... Ça passe ou ça casse : ici, je trouve que ça passe. Bien qu'un peu répétitive et pas toujours très excitante à suivre, l'intrigue policière se révèle solide et se suit avec un certain intérêt, ayant la particularité d'être menée par une personne totalement indépendante des forces de l'ordre. Ce « suspense moral » a ainsi sa cohérence, aussi bien dans sa logique de pardon que de quête de la vérité, bien que le « coupable » ne soit pas très compliqué à identifier. Les réalisateurs savent imaginer des personnages secondaires, parfois présents juste pour une poignée de minutes, mais s'intégrant à cet univers légèrement dépressif, ni bons ni mauvais, juste dans une situation personnelle difficile pour diverses raisons. Dommage qu'Adèle Haenel, qu'on a pourtant connu excellente, offre une interprétation aussi désincarnée de Jenny, lui enlevant presque tout son potentiel émotionnel de ce qui aurait pu, dû être une des héroïnes marquantes des deux frangins. Un cru plutôt convenable, donc, n'atteignant toutefois par la réussite de « Deux jours, une nuit » ou « L'Enfant ».
    ferdinand75
    ferdinand75

    457 abonnés 3 655 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 mai 2020
    Une histoire pas du tout crédible qui met un frein immédiat à l’intérêt du film. Comment cette jeune médecin forte et arrogante, qui va amener un jeune stagiaire à abandonner sa future carrière va-t-elle se transformer en jeune fille fragile qui doute parce qu' elle n'a pas ouvert une porte. ? Va démarrer une enquête policière , menée par cette frêle jeune femme , bien improbable. On ne comprend pas pourquoi elle ne fait pas appel à la police.Et à chaque fois elle obtient des confessions de clients malades !! Le grand père , dans son hospice suite à une attaque cardiaque, ou le père du jeune délinquant ,suite à une paralysie. Pas très déontologique tout cela. Un bon tiers du film consiste en des examens médicaux dans une banlieue ouvrière de Liège, ce qui aurait constitué un bon reportage sur FR3 . Absurde, l’héroïne qui réserve une place au cimetière , si ce n'est du politiquement correct dégoulinant, de la société occidentale qui s'excuse, culpabilise et paie , pour l' immigration clandestine des sans papiers africains, C'est tellement lourd, de la pure propagande. Adéle Haenel joue en retenue, mais n'est pas très crédible , dans ce rôle de médecin tourmentée, mais son personnage st si peu approfondie, qu'elle ne pouvait pas faire grand chose.
    Hotinhere
    Hotinhere

    425 abonnés 4 756 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 avril 2023
    Un polar social en forme de quête intime, manquant un peu d'intérêt et d'intensité, malgré la performance admirable d'Adèle Haenel.
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