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    Metropolis
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    289 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 1 septembre 2012
    Trés difficile à voir, ce film. Il plait surtout aux intellectuels du cinema qui pensent savoir ce qu'est l'art. En pratique les dialogues n'ont aucune logique, le héros n'a aucun but. Le film n'est qu'un long cheminement de dialogues sans sens. Il faut de toute façon avoir une grande méfiance des films ayant une trop bonne note de la part des critiques. Ce film en est un cas typique.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 juin 2010
    Terriblement visionnaire pour l'époque et toujours d'actualité, "Metropolis" fascine par sa grandeur, son envergure, qui ne peut laisser indifférent. Fritz Lang s'impose comme annonciateur d'une société futuriste duale, où se dressent les travailleurs contre les bourgeois, en une lutte totale (influence marxiste ?). En outre, le réalisateur, d'abord en prédicateur d'une quasi-apocalypse, montre cette faiblesse humaine à suivre les grands orateurs (annonçant indirectement la montée en puissance du nazisme) pour finalement arriver à une destruction mutuelle des belligérants. Il n'y a rien à redire non plus sur la mise en scène : les jeux d'ombre et de lumière distillent une ambiance singulière et prenante, rendant le travail de Lang plus poussé encore. Il n'y a rien à redire là-dessus, "Metropolis" se vit plus qu'il ne se regarde. Fabuleux film.
    Matthieu F.
    Matthieu F.

    22 abonnés 153 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 avril 2010
    Metropolis est un film visionnaire et innovant pour l'époque où il fut tourné (1927). Les procédés utilisés dans le tournage sont tout aussi importants: grands décors, univers travaillé (Comment imaginer un monde cent ans après le sien ?), etc.
    Le message d'espoir, notamment illustrée par la dernière scène, reste encore d'actualité.
    Flavien Poncet
    Flavien Poncet

    208 abonnés 1 024 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 février 2007
    «Metropolis» (All., 1927) de Fritz Lang est aujourd'hui un digne représentant de l'expressionnisme allemand. Ombres disproportionnées, jeu des acteurs sciemment exagéré, décors aux angles marquants, le film est donc bel et bien ce que le cinéma expressionniste pouvait faire de mieux («Das Kabinett des Dr. Caligari» demeure tout de même le plus bel exemple). Mais c'est avant tout dans l'histoire que le film trouble. On remarque à plusieurs reprises et surtout dans la scène de début où la machine explose, les étranges coïncidences avec ce que seront les camps de concentration, les ouvriers de Metropolis incarnant l'enfer que vivront les déportés. Les cranes rasés en sont un symbole troublant. On note également la présence de pentacle sur les maisons qui ne sont pas sans rappeler les étoiles juives. Or, «Metropolis» n'a rien de nazi, s'en serait même le contraire. Ceci parce que la folie semble gagner l'oeuvre à mesure que le film se dévoile. De ces folie qui répugnait le nazisme. Cette folie est caractérisée par les prouesses techniques et les audaces esthétiques (provenant tant de la réalisation que du montage). Mais c'est surtout dans le jeu hystérique de Brigitte Helm (jeu parfois fort déroutant) que cette folie s'incarne. L'actrice semble ne pas pouvoir s'empêcher de se tripoter les seins. Enfin, comment qualifier ce film ? S'il se range dans le mouvement expressionniste, il possède tout de même un genre. Il serait injustement réducteur, comme pour «2001 : A space odyssey», de qualifier ce film de simple oeuvre de science-fiction, car «Metropolis» est bien davantage que cela. Ces deux films ont pour points communs de traiter de l'humanité et de proposer un traitement de la thèse darwinienne, de la lutte entre les faibles et les forts. Pour conclure, il faut simplement dire que «Metropolis», à l'esthétique ultra-original, demeure dans l'oeuvre de Lang son meilleur film après «M», incomparable tant dans l'expressionnisme que dans l'expérimentation.
    Guillaume182
    Guillaume182

    120 abonnés 1 194 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 février 2012
    Attention film culte.

    Aujourd'hui restauré le film est proche de la version sortie en 1927 pour notre plus grand plaisir.

    Une vision amusante et fascinante du futur.

    L'histoire se passe en 2026 et on y découvre des voitures volantes et d'immense building.

    L'histoire est assez simple: Des ouvriers travaillent dans les souterrains d'une fabuleuse métropole de l'an 2026. Ils assurent le bonheur des nantis qui vivent dans les jardins suspendus de la ville. Un androïde mène les ouvriers vers la révolte.

    Pourquoi 4 étoiles et pas 5 me direz vous, je ne sais pas j'ai adorer le film il m'a touché , mais pas autant que d'autres tout simplement.

    Des références Bibliques et une prémonition de la guerre 40-45.

    Photographie sublime! Un grand moment de cinéma.

    Tout simplement Incontournable!
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 16 octobre 2011
    Un chef d'oeuvre !! un film qui a son époque n'a jamais trouvé son public pour un budget de 30 millions, mais pour dire que ce film était une révolution, un telle budget, un telle scénario, des images, un réalisateur de légende. A chacun de savourer l'art.
    gemini-hell
    gemini-hell

    26 abonnés 395 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 novembre 2011
    Œuvre incontournable et incontestable du 7ème art, « Metropolis » est désormais visible dans une version relativement complète. Certes, les nombreux plans considérés jusqu’alors comme étant perdus et intégrés dans ce nouveau montage sont très endommagés ; mais peu importe car ils apportent désormais au récit une fluidité dans l’enchaînement de ses séquences alors qu’avec les versions écourtées, on avait souvent la sensation d’assister à une succession de tableaux pas toujours très compréhensibles entre eux. Scénario, mise en scène, décors, musique : quelle leçon de cinéma que cette conjugaison de talents réunis sous la houlette de l’immense Fritz Lang ! A (re)voir absolument.
    AlexTorrance
    AlexTorrance

    22 abonnés 486 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 novembre 2012
    Ecrire sur un chef-d’œuvre comme Metropolis est une tâche particulièrement ardue. La simple idée de vouloir retranscrire à travers les mots un visionnage comme cela est d’avance voué à l’échec. Metropolis, c’est un long-métrage qui se vit plus qu’il ne se regarde. Il faut se trouver en son cœur pour prendre pleinement conscience de ce qui se trouve sous nos yeux. Sa virtuosité, son aspect incommensurablement visionnaire… Tout cela serait tout bonnement impossible à décrire avec ces simples mots. Avec des simples mots. C’est tout de même avec entrain que je vous présente l’article ci-présent dans le principal but de vous faire découvrir cette pure merveille du cinéma, si vous ne l’avez toujours pas vu. Par la même occasion, peut-être prendrez-vous conscience que, sans cette œuvre, bon nombre de vos films favoris n’aurait probablement jamais vu le jour… Metropolis a une histoire pleine de hauts et de bas. Des bas devenus hauts par une ascension de haute volée où pourront se trouver une grande majorité de cinéphiles, se demandant toujours à quel point virtuose est le long-métrage de Fritz Lang. Une grande partie de cette histoire se trouvait à la Cinémathèque de Paris l’an passé dans une exposition fascinante et infiniment riche en ressources. Tout d’abord, il y a une anecdote plutôt ironique au sujet de Metropolis, le roman originel de Thea von Harbou – qui deviendra femme puis ex-femme de Fritz Lang et lui apportera même son scénario sur un plateau. Beaucoup de choses dans le film – à commencer par la dystopie directement instaurée – semblent introduire la montée en puissance du nazisme qui, pourtant, aura lieu bien plus tard. On peut ressentir un certain chaos dans l’Allemagne de l’entre-deux-guerres. L’ironie commence lorsque, submergées par ses extrêmes idéaux dont elle ne semblait pourtant pas faire l’apologie dans son œuvre, Von Harbou rejoint les nazis d’assez prêt pour susciter une rupture dans un couple déjà mal en point pour cause d’adultère. Un certain changement de bord pour la scénariste qui finit donc par rejoindre le côté « méchant » dépeint dans son livre. Cependant, il ne faut pas voir en Metropolis une « simple » et unique anticipation des régimes totalitaires mais une avance temporelle sur tout. Strictement tout. C’est dans cette mesure que ce film demeure un des grands piliers du cinéma de science-fiction, avec un scénario à la fois simple et magnifiquement mis en scène. Bien entendu, la (plus) grande qualité de Metropolis réside en l’unique univers créé par ce génie de Fritz Lang. Ingénieux mélange de subterfuges en tous genres où un certain nombre de techniques aussi audacieuses que prodigieuses contribuent à installer une à une les briques de ce monument cinématographique. Images en stop-motion, miroirs vertigineux etc. Des décors de toute beauté qui n’auraient strictement rien à envier à des Blade Runner – aussi géniaux soient-ils – si ce n’est la différence indéniable de techniques entres les décennies. Malgré ces changements radicaux, rien ni personne ne pourrait dire de cette œuvre qu’elle est dépassée ou encore qu’elle vieillit mal, dans la mesure où cela relèverait de la mauvaise fois pure et dure. Metropolis sera à tout jamais un long-métrage d’un modernisme éblouissant. Enfin, le côté expressionnisme allemand est bien entendu aussi travaillé dans les fameux décors que dans le jeu des acteurs. Les principaux personnages sont très consistants et n’ont aucun mal à marquer au fer rouge l’histoire du cinéma, à commencer par la superbe Brigitte Helm, qui livre ici une performance schizophrénique très impressionnante. La figure du scientifique fou, emblème des balbutiements du cinéma horrifique, se trouve exploitée de façon légèrement drolatique de par l’extravagance du look et les manières de l’acteur Rudolf Klein-Rogge. De la même manière, Gustav Fröhlich accentue plus encore les mimiques frêles et innocentes de son personnage que le cinéma muet l’exige. Une outrance parfois comique que l’on retrouvera tout au long du film… Aventurez-vous donc les yeux fermés vers cette version magnifiquement restaurée d’un chef-d’œuvre que l’on pensait perdu à tout jamais. Quelques années de travail auront suffi pour réattribuer à Metropolis sa grandeur originelle et exhiber au monde entier ses incroyables talents. La réalisation de Fritz Lang atteint ici des sommets de virtuosité, quelques années après l’excellent Secret derrière la porte et quelques années avant M le Maudit. Metropolis est une référence évidente dans le cinéma muet. Une merveille esthétique qui n’aura jamais son pareil… Dans « entre les mains et le cerveau, le médiateur doit être le cœur », nous pouvons remarquer trois choses. Fritz Lang est les mains de son œuvre, le cerveau de son œuvre et le cœur de son œuvre.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 28 juin 2009
    UN vrai blockbuster que ce "Métroplois"!! A la différence qu'avant on savait meler fond intéressant et gros budget... avec métropolis, fritz lang nous fait un film de science fiction marxiste où il aborde le thème de la lutte des classes et de la déhumanisation du travail dans un décor "caton-pâte" qui a dû demander un travail colossal.L'orginalité tient aussi dans le fait que le film a sa place au patrimoine de l'UNESCO(exusez du peu..)et que l'on a jamais retrouvé de copie entière du film, ce qui nous donne le droit de suivre certains passage avec du texte uniquement.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 29 septembre 2006
    L'histoire est un peu lourdingue et le film a mal vieilli... La réalisation semble bâclée. Je ne l'avais pas vu à l'époque, je ne regrette rien si ce n'est d'avoir perdu un peu de temps...
    alf38000
    alf38000

    11 abonnés 140 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 octobre 2021
    Œuvre charnière sortie entre la fin du muet et le début du parlant, échec commercial au moment de sa présentation, puis élevée au rang de monument du 7ème art quelques décennies plus tard… Au risque de heurter les puristes, il me parait quand même difficile de considerer le (très) long métrage de Fritz Lang comme le chef-d'oeuvre absolu du film de S-F, l'expressionnisme allemand ne s'y prêtant, à mon sens, guère.
    Lang considérait d'ailleurs lui-même que son film était plutôt une visualisation imagée des sons, ce qui explique sans doute que le scénario, à l'inverse de la bande son, ne soit pas aussi travaillé que dans ses autres réalisations.
    Scénario, qui par ailleurs prêta à polémique, puisque écrit par son ex-compagne,Thea Von Harbou, proche des milieux nazis, hormis ce point de "detail", gardons Metropolis pour ce qu'il est, un marqueur de la grande histoire du cinéma et une référence pour tous les cinéphiles.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 30 décembre 2008
    Un film qui a beaucoup vieillit, mais qui a su garder un intérêt philosophique.
    Le cinéphile
    Le cinéphile

    585 abonnés 2 704 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 avril 2013
    Un film mythique auquel je ne conteste pas ce statut! Car il est vrai qu'il s'agit d'une œuvre techniquement et artistiquement magnifique! Rien n'est à enlever! Le message transmis, la vision négative et pessimiste de notre avenir, la magnifique photographie, les métaphores subtiles et discrètes, les acteurs très justes dans leurs prestations, non il est vrai que ce film est grand! Et pourtant, malheureusement je dirai même, l'ennui est venu m'embêter trop souvent, et la mise en scène parfois redondante et beaucoup trop lourde, ne m'ont fais que modérément apprécier cet immense classique...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 28 janvier 2007
    Un pur chef d'oeuvre du film d'anticipation. Le film de Fritz Lang, film muet en noir et blanc datant de 1927, se révèle prémonitoire en ce qui concerne le devenir des grandes cités: l'architecture, les immenses buildings, les transports...). Mais au delà de tout cela, le réalisateur allemand nous raconte une histoire, l'histoire d'une ville. "Il faut un médiateur entre le cerveau et les mains et ce médiateur doit être le coeur." Que ce soit pour son excellent scénario, pour l'interprétation des acteurs qui excellent tous dans ce style si particulier, pour ses magnifiques décors, sa musique sublime ou pour ses prises de vues révolutionnaires et imposantes, tout contribue à faire de ce film le chef d'oeuvre ultime de la science fiction. Et que de scènes d'anthologie ! La scène de la naissance du cyborg restera à jamais l'une des scènes les plus mythiques du monde du cinéma. Dommage que le quart du film ait été perdu, mais cela ne gâche en rien la qualité de cette oeuvre magistrale. Un incontournable !
    jamesluctor
    jamesluctor

    113 abonnés 1 704 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 janvier 2010
    Ben, pour les années 20, ce film est un chef d'oeuvre ! Tout est là sur le monde de l'industrie, on y parle de l'amour, des liens entre classes riches et pauvres, ... Y a trop de sujets pour tous les énumérer. Les animations image par image tiennent bien la route, et les émotions passent bien. Dommage qu'il fasse quand même 2 heures, j'ai eu un peu de mal à garder les yeux ouverts par moments. Mais bon, c'est un grand film du cinéma, et je ne regrette pas de l'avoir vu. Du grand art.
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