Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
42 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
En traversant l’Atlantique, le réalisateur de Dheepan n’a rien perdu de son âme ni de sa singularité.
Bande à part
par Jo Fishley
Un western crépusculaire en forme de conte fraternel. Une pépite.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CNews
par La rédaction
[...] le cinéaste prouve de nouveau la maîtrise parfaite de son art, grâce à ce conte à la fois sombre, optimiste et onirique, servi par la partition d’Alexandre Desplat et la force de l’interprétation de ses acteurs.
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Rarement aura-t-on senti le cinéaste aussi ouvertement sentimental et apaisé. Un grand film.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Dernières Nouvelles d'Alsace
par N.C.
Audiard aurait pu plomber sa carrière pour la beauté du geste d’un premier film américain mais voilà qu’il chevauche ce grand genre, le western, pour y faire tenir un sublime récit de fraternité, douloureux, grave et bouleversant.
Elle
par Françoise Delbecq
La claque magnifique de la rentrée.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Les qualificatifs manquent pour dire combien "Les Frères Sisters" constitue une oeuvre accomplie et aboutie, comme l’on en voit rarement. Sans doute le plus grand film sorti depuis le début de l’année.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Eric Libiot
Très grand film.
L'Humanité
par Dominique Widemann
Jacques Audiard réussit un western remarquablement mis en scène, servi par une distribution parfaite.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
LCI
par La Rédaction
Une œuvre incroyable.
La critique complète est disponible sur le site LCI
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Personnages bien dessinés, mise en scène parfaite, superbe travail sur la lumière, interprétation saisissante du quatuor de comédiens américains, un joyau de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Jacques Audiard en état de grâce avec le portrait d’une fratrie de tueurs à gages dans l’Ouest américain, en pleine ruée vers l’or.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un grand western.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Sur l'écran, le plaisir extrême que (Jacques Audiard) a pris à adapter le roman tordant de Patrick deWitt est palpable.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
On est époustouflé par la densité du scénario, parfois impitoyable et souvent drôle. Sans oublier la photographie sublime de Benoît Debie et un quatuor de comédiens extraordinaires. Indispensable.
Le Parisien
par La Rédaction
Au final, Audiard signe un film splendide, habité, profond.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Opérant une sorte de synthèse de ses interrogation sur la virilité, à travers un western psychologique et sombre, Audiard revient à son meilleur, avec un film à la fois complexe (par ses divers niveaux de lecture) et évident (par sa dimension de “pur cinéma”).
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Jean-Dominique Nuttens
Le réalisateur de "Sur mes lèvres" a convoqué toute la mythologie de l'Ouest américain pour ce qui, contre toute attente, est un film très personnel.
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Ce refus de tout idéal, ce cloisonnement tortueux et, in fine, cette façon iconoclaste mais jamais agressive d'envisager le genre, évoque le "John McCabe" de Robert Altman.
Télérama
par Jacques Morice
Outre ses ruptures de ton, le récit surprend par ses rebondissements, qui relancent l’action vers de nouveaux enjeux.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par A. V.
Un superbe western, sauvage et sentimental.
BIBA
par Lili Yubari
[...] un western flamboyant [...].
Ecran Large
par Simon Riaux
La quête hallucinée et hallucinante de deux ogres précipités au coeur d'une Amérique sur le point de perdre tout à fait son innocence. Plus qu'un western, Audiard nous offre un conte cruel, doublé d'une réflexion terrassante sur la banalité du mal.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Jacques Audiard conjugue humour noir et violence dans un western psychanalytique, entre Eastwood et Tarantino.
L'Obs
par François Forestier
Jacques Audiard s'éloigne (avec raison) du western américain comme du western spaghetti. Il n'est ni dans la parodie ni dans l'imitation. Il trace un chemin élégant, sans Indiens, sans diligence, sans fille du shérif. Avec Eli et Charlie Sisters, il se fraie la route vers le paradis, à coups de revolver.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Geek
par La Rédaction
Un anti-western original et audacieux.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Le Point
par Jean-Luc Wachthausen
Au-delà d'une chasse à l'homme qui compte ses morts, Jacques Audiard explore la relation complexe entre deux frères : un pistolero fou, prêt à tout pour ramasser de l'argent, et son aîné, plus sage, plus humain, qui pleure lorsqu'il perd son cheval borgne, caresse la couverture offerte par sa bien-aimée et goûte avec plaisir aux vertus du progrès : les premiers WC, une brosse à dents, un dentifrice mentholé.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Marcos Uzal
A des lieues de ses films aux accents virilistes, Jacques Audiard s’aventure avec bonheur sur le terrain du western dans un conte philosophique à la fois drôle et sensible.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Olivier de Bruyn
Dans ce western atypique, inspiré par le roman éponyme du Canadien Patrick deWitt, le cinéaste ne se plie à aucun diktat hollywoodien, observe les mythes de l’Ouest avec un regard oblique et crée un univers inquiétant où il peut, une nouvelle fois, mettre en scène des mâles dans tous leurs états.
Ouest France
par Louise Delépine
On rit, on a peur, on est ému.
Première
par Christophe Narbonne
La réussite d’une telle entreprise tient énormément au charisme de ses interprètes qui incarnent moins des personnages que des idées.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
Des acteurs de grande stature pour le "western apaisé" d'Audiard, à la trame narrative sans fioriture et aux paysages grandioses.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Sud Ouest
par Sophie Avon
Un beau film.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
[...] Jacques Audiard investit avec brio le western. Il faut dire qu’il s’est entouré de trois pointures américaines, John C. Reilly, Joaquin Phoenix et Jack Gyllenhaal, pour faire parler la poudre, mais surtout signer un film subtil et profond, loin des archétypes du genre, sans pour autant en bouder le folklore.
Télé Loisirs
par Emilie Leoni
Adaptée du roman de Patrick deWitt, cette chevauchée sanglante et flamboyante est doublée d'une fable féroce autour de la fraternité, du sacrifice et de la banalité de la cruauté.
aVoir-aLire.com
par Franck Lalieux
Un grand et beau western, à la fois tendre et brutal, qui donne une certaine image de l’Amérique : celle d’une nation d’enfants perdus, cupides et incapables d’appréhender les conséquences de leurs entreprises.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Si le box-office et les Oscars valident sa tentative, Audiard aura réussi son entrée américaine, et on redevient curieux de la suite de son parcours.
La Septième Obsession
par Adrien Valgalier
Le cinéma de Jacques Audiard reste un peu bourrin, se débat toujours avec la violence sans trop savoir comment la régler, mais s’ouvre avec "Les Frères Sisters" vers des sillages plus singuliers et délicats.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Le cinéaste s’essaie avec succès à un nouveau genre avec son film porté par John C. Reilly et Joaquin Phoenix.
Critikat.com
par Josué Morel
Si le film déjoue les attentes et explore patiemment les nuances de ses personnages, le prix à payer est un abandon au romanesque, champ où Audiard fait valoir ses qualités stylistiques sans que son écriture ne se départisse toutefois d’une certaine superficialité.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Audiard ne méprise pas les femmes, mais peine à les inviter dans son monde, et apprécie plus qu’il ne le croit ce que produit leur absence.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Transfuge
par Frédéric Mercier
[...] ce western que l’on espérait novateur, capable de revitaliser le genre, se ratatine au fur et à mesure pour se révéler parfaitement consensuel.
20 Minutes
En traversant l’Atlantique, le réalisateur de Dheepan n’a rien perdu de son âme ni de sa singularité.
Bande à part
Un western crépusculaire en forme de conte fraternel. Une pépite.
CNews
[...] le cinéaste prouve de nouveau la maîtrise parfaite de son art, grâce à ce conte à la fois sombre, optimiste et onirique, servi par la partition d’Alexandre Desplat et la force de l’interprétation de ses acteurs.
CinemaTeaser
Rarement aura-t-on senti le cinéaste aussi ouvertement sentimental et apaisé. Un grand film.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Audiard aurait pu plomber sa carrière pour la beauté du geste d’un premier film américain mais voilà qu’il chevauche ce grand genre, le western, pour y faire tenir un sublime récit de fraternité, douloureux, grave et bouleversant.
Elle
La claque magnifique de la rentrée.
Franceinfo Culture
Les qualificatifs manquent pour dire combien "Les Frères Sisters" constitue une oeuvre accomplie et aboutie, comme l’on en voit rarement. Sans doute le plus grand film sorti depuis le début de l’année.
L'Express
Très grand film.
L'Humanité
Jacques Audiard réussit un western remarquablement mis en scène, servi par une distribution parfaite.
LCI
Une œuvre incroyable.
La Croix
Personnages bien dessinés, mise en scène parfaite, superbe travail sur la lumière, interprétation saisissante du quatuor de comédiens américains, un joyau de cinéma.
La Voix du Nord
Jacques Audiard en état de grâce avec le portrait d’une fratrie de tueurs à gages dans l’Ouest américain, en pleine ruée vers l’or.
Le Dauphiné Libéré
Un grand western.
Le Figaro
Sur l'écran, le plaisir extrême que (Jacques Audiard) a pris à adapter le roman tordant de Patrick deWitt est palpable.
Le Journal du Dimanche
On est époustouflé par la densité du scénario, parfois impitoyable et souvent drôle. Sans oublier la photographie sublime de Benoît Debie et un quatuor de comédiens extraordinaires. Indispensable.
Le Parisien
Au final, Audiard signe un film splendide, habité, profond.
Les Fiches du Cinéma
Opérant une sorte de synthèse de ses interrogation sur la virilité, à travers un western psychologique et sombre, Audiard revient à son meilleur, avec un film à la fois complexe (par ses divers niveaux de lecture) et évident (par sa dimension de “pur cinéma”).
Positif
Le réalisateur de "Sur mes lèvres" a convoqué toute la mythologie de l'Ouest américain pour ce qui, contre toute attente, est un film très personnel.
Studio Magazine
Ce refus de tout idéal, ce cloisonnement tortueux et, in fine, cette façon iconoclaste mais jamais agressive d'envisager le genre, évoque le "John McCabe" de Robert Altman.
Télérama
Outre ses ruptures de ton, le récit surprend par ses rebondissements, qui relancent l’action vers de nouveaux enjeux.
Voici
Un superbe western, sauvage et sentimental.
BIBA
[...] un western flamboyant [...].
Ecran Large
La quête hallucinée et hallucinante de deux ogres précipités au coeur d'une Amérique sur le point de perdre tout à fait son innocence. Plus qu'un western, Audiard nous offre un conte cruel, doublé d'une réflexion terrassante sur la banalité du mal.
Femme Actuelle
Jacques Audiard conjugue humour noir et violence dans un western psychanalytique, entre Eastwood et Tarantino.
L'Obs
Jacques Audiard s'éloigne (avec raison) du western américain comme du western spaghetti. Il n'est ni dans la parodie ni dans l'imitation. Il trace un chemin élégant, sans Indiens, sans diligence, sans fille du shérif. Avec Eli et Charlie Sisters, il se fraie la route vers le paradis, à coups de revolver.
Le Journal du Geek
Un anti-western original et audacieux.
Le Point
Au-delà d'une chasse à l'homme qui compte ses morts, Jacques Audiard explore la relation complexe entre deux frères : un pistolero fou, prêt à tout pour ramasser de l'argent, et son aîné, plus sage, plus humain, qui pleure lorsqu'il perd son cheval borgne, caresse la couverture offerte par sa bien-aimée et goûte avec plaisir aux vertus du progrès : les premiers WC, une brosse à dents, un dentifrice mentholé.
Libération
A des lieues de ses films aux accents virilistes, Jacques Audiard s’aventure avec bonheur sur le terrain du western dans un conte philosophique à la fois drôle et sensible.
Marianne
Dans ce western atypique, inspiré par le roman éponyme du Canadien Patrick deWitt, le cinéaste ne se plie à aucun diktat hollywoodien, observe les mythes de l’Ouest avec un regard oblique et crée un univers inquiétant où il peut, une nouvelle fois, mettre en scène des mâles dans tous leurs états.
Ouest France
On rit, on a peur, on est ému.
Première
La réussite d’une telle entreprise tient énormément au charisme de ses interprètes qui incarnent moins des personnages que des idées.
Rolling Stone
Des acteurs de grande stature pour le "western apaisé" d'Audiard, à la trame narrative sans fioriture et aux paysages grandioses.
Sud Ouest
Un beau film.
Télé 7 Jours
[...] Jacques Audiard investit avec brio le western. Il faut dire qu’il s’est entouré de trois pointures américaines, John C. Reilly, Joaquin Phoenix et Jack Gyllenhaal, pour faire parler la poudre, mais surtout signer un film subtil et profond, loin des archétypes du genre, sans pour autant en bouder le folklore.
Télé Loisirs
Adaptée du roman de Patrick deWitt, cette chevauchée sanglante et flamboyante est doublée d'une fable féroce autour de la fraternité, du sacrifice et de la banalité de la cruauté.
aVoir-aLire.com
Un grand et beau western, à la fois tendre et brutal, qui donne une certaine image de l’Amérique : celle d’une nation d’enfants perdus, cupides et incapables d’appréhender les conséquences de leurs entreprises.
Cahiers du Cinéma
Si le box-office et les Oscars valident sa tentative, Audiard aura réussi son entrée américaine, et on redevient curieux de la suite de son parcours.
La Septième Obsession
Le cinéma de Jacques Audiard reste un peu bourrin, se débat toujours avec la violence sans trop savoir comment la régler, mais s’ouvre avec "Les Frères Sisters" vers des sillages plus singuliers et délicats.
Le Monde
Le cinéaste s’essaie avec succès à un nouveau genre avec son film porté par John C. Reilly et Joaquin Phoenix.
Critikat.com
Si le film déjoue les attentes et explore patiemment les nuances de ses personnages, le prix à payer est un abandon au romanesque, champ où Audiard fait valoir ses qualités stylistiques sans que son écriture ne se départisse toutefois d’une certaine superficialité.
Les Inrockuptibles
Audiard ne méprise pas les femmes, mais peine à les inviter dans son monde, et apprécie plus qu’il ne le croit ce que produit leur absence.
Transfuge
[...] ce western que l’on espérait novateur, capable de revitaliser le genre, se ratatine au fur et à mesure pour se révéler parfaitement consensuel.