Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
bibialien
23 abonnés
794 critiques
Suivre son activité
3,0
Publiée le 28 octobre 2017
Début nunuche ayant du mal à démarrer puis vient l’homme dans toute sa splendeur de mâle, et au vu d’une femme on l’excuserait presque Dis bonjour à papa
Soyons charitable avec ce film qui ne m'attirait pas spécialement au départ vu son sujet, dont je craignais un traitement plus que graveleux et bas du front. Dans un premier temps, mes craintes me semblèrent plus que fondées, tellement Audrey Dana paraissait avoir accumulé tout ce que l'on pouvait de clichés autour de l'attribut masculin et des obsessions masculines en général (enfin, de l'obsession au singulier car, apparemment, nous n'en avons qu'une seule). Après un premier temps un peu lourdingue, le film trouve quand même un rythme de croisière et quelques péripéties intéressantes, aidé en cela par un casting judicieux, même si le texte est quand même faiblard. En gros, si l'on évite la catastrophe industrielle et le malaise permanent, ce délire assumé est loin de mériter une place de choix dans les meilleures comédies françaises, n'ayant pas vraiment de ligne directrice sûre.
Audrey Dana n'est pas plus convaincante dans son role de femme transformée qu'Eric Almosnino dans celui d'un amoureux transi. Seuls Christian Clavier et Alice Belaidi s'en sortent bien dans le role du gynécologue dépassé et de la copine tonique. Grace à eux et quelques scènes, le film arrive a décrocher quelques rires mais le scénario est plat, sans surprise et l'on a l'impression que l'auteur tourne en rond cherchant une porte de sortie... Voila un film qui ne laissera pas un grand souvenir.
J'avais déjà beaucoup apprécié Sous les Jupes des filles (quel casting !) et j'ai été conquis par ce nouveau film d'Audrey Dana qui est resplendissante. Et des acteurs qui gravitent autour d'elle tous aussi bon les uns que les autres (mention spéciale pour Clavier en gynéco paniqué et bien sur Belaidi dont je suis un fan de la première heure)
J'ai passé un très bon moment, ça fait du bien ! Merci à Audrey Dana pour la fraicheur qu'elle apporte dans cette comédie qui manie le brulesque, les situations cocasses et tout de même un peu de romantisme à la perfection
Bonne introduction à la psychanalyse freudienne au travers dune etude d'une phobie (les orages) et de la défense misexen place (le besoin d'un phalus). Besoin qui va devenir réalité (?) mais qui n'est que suggéré, ce qui plombe fortement le film. Abstraction faite des papotages a n'en plus finir. Que c'est dommage d'avoir réduit à néant une si belle idée.
j 'en sors et j 'ai trouvé les protagonistes attachants . un film sur la différence qui va bien a u delà de la thématique du film. o na tous des complexes qu'o n tente de camoufler . j'ai eu peur en voyant le sujet que ce soit traité de manière grotesque et j'ai été sensible aux réactions des personnages, bien au contraire . on fuit souvent une situation dès lors qu'on est pas sur de soi. audrey dana est adorable . on passe un bon moment . si on rit pas aux éclats , o ns'attendrit en se demandant comment on réagirait si la nature nous dotait d'un tel attribut .
"Si j'étais un homme", comédie française co-écrite et réalisée par Audrey Dana, sortie en 2017. Deuxième long-métrage de l'actrice en tant que réalisatrice après "Sous les jupes des filles" en 2014. Une comédie plutôt sympathique avec une idée de scénario assez originale. Un film moyennement réalisé avec parfois une ambiance un peu trop geignarde. Avec Audrey Dana, Christian Clavier, Éric Elmosnino, Alice Belaïdi et Joséphine Draï. Une comédie romantique qui reste un bon petit divertissement.
Une idée originale, il y a des passages comiques, mais il lui manquait quelque chose afin que le film soit meilleur. Pour ma part, une comédie bien sympathique. Avec un Christian Clavier toujours drôle avec ses expressions, ses répliques bien connues. On passe un bon moment.
Un film assez drôle et bien interprété (Alice Belaïdi y est hilarante) mais on regrette que le pitch totalement improbable ne soit jamais justifiéspoiler: (Jeanne se voit doter d’un pénis et le perd par miracle, c’est tout) . Cette absence d’explication empêche de réellement entrer dans l’histoirespoiler: (même une explication banale type envoûtement par un magicien aurait été suffisant) mais on passe malgré tout un moment distrayant.
Hey les filles, vous vous êtes toujours demandé ce que ça vous ferait si un cornet à deux boules prenait la place de votre bonbon ? Et surtout comment vous accommoder à la présence de cet intrus. Alors soyez tranquilles, Audrey Dana vient de vous fournir une réponse. Concernant cette dernière, je n'avais déjà pas aimé son premier film, il va de soi, qu'à la vue de la note attribuée, j'ai encore moins aimé celui-ci. Des films bien beaufs et bien lourdingues passés à travers le prisme d'un cinéaste, j'en ai déjà vus, mais via le prisme d'une cinéaste jamais. Et là, sans déconner, Audrey a vraiment frappé fort. Je ne mets pas en cause ses intentions, elle voulait sans aucun doute proposer quelque chose, mais là non, c'est juste pas possible d'être conciliant avec un truc comme ça. Regarder « Si j'étais un homme », c'est s'engager sur l'honneur à se taper 1h35 de lourdeur absolue. Lourdeur doublée d'un ennui certain. Parler d'une femme qui se retrouve avec un pénis entre les jambes je veux bien, mais en faire un truc sur lequel Pécas n'aurait pas craché, non et non. Dana en tant qu'actrice je veux bien, c'est toujours bon à prendre, en plus, quand elle est bien mise en valeur, c'est un vrai canon ! Mais en tant que réalisatrice, là je suis plus d'accord du tout. Là Audrey, t'as merdé sevère et le fait qu'on te voit à poil ne compense pas !
Une jeune maman vit une période difficile et se met à maudire les hommes, si bien qu'elle se retrouve un beau matin affublée d'un attribut masculin entre les jambes, et d'une mentalité également de plus en plus masculine. L'attribut en question devient alors le point central du film, on ne parle que de ça durant le reste du métrage, ce qui en devient vite insupportable. Une délivrance tout de même lorsque notre héroine décide d'en faire un atout et de se venger de ceux qui la font souffrir dans sa vie, et de reprendre le dessus sur ces maudits hommes. La métamorphose du personnage, passant de timorée à très expansive, est un joli numéro d'actrice. Coté distribution, coup de coeur pour Alice Belaïdi, charmante et pleine de peps, et rien à dire sur Clavier, appelé ici pour populariser le film, qui comme d'habitude fait du Clavier, on se comprend.
Comédie pas drôle. Suite de clichés d'un autre temps mal traités. Au bout de 45min la salle n'avait toujours pas ris. Même pas le niveau d'un téléfilm. A eviter