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    Que Dios Nos Perdone
    Note moyenne
    4,0
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    195 critiques spectateurs

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    SebLefr3nch
    SebLefr3nch

    169 abonnés 686 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 août 2017
    En voilà un très bon polar. Cette pépite espagnole nous emmène à Madrid où un duo de flics, très différents l'un de l'autre mais complémentaires, vous se retrouver face à un tueur en série ayant pour cible des femmes âgées et solitaires. La trame est bien ficelée et nous épargne les traditionnelles séquences explicatives pour aller droit dans le vif du sujet. Les parties sur les vies privées de chacun des policiers nous font bien comprendre leurs personnalités et pourquoi ça marche ou pas entre eux. On ne s'ennuie pas une minute. La réalisation est très maitrisée et nerveuse. Elle accroche les acteurs qui sont très bons. Antonio de la Torre qui joue un bègue est vraiment excellent tout comme son partenaire Roberto Alamo. On reprochera peut-être juste la musique qui, par moment, intervient trop rapidement et nous fait comprendre ce qu'il va se passer. Un très bon polar qui ravira les aficionados du genre.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 26 août 2017
    suget glauque sur un psychopate assassin des vielles dames avec détails... sans message, beaucoup de cliches.. Un moment désagrèable; à éviter!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 26 août 2017
    Suis allée le voir au gaumont parnass l lors du week-end du 15 aout, je fut agréablement t surprise par ce film espagnol olivier. Un thriller rythme un brin humoristique. Bon scénario sans temps morts. Très bien.
    PS pas de difficultés avec la vo. On peut suivre sans difficulte
    DestroyGunner
    DestroyGunner

    23 abonnés 872 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 août 2017
    Bien filmé et joué. La fin est malheureusement ratée et donne l'impression que l'ensemble s'est inspiré de la veine des polars latins tendus et glauques à souhait (on pense à La isla minima ou Dans ses yeux) et des références US qui les ont précédé, mais un peu comme d'un but sans autre motivation. Dommage, car il y avait mieux à en tirer du scénario.
    Christoblog
    Christoblog

    760 abonnés 1 628 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 26 août 2017
    Couvert d'éloge par la presse et une bonne partie de la blogosphère, ce polar espagnol m'a paru bien lourdingue.

    Il se distingue d'abord par un scénario d'une grande platitude, qui ne tient pas la distance du film. Puisque l'intrigue peine à avancer, les scénaristes osent des raccourcis d'une bêtise confondante. Par exemple : on soupçonne le tueur en série d'aimer les chats, les enquêteurs voient un jeune homme caresser un chat errant dans la rue, il le suivent, et bingo, c'est le bon ! Dans une ville de la taille de Madrid, on avouera que le hasard fait vraiment bien les choses...

    En réalité, la seule originalité du film tient dans les cibles du violeur et tueur en série : des grands-mères. Le réalisateur Rodrigo Sorogoyen n'hésite d'ailleurs pas à exploiter à fond le filon en filmant les corps suppliciés avec une complaisance qui fait froid dans le dos.

    Quant à la paire des flics, elle est stéréotypée au possible : une grande gueule baraquée hyper-violente et un taiseux bègue qui ressemble tellement à Dustin Hoffman que cela en devient gênant. Les deux personnages sont dessinés à grands traits et sans nuances, les seconds rôles sont sacrifiés.

    Grossier, tape à l'oeil, racoleur, fainéant : vous pouvez éviter.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 26 août 2017
    Film violent et sujet limite trash , on en sort avec un sentiment de dégoût et de paranoïa. Ceci dit le film aurait quand même pu traiter d un sujet trash et violent et être bon, ce qui n'est pas le cas: Scenario mal construit et souvent tiré par les cheveux, des situations qui semblent parasites et ne servent en rien la trame du film et puis le spectateur est laissé à sa confusion quant au sens de pas mal de scènes/plans : les traces du gazpacho sur le tapis qui ne disparaîssent pas cest quoi? , qu'est ce qui est arrivé au policier après avoir découvert que sa femme le trompe? (On le voit ensanglanté presque borgne sans aucune explication) cette histoire avec la femme de ménage elle sert à quoi? Pourquoi le policier begaye? Bref jai été bluffée par les critiques trop élogieuses pour ce film passablement regardable.
    dominique E.
    dominique E.

    4 abonnés 50 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 août 2017
    Grand film Espagnol.
    Un thriller porté par des acteurs et une musique angoissante.
    Il faut osé aborder la folie d'un homme violeur de vieilles femmes.
    La psychologie autant des policiers comme du criminel
    est très bien restituée.
    La chaleur de Madrid et la venue du Pape pendant l'été 2011
    amène encore plus de réalisme à l'histoire.
    À voir absolument.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 25 août 2017
    À voir absolument. Un thriller digne de ce nom avec en plus l'atmosphère madrilène et des acteurs parfaits !
    alexis942
    alexis942

    2 abonnés 114 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 août 2017
    Remarquable film espagnol, qui débute comme un policier classique avant de basculer vers la comédie dramatique sociale. Les acteurs sont excellents, dialogue et scénario bien écrits, ambiance forte : un film solide que je recommande aux amateurs du genre.
    sylounette
    sylounette

    42 abonnés 177 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 août 2017
    une enquête policière intelligente, une amitié masculine non exprimée entre 2 flics trop différents mais attachants
    j'ai bcp aimé
    Daniel C.
    Daniel C.

    134 abonnés 715 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 août 2017
    A la manière de "L 627" de Bertrand Tavernier, nous voyons combien être policier, c'est juste avoir basculé du côté opportun de la loi, mais néanmoins rester au plus près, en contact quasi permanent avec ceux qui contreviennent à ladite loi. Les deux héros sont mal en point, l'un souffre d'un bégaiement fort invalidant, tandis que son collègue s'avère incapable de contrôler son agressivité, son impulsivité le conduit à des actes d'une violence invraisemblable. Il faut néanmoins saluer leur dévouement, qui atteste certainement du travail de fourmi accompli dans la vraie vie par les forces de police. Rivalités entre collègues, détermination à toute épreuve, poursuite d'un maniaque particulier sur fond de crise économique et de visite papale. Nous accompagnons ces deux-là et quelques autres dans une course effrénée. Quid de la libido masculine, de la virilité. Qu'es-ce qu'un homme ? Comment se comporter lorsqu'on est un homme vis-à-vis des femmes ? Etre un homme, c'est s'originer d'un corps féminin et peut-être cela n'est-il pas sans conséquences... En Espagne, apparemment, les nurses philippines sont nombreuses pour prendre en charge l'accompagnement des personnes âgées.
    cineccita
    cineccita

    43 abonnés 1 474 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 août 2017
    Cela faisait longtemps qu'il n'y avait pas eu un thriller aussi palpitant. Une sorte de seven Made in Spain.
    Jmartine
    Jmartine

    155 abonnés 657 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 août 2017
    J’avais bien aimé La Isla Minima, film policier de Alberto Rodriguez qui mettait en scène un duo de policiers aux personnalités antagonistes qui devaient élucider le mystère de la disparition de jeunes adolescentes, dans une région sauvage, au milieu des marécages , le delta du Guadalquivir …un monde clos, qui vivait de petits trafics et où l’après franquisme avait du mal à s’installer...Dans Que Dios Nos Perdone, Rodrigo Sorogoyen , s’inscrit moins dans un contexte politique et social, encore que la visite du Pape Benoit XVI au JMJ de Madrid et le mouvement des indignés en constitue l’arrière plan, mais sans toutefois n’affecter le récit autrement qu’à la marge, et délaissant leur dimension politique. …Sorogoyen reprend le principe du duo de policiers que tout oppose, l’inspecteur Vélarde, interprété par Antonio de la Torre, mixed de Dustin Hoffman et de Mister Bean, affecté d’un fort bégaiement mais capable d’intuitions lumineuses, et l’inspecteur Alfaro, costaud bodybuildé, hâbleur, arrogant et bagarreur…ils enquêtent sur un tueur et violeur de vieilles dames, enquête qu’il faut taire car il ne faut pas troubler la sérénité de la visite papale…un enquêteur profileur dresse le portrait du tueur, à grand renfort de psychanalyse…un homme jeune qui est resté très proche de sa mère, qui a souffert dans son enfance du caractère castrateur de sa mère…le décor est posé…Madrid étouffe dans la chaleur, les foules de pèlerins envahissent les rues, la sécurité est omni présente …La mise en scène est nerveuse, hyper réaliste, la pellicule un peu poisseuse, lumière jaunâtre, vieux appartements madrilènes capiteux et renfermés….et que dire du casting, outre le duo d’enquêteurs remarquables, où a-t-on trouvé ces vieilles dames, martyrisées, corps séniles montrés jusque dans leur autopsie avec un réalisme pas toujours ragoutant, souligné par une musique anxiogène à souhait…certains trouveront le film malsain, triste tableau de la médiocrité humaine…personnellement j’ai été pris par le rythme, en gardant une certaine distance avec l’image, j’y ai même vu un humour…très noir et macabre !!! En tout cas après Le Caire confidentiel…quel été pour le Polar !!!!
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 22 août 2017
    Après "La Isla Minima" l'année dernière et "La Colère d'un homme patient" cette année, le thriller espagnol est en train de gagner ses lettres de noblesse. "Que Dios nos perdone" pourra en témoigner, les hispaniques ont le sens de l'enquête et le talent nécessaire pour élaborer des personnages sombres et torturés. Sur le fil du rasoir, l'histoire du film de Rodrigo Sorogoyen se concentre sur deux flics, images centrales de l'oeuvre, rongés par la brutalité et la colère et qui ont, chacun, leur façon bien à eux de contenir ces pulsions. Si Dieu pardonne, les deux policiers espagnols semblent être à la recherche de cette absolution qu'ils trouveront sans doute en coinçant un serial killer fautif de la pire des horreurs : les viols et meurtres en séries de femmes âgées. Suintant l'agressivité et le malaise, le film de Sorogoyen dépeint une époque agitée où les gardiens de la paix sont devenus des loups au centre d'un monde de plus en plus bouillant comme cette scène où une jeune femme refuse de laisser entrer les enquêteurs chez elle car un de ses amis a été violenté lors d'une manifestation par les forces anti-émeutes. La seule issue pour sauver la face semble être l'arrestation d'un meurtrier perturbé, parodie malsaine d'une société patriarcale et traditionnelle qui traite les femmes avec violence et mépris. "Que Dios nos perdone" dépeint avec turbulence le portrait de 3 hommes tourmentés par leur colère et la frustration qui en découle. Dans un Madrid à la croisée des générations, la traque du mystérieux tueur donne lieu à des scènes explosives où le talent des acteurs dévore l'espace. Thriller passionnant qui privilégie le développement de ses personnages à un jeu de pistes névrosé, le film de Sorogoyen est une plongée impressionnante dans la psyché d'hommes luttant contre leurs démons intérieurs. Dommage seulement que le contexte et la toile de fond de cet été 2011 agité n'ait pas pris une part plus
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 22 août 2017
    Un film dont l'atmosphère vous plonge au coeur d'une enquête policière qui semble avoir toujours un train de retard par rapport aux passages à l'acte du tueur en série.
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