Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
Transfuge
par Frédéric Mercier
À ce Paris inédit, Baer inocule, avec moins de désinvolture que par le passé, le meilleur de la grande comédie américaine.
20 Minutes
par Caroline Vié
Cette série de rencontres, tour à tour drôles et poignantes, permet de brosser, dans la tradition d’un cinéma français aux dialogues ciselés, le portrait d’un homme enfantin que sa mauvaise foi chronique rend attachant.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Isabelle Danel
Luigi, c’est Édouard Baer, tornade d’énergie, qui confère à son personnage toute sa puissance comique, son énergie ravageuse et sa mauvaise foi agaçante. Il est génial, il est la vie même.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Gala
par Nora Sahli
Edouard Baer nous séduit avec son nouveau film, drôle et poétique.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Si les allergiques à Edouard Baer passeront leur chemin, les autres savoureront ce festival de répliques ciselées, de situations ubuesques, de charme mi-aristo mi-enfantin. Ce road-movie fantasque se mue en récit initiatique lorsque se révèlent les failles émouvantes de ce pitre enchanteur.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une balade nocturne dans un Paris poétisé, menée par un ludion burlesque et mélancolique : l’univers d’Édouard Baer, avec sa lumière souriante et ses ombres secrètes.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Édouard Baer réussit en faux dilettante sa "Traversée de Paris" où il serait Gabin et Bourvil à lui tout seul. Son film est foutraque comme un chapitre de Pascal Jardin, doux comme un pull en cachemire mouillé de larmes, d'une mélancolie gaie, très Henri Calet.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
De solides personnages et un scénario qui montre une existence encore plus jolie quand elle est en vrac.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Peu à peu, les lignes de fuite deviennent lignes maîtresses, les digressions des arguments principaux, et le film déploie avec une grande élégance cette petite mécanique de la nuit élastique.
Positif
par Philippe Rouyer
Ces limites ne suffisent pas à gâcher le plaisir d'une errance qui s'appuie sur la belle lumière d'Yves Angelo pour donner de l'épaisseur à la nuit.
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Une comédie sensible et poétique. Édouard Baer à son meilleur.
Sud Ouest
par La Rédaction
Une comédie pleine de charme où Édouard Baer fait le cabot avec élégance et rend un bel hommage aux saltimbanques.
Télérama
par Jérémie Couston
Hymne à la tchatche, à l'imprévu, au hasard des rencontres, à cette capacité qu'a la nuit d'abolir les frontières entre les gens et les classes, le film est aussi une déclaration d'amour à la Ville lumière, filmée avec fougue et sans clichés.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Sous ses sympathiques allures d’All That Jazz miniature, le film bute encore sur l’éternelle question de l’entre-soi qu’il aurait été bon de faire voler en éclats.
L'Express
par Eric Libiot
Le film n'est jamais passionnant, mais toujours chaleureux.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Si ça n’a pas le grain de folie et le sens de l’absurde de ses précédentes réalisations, ce n’est pas déplaisant, mais cela fluctue beaucoup suivant les épisodes. Le clown s’assagit.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Fort de son humour décalé et de sa belle énergie, Édouard Baer nous emmène dans un road-movie burlesque et ubuesque dans la capitale (...). On apprécie le charme de Sabrina Ouazani et la tendresse d’Audrey Tautou. Mais parce que le temps du théâtre n’est pas celui du cinéma, le happening permanent s’étire un peu trop à l’écran.
Le Monde
par Thomas Sotinel
"Ouvert la nuit" est un film irritant et charmant, un gros caprice d’artiste – un artiste comme on le voyait au milieu du siècle dernier depuis la province, une créature fantasque qui soumet les gens comme les autres à sa tyrannie.
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un tendre road movie nocturne, dans un univers dont Édouard Baer a le secret.
Ouest France
par La Rédaction
Loufoque, poétique et généreux.
Première
par Éric Vernay
Dans ce regard plus cruel que prévu, Baer finit par trouver son clown triste. Aussi maladroit qu'attachant.
VSD
par Olivier Bousquet
Un "After Hours" à la sauce Baer. Attachant.
Voici
par La Rédaction
Du Edouard Baer pur jus : le loufoque, la poésie de l'absurde et la mélancolie.
Libération
par Didier Péron
Quelle que soit la sympathie que l’on garde pour le comédien Baer et son intarissable énergie de bateleur, on s’explique mal ce besoin de se remettre en scène dans une simple déclinaison de lui-même.
La critique complète est disponible sur le site Libération
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Entre loufoquerie et fantaisie déjantée, une traversée nocturne de Paris au rythme incertain.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Transfuge
À ce Paris inédit, Baer inocule, avec moins de désinvolture que par le passé, le meilleur de la grande comédie américaine.
20 Minutes
Cette série de rencontres, tour à tour drôles et poignantes, permet de brosser, dans la tradition d’un cinéma français aux dialogues ciselés, le portrait d’un homme enfantin que sa mauvaise foi chronique rend attachant.
Bande à part
Luigi, c’est Édouard Baer, tornade d’énergie, qui confère à son personnage toute sa puissance comique, son énergie ravageuse et sa mauvaise foi agaçante. Il est génial, il est la vie même.
Gala
Edouard Baer nous séduit avec son nouveau film, drôle et poétique.
La Croix
Si les allergiques à Edouard Baer passeront leur chemin, les autres savoureront ce festival de répliques ciselées, de situations ubuesques, de charme mi-aristo mi-enfantin. Ce road-movie fantasque se mue en récit initiatique lorsque se révèlent les failles émouvantes de ce pitre enchanteur.
Le Dauphiné Libéré
Une balade nocturne dans un Paris poétisé, menée par un ludion burlesque et mélancolique : l’univers d’Édouard Baer, avec sa lumière souriante et ses ombres secrètes.
Le Figaro
Édouard Baer réussit en faux dilettante sa "Traversée de Paris" où il serait Gabin et Bourvil à lui tout seul. Son film est foutraque comme un chapitre de Pascal Jardin, doux comme un pull en cachemire mouillé de larmes, d'une mélancolie gaie, très Henri Calet.
Le Parisien
De solides personnages et un scénario qui montre une existence encore plus jolie quand elle est en vrac.
Les Inrockuptibles
Peu à peu, les lignes de fuite deviennent lignes maîtresses, les digressions des arguments principaux, et le film déploie avec une grande élégance cette petite mécanique de la nuit élastique.
Positif
Ces limites ne suffisent pas à gâcher le plaisir d'une errance qui s'appuie sur la belle lumière d'Yves Angelo pour donner de l'épaisseur à la nuit.
Studio Ciné Live
Une comédie sensible et poétique. Édouard Baer à son meilleur.
Sud Ouest
Une comédie pleine de charme où Édouard Baer fait le cabot avec élégance et rend un bel hommage aux saltimbanques.
Télérama
Hymne à la tchatche, à l'imprévu, au hasard des rencontres, à cette capacité qu'a la nuit d'abolir les frontières entre les gens et les classes, le film est aussi une déclaration d'amour à la Ville lumière, filmée avec fougue et sans clichés.
Cahiers du Cinéma
Sous ses sympathiques allures d’All That Jazz miniature, le film bute encore sur l’éternelle question de l’entre-soi qu’il aurait été bon de faire voler en éclats.
L'Express
Le film n'est jamais passionnant, mais toujours chaleureux.
L'Humanité
Si ça n’a pas le grain de folie et le sens de l’absurde de ses précédentes réalisations, ce n’est pas déplaisant, mais cela fluctue beaucoup suivant les épisodes. Le clown s’assagit.
Le Journal du Dimanche
Fort de son humour décalé et de sa belle énergie, Édouard Baer nous emmène dans un road-movie burlesque et ubuesque dans la capitale (...). On apprécie le charme de Sabrina Ouazani et la tendresse d’Audrey Tautou. Mais parce que le temps du théâtre n’est pas celui du cinéma, le happening permanent s’étire un peu trop à l’écran.
Le Monde
"Ouvert la nuit" est un film irritant et charmant, un gros caprice d’artiste – un artiste comme on le voyait au milieu du siècle dernier depuis la province, une créature fantasque qui soumet les gens comme les autres à sa tyrannie.
Les Fiches du Cinéma
Un tendre road movie nocturne, dans un univers dont Édouard Baer a le secret.
Ouest France
Loufoque, poétique et généreux.
Première
Dans ce regard plus cruel que prévu, Baer finit par trouver son clown triste. Aussi maladroit qu'attachant.
VSD
Un "After Hours" à la sauce Baer. Attachant.
Voici
Du Edouard Baer pur jus : le loufoque, la poésie de l'absurde et la mélancolie.
Libération
Quelle que soit la sympathie que l’on garde pour le comédien Baer et son intarissable énergie de bateleur, on s’explique mal ce besoin de se remettre en scène dans une simple déclinaison de lui-même.
aVoir-aLire.com
Entre loufoquerie et fantaisie déjantée, une traversée nocturne de Paris au rythme incertain.