Avis sur White Girl

Alcool, sexe, drogue : la descente aux enfers d'une jeunesse perdue. Cela pourrait être la phrase d'accroche d'une célèbre émission de reportages, mais non, il ne s'agit que de "White Girl", un film qui porte un nom à double sens et qui raconte donc la spirale infernale d'une jeune femme après sa rencontre avec un dealer. Pour son premier film, Elizabeth Wood n'y va pas par quatre chemins et fait vivre tout ce qui est possible à son héroïne qui va se défoncer, prendre tout ce qui lui passe sous la main et s'envoyer en l'air avec tout ce qui bouge. La rencontre avec son prince charmant n'est pas un déclic puisque dès le début, on remarque qu'elle a un comportement déluré donc ce n'est qu'une suite logique. Le film n'est pas choquant, mais bien trash et en ne se focalisant que sur ça, la réalisatrice oublie tout le reste notamment la psychologie de Leah qui devient un personnage peu attachant à l'image des autres d'ailleurs. Vu sous cet angle, c'est difficile de se prendre d'affection pour eux ou de se reconnaître dans les situations et ce qui finit par faire défaut au film qui est totalement dans l'excès. J'ai trouvé le film moyen, il se laisse regarder, car c'est bien rythmé et que la forme est sympathique, mais le fond laisse à désirer, il n'y a finalement rien qui est traité.

Un film drogue, sexe & rock and roll, qui se veut trash et déjanté et qui nous conte une sorte de descentes aux enfers. Leah ,une jeune fille de la classe moyenne tombe amoureuse d’un voyou, petit dealer , alors qu’elle arrive à N.Y. pour suivre sa 1ere année de fac . Mais très vite beaucoup de clichés et une impression de « déjà vu » , avec tous ces petits dealers , l’abus de Coke dans les soirées, et les fêtes speedés. La Jeune Fille qui a récupéré une paquet de 300 g volé ,fera tout pour faire libérer son petit copain voyou arrêté à tort. Trafic , sexe avec n’importe qui , soirée VIP débridées, c’est très trash , mais trop caricatural, on n’y crois pas , trop de speed . Le film ne tient que par l’excellente interprétation de Morgan Saylor, superbe , alternant la naïveté , la candeur , une ingénuité perverse , la douceur et puis la fureur , la sensualité, une capacité à faire des mimiques très étonnante à vivre ces situations hors norme à fonds .Elle donne une vraie vitalité au film , et surclasse tous les autres. Une future grande assurément qui a d’ailleurs beaucoup tourné depuis ce petit film série B trash, dont elle est la révélation et qu’elle illumine de toute sa grâce et sa fraicheur. Un film qui se veut Underground mais trop banal au final, rempli de poncifs éculés...

"White girl" est un film assez brouillon et pas toujours convaincant mais qui scénarise une certaine réalité!

Alors pourquoi une personne regarderait-elle un film avec peu ou pas de valeurs rédemptrices. Vous vous poserez cette question toutes les dix minutes au fur et à mesure que ce film s'écoulera. Il y a des gens dans ce film que vous détesterez et dont vous ne vous soucierez pas. Le personnage principal féminin exploite sa propre dépravation et vous remettrez en question la logique de base de son comportement. Elle fait certaines des erreurs les plus profondes au début du film mais elle continue à les commettre tout au long de l'histoire. Et le thème a été déjà vu et s'il devait y avoir une valeur de choc elle a été perdue dans la livraison du scénario et de la réalisation. Pourquoi devrions-nous nous préoccuper d'un autre consommateur de drogue. Pourquoi devrions-nous investir dans la relation entre elle et son petit ami dealer de drogue. Nous avons vu ce cliché trop souvent pour nous en soucier. Le manque de bon sens de cette fille et vous crient dessus. Chaque minute qui passe vous donne envie de mettre fin au film parce que c'est de pire en pire. Il était censé être basé sur des événements réels alors je plains la personne dont la vie est basée sur ca parce que chaque moment était tellement stupide. White Girl est un film moche où chaque personnage était méprisable. Le patron, le colocataire, le petit ami, les autres dealers, les flics, l'avocat il n'y avait pas de personnages sur lesquels on pouvait mettre la lumière. Personne ne peut être aussi ouvertement naïf et espérer survivre à New York comme ca...

La photographie est splendide, on sent la capacité à retranscrire une ambiance, mais le scénario un peu vain et l'interprétation horripilante de Morgan Saylor affaiblissent grandement l'ensemble.

Je suis toujours mal à l’aise devant ces images de jeunes qui se droguent, dealent et dont la sexualité débridée n’appartient pas à ma conception de la vie, d’autant plus que je sais qu’il n’y a aucune possibilité de les raisonner. Ce film se veut un témoignage de cette déchéance dans notre société moderne. Je ne saurai dire si c’est bien ou mal joué, si le scénario est réaliste car je ne fréquente pas ce milieu que je n’apprécie pas, donc pas plus de commentaires sur un film que je vais vite oublier.

White girl ou le titre de film super révélateur et en fait qui déçoit a mort. ...

L'histoire est intéressante et super provoquante et certaines scznes sont carrément a limite du moins de 18 et jaime ça cettz façon de tt montrer ( sexe drogue diler...) mais attention faut que cela soit construit

Je n'ai pas vu une histoire qui déroule, j'avais l'impression que je regardais un film documentaire sur la vie quotidienne des jeunes..... En plus les scène de sexe n'ont aucun enchainement dans le film ...

Histoire d'une technopouf sans ambition pour elle-même. Le film n'est à première vue pas très bon, pourtant on s'y attache un peu malgré tout. Certains plans méritent le détour même si je m'attendais à une fin moins évidente et plus réfléchie.

Film assez long à démarrer, mais au final plutôt sympa. La première demi heure est plate et limite sans intérêt, mais le reste du film est sympa à voir.

J ai lu le synopsis du film et la j ai cru halluciner //elle est amoureuse// , je connais des filles qui sont amoureuse et qui le démontrent autrement. Cette fille trahit don compagnon couche avec tous le monde met en danger la vie de son compagnon et elle est amoureuse. rire.
j’aurais aimé qu’elle ne s’en tire pas et qu’elle aille en prison à la fin du film car elle a commis un nombre équivalant de délits que son compagnon en cellule qui ne mérite pas ce qui lui est arrive a la fin. Pourquoi cette femme passer entre les gouttes et s’en sort sans dommages en reprenant même les cours en classe comme si de rien était, ont avait presque oublié. les études. Encore un de ces films sans morale où il faut épargner les femmes.

Ce film fait l'effet d'une bombe, entre Kids de Larry Clark et Bad Lieutenant d'Abel Ferrara! Un renouveau du cinema New Yorkais que l'on attendait depuis longtemps, Il n'a pas le succès qu'il mérite bien qu'il ait été justement primé à Sundance.

Le pitch, simplissime, a déjà été utilisé moults fois. Mais en mieux. Dans le genre sexe, drugs et rock and roll ( electro ici ) on a vu pas mal de chefs d'oeuvre. Mais pas là...Ce n'est pas la faute de l'actrice qui s'en sort très bien dans un rôle difficile. On a droit a des scènes crues, mais n'est pas Gaspar Noé ou Darren Aronofsky qui veut...Même si les scènes où l'actrice est cocaÏnée à 200 % sont plutôt pas mal, on voit que la réalisatrice a connu la coke. Moi aussi. Et le ressenti que l'on éprouve en consommant cette drogue est plutôt bien mis en forme. Mais l'histoire est acadabrantesque ! Dans la réalité, spoiler: le dealer serait mort et l'avocat n'aurait pas bossé gratuitement contre une relation sexuelle non consentie.
, quand on fait ce genre de conneries spoiler: ( voler 250 grammes de coke )
, les choses se passent beaucoup plus mal. Le film aurait du mal se terminer or ce n'est pas le cas. Choix de la réalisatrice ? VChoix de la production ? Mauvais choix en tous cas. Tout ceci manque de brutalité, et c'est paradoxal pour un film qui s'en défend mais après tout, nous sommes chez les bobos de Bushwick, Brooklyn. Et le film s'adresse à un public non converti.

Une sacrée descente aux enfers . La petite blonde paumée , délurée et inconsciente , entrevoit un milieu dolt elle ne connaît rien ou peu de choses . Ça fonctionne bien pour qui connaît New York et les fêtes VIP glauques . Le film dérange par son côté cru et sans filtre : maquillage , fringues , couleurs … c’est trash mais malheureusement honnête . La petite blanca qui s’acoquine avec le petit dealer et le fait rêver .. brise à peu près tout sur son passage .. le privilège blanc en filigrane . Bien joué d’un côté et mollasson de l’autre , pourtant on continue . Belle réalisation !

C'est l'histoire de Leah, une jeune femme paumée, naïve, innocente, fofolle, libre sexuellement, qui veut s'éclater, qui aime l'aventure et n'a peur de rien. Elle est têtue et ignorante sur le monde qui l'entoure, ne se rend pas compte du danger et donne sa confiance à n'importe qui. Il lui manque un cadre, une éducation. On peut supposer qu'à la fin les études la sauveront.
C'est un film qui représente la fougue de la jeunesse, l'intensité du sentiment amoureux et ce qu'il peut nous pousser à faire.
C'est un film tragique qui dépeint les ravages de la drogue et qui nous met en garde contre l'addiction.
C'est un film qui depicte bien l'humanité dans tous ses travers. L'héroïne, incroyablement bien jouée par Morgan Saylor, est imparfaite, mais elle est finalement la moins pire de tous les personnages. Elle fait des mauvaises rencontres et fait l'erreur de faire confiance à des gens malveillants qui abusent de sa naïveté. Son copain la met d'ailleurs en garde dès les premières minutes du film "c'est pas prudent de parler à des gens que t'as jamais vu". Un film qui nous met en garde. Un bon film.