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    La Forme de l'eau - The Shape of Water
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    1 113 critiques spectateurs

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    Thomas Roavina
    Thomas Roavina

    23 abonnés 348 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 juin 2018
    La forme de l'eau a beaucoup de qualités. C'est beau visuellement, l'idée est belle, c'est merveilleusement interprété. Il y a des séquences qui prennent le cœur comme sait le faire Del Toro et l'intrigue est super bien mené. Mais le tout pâtit d'une certaine naïveté dans les intentions de Del Toro. Certaines séquences plombent le film. Ça manque un peu de rythme au milieu je trouve. L'histoire du dessinateur est très prenante, l'acteur qui joue ce rôle, le joue super bien. Il y a de quoi pleurer c'est vrai. Michael Shannon est terrifiant à souhait. Ce mec joue bien les rôles inquiétants. Dans certaines scènes ces mâchoires font vraiment flipper, lorsqu'il interroge les deux filles, tu a l'impression qu'il sait tout. Son personnage est très bien écrit. J'aime les plans circulaires de Del Toro cela donne un rendue émotionnel et esthétique vraiment réussi. A la fois lent et rythmé, cela donne du suspense au récit qui se prête vraiment à ça. Mais comme souvent dans les films de Del Toro, il manque un peu de densité sur le milieu. Ses films commences et termines toujours bien mais à chaque fois l'histoire deviens un peu molles au milieu.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 11 juin 2018
    Cela ne vous aura pas échappé, une majorité de personnes s'emballe sur ce film comme s'il s'agissait de la révélation de l'année. Allons donc. Il n'y a qu'un mot qui me vient à l'esprit quand je constate le succès retentissant de ce film : incompréhension.

    Et pourtant, je n'ai rien contre le travail de Guillermo del Toro, dont j'ai beaucoup apprécié Le Labyrinthe de Pan. J'aurais aimé apprécier La Forme de l'eau comme j'ai aimé la féerie noire du Labyrinthe de Pan (2006), tout comme j'aurais aimé apprécier davantage Crimson Peak (2015). Mais les faits sont là : The Shape of the Water m'a tout bonnement laissée de marbre.

    Il ne s'agit pourtant pas d'un mauvais film. Si la technique semble maîtrisée, le scénario cohérent et l'ensemble plutôt plaisant à regarder (Même si j'avoue m'être ennuyée au cours de ces deux heures de séance, la fin étant bien trop prévisible), The Shape of the Water n'est pas parvenu à combler mes attentes.

    Bourré de références, le nouveau film de Del Toro ne cache pas son affection pour le cinéma de Jean-Pierre Jeunet. Peut-être même beaucoup trop. De l'ingénuité et du character-design de l'héroïne jusqu'à l'esthétique du film et des décors qui ont beaucoup plus l'air d'avoir été tourné dans une cage d'escalier parisienne rétro que dans le Baltimore des années 60, en passant par la musique (Primée aux Oscars...) d'Alexandre Desplat, TOUT transpire Le Fabuleux destin d'Amélie Poulain. Sans compter des éléments du scénario, comme le rituel matinal d'Elisa (répété machinalement deux fois de suite histoire que le public ait bien imprégné qu'il s'agit d'une trentenaire solitaire dont le train-train se cantonne à réveil - bain - onanisme - petit dèj - boulot - retour à la maison) qui résonne comme du Amélie Poulain tout craché.

    Honte à moi, je n'ai pas particulièrement apprécié Le Fabuleux destin d'Amélie Poulain. Je lui reconnais un style propre à Jeunet, celui de filmer l'ordinaire du quotidien et d'en transformer les détails en quelque chose d'extraordinaire, à la limite du fantastique ; l'intention de Guillermo Del Toro était sans doute de rendre hommage à cette patte artistique pour incorporer le fantastique au quotidien de son héroïne, Elisa, mais je trouve le rendu beaucoup trop chargé pour ne pas paraître grossier. Plus qu'y faire référence, le film a presque l'air d'en pomper toute l'essence.

    Tiens, un peu comme si l'histoire d'Harry Potter avait eu lieu en Terre de l'Entre-deux et que son héros Frelon Shaggins recevait l'aide du magicien Granhalf pour aller détruire un collier magique appelé le Seul dans les flammes du Mormor... Ce genre-là tu vois. Avec le thème de l'Anneau joué à l'Ocarina histoire que la référence ne soit pas trop obvious.

    L'esthétique du film n'a elle aussi pas réussi à me convaincre. Avec une dominance des tons bleus-verts, une atmosphère chargée d'humidité pour rappeler l'eau des marais d'où la créature est issue, elle me rappelle beaucoup trop les codes déjà présents dans Crimson Peak et Le Labyrinthe de Pan, lesquels avaient respectivement une dominance des couleurs rouges et bleues. Pas de quoi crier subitement à l'inédit ("Oh mon Dieu, il avait d'abord pensé réaliser son film en noir et blanc, et au final il a décidé de le faire en vert, quel génie !" Oui bah l'idée elle lui vient d'où à ton avis ?), puisque ce n'est finalement qu'une redite de ce qu'il avait déjà expérimenté avant. Pas de quoi se sentir dépaysé ou projeté en dehors des sentiers battus donc.

    Une autre référence que Guillermo Del Toro n'a pas cachée, c'est celle faite au film La Créature du marais réalisé par Wes Craven et sorti en 1982. Véritable nanar, La Créature du marais est resté mémorable du fait de la direction de Wes Craven, mais n'en reste pas moins un film de série B tout juste divertissant.

    L'esthétique de la créature du lac de The Shape of the Water ainsi qu'un énorme pan du scénario sont tout droits inspirés, pardon, copiés de ce film. Lui-même inspiré du conte de La Belle et la Bête, ce qui vient tout droit se référencer au long-métrage éponyme de Cocteau : Bingo, nous avons un numéro gagnant !

    Dans les grandes lignes, The Shape of the Water raconte la rencontre entre Elisa, agent de maintenance d'un laboratoire top-secret du gouvernement américain, et une créature du lac destinée à devenir une arme redoutable contre l'ennemi soviétique (Pourquoi, comment, personne ne le sait, puisque tout ce que sait à première vue faire ce batracien humanoïde, c'est manger des œufs durs, apprendre le langage des signes et danser sur des airs populaires des années 60...) Mais le scénario va très vite s'égarer dans des ramifications alambiquées pour mener à des tenants et aboutissants que seul Del Toro saurait expliquer : pourquoi est-ce que les Russes veulent à tout prix détruire/s'accaparer la créature, pourquoi est-ce qu'on nous montre ces scènes d'espionnage ? Pourquoi est-ce que ça parle de racisme Blancs/Noirs dans les restaurants familiaux américains ? Quel est le rapport avec l'homosexualité sous-entendue du voisin d'Elisa ? Est-ce que les scènes où ce dernier rencontre son employeur afin de lui montrer ses récents travaux picturaux dans la publicité ont un rapport avec l'intrigue principale, sinon qu'est-ce que Diable ça fiche là ? Ah bon, le film parle aussi de féminisme ? Eh bah mon vieux, c'est complet.

    À côté de ça, les scènes exposant les prémices de la relation unissant Elisa à la créature ne se font pas légion, si bien que la nécessité qui s'impose à elle de sauver la bestiole des vilains américains n'est pas d'une grande évidence pour le spectateur (Mais bon, puisqu'elle est convaincue qu'il le faut, c'est qu'il le faut... !

    La suite du scénario n'en est que prévisible : spoiler: la relation amoureuse entre la femme et la créature ne nous surprend guère, et son sauvetage à la Sauvez Willy non plus (Avec un plan d'action pour le kidnapping aussi calibré que celui du Scooby gang en mode YOLO qui ferait presque passer les gros bras de l'armée américaine pour de grands amateurs...)
    En bref, Del Toro semble vouloir gaver son film à ras-bord de messages sans aboutissements en délaissant au passage l'histoire principale, celle de la naissance d'un amour impossible entre une bête aquatique et une humaine. Car oui, cela parle bien d'amour, le réalisateur lui-même ayant expliqué le titre de son film en ces termes : "L’eau prend la forme de son contenant, mais malgré son apparente inertie, il s’agit de la force la plus puissante et la plus malléable de l’univers. N’est-ce pas également le cas de l’amour ? Car quelle que soit la forme que prend l’objet de notre flamme – homme, femme ou créature –, l’amour s’y adapte."

    Bon, je suis mauvaise langue : on a quand même le plaisir d'assister à une scène de Musical totalement hors de propos où l'héroïne chante son amour et danse avec son amant de chair et d'écailles.

    Pour parfaire le tableau, je n'ai pas vraiment trouvé le casting du film transcendant : Sally Hawkings (Elisa), muette durant le film, se contente d'afficher un constant caractère ingénu et malicieux à la limite de l'agacement ; c'est son amie Zelda Fuller, interprétée par Octavia Spencer, qui se charge majoritairement de meubler (d'inonder) le film de monologues : un duo qui malheureusement ne réussit pas à convaincre le spectateur et attirer son affection.

    Seul Michael Shannon (Interprétant le méchant vraiment méchant Richard Strickland) parvient un peu à surprendre au début, puis tombe irrémédiablement dans une parodie du vilain militaire fou qu'il incarne.

    Pour conclure, l'engouement suscité par The Shape of the Water n'est à mon sens pas mérité, et difficilement compréhensible. Réussi dans l'ensemble, il ne parvient cependant pas à se démarquer des œuvres qu'il prend pour références et n'en tire pas spécialement parti. Décevant dans son ambiance, son esthétique et son scénario, certaines scènes restent cependant remarquables et belles bien qu'attendues (Je pense notamment à la scène où Elisa spoiler: [spoiler]emplit sa salle de bain d'eau pour avoir un rapport charnel avec la créature du lac ainsi qu'à la scène de fin, représentée sur l'affiche du film.)


    Pas vraiment captivant, son message véritable noyé sous un flot d'informations dont on n'a finalement pas grand chose à faire, The Shape of the Water ne fera certainement pas parti de mes coups de cœur de cette année 2018.

    Pour lire d'autres de mes critiques, rendez-vous sur le site www . geekmediachroniques . com !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 9 juin 2018
    Juste waw, quel belle histoire, j'ai adoré ce film, un mélange de fantastique et romantique qui se mélange parfaitement.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 9 août 2018
    Très beau film, plein de poésie. La lumière et la photo apportent ce grain et cette ambiance si particulière qui ne font que vous immerger encore plus dans un univers onirique.
    Aoris
    Aoris

    17 abonnés 110 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 8 juin 2018
    Pour résumer le film en une phrase: "Amélie Poulain couche avec l'homme poisson de Hellboy comme dans Splice".
    Pour développer un peu plus, mélanger des films ça n'a jamais fait un nouveau film.
    Surtout que là le pompage est tellement violent que ça en devient complètement ridicule, comme de la chanson française et de l'accordéon juste pour faire comme Amélie Poulain, sauf que ça se passe pas du tout en France et qu'aucun personnage n'est français.
    Chuck Carrey
    Chuck Carrey

    288 abonnés 576 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 juin 2018
    Je l'aime Guillermo. Pas seulement parce qu'il est un excellent réalisateur, aussi parce que ce mec est un véritable artiste dont la vocation première est de raconter des histoires. Que ce soit sous forme de long-métrages ("Le Labyrinthe de Pan", "Pacific Rim") mais également sous forme de séries live ("The Strain") ou animées ("Chasseurs de Troll") et même sous forme de livres (la trilogie de La Lignée) ou encore de BD ("The Strain", là aussi). Lui ce qu'il veut, c'est raconter des histoires qu'il a écrites et qu'il aime. Il nous les partage par tous les moyens qu'il a à sa disposition. Car Guillermo, c'est avant tout un passionné, un amoureux des contes et des fables. Et cet amour transpire dans chacune de ses œuvres. Voilà pour quoi j'aime Guillermo del Toro.

    J'ai beau crié mon admiration pour le bonhomme, je reconnais tout de même que cela ne rend pas pour autant chacune de ses œuvres passionnante et marquante. "Cronos" et "L’Échine du diable" sont par exemple fort sympathiques, mais on sent qu'il manquait encore d'expérience lorsqu'il a réalisé ces films. En revanche, on pouvait déjà y déceler son talent, en tant que réalisateur, et également en tant que scénariste. Les histoires de ces deux long-métrages étant plutôt originales et bien écrites.

    Avec le temps, Guillermo a gagné en savoir faire. Et désormais, il est au top. Enfin, ses pairs ont reconnu ses qualités en le récompensant à de multiples reprises pour "The Shape of Water", dont l'Oscar du meilleur réalisateur et du meilleur film. Des récompenses tout à fait méritées et qui font plaisir, car depuis le temps que notre cher del Toro se bat pour financer ses films, enchaînant parfois les abandons pour faute d'argent, mais continuant à toujours donner plus de passion à ceux qu'il parvient à réaliser, ces trophées viennent comme une forme d'accomplissement.

    Certains diront que La forme de l'eau ne mérite pas ces récompenses, qu'il est trop classique, trop formel. En vrai, ces gens n'ont pas tort. Oui, ce film est classique. Oui, ce film est formel. Mais ça ne l'empêche pas d'être très bon. Et c'est justement là tout le brio du cinéaste mexicain. Il parvient à donner beaucoup de personnalité et une vraie ambiance à son film qui le différencie des autres, malgré son côté classique.
    Par exemple, les personnages sont certes un peu clichés, surtout le méchant vraiment très méchant. Mais ça ne les empêche pas d'avoir une vraie présence à l'écran et de la contenance. En grande partie grâce au talent des acteurs évidemment, tous étant très bons. Mais également par la réalisation de del Toro et de petits détails, des idées qu'il a eues. La scène où Elisa et Giles dansent des pieds, assis sur leur canapé, est toute simple, elle ne dure pas plus de 2 minutes. Pourtant, rien qu'avec ce petit passage, le cinéaste nous montre la complicité qui lie ces deux personnages et les rend par la même occasion très attachants. Mis à part le grand méchant qui est détestable, tous les personnages sont attachants justement parce qu'ils sont bien écrits, dirigés et joués.

    Ce qui est fort aussi dans le cinéma de del Toro, c'est sa manière de mélanger à la fois le monde réel et le fantastique. De jouer avec plein de petites touches magiques et surnaturelles dans un monde très réaliste et calibré. Ce dernier est représenté par les habitudes, le rituel d'Elisa avant d'aller au travail (son réveil, la cuisson de ses œufs, son temps passé dans son bain...). Cette monotonie est cassée par l'arrivée d'un élément extraordinaire : la créature. Et ça, del Toro il le gère très bien. Il prend son temps avant de la faire entrer dans l'histoire et il varie les manières de la représenter. Il la rend à la fois intrigante, merveilleuse, amusante et puissante. Del Toro adore les monstres et il nous transmet cette passion via ses films. Et la créature de ce film est crédible. D'autant plus grâce à la qualité du costume, des maquillages et des effets spéciaux.

    Avec "The Shape of Water", Guillermo del Toro nous offre une oeuvre forte qui représente tous les aspects de son cinéma. Un cinéma rêveur, effrayant, magique, et surtout toujours honnête et fait avec passion. Les situations sont connues, mais le cinéaste mexicain y apporte sa patte pour nous conter une belle histoire fantastique, accompagnée de la douce mélodie d'Alexandre Desplats.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 4 juin 2018
    Le film n a aucun interet !!! L histoire d une femme muette un peu bizarre qui passe son temps a se toucher dans son bain et qui tombe amoureuse d un homme poisson ?...
    tifdel13
    tifdel13

    77 abonnés 491 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 juin 2018
    Lion d’Or au Festival de Venise 2017, La forme de l’eau a également décroché quatre Oscars dont celui du meilleur film (mais aussi ceux du meilleur réalisateur pour Guillermo del Toro, de la meilleur musique pour Alexandre Desplat et des meilleurs décors). Si le Mexicain méritait clairement de remporter la statuette, son dernier film un peu moins. On prendra ce prix comme une double récompense pour del Toro, cinéaste trop longtemps ignoré de l’autre côté de l’Atlantique par ses pairs.
    La Forme de l’eau est un beau film mais le réalisateur a...

    Venez lire ma critique et plein d'autres encore sur mon site screenreview.fr !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 31 mai 2018
    J'ai beaucoup aimé les plans du film et l'ambiance des scènes, plusieurs univers coïncidaient mais j'ai été un peu déçue par le graphisme du "monstre", j'avais l'impression de voir un simple humain costumé.
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    78 abonnés 1 737 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 mai 2018
    Lauréat de 4 Oscars en 2018 (dont celui de la meilleure musique pour le Français Alexandre Desplat, entré définitivement dans la cour des très grands), La forme de l'eau est le récit, sur fond de Guerre froide, d'une histoire d'amour entre une jeune femme muette et un humanoïde amphibien caché dans un laboratoire secret américain (rien que ça !). Si cette ode à la différence se laisse regarder avec grand plaisir, force est de constater que le long-métrage manque de quelque chose pour être le grand film qu'il aurait pu être. Peut-être de souffle, de profondeur ou de poésie.
    Adrien J.
    Adrien J.

    45 abonnés 119 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 juillet 2018
    J'ai énormément de mal à comprendre tout l'engouement autour de ce film. 13 nominations aux Oscars, 4 Oscars en récompenses, tout ça pour ça j'ai envie de dire. Nan c'est pas mauvais, loin de là, j'y trouve mêmes des qualités. Mais il faut dire ce qui est, ce film est mis sur un pied d'estal pour pas grand chose vraiment. La direction artistique est à saluer je suis d'accord, mais concernant le reste... comment dire, j'ai du mal à comprendre. Les acteurs sont bons mais les personnages ne sont pas intéressants.
    Didier L
    Didier L

    28 abonnés 222 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 mai 2018
    Faire appel à son âme d'enfant et accepter la naïveté et le manichéisme inhérents aux vrais contes.....et du coup, être enchanté, bouleversé, ému par cette fable humaniste sur la tolérance et l'acceptation de l'autre. Même si on ne peut s'empêcher de penser à "Délicatessen" ou "Amélie Poulain" de Jeunet, Guillermo del Toro livre un film d'une beauté plastique émouvante et une mise en scène d'une extrême fluidité. Ses acteurs que l'on a tous envie de citer (Sally Hawkins, Michael Shannon, Richard Jenkins ou Octavia Spencer) font corps avec le film pour lui donner un vrai sentiment d'universalité. Un bijou gothique.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 22 mai 2018
    Blague monumentale, quelle déception pour un film présenté comme un chef d’oeuvre de poésie, passé la scène d’ouverture très jolie on entre dans un univers réplique d’Amélie Poulain en moins bien où tout s’enchaine sans empathie particulière pour aucun des personnages. Michael Shannon acteur talentueux réduit à une caricature de personnage cruel et psychotique m’a le plus déçu, l’histoire sur le papier méritait mieux que ça.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 21 mai 2018
    La forme de l'eau c'est le mellieur film que j'ai vu en 2018, pace-que les personnages etais parfait pour le film. Elle a eu un coup de foudre avec il, et vice versa, et l'amour que les deux avons est trè belle car ella a laissé tout pour il. Et finalement, la forme comme il s'a pris elle avec il est trè belle!
    Loris G.
    Loris G.

    1 abonné 8 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 18 mai 2018
    Punaise ça faisait longtemps que je n'avais pas vu un daube pareil.
    L'histoire est nulle et sans intérêt (peut être une vague plaidoirie pour l'acceptation des différences, tolérance ect...). Je ne comprends pas les gens qui ont aimé ce film, peut être que ce sont les scènes nues qu'ils ont appréciées... mais si c'est l'histoire alors là je suis perdu.
    Film à éviter car même les Marvel sont plus intéressants (et c'est pas peu dire).
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