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    Un chat pour la vie
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    24 critiques spectateurs

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    Sylvain H.
    Sylvain H.

    2 abonnés 17 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 mars 2018
    Très bon film, touchant et sensible, mais la traduction française a été massacrée car NetFlix qui a voulu faire des économies, ce film méritait mieux.
    A regarder en VOST donc de préférence.
    FaRem
    FaRem

    7 398 abonnés 8 816 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 janvier 2017
    Roger Spottiswoode, réalisateur de notamment "Tomorrow Never Dies", adapte le roman autobiographique devenu best-seller de James Bowen. Ce dernier qui au début est un drogué décide de s'en sortir après une nouvelle expérience malheureuse qui le mène à l'hôpital seulement ce n'est pas facile de décrocher, mais Val qui croit en lui va lui montrer le bon chemin à suivre pour sortir la tête de l'eau. Cette preuve de confiance marque le début de sa nouvelle vie qui va prendre un vrai tournant lorsqu'il fait la rencontre de Bob, un chat errant. Ce n'est peut-être qu'un chat, mais c'est bien connu que c'est plus facile de se battre lorsqu'on a quelque chose à perdre et cette relation va totalement le porter et le motiver dans sa quête de rédemption. Ce feel good movie plein d'espoir se concentre sur cette seconde chance et écarte totalement les pensées négatives, mais sans pour autant cacher la difficulté de la tâche ainsi que les effets secondaires de cet état sur James, sur sa vie et son entourage. Ce qui est bien, c'est qu'il n'y a pas d'événements superficiels qui pourraient être ajoutés pour donner un côté larmoyant comme quelque chose qui pourrait arriver au chat par exemple. L'histoire va à l'essentiel, c'est sincère, émouvant et parfaitement incarné par Luke Treadaway qui affiche une fragilité touchante.
    Fred O
    Fred O

    3 abonnés 8 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 avril 2018
    très belle histoire de rédemption, d amitié, d amour et d espoir. un film qui donne ... juste Envie.
    Cineseba
    Cineseba

    37 abonnés 617 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 avril 2018
    « Le film « A street cat named Bob » est l’adaptation du best-seller international, « Un chat des rues nomme Bob » dont le récit est tellement vivant, simple et beau. C’est une amitié hors-commun née d’une rencontre au hasard, entre James Browen, un jeune ancien SDF Et toxicomane et un chat roux errant, Bob qui va bouleverser leur vie et leur carrière en l’aidant à s’en sortir de l’enfer : la dépendance à la drogue et la misère. On dirait un merveilleux conte, « Le chat botté » version britannique au XXIe siècle ... L’histoire d’un chat roux charmeur et protecteur , toujours aux côtés d’un jeune homme guitariste qui fait la manche, est étonnante et fascinante.

    Le film « A street cat named Bob » est sympa, agréable et touchant aussi ... Il y a de belles interactions entre le chat Bob très expressif et apparemment futé et James Browen tout simplement par leurs regards, leurs émotions et leurs mouvements. On suit leurs parcours à travers des quartiers assez animés de Londres. Un atout intéressant dans ce beau film : le chat roux qui joue dans le film, est le véridique Bob ! Wouah ! Il est envoûtant par sa pose majestueuse face au public ! Beau film ! »
    gandalf001
    gandalf001

    16 abonnés 952 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 avril 2018
    Le biopic de James Bowen est émouvant et envoie un message plein d'espoir. Il y a heureusement peu d'anthropomorphisme. Cependant la réalisation du film n'est pas terrible. Le film a manqué de moyen, surtout au niveau du doublage. Les sentiments sont mal retranscrits. Le film donne aussi un sentiment de malaise vis à vis de notre société, certes James s'en est sorti avec très peu d'aide mais comment faire pour que des jeunes ne tombent pas dans cette souffrance.
    Cyril J.
    Cyril J.

    23 abonnés 625 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 mai 2018
    Un nouveau dessin animé ? Un conte de fées ? De Noël peut-être ? peut-on penser en lisant le titre original, « Un chat des rues nommé Bob » (qu’il eût été pourtant facile de ne pas dénaturer). Non, juste le témoignage poignant de la renaissance d’une épave urbaine grâce à sa rencontre avec un chat-gouttière. D’après le best-seller vécu de James Bowen, cet hymne à la seconde chance nous plonge dans la vie d’un jeune clochard londonien, immigré australien, toxicomane, misérable, affamé, et complètement esseulé. Personnalité sensible et noyée dans une ancienne spirale vicieuse socio-familiale, il n’a de précieux que sa méthadone et sa guitare, avec lesquels il chante dans la rue pour renouveler sans trop savoir pourquoi ses piécettes de poche. L’adoption d’un chat roux, errant et blessé, qui le choisit comme compagnon et protecteur, l’implique avant même qu’il ne le réalise et redéfinit dès lors ses conditions sociales, alimentaires et intimes. Le chat, joué par Bob en personne, lui enseigne la responsabilité, la capacité à chérir et à être motivé, la volonté d’avoir une vie, l’envie d’être sobre, et même d’envisager une relation humaine sans honte avec sa voisine. Chat sur l’épaule ou sur la guitare, le duo vire en microphénomène de quartier et attire bientôt curieux, photographes et même journalistes…
    Cette craquante comédie dramatique touchera particulièrement ceux qui ont été altérés par la pauvreté, la drogue et les chats bien sûr, tout en s’adressant facilement aux enfants comme aux adultes, par sa grande tendresse autant que par sa dureté. La réalité de la misère et de l’hostilité urbaine ne s’inventent pas, ni l’ostracisme sociétal, pas plus que la perte psychologique du pouvoir de lutter, l’arrogance de certaines braves gens, les quelques personnes providentielles rencontrées ça et là, ou l’âpreté du monde des SDF et de la toxicomanie.
    Anna_
    Anna_

    14 abonnés 701 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 avril 2018
    J'ai été agréablement surprise par ce film : l'histoire est prenante et on s'attache assez vite aux personnages.
    Par contre à regarder en VOST impérativement : la VF est un vrai massacre !
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    6 173 abonnés 7 231 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 30 décembre 2020
    Un conte de fée comme en raffolent les ménagères et le public avide de téléfilms de Noël (entendez par là, des histoires très sotte & simpliste au possible et dont le dénouement vous fera verser une petite larme).

    Un chat pour la vie (2016) est l’adaptation du roman autobiographique "Un chat des rues nommé Bob" de James Bowen. Tout à commencé en 2010, lorsque l’Islington Tribune s’intéresse à l’histoire de James Bowen suite à ses apparitions publiques qui ne laissaient personnes indifférentes. Après un article en 2010, un agent littéraire s’est intéressé à l’affaire et un contrat a été signé avec une maison d’édition. Résultat, plus d’un million d’exemplaire vendus en Angleterre et le livre a été traduit en 30 langues. Et c’est ainsi qu’une adaptation a vue le jour, avec dans les rôles principaux Luke Treadaway (Attack the Block - 2001) ainsi que Bob lui-même (et bon nombre de ses doublures).

    Le film raconte comment James Bowen, alors en pleine cure de sevrage et inscrit à un programme de Méthadone, a vu sa vie basculer le jour il a fait la rencontre d’un adorable chat roux. Un chat des rues qu’il trouvera dans le couloir de son immeuble et qu’il finira par adopter, n’ayant pas réussit à retrouver son propriétaire.

    A la réalisation, on retrouve Charles Martin Smith, un habitué du genre puisqu’on lui doit bon nombre de film mielleux à destination de la famille, à commencer par le plus célèbre d’entre-tous, Air Bud (1997) premier du nom (et pas les 5 ignobles suites sorties entre 1998 & 2003), ajouter à cela, L'incroyable histoire de Winter le dauphin 1 & 2 (2011/2014), ainsi que L'Incroyable aventure de Bella (2019). Avec un pareil pédigrée, on savait clairement dans quelle mǝrde on allait se fourrer, encore fallait-il le savoir avant de visionner le film…

    Au final, il en résulte un feel-good movie très mièvre et cucul, rendant ses personnages très antipathique (Luke Treadaway vous tape sur les nerfs, avec son côté pleurnichard qui donne l’impression de porter la misère du monde sur ses épaules). Le film met un temps considérable à se mettre en route, il brasse continuellement du vent (les innombrables séquences où le héros parle à son chat comme s’il parlait à un teubé, en lui expliquant tout ce qu’il fait ou ce qu’il s’apprête à faire… ce n’est pas un nourrisson, juste un chat !). Très clairement, le film aurait gagné à être raccourcit et ne durer que 70min et non 100. On finit rapidement par trouver le temps long.

    La morale de l'histoire ? Si tu as le malheur d’être un junkie clochard, jouant de la gratte pour essayer de subvenir à tes besoins, personne ne lèvera les yeux sur toi. Alors que si tu es un junkie clochard, jouant de la gratte avec un chat, alors là, ça y est ! Plus personne à de la merde dans les yeux et tous se retournent sur ton chemin, te souris, te donnent une pièce et quémandent un selfie… Monde de mǝrde.

    Ce qui au départ, s’avérait une bien jolie idée (adapter l’histoire vraie d’un junkie sans abris qui change radicalement de vie suite à sa rencontre avec un chat), se transforme en une vulgaire opération mercantile, comme en témoigne cette triste succession de merchandising (8 livres ont vu le jour suite au succès du 1er, ainsi que deux adaptations dont celle-ci (qui rapporta 18 millions $ pour un budget de 8 millions) et suivie de A Christmas Gift from Bob (2020), dans lequel Luke Treadaway & Bob reprenaient leurs rôles. Bob étant décédé en juin dernier à l’âge de 14/15ans, peut-être était-ce le signe pour Bob qu’il fallait arrêter toutes ces conneries ? Après tout ce n’est pas une vie de chat que d’enchaîner les émissions télévisées (5 matinales et une en soirée), les séances de dédicaces et les nombreux tournages. Quand l’appât du gain est plus fort que tout…

    ► http://bit.ly/CinephileNostalGeek ★ http://twitter.com/B_Renger ◄
    Stargate
    Stargate

    254 abonnés 2 870 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 juin 2018
    Un chat des rues nommée Bob est un film bien joué, porté par un improbable duo, avec une histoire touchante. Et je dis ça sans mettre tout le crédit sur le dos du chat - pourtant, j'adore les chats - car finalement, ici, le chat représente l'espoir de s'en sortir pour le jeune sdf junkie. Celui-ci s'accroche à lui pour cette raison (et aussi parce que les chats sont mignons).
    A noter que plusieurs boules de poils se ressemblant ont tourné durant le film (fait vérifié au niveau du casting à la fin), car rester calme dans la rue et la foule lorsqu'on est un chat est loin d'être évident...
    Cinememories
    Cinememories

    439 abonnés 1 432 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 juillet 2022
    Les biopics et les récits historiques constituent le fonds de commerce du réalisateur britannique Roger Spottiswoode. Il poursuit avec une nouvelle adaptation autobiographique et nous emmène dans les rues d’un Londres, vu par un individu, dépassé par son échelle et les contraintes sociales qui le punissent. Après « J'ai serré la main du diable » et « Les Orphelins de Huang Shi », c’est une nouvelle complicité qui nous est donnée d’explorer. Un sans domicile fixe, fait la rencontre hasardeuse d’un chat qui changera à jamais sa vie, ce qui encourage nettement les lueurs d’espoir, même au plus bas d’un mental qui se fracture.

    Il gratte sa guitare, il gratte les miettes d’une vie réussie qui lui échappe. En plus d’être toxicomane, James Bowen (Luke Treadaway) galvanise son désespoir de jour en jour, ce qui le contraint à trouver une échappatoire au plus vite. Sa détresse n’est pas immédiate, car on prend le temps de nous le présenter dans sa routine et dans son quotidien en dents de scie. On nous l’introduit dans les couloirs humains, où la population afflue sans y prêter d’attention, à l’image d’une société obnubilée par le timing serré du travail et de la famille. Cependant, ces deux notions s’effacent peu à peu de l’univers de James, qui finit par être convaincu que sa situation peu s’améliorer, grâce à l’aide de son assistante sociale Val (Joanne Froggatt), en lui donnait sa seconde et dernière chance. Et c’est dans ce contexte de reconstruction qu’il va se redécouvrir et qu’il va pouvoir estimer et évaluer ce qui lui est nécessaire pour vivre avec une bonne conscience.

    Un chat fait irruption dans sa vie et une complicité commence à prendre forme. Il lui trouve un nom qui marchera dans ses pas. Et du point de vue d’un chat, il en découle une bonté, une caresse et une tendresse qui ne s’achète pas et qui ne se vend pas. Il s’agit d’une adoption mutuelle entre ces deux êtres perdus et qui partageront tout ce qui leur reste. Bob mise ainsi ses neuf vies sur celle de James et ne boudera pas en faisant mine de se taire à jamais. Il lui est reconnaissant et le cœur d’un animal est aussi sensible que le nôtre, si on se permet de considérer le concept de fraternité, voire de famille. Pour James, c’est plus difficile à encaisser, il est soumis à des vices, mais ne baisse pas les bras pour autant. Ce sera au contact de ses racines qu’il devrait trouver le repos et affirmer son émancipation. L’aventure se fait donc à deux, avec Bob présent pour épauler le modeste guitariste et chanteur des rues, mais qui parviendra à se faire entendre par ce beau monde qui l’a toujours rejeté.

    L’histoire vraie prend une saveur de conte à l’écoute et à la vue de cette aventure extraordinaire. De la descente aux enfers naît la rédemption. Et de cette rédemption naît une amitié digne du feel-good movie qui s’offre à nous. Mais l’ingéniosité de « A Street Cat Named Bob » n’est pas seulement due au charisme du célèbre chat roux, elle est dans ce discours positif qui saura éveiller nos émotions. Les perversions de la rue et de la société de consommation démontrent également qu’une minorité est dans le besoin, pas seulement chez les humains, mais chez tous les êtres vivants qui nous entourent et qui seraient susceptibles de nous accompagner dans notre vie. Rien n’est à négliger, rien n’est aussi irréparable qu’on ne le croit.
    Claude DL
    Claude DL

    75 abonnés 1 590 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 avril 2018
    Un film porteur de positif comme je ne me souviens pas avoir vu. Cette histoire vraie démontre que, avec l'aide d'une thérapie animale et quelques personnes, on peut remonter la pente de belle manière. Bravo à ces cinéastes anglais qui savent si bien raconter une histoire. Un détail : la version en VO est à choisir impérativement.
    Bearnais64
    Bearnais64

    34 abonnés 744 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 avril 2019
    L'incroyable histoire de James Bowen où sa rencontre avec un chat des rues à littéralement changer sa vie. Le film retrace la vie rémission de James Bowen. Cette histoire est une bouffée de fraîcheur et tous les personnages sont très attachants. Très bon film.
    Gustave Aurèle
    Gustave Aurèle

    105 abonnés 2 330 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 novembre 2018
    Si ce n'était pas une histoire vraie, le film n'aurait pas la même dimension et serait un peu trop pathos.
    Kev T
    Kev T

    37 abonnés 658 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 juillet 2018
    Film touchant sans éléments sur-joués. Les scénarios bien qu’attendus est, heureusement, soutenus par une trame dramatique qui nous rend morose.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 387 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 juillet 2020
    En tant qu'amoureux des chats j'en ai eu 27 a un moment de ma vie j'ai apprécié ce film. J'ai totalement étais lié au personnage principal de toutes les manières. Bien que traiter le sujet de la toxicomanie soit une question très difficile à couvrir mais je pense que ce film l'a bien couvert. Soulignant l'isolement du personnage principal, le détachement du monde extérieur et des gens en général et la rédemption qu'il a trouvée en rencontrant Bob un chat errant qui vient d'entrer dans sa vie. L'histoire touchante qui impliquait le développement de la relation entre lui et Bob était magnifiquement racontée. Le chat le fit à nouveau sourire et lui donna une raison de vivre. Ses compétences sociales avec les gens n'étaient pas bonnes mais avec le chat il devenait plus fort et plus heureux au fil des jours. C'était un film merveilleusement édifiant avec un excellent jeu d'acteur et Bob le chat était le meilleur d'entre eux...
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