Mon compte
    Moi, Tonya
    Note moyenne
    4,0
    4500 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Moi, Tonya ?

    286 critiques spectateurs

    5
    20 critiques
    4
    150 critiques
    3
    100 critiques
    2
    10 critiques
    1
    5 critiques
    0
    1 critique
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    videoman29
    videoman29

    222 abonnés 1 813 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 mars 2019
    « Moi, Tonya » raconte avec humour et réalisme la tumultueuse carrière de la patineuse américaine Tonya Harding. On découvre donc sa jeunesse, particulièrement houleuse, au sein d'une famille très modeste dominée par une mère alcoolique, agressive et totalement dénuée d'empathie. A force de volonté, la jeune Tonya parvient pourtant à faire son trou dans le petit monde du patinage artistique, finissant même par être acceptée dans l'équipe US, à l'aube des Jeux Olympiques de 1994. C'est alors que l'affaire Nancy Kerrigan éclate au grand jour... cette autre patineuse, rivale de Tonya, est cruellement blessée au cours d'une agression qui l'empêche de participer aux jeux. Le fait divers fait grand bruit outre-atlantique, d'autant que l'enquête pointe du doigt l’entourage directe de notre pauvre « héroïne ». Côté technique, la réalisation signée Craig Gillespie est finement travaillée et l'histoire se révèle suffisamment riche pour qu'on ne décroche pas un instant. Il faut dire que la distribution est également à la hauteur, Margot Robbie étant juste parfaite dans le rôle titre. Du coup on s'attache immédiatement à cette sportive complexe, sans doute pas totalement innocente mais qui a tout de même été victime d'une évidente injustice... A découvrir, donc, pour se faire une idée plus précise sur ce sport aux rouages secrets et compliqués.
    Ricco92
    Ricco92

    197 abonnés 2 108 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 février 2018
    L’entourage est-il très important pour faire une grande championne ? La question est posée. En tout cas, il peut être la cause de la destruction d’une carrière ! L’hallucinante affaire Harding-Kerrigan en est la preuve ultime. Moi, Tonya en fait la démonstration. Sous la forme d’un documentaire reconstitué (le récit est entrecoupé d’interviews réinterprétées par les acteurs du film), Craig Gillespie nous raconte sans le moindre ennui et la moindre surdramatisation (la bêtise des personnages amène de nombreux passages humoristiques permettant d’alléger une histoire qui pourrait être extrêmement lourde) cette histoire incroyable qui défraya la chronique à l’époque. Le cinéaste a l’intelligence de ne pas donner une vérité définitive à ce fait divers (dès le début, on nous indique que les témoignages des protagonistes sont contradictoires entre eux et le principe des interviews entrecoupant le récit permet de l’illustrer). Il arrive surtout à nous intéresser à une histoire où la majorité des personnages (même si Tonya Harding elle-même semble plus être une victime depuis son enfance qu’autre chose) sont soit des êtres détestables (la mère de Tonya) soit crétins (Shawn). Le seul point faible que l’on peut réellement trouver au film est le choix de faire incarner le personnage de Tonya Harding à Margot Robbie dès ses 15 ans. Si le jeu de l’actrice est irréprochable, elle est beaucoup trop âgée (27 ans) pour que l’on puisse croire qu’elle soit une adolescente : il aurait sûrement été plus judicieux de prendre une actrice adolescente (comme cela a été fait pour les passages où le personnage est enfant). Le problème peut d’ailleurs s’appliquer au personnage de Jeff (Sebastian Stan étant carrément âgé de 35 ans). À l’exception de ce petit reproche, Moi, Tonya se révèle donc être un très bon film très plaisant rappelant à quel point la bêtise et la jalousie peuvent entraîner des situations ahurissantes.
    patosud26
    patosud26

    97 abonnés 240 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 mars 2018
    Je vais commencer cette critique en racontant ma vie : J'ai grandi en regardant les compétitions de patinage artistique, ma mère adorant cette discipline. Comme chacun j'avais mes préférences, et elles n'allaient pas vers Tonya Harding ou Nancy Kerrigan, mais vers Katarina Witt. Néanmoins, je me rappelle relativement bien de cette histoire et je me rappelle très bien que la presse avait fait de Tonya Harding, la méchante de l'affaire. C'est donc avec ces souvenirs en tête que j'ai vu ce film, qui nous montre un autre visage que celui reflété par la presse de l'époque. Le film nous apprend plein de choses sur sa mère, une horrible bonne femme, son mari, un boxeur de femme, bête comme c'est pas possible et son garde du corps, encore plus bête. Bête à ce point là, c'est de la caricature. C'est clair, qu'elle n'a pas eu une vie facile, entre le manque d'argent et la violence, et je pense qu'à la fin du film, le public qui connait plus ou moins l'histoire, repart forcément avec une autre image de Tonya. Les deux actrices principales, Margot Robbie et Allison Janney sont remarquables. les mecs ne sont pas mal non plus. C'est drôle, mais avec une pointe de tristesse, de regret, en découvrant les dessous de l'histoire et en se disant que cela aurait pu être autrement.
    GrandSephiroth
    GrandSephiroth

    58 abonnés 727 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 février 2019
    Film biographique racontant l’histoire de l’affaire Harding-Kerrigan qui opposait deux patineuses artistiques américaines en 1994, Moi Tonya met en scène Margot Robbie (Le loup de Wall Street, Tarzan, Suicide Squad) dans la peau de Tonya Harding, patinant depuis son enfance sous la pression d’une mère antipathique et violente interprétée par Allison Janney (Tallulah, Miss Peregrine et les enfants particuliers, La fille du train). Sous la forme d'un documentaire fictif, il relate la jeunesse de Tonya jusqu’à sa consécration au patinage olympique et son mariage avec Jeff Gillooly, sous les traits d’un Sebastian Stan qui avait déjà joué dans Black Swan, similaire à Moi Tonya pour son thème de la concurrence artistique impitoyable.

    Assez étrange à suivre avec sa narration particulière, le film ressemble à une comédie dramatique où Tonya s’émancipe dans le sport tout en subissant la violence de sa mère puis celle de son mari, avec qui elle reste pourtant encore longtemps comme si se battre physiquement avec lui faisait partie de son essence. Le scénario de l’affaire n’est pas forcément le plus intéressant et reste assez tordu à suivre, sans doute à l’image de la complexité de l’affaire à son époque. Au final, le film vaut surtout pour l’interprétation poignante de Margot Robbie, qui prouve qu’elle peut faire preuve d’un jeu d’actrice particulièrement prenant sans être formatée comme dans Suicide Squad.
    nokidoki
    nokidoki

    69 abonnés 550 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 mars 2018
    Très bon biopic sur la sale gosse du patinage artistique. On adorait suivre ses duels sur la glace face à la fabuleuse et gracieuse Nancy Kerrigan.
    Margot Robbie est tout simplement impressionnante dans ce rôle de patineuse Red Neck avec un caractère de caïman. Seul bémol, elle est beaucoup trop belle et on a envie d'avoir de la pitié pour Tonya, qui était loin d'être une jolie fille. Or, à l'époque, elle était haï.
    Pour ce qui est de la mise en scène, le thème de l'enquête/interviews retransmet à merveille l'ambiance et le rythme à l'histoire.
    Très bon film qui confirme encore une fois la qualité d'actrice de Margot Robbie.
    blacktide
    blacktide

    49 abonnés 795 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 février 2018
    Sous le comique patin de la tragédie, la grâce se cabosse, et la fougue modèle les coups. De l'intime au scandale, No Pain No Triple Axel. Plus que l'histoire, j'ai davantage été emporté par le rythme soutenu du film, et cette fièvre constante entourant le personnage de Tonya. Il faut dire que la BO aide énormément à cette maîtrise du rythme. La mise en scène, loin d'être mémorable, reste pourtant très agréable et efficace, notamment par l'emploi de "face cam" faisant du faux documentaire un autre moyen de détourner la vérité, les points de vus et de pointer les contradictions de ses protagonistes et plus amplement de l'Amérique. La vulgarité, parfois excessive, n'est pourtant là que pour renforcer le sentiment de violence quotidienne dans lequel baigne Tonya: un milieu où elle se fait constamment rouer de coups. L'humour y est extrêmement présent, notamment grâce au personnage complotiste et absurde interprété merveilleusement par Paul Walter Hauser. Et justement toute la tragédie de cette "histoire américaine" (très sombre et pessimiste au fond: celle d'un déterminisme social et de l'impossibilité de s'en extraire) est noyée dans le rythme, le comique et le ridicule de la situation (il suffit de voir la scène du "genou" et la fuite de l'agresseur pour y voir tout l'absurde et quasiment l'humour des frères Coen). Ce qui en fait un film extrêmement divertissant, plus profond que ses apparences...
    NarnoNarno
    NarnoNarno

    34 abonnés 620 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 août 2018
    Biopic anticonformiste car mettant ici en valeur la « méchante », très connue et décriée par « l’histoire Kerrigan - Harding », “Moi, Tonya“ décide de traiter son histoire par la vilaine porte, la moche et la moins élogieuse, et c’est tout en son honneur. Le scénario met en scène une Tonya Harding, femme pugnace, ambitieuse et meurtrie, mal aimée dans son sport, violentée par ses proches, destinée aux abîmes mais formatée (malgré elle?) à la descente aux enfers. Le film insiste énormément sur son entourage nocif (sa mère, son mari, son garde du corps) comme responsable de ses actes et comportements, et ferait presque passer comme innocente son personnage principal. C.Gillepsie a une empathie basée sur un cynisme affectif envers son personnage, et moqueuse par la bêtise de ses coachs, se défend de toute louange gratuite, et fait le bon choix en mettant en scène un personnage antipathique et arrogant qu’on s’étonne finalement à apprécier sans pardonner. Au final, il est bien plus intéressant de traiter du parcours de la sportive atypique plutôt que de s'attacher uniquement sur l’affaire médiatique et juridique, voire de mettre en valeur le contre-poids gentillet de N.Kerrigan (quasiment pas traité ici). Il fallait une belle hauteur et une vulgarité bien gracieuse pour interpréter Tonya Harding, et M.Robbie est particulièrement convaincante. Son incarnation investie fait énormément à la réussite de ce film. La prestation et les dialogues attribuées à A.Janney resteront aussi longtemps gravés dans nos mémoires. Réalisation soignée, dynamique, avec une belle reconstitution 90’s dans ses images comme dans ses sons, ainsi que dans ses effets de reconstitution et de vraies-fausses interviews, le réalisateur s’empare du sujet avec beaucoup d’audace. Les cadrages lors de scènes de patinage feraient passer les compétitions de patinage artistique télévisées comme ringardes. On peut regretter néanmoins que le film prend parfois des tournures de comédie et le terrain d’un humour un peu forcé qui atténue parfois le sérieux de son sujet. A-t’il vraiment besoin d’insister par des gags appuyés sur les situations grossières des manigances de l’entourage de T.Harding, pas si drôles et suffisamment explicites par la débilité des actes eux-mêmes? Et même si le clin d’oeil peut faire sourire, il y a beaucoup trop de Harley Quinn dans l’interprétation de M.Robbie (jusqu’à ce sourire lors d’une scène irréelle où elle frappe N.Kerrigan). Peut-être parfois victime de ses effets de style un peu tapageur, “Moi, Tonya“ a la lame affutée et glaçante, qui fait glisser le film vers un flip ravageur, loin des figures imposées et élogieuses, en combinant bonnes notes artistiques et techniques. T.Harding n’aura pas convaincu ses juges sportifs, mais son biopic convaincra sans triche les cinéphiles.
    Alligator 427
    Alligator 427

    24 abonnés 133 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 mars 2018
    Sous la forme d'un [faux] documentaire, Moi Tonya brosse un portrait féroce de la vie de Tonya Harding, de l'Amérique profonde et du milieu du patinage artistique. Magistralement joué et tourné, le film est une vrai réussite cinématographique.
    L'Info Tout Court
    L'Info Tout Court

    398 abonnés 1 025 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 février 2018
    On connaît tous le dicton qui dit que pour réaliser un bon film il faut un bon scénario, un bon scénario et un bon scénario. Moi, Tonya ne fait que de le prouver une nouvelle fois. Qui plus est ce récit rocambolesque est mis en scène avec sérieux et application. Graig Gillespie livre un film hautement divertissant et intelligent. On salue également la performance de Margot Robbie qui poursuit son ascension d’Hollywood avec brio
    Fabien S.
    Fabien S.

    499 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 août 2018
    Un excellent biopic. Margot Robbie incarne une patineuse artistique au tempérament provocatrice et agressive.
    nadège P.
    nadège P.

    127 abonnés 538 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 mars 2018
    C'est un excellent film dramatique racontant une histoire vraie.
    L'actrice principale est excellente.
    Le film est bien rythmé, percutant et divertissant.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 31 octobre 2018
    Réalisé avec une bonne dose d’humour grinçant, "Moi, Tonya" nous plonge au cœur d’un complot pathétique et ridiculement drôle. Inspiré « d’entretiens dénués d’ironie, follement contradictoires et totalement véridiques », le film nous conte l’histoire de cette sportive au parcours hors norme qui brisa le moule habituel de la petite patineuse issue de la bonne famille américaine. Entre tenues bricolées, musique rock et franc parler, Tonya Harding explosa les codes du patinage bon chic bon genre d’une fédération américaine puritaine. Très justement interprété par Margot Robbie, on cerne l’ambivalence d’un personnage issu d’un milieu modeste qui se retrouve propulsé dans un sport très représentatif de l’american way of life.

    A la fois biopic passionnant sur Tonya Harding et comédie loufoque inspirée par l’idiotie du complot visant à effrayer sa concurrente, "Moi, Tonya" est un film hilarant. Par ce retour, sous forme d’entretiens, sur les événements vus par les différents protagonistes, Craig Gillepsie nous offre un montage réjouissant qui dynamise à la fois l’action et rend d’autant plus jubilatoire ce complot vu de l’intérieur ! Le réalisateur a su à merveille garder une part de gravité, avec toutes les questions sociales que peut entrainer ce fait divers, dans un film totalement saugrenu.

    Retrouvez de chroniques sur mon blog : plumeetpellicule.wordpress
    Carlos Stins
    Carlos Stins

    71 abonnés 657 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 mars 2018
    Biopic qui se veut original et non conventionnel, "Moi, Tonya" m'a laissé sur ma faim malgré des intentions prometteuses. L'idée de se baser sur les témoignages des protagonistes afin de montrer que chacun a sa propre vérité en fonction de sa vision était intéressante mais le long-métrage abandonne rapidement toute ambivalence en se plaçant clairement du côté de Tonya Harding. Au départ, le film tente de reconstituer les faits avec précision en se mettant à la place de chaque protagoniste mais tout cela devient rapidement une mascarade et une excuse pour disculper la patineuse américaine des faits qui lui sont reprochés. Je ne comprends pas comment un film qui prétend montrer que la vérité n'existe pas peut présenter aussi catégoriquement Tonya Harding comme non responsable de l'agression de Nancy Kerrigan alors même que la lumière n'a pas été totalement fait sur cette affaire. Certains passages sont d'ailleurs étrangement occultés et le long-métrage se révèle être en réalité un biopic des plus conventionnels dans son propos. Heureusement, si le film est dans le fond un énième biopic réalisé pour gagner un maximum de statuettes, il se révèle étonnamment inventif sur la forme. La mise en scène est recherchée, le montage superbe et la bande originale accompagne très bien le tout. L'humour noir fonctionne de manière inégale mais parvient à rendre certaines scènes jouissives et drôles. L'ensemble reste dynamique et plaisant à voir et je regrette que le film manque à ce point de finesse dans son écriture car le résultat aurait alors pu être à mon sens bien plus abouti.
    Adelme d'Otrante
    Adelme d'Otrante

    161 abonnés 1 064 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 février 2018
    De prime abord il est difficile d'avoir de l'empathie pour Tonya Harding, petite boule de nerf dévorée par la rancoeur et la jalousie. Et puis le réalisateur nous donne les clés pour comprendre son geste, sans pour autant l'excuser. Brimée depuis sa tendre enfance par une mère incapable d'aimer, battue par son premier mari, entourée d'une belle brochette de bras cassés et victime d'un certain déterminisme social qui ne dit pas son nom, la patineuse se révèle au fond bien plus touchante et perdue que démoniaque.
    RealPrime
    RealPrime

    72 abonnés 1 673 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 décembre 2018
    Porté par une ou simplement, mon actrice préféré, ce film est mener de la plus dynamique des manières spoiler: aussi bien par une mise en scène démente, un montage fluide ("flash-back" vidéos et passages présents) et un jeu parfait. Une enfance douloureuse ou l'on comprend parfaitement ce qu'à été cette relation pourrie entre une mère et sa fille, fumeuse et limite droguée à bien plus elle fut obsédée par cette réussite qui ne fut pas la sienne et en plus, colérique, violente, vulgaire et rien à faire d'un amour possible.
    Margot elle, toujours aussi canon, spoiler: un maquillage de vieillissement parfait qui m'à bien effrayer par moment car méconnaissable. Des scènes de colère et de joie aux petits oignions.
    Des scènes démentes des championnats de patinage spoiler: ou la photographie fut justement gérer. A me demander s'il n'y avait pas mélange de prises studio avec effets et de prise réelles.
    Par contre, au bout d'une bonne heure écart, le film à prit le dure chemin du genre policier avec cette histoire de coup monter contre la principale concurrente américaine. Le fil des événements m'à perdu et j'ai accélérer car hors sujet avec le reste. Puis retrouvailles sportive et notre Tonya de retour sur la glace mais patatra, la casse s'accumule et là, this is the drama. Un final avec son procès ou elle joue comme une déesse et ses points de boxeuse bien pris. Sa vulgarité m'aura éclaté et m'aura rappeler celle de son talent absolu dans "Le loup de Wall Street". Une femme à suivre.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top