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    Moi, Tonya
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    286 critiques spectateurs

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    bsalvert
    bsalvert

    362 abonnés 3 512 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 29 avril 2018
    Un film qui se veut la vérité de l'affaire Tonya. On suit cette histoire 'vraie' où la victime n'est autre que l'heroine elle-même ont l'erreur aura été de mal choisir son entourage.
    PLV : une autre vision de l'histoire
    floramon
    floramon

    73 abonnés 1 383 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 juillet 2024
    lors de mon deuxième visionnage, j'ai beaucoup plus apprécié ce film, malgré son côté très ' film indépendant' on arrive à être assez captivé tout au long. les acteurs sont très bons et portent évidemment l'histoire.
    Freakin  Geek
    Freakin Geek

    237 abonnés 882 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 février 2018
    Biopic vraiment pas comme les autres, Moi, Tonya sent cependant un peu trop le film à Oscars pour être vraiment emballant. Si les transformations et les performances de Margot Robbie et Allison Janey sont en tous points remarquables, on ne pourra s’empêcher de trouver parfois le temps un peu long devant ce film très bavard. Le film a tout de même le mérite de nous faire découvrir le parcours compliqué de Tonya Harding et devrait la réhabiliter aux yeux de grand nombre qui l’avaient certainement jugé trop vite par ce qui avait été raconté dans les médias à l’époque. Espérons qu’avec ce film la patineuse puisse retrouver les spotlights et lui permettre de renfiler les patins même si ce n’est plus pour la compétition. [lire la critique complète sur FreakinGeek.com]
    WutheringHeights
    WutheringHeights

    101 abonnés 930 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 23 février 2018
    La première partie du film, de loin la meilleure, est portée par la relation malsaine entre Tonya et sa drôle de mère (Allison Janney, encore une fois parfaite, à la fois terrorisante et hilarante). On se perd ensuite un peu dans de trop nombreuses (mais peut-être nécessaires) scènes de compétition.
    Jrk N
    Jrk N

    36 abonnés 238 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 décembre 2018
    J'avoue que le genre hollywoodien "faux reportage" qui est fait pour qu'on n'y croit pas mais qui ressemble quand même à un reportage est très lassant. Il peut être réussi comme dans les fameux Hommes du Présient (Pakula 76) parce que sobre et efficace et quand les acteurs se coulent dans cette exigence de sobriété. Ici la triste histoire de la patineuse Tonya Harding (Moi, Tonya ; 2017 Gillespie), la volonté de faire date des second rôles est particulièrement exaspérante. C'est le cas de la mère de la patineuse jouée par Alison Janney qui cabotine en permanence, ce qui lui vaut un oscar, justifié donc puisqu'il va généralement au cabotinage.
    A part ça, le personnage principal est parfaite incarné par Margot Robie qui donne un peu l'illusion qu'il s'agit réellement d'une redneck (comme elle se qualifie elle-même) montée à la force du poignet au somment du patinage mondial. Mais ce jeu du réalisme : "regardez comme je sais donner l'illusion que mon personnage est vraiment une redneck" crée un sentiment de malaise qui ne quitte jamais le spectateur dans le film. Le mensonge est trop apparent, et surtout, il s'agit de montrer qu'un acteur d'Hollywood peut bien incarner jusqu'aux classes les plus déshéritées de la société "qui d’ailleurs le méritent bien". Cette sorte de politiquement correct condescendant à la sauce Beverly Hills - typique du puritanisme - ne passe pas lorsqu'on essaye de regarder en face l'histoire réelle.
    Le réalisateur Gillespie et le scénariste Rogers essayent sincèrement de faire en sorte pour qu'on ne juge pas Tonya. Evidemment ce n'est pas possible en raison de la logique du réalisme qui veut qu'on s'identifie à elle et aussi en raison du charisme de l'actrice. C'est une fausse hypothèse que de laisser croire qu'on peut adhérer aux thèses sur la culpabilité de Tonya.
    Bref tout est faux dans ce film et ça se voit et c'est pourquoi je ne l'aime pas, malgré l'admiration pour l'actrice Maggie Robie et contre l'avis de l'immense majorité des spectateurs.
    GIJoe
    GIJoe

    95 abonnés 576 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 décembre 2020
    Extrêmement bien joué, émouvant, dérangeant, instructif. On passe par toute la palette des émotions mais surtout celle de la compassion pour cette jeune femme vraiment maltraitée par la vie et surtout par ses proches.
    selenie
    selenie

    5 788 abonnés 6 097 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 mars 2018
    Ce qui semble avoir plu au cinéaste c'est l'inconscient collectif du scandale à l'américaine qui a occulté que tout n'est pas si simple et que Tonya Harding n'est pas la méchante de service. Craig Gillepsie réussit un mettre en place un climax cynique et jouissif, mêlant ainsi le tragique au pathétique, le malsain au burlesque. La symbiose entre la forme et le fond, entre le style et le jeu en font un film complet, dense et maitrisé, un film excellent où l'effroi se mêle au sourire avec appétit dans cet univers de l'ogre américain qui aime autant les princesses que les monstres, qui aiment aimer autant qu'il aime haïr.
    Site : Selenie
    Redzing
    Redzing

    1 005 abonnés 4 367 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 août 2022
    J’avoue qu’avant de connaître l’existence de ce film, je n’avais jamais entendu parler de Tonya Harding. Une patineuse célèbre pour avoir été mêlée à l’agression de sa concurrente, Nancy Kerrigan, frappée au genou peu avant une compétition. Il faut dire que le sport en général, et le patinage en particulier, je m’en tamponne l’oreille avec une babouche. J’étais néanmoins curieux de voir comment « I, Tonya » pouvait aborder un sujet pareil. Et je n’ai pas été déçu, le film se révélant loin d’un biopic ou d’une success story fadasse. Craig Gillespie opte pour une approche originale, celle de délibérément raconter les faits en se basant sur les propos des protagonistes, souvent contradictoires. Il est donc clairement assumé que nos narrateurs ne sont pas fiables, et que tout ce que nous verrons seront leur point de vue, leur vision des choses… et leurs mensonges. Avec, à l’appui, des fausses interviews, quelques ruptures du quatrième mur… ou des problèmes évidents d’âges (des acteurs presque trentenaires jouent les personnages à 15-20 ans). Ainsi, loin d’en faire un être machiavélique, Tonya Harding est présentée comme le vilain petit canard du patinage artistique. Dans ce monde policé et propret (qui au passage prend un coup dans la face), Tonya est une redneck rugueuse au physique et aux manières qui ne rentrent absolument pas dans le moule. Et qui souffre, piégée dans une relation toxique avec un mari violent, écrasée par une mère atroce. Difficile de dire ce qui est vrai, en tout cas cela permet une certaine attache au personnage. Tandis que Craig Gillespie traite l’agression et ce qui tourne autour avec un humour noir assez délectable. Présentant notamment les comparses de Tonya et son mari comme une belle bande de bras cassés, où la réalité semble rattraper la fiction (on se croirait par moment dans « Fargo » !). Il est juste un peu dommage que l’écriture sur le dernier acte, et l’enquête du FBI, soit plus laborieuse. Mais il faut souligner le travail énorme des trois acteurs principaux. Margot Robbie (également productrice), enlaidie à souhait, fait des étincelles en incarnant cette patineuse à fort charactère, à laquelle la vie fait peu de cadeaux. Sebastian Stan, loin de ses rôles de body builder dépressif du MCU, fait preuve d’une vraie sensibilité en mari passionné et très impulsif. Sans oublier Allison Janney incroyable dans le rôle de la mère championne du harcèlement. Même Paul Walter Hauser est amusant en garde du corps mégalo, une prestation finalement à peine éloignée de celle qui le fera connaître dans « Richard Jewell ». Une jolie surprise donc, pour un film qui aurait pu être mieux construit sur la fin, mais qui détourne agréablement les success story du genre.
    this is my movies
    this is my movies

    659 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 septembre 2018
    (...) Dans son déroulement, le film est plutôt scolaire. on commence par l'enfance, avec la petite Tonya qui débarque sur la glace à 4 ans, accompagnée par sa mère, vulgaire, qui fume, et surtout, l’œil mauvais. Elle gravit les échelons, jusqu'au départ de son père, puis elle rencontre son futur mari, et là, tout s'enchaîne. Elle connaît un échec douloureux au JO de 1992 puis verra à un moment poindre cette fameuse 2nde chance, avant que son entourage, et sa propre propension à faire les mauvais choix, ne viennent tout gâcher, dans un enchaînement malheureux de circonstances, avec à la base, un manque de communication et de mauvais exécutants. Bref, une histoire pour les frères Coen. Sauf qu'à la place ces Coen, on a un produit bien calibré du cinéma indé, ou plutôt faussement indé. Craig Gillespie est issue de ce sérail. Là, il offre donc à Margot Robbie, nouvelle coqueluche des médias venue d'Angleterre, actrice révélée dans "Le loup de Wall Street" de Scorsese, et qui s'octroie ici le rôle de productrice. Ce qui fait que son rôle est grandement mis en avant, son point de vue, teintée d'un certain féminisme de bon aloi. Harding était donc une femme battue, méprisée par sa mère, écrasée par sa condition de redneck, face à un establishment et une fédération privilégiant l'origine sociale et l'apparence sur le talent pur, et l’exécution. Préférant ZZ Top à Mozart, Harding, qui faisait elle-même ses costumes, faute de moyens, aura bon mettre des triple axel dans tous ses programmes, chose hyper rare car elle sera la 1ère femme américaine à en réussir un en compétition, puis à le tenter aux Jeux Olympiques (elles ne sont que six à l'avoir fait depuis), elle se sera jamais le petite chouchoute de sa discipline. Puissante, athlétique, déterminée, passionnée, certainement talentueuse, parfois gagnante, mais jamais admirée ou encore soutenue. Seule contre tous. En soi, le film n'est pas désagréable, bien au contraire, il est même plaisant à suivre. Margot Robbie est excellente, vraiment investie dans son rôle (même si régulièrement doublée, numériquement pour le triple axel par exemple, que personne n'a voulu tenter par crainte de blessure), incarnant le personnage de 15 à 45 ans avec une belle assurance, quelques regards émouvants et une réelle présence. En face, Sebastian Stan est très bon en mari violent de Harding. Son personnage est forcément moins développé, ce n'est pas son biopic après tout, mais on ressent à la fois son amour pour sa belle, mais aussi son irrépressible violence. Et que dire de Alison Janney, qui incarne la mère maléfique, prestation récompensée d'un Oscar. Grimée, aussi moche à l'intérieur qu'à l'extérieur, elle ne laisse pas indifférent et enchaîne les répliques vachardes et les comportements inhumains. Et autour, gravite une belle brochette de neuneus, dont l'inénarrable Shawn, meilleur pote du mari et garde du corps de Tonya, mythomane notoire et qui sera finalement le coupable désigné par le film, celui qui provoquera l'impensable, avec l'aide précieuse de deux couillons. En se cantonnant à ce cadre, le film développe son point de vue de manière efficace, puisqu'on se prend vraiment d'affection pour le couple, et son héroïne, même si on peut s'agacer de certaines exagérations, comme le fait de présenter chacun des protagonistes comme le centre du monde à ce moment-là. Il lance quelques pistes intéressantes, critique, légèrement, le fonctionnement médiatique et parfois, il surprend avec quelques bonnes idées de mise en scène. Oui, mais voilà, Gillespie est clairement limité comme metteur en scène, véritable produit de son époque, et souvent, il se vautre dans l'insupportable redite, via sa voix off, de ce qu'on voit à l'image. Déjà, il blinde sa bande-son, enchaînant les morceaux d'accompagnements, censés accompagnés et illustrés les différentes séquences clés. Du coup, on a plus ou moins l'impression de voir un film illustré par un IPod en mode shuffle, quitte à broyer l'émotion. Par exemple, pourquoi ne pas s'être plus appliqué à laisser vivre la scène où le père de Tonya quitte le foyer. Avec le morceau pop en fond, on est plus pris par le rythme de ce dernier, que par ce qu'il se passe à l'écran, qui est proprement déchirant. Du coup, ce passage devient une vignette parmi d'autres, jamais émouvant, jamais mis en valeur. Et c'est comme ça pour toutes les scènes clé du film. Est-ce un choix de producteur ou un choix de facilité du réalisateur ? Difficile à dire, reste que ça rend le tout assez fade, empêchant pour ma part toute implication émotionnelle. De même, les réflexions qu'il induit restent à la surface, comme s'il n'avait jamais totalement réussi à faire corps avec son sujet, qui narre les aventures d'une bande de débiles qui se brûlent les ailes. Cela peut venir du cynisme qui habite les auteurs aussi, qui n'ont aucun respect ni aucune empathie avec ces représentants d'une couche sociale inférieure (ce qui est paradoxal puisque le film dénonce l'attitude méprisante et aristocratique des officiels du patinage). C'est dommage et ça nuit un peu au film, qui reste toutefois assez emballant et agréable à suivre sur presque deux heures, ce qui n'est pas rien. La critique complète sur thisismymovies.over-blog.com
    Cinemadourg
    Cinemadourg

    722 abonnés 1 458 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 mars 2018
    En mode reportage/interview, nous allons suivre la rétrospective de la vie de Tonya Harding, patineuse américaine de haut niveau qui a défrayé la chronique en 1994 pour avoir été mêlée à l'agression de sa grande rivale sur la glace : Nancy Kerrigan.
    Le sujet est traité avec beaucoup de punch et d'humour, l'actrice australienne Margot Robbie est captivante dans son rôle de garçon manqué tentant de séduire des juges totalement coincés par des soit-disant codes artistiques de patinage.
    Sa mère est une terreur, son copain un boulet violent, qu'à cela ne tienne : elle veut être la meilleure et fait tout pour arriver au sommet.
    Je ne suis pourtant pas fan de patinage artistique mais certaines scènes avec l'héroïne en pleine action sont tout simplement superbes.
    Puissant, touchant, drôle, décalé, rythmé, ce film possède beaucoup d'ingrédients de qualité : un bon moment.
    --> Site CINEMADOURG <--
    tisma
    tisma

    273 abonnés 1 910 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 juillet 2024
    Moi, Tonya est fort car grâce à la mise en scène et les talents des acteurs, on est emmené à 100km/h dans cette histoire passionnante et qui nous rend passionné !
    Nicothrash
    Nicothrash

    331 abonnés 2 995 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 juillet 2023
    Fait divers sui a défrayé la chronique sportive dans les années 90, l'agression de la championne de patinage artistique Nancy Kerrigan est ici portée à l'écran par Craig Gillespie et va suivre le point de vue de Tonya Harding, soupçonnée rapidement. Si le personnage est assez antipathique de base, notamment lorsque l'on a connu l'histoire, Gillespie apporte un regard différent en nous exposant la jeunesse de Harding. Et le moins que l'on puisse c'est qu'elle n'est pas partie dans la vie avec toutes les chances de son côté. Très peu éduquée, accoutrée de parents indignes et notamment une mère horrible, elle s'est visiblement surtout laissée entraîner dans ce drame qui a ruiné et sa carrière et sa vie. Ça n'excuse pas tout évidemment mais force est de constater que l'on s'attache à elle, bien aidé il est vrai par la quasi absence de sa rivale du métrage. Formellement la mise en scène est ingénieuse et très soignée et la réalisation au top avec des effets spéciaux très efficaces. La tension est présente assez souvent et notamment lors des impressionnantes scènes de patinage et le casting est excellent, Margot Robbie nous livrant une fois de plus une masterclass. Un très bon moment de ciné que ce Moi, Tonya qui bénéficie en outre d'un formidable travail de documentation. Une réussite totale.
    Laurent C.
    Laurent C.

    246 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 février 2018
    Cette petite fille, cachée derrière cette mère terrible, digne d'un dessin-animé, n'a pas froid aux yeux, elle se précipite sur la patinoire, et le sourire aux lèvres, entame une ronde de séduction pour obtenir les faveurs de l'entraîneuse. "Moi, Tonya" est un film hybride qui joue avec les genres. Le spectateur se laisse prendre aux rires, et surtout au cynisme qui se dégage de ce qui n'est pas moins qu'une tragédie sociale. Derrière cette collection d'anti-héros, le réalisateur dresse le portrait d'une Amérique, pauvre, complexée, très loin des clichés que le cinéma fabrique de ce pays. Tonya, c'est cette patineuse, tristement célèbre, certes pour le fameux triple Axel, mais surtout toutes ses tentatives de médailles aux jeux Olympiques, à chaque fois avortées. Elle évolue dans un milieu populaire au sens négatif du terme. Les mères sont autoritaires et manipulatrices, les hommes sont violents et bêtes, et elle, Tonya, se défend en permanence d'être responsable de son destin. "Moi, Tonya" est un film résolument exaltant. Il met en scène le sujet périlleux de la violence conjugale en fuyant absolument le Pathos. Le ton choisit délibérément la caricature pour mieux raconter le désespoir social qui hante une certaine Amérique pauvre et isolée. C'est un film intelligent, rythmé, écrit comme un roman policier et une fable sociale.
    Gentilbordelais
    Gentilbordelais

    294 abonnés 2 873 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 mai 2023
    un destin, qui a passionné l'Amérique pendant des années, fait de violence, de désillusions mais aussi d'acharnement pour continuer à patiner. le biopic s'avère très complet (évoquant aussi bien la vie privée que sportive), documenté, sans véritable parti-prix. la mise en scène est particulièrement efficace et dynamique, M. Robbie est indéniablement un bon choix et la bande son d'enfer (Fleetwood Mac, Dire Strait, Supertramp...)! un moment de cinéma intéressant qui permet de (re)découvrir le personnage et l'affaire qui aura fait couler beaucoup d'encre.
    Santu2b
    Santu2b

    232 abonnés 1 785 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 avril 2018
    "Moi, Tonya" revient sur une bien triste affaire sportive ayant eu lieu durant les années 1990 : la rivalité entre les patineuses Tonya Harding et Nancy Kerrigan. Celle-ci s'est notamment soldée par l'agression physique de cette dernière ayant valu à sa rivale une exclusion de la compétition. Nouveau film biographique de Craig Gillespie, celui-ci se dstingue en livrant une image intéressante de Harding. Loin de la sportive jalouse et calculatrice souvent présentée, aux abois et surtout très mal entourée. Prise entre l'étau d'une mère proprement insipide (jouée excellemment par Allison Janney) et un mari violent. Ainsi Tonya se présente comme une victime mais également quelque part une battante qui s'est ensuite reconvertie avec succès dans la boxe. Conventionnel mais efficace, le film constitue une certaine consécration pour Margot Robbie, qui agis même en tant que productrice. Un portrait assez touchant.
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