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    Dernier train pour Busan
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    794 critiques spectateurs

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    JoKeR_9514
    JoKeR_9514

    18 abonnés 141 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 octobre 2020
    Alors oui il est bon mais je trouve qu'ils ont un peu forcer pour les quelques raisons suivantes : alors certes c'est un thriller avec une situation apocalyptique mais malheureusement ça surjoue. spoiler: Parlons des morts : par exemple le jeune couple ça ne méritait pas de faire cette scène, c'était inutile !
    et puis voilà je trouve ça un peu dommage mais le dénouement reste quand même acceptable.
    gizmo129
    gizmo129

    79 abonnés 1 480 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 octobre 2020
    Difficile de ne pas penser à Snowpiercer, autre film se déroulant dans un train et venant de la péninsule Coréenne, à la vue de ce Dernier train pour Busan. Dans un genre abandonné au cinéma depuis l’avènement de la série Walking Dead, les coréens reprennent le flambeau avec ce train entouré et contaminé par une horde de zombie. Forcement angoissant par son aspect confiné, le film nous offre des zombies certes aveugle mais terriblement rapide et à l’ouïe fine ! Avec cet esprit de meute, les zombies ressemblent à ceux vus dans Wold War Z mais avec un budget bien moindre, le film est plus angoissant. Mais derrière ce film de Zombie, le réalisateur ne manque pas de mordant quand il s'agit de critiquer le capitalisme et le repli sur soit vis à vis des migrants. En effet, outre la critique du monde bancaire ayant provoqué la chute du monde, on voit que malgré son égoïsme et son ambition, on se retrouve toujours face à plus ambitieux que soi, la solidarité étant la seule réponse à même de nous sauver. Puis, comment ne pas penser aux migrants et au rejet de l'autre quand des passagers, en affrontant nombres de dangers parviennent à rejoindre les plus aisés à l'avant du train, mais qu'une fois en sécurité, ils se retrouvent exclus... Le double niveau de lecture est donc excellent dans ce film, coté action, on regrettera tout de même la faiblesse du choix des musiques et le très mauvais doublage français.
    Xavier C.
    Xavier C.

    10 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 20 octobre 2020
    En séance de minuit de la Sélection Officielle du Festival de Cannes 2016, Train to Busan du sud-coréen Yeon Sang-ho nous a émerveillé. On suit les ravages d'un virus mortel sur les passagers d'un convoi contraints de lutter pour survivre.
    La mise en scène qui passe d'un plan d'ensemble à un gros plan très rapidement est brillante et sans temps mort. Montage énergique, rythme frénétique, action ininterrompu : le film est un régal visuel et aussi un mélange astucieux de farce (pas de parodie) et de violence avec une telle maestria qu'on ne sait jamais quelle réaction avoir. En effet, dans une scène donnée, un spectateur peut rire, un autre peut hurler. Comme souvent dans le cinéma coréen (Memories of murder, The host,...), le réalisateur critique l'inefficacité des autorités complètement ridicules face à cette contamination. L'interprétation est au diapason avec un formidable personnage à haïr : le directeur des chemins de fer. Prêt à tout pour survivre en jetant des gens sains sur les contaminés, on a de cesse de vouloir sa mort. Comme Lang dans les scènes foule, il parvient à retourner l'opinion pour éviter d'accueillir des survivants. A côté de ce personnage détestable, on suit le parcours d'un père, égoïste qui fait honte à sa fille qui elle au contraire, est désintéressée et ouverte aux autres. Grâce à elle et aux épreuves traversées, le père deviendra meilleur jusqu'à un final bouleversant qui permet au film de dépasser largement le cadre du genre pour atteindre l'universel : mise en scène, scénario, propos... voilà du cinéma total.
    Réalisateur de films d'animations peu connus, Yeon Sang-ho signe un film d'exception, le 1er immense film sud-coréen de l’année !
    Estonius
    Estonius

    2 681 abonnés 5 304 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 octobre 2020
    Un film coréen de zombies sur lequel il n'y a pas de quoi s'époumoner. Côté positif, le spectacle est assuré le cadre a le mérite d'être original et certaines scènes sont réellement spectaculaires, c'est pour cela que je l'ai regardé jusqu'un bout et uniquement pour cela. Sinon soyons sérieux : on a beaucoup comparé le film à WWZ, et à ce propos ils me font rire tout ceux qui se sont moqués de ce film à cause du placement de produit pour Coca Cola. Ici ce n'est pas Coca-Cola mais Nitendo. Mais chut, faut pas le dire ! Le gros souci du film se sont les personnages, complètement caricaturaux, seul Ma Dong-seok s'en sort, le pire étant le gros patron, parce que, n'est-ce pas, spoiler: un patron ne peut être que foncièrement méchant (le mec a du trop lire Brecht). Parce qu'un prolo méchant ça ne l'aurait pas fait ? (Ben non les prolos ne sont pas méchants, je vous dis on est dans Brecht) Mais ce petit détail permet à la critique de dire que le film est une satire sociale ! (Ah bon ?) Croyez bien que je n'ai rien contre la satire sociale, mais elle est quand même plus habile quand elle chausse autre chose que de tels gros sabots
    ! De même afin de faire vibrer la fibre écolo on nous dit en deux lignes que tout ce bazara été causé spoiler: par une usine chimique soutenue par des actions boursières truquées
    (moi je veux bien mais il aurait fallu développer parce que là ça fait un peu argument gratuit). Sinon vous voulez des incohérences ? spoiler: La capacité du contaminé à se transformer en zombie dépend du rôle du contaminé dans le film, pour un clampin c'est instantané, pour un personnage important, c'est cinq minutes ! On pourrait aussi parler de la femme enceinte jusqu'aux genoux qui court comme une gazelle,
    deux exemples parmi pas mal d'autres. Quant à la fin, j'ai éclaté de rire mais ça devait être nerveux.
    T-Tiff
    T-Tiff

    76 abonnés 1 170 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 octobre 2020
    Belle surprise ce "Dernier train pour Busan", un film de zombie coréen dont nous n'attendions pas grand-chose. Aucun lien avec "Snowpiercer" mis à part le fait que l'action se déroule dans un train. En effet, ce film est en réalité un huis-clos, où les personnages que nous suivons se retrouvent à devoir survivre face à des morts-vivants. La recette est connue, mais il fallait tout de même savoir bien l'exécuter, car des films de zombies pas folichons, Hollywood en propose suffisamment et c'était notamment le cas de "World War Z". Ici, tout le film nous tient en haleine avec une mise en scène très rythmée et des séquences impressionnantes. Nous retenons notre souffle, espérant que les personnages rendus assez attachants puissent résister jusqu'à la fin. Sang-Ho Yeon signe un très bon film avec "Dernier train pour Busan", qui deviendra probablement une référence pour le genre.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 5 octobre 2020
    Sans doute un des meilleurs films de zombie de ces dernières années, de part son ambiance et sa réalisation en quasi huis clos. Cependant, certaines réactions de personnages sont parfois peu réalistes et tout ce qui se passe autour du train un peu trop "gros", cela peut rompre la crédulité du spectateur, ce qui est dommage. Néanmoins, le film vaut quand même le détour !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 2 octobre 2020
    Quand je vois autant de monde noter aussi bien un film dont le scénario est aussi plat, vide, affligeant, et le jeu d acteur aussi insipide, je me dis que pour nous le prochain arrêt sera pas Busan, mais Idiocratie..
    Romaric44
    Romaric44

    16 abonnés 323 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 septembre 2020
    C'est un parfait film de zombies car on n'est pas dans le cliché habituel.
    Il y a un côté très humain qui fait que j'aurai beaucoup de mal à vouloir classer ce film en tant que film d'horreur ou d'épouvante quand bien même l'on parle de zombies.
    Les films coréens sont définitivement extrêmement novateurs.
    aimk
    aimk

    2 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 15 septembre 2020
    Trop simple..... Comment faire pour qu'une situation sans danger le devienne il faut mettre un personnage "méchant"qui fait n'importe quoi et faire en sorte que tout ce qui se passe dans le film soit de sa faute (n'oubliez pas de montrer qu'il est égoïste pour justifier ses actes) et voilà 2h de films avec des suspens fatigués et des clichés dans tous les sens
    Chris
    Chris

    32 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 septembre 2020
    Incontestablement le meilleur film de zombies que j’ai pu voir (et j’en ai vu !).
    Surtout quand on voit les étrons qu’on nous a pondu ces 10 dernières décennies ...
    Chapeau messieurs ! On attend la suite avec impatience
    Tarte aux lettres
    Tarte aux lettres

    6 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 septembre 2020
    Lorsque l’on commence à regarder le Dernier train pour Busan, on pourrait être sceptique. Scénario déjà vu et revu. Personnages stéréotypés (l’homme d’affaires distant, la petite fille innocente, la femme enceinte, le sportif, la pompom girl,…). On s’attend à suivre un énième film de zombies de série B. Cependant, tout au long du visionnage, on se laisse surprendre. Sang-ho Yeon, le réalisateur, dépeint le monde apocalyptique qu'il a imaginé comme un observatoire du comportement humain et de ses dérives. Derrière les codes d’un blockbuster se cache une véritable réflexion sociale cynique. L’humain y est dévoilé sans artifices, dans un écrin d’égoïsme sanglant.

    Le synopsis est simple : en Corée du Sud, un virus se propage dans la population. (Le terme virus prenant un tout autre sens en période de pandémie mondiale. L’emploi de mots comme « cluster » et « quarantaine » ne manquera pas de vous faire frissonner.) Ceux qui sont touchés subissent des mutations et se transforment en des créatures sanguinaires : des zombies. Seok-woo et sa fille Sun-an se trouvent piégés dans un train infesté et doivent tout faire pour bien arriver à bon port. Une course contre la montre débute alors : il s’agit pour eux de s’assurer d’être à l’abri en attendant de descendre du train. Bien entendu, rien ne se passe comme prévu. Des rivalités émergent entre des passagers sous pression, on refuse de les accueillir en gare,… Ce trajet en train prend alors l’allure d’un parcours du combattant.

    Si on ne devait ne retenir qu’un point positif de ce film, ce serait son rythme. La cadence nerveuse et énergique est particulièrement soutenue. On passe sans cesse d’un rebondissement à un autre, si bien qu’il est impossible de s’ennuyer. Ce thriller effréné est aussi nourri par sa bande-son et par sa scénographie qui mettent en exergue un suspens déjà omniprésent. La réalisation est en effet particulièrement soignée. Elle offre des plans magnifiques, tout en couleurs, marque de fabrique du cinéma coréen. Il faut cependant noter que l’obscurité est également au cœur de cette œuvre puisque les zombies sont totalement aveuglés dans le noir. Un jeu d’ombres et de lumières se crée alors, ajoutant à la tension du film.

    En effet, par la figure des zombies, Sang-ho Yeon joue avec les codes du cinéma du genre. Contrairement à la majorité des films de genre hollywoodiens, ces monstres peuvent courir et ne voient pas dans le noir. Cette touche d’originalité tient encore davantage les spectateurs en haleine. Le cadre du train participe aussi à transcender les poncifs de l’horreur. Bien loin des traditionnelles courses-poursuites dans une forêt ou dans des ruelles abandonnées, ce décor ferroviaire se joue de nos repères. La violence en elle-même diffère d’autres blockbusters : les convulsions des zombies sont plus impressionnantes, leurs blessures et membres désarticulés, plus sanglants. Ces éléments ne manqueront pas de vous marquer fortement.

    Cependant, si on pourrait s’attendre à ce que cette dimension sanguinolente soit trop lourde, ce n’est nullement cas. Les moments tendres et sensibles émaillés tout au long de ce film lui donnent une certaine légèreté et douceur. Le réalisateur sait alterner de rocambolesques scènes d’action et des moments plus intimistes entre les personnages. En effet, si comme évoqué précédemment les héros pouvaient apparaître clichés, on les découvre en fait complexes et multidimensionnels. Le père par exemple, au début caractérisé par sa froideur et sa maladresse vis-à-vis de sa fille, s’avère être courageux et aimant. Face au danger et à la mort, les protagonistes se révèlent.

    En effet, il s’agit là du principal propos du film qui en tire presque tout son intérêt. Au fur et à mesure du film, le spectateur se rend compte que le véritable combat ne se déroule pas entre les hommes et les zombies mais entre les hommes eux-même. Sous couvert d’un blockbuster, l’œuvre de Sang-ho Yeon dresse un portrait peu flatteur d’une humanité plongée dans ses derniers retranchements. La forme du huis clos permet d’explorer la psychologie humaine de manière incisive. Face à l’apocalypse, ceux qui essaient de sauver leur peau se montrent souvent individualistes ; le personnage du directeur de gare en est le parfait exemple. Cependant, on se doit de noter que cette sombre critique sociale est contrastée par un discours moraliste. Si le terme naïf peut sembler inapproprié lorsqu’on se penche sur un film si cynique, la fin vient démentir ce présupposé. SPOILER : Seuls deux passagers survivent : la femme enceinte et la petite fille, les deux personnages les plus altruistes et purs du film. On constate donc non sans ironie, que c’est précisément en voulant casser les codes d’un cinéma de genre traditionnel et porter un message fort que Sang-ho Yeon finit par s’y enliser.
    Joris T.
    Joris T.

    21 abonnés 4 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 septembre 2020
    Ce film est une réussite absolue. J'ai lu les critiques très négatives des spectateurs sur ce film et je suis affligé face à certains commentaires...Ne vous fiez en aucun cas à ce que vous lirez de négatif ici. "Dernier train pour Busan" est sans aucun doute l'un des meilleurs films de zombies réalisés. Tout y est, le suspense, l'angoisse, l'émotion, l'empathie. On passe par tous les états. Il y a de l'action, mais pas trop. Il y a des moments plus calmes, mais pas trop. L'intrigue est très intéressante, le développement des personnages est parfait, on s'attache à ceux qui en valent la peine, on développe une haine envers ceux qui le méritent. Les zombies sont quand à eux très spéciaux, très dynamiques (un peu à la World War Z) ce qui augmente le stress lorsque les héros y sont confrontés. spoiler: Le final du film est absolument déchirant. Je pense ne jamais avoir été aussi attristé devant un long métrage...

    Je pense avoir tout dit, pour ceux qui ne l'ont pas vu, foncez ! Vous ne le regretterez pas.
    AdriBrody
    AdriBrody

    7 abonnés 568 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 août 2020
    Wow ! C'est ma réaction à la fin. C'est vraiment maîtrisé, le scénario reste un film de zombies assez classique, mais c'est parfaitement bien mené. La tension monte crescendo et l'ambiance sombre est très vite posée. On est vraiment oppressé en voyant ce train, en s'imaginant à l'intérieur. Les zombies s'écartent de ceux de Romero, mais marchent très bien. Ils rajoutent une tension en plus au fait de pouvoir courir. Les personnages sont bien travaillés et on découvre petit à petit les backstorys et les sentiments des personnages.
    J'ai pleuré à la fin, le film m'a eu.
    Le seul point négatif spoiler: est la durée des transformations. Pour les perso inutiles, elle se fait en quelques secondes, mais pour les personnages importants, elle met beaucoup plus de temps. J'en comprends l'intérêt mais ça ne suit pas la logique.

    C'est un véritable film d'horreur avec une ambiance et une réelle tension palpable. Sûrement l'un des meilleurs films de zombies.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 055 abonnés 4 104 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 août 2020
    Yeon Sang-Ho, réalisateur sud-coréen vient de l’animation. Il a choisi avec « Dernier train pour Busan », le film de zombies pour son premier essai en images réelles (si l’on peut dire !). Depuis Georges A. Romero, le réalisateur séminal du genre (« La nuit des morts-vivants » en 1968), le film de zombies de par son contexte apocalyptique est réputé charrier avec les chairs putrides de ses morts-vivants, tous les malaises sociaux et politiques de son temps. Sagement, Yeon Sang-Ho n’a pas voulu déroger à cette règle non écrite. En partie pour cette raison, il a reçu toutes les louanges de la critique qui ne tarit pas d’éloges pour un film qui outre ne pas renouveler le genre comme avant lui « Vorace » (Antonia Bird en 1999), « 28 jours plus tard » (Danny Boyle en 2003) « L’armée des morts » (Zack Snyder en 2004) ou dans une veine humoristique « Shaun of the dead » (Edgar Wright en 2003) et « Zombieland » (Ruben Fleischer en 2009), fait montre de quelques défauts plutôt agaçants sur la durée. Yeon Sang-Ho qui a écrit lui-même le scénario a voulu charger ce train d’un contexte sociopolitique lourd de sens qui plombe la crédibilité d’une partie des personnages en les poussant jusqu’à la station terminus de la caricature. On comprend assez vite que le fléau qui se propage à grande vitesse sur la population de toute une région est l’émanation d’une société d’engrais chimiques peu scrupuleuse. Une société justement sur laquelle Seok-Woo (Gong Yoo) trader impeccable et séduisant spécule sans scrupule. spoiler: Le jeune homme qui traverse une crise maritale va profiter de ce voyage dantesque en compagnie de sa fille vers Busan pour apprendre les valeurs que sont le partage et le sacrifice. Le PDG d’une compagnie de cars Yon-Suk (Kim Eui-Sung) nettement moins charismatique aura beaucoup moins de chance, Yeon Sang-Ho le chargeant de tous les vices, digne représentant d’un capitalisme devenu ivre de sa propre survivance
    . Les autres personnages principaux ou secondaires sont à l’avenant, tous archétypes recyclés de l’usine à rêve d’Hollywood. S’ajoutent à cette volonté irrépressible d’embrasser toutes les causes qui passent à sa portée, des effets spéciaux un peu grossiers qui font des morts-vivants une masse informe que l’on finit par oublier au fil du métrage. Enfin le jeu plutôt figé de Gong Yoo le beau gosse de service, ne permet pas de s’identifier au héros que veut nous vendre le scénario. Toutes ses scories qui alourdissent un film au demeurant sympathique font mal comprendre cet emballement d’une critique dont la démarche de plus en plus erratique interroge.
    Régis T.
    Régis T.

    1 critique Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 août 2020
    Bonne réalisation, les zombies enragés sont bien faits, j'aime le cinéma asiatique mais le scénario déjà-vu et le jeu des acteurs (ou peut-être des interprètes français, vf oblige), ne permettent pas de rentrer dans le film. Divertissant mais pas plus.
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